cavaillongay-lesitelocal

J'vais pas t'laisser partir avec un légionnaire en perm / j'vais pas t'laisser séduire par le premier marin qui traîne/
j'vais pas t'laisser dormir toute seule si t'es libre ce week-end/car tu as comme un p'tit chat sauvage dans les yeux/qui ressemble au tatouage que j'ai dans l'cœur/ Y a pas d'erreur./ ( vivien Savage 1984) 

19 ans. Une allure de minet (1,67m ; 50 kilos). Imberbe(les seuls poils que je peux avoir sur le corps, je les rase) Les cheveux noirs et une peau blanche, que certains appellent laiteuse. Délicieux et croquant comme un "petit brun" !

   ilarrive dans les vestiaires, et je sens direct qu'il me regarde, qu'il me lâche pas des yeux. Comme s'il avait peur que je m'envole avec un autre client du sauna !  Alors je le regarde, un peu timidement et je lance un petit « bonjour » du bout des lèvres. 

je dois avouer que ce type imposant en muscle, m'intimide un peu. Il ne me répond pas et prend le casier juste à coté du mien (comme par hasard, je me dis).

Je termine de retirer mes converses et mes chaussettes que je roule en boule dans les chaussures et je me lève du banc pour les mettre dans le casier. Et du coin de l'œil, je sens toujours que le type me regarde tout en se dessapant à son tour. Comme il commence à me mettre un peu mal à l'aise, je me tourne, dos à lui, et je déboutonne mon jeans que je baisse en même temps que mon boxer. J'évite  de me pencher en avant pour défaire les pans du pantalon, de mes jambes, je préfère les lever et rester dans une position plus ou moins droite pour l'enlever entièrement, malheureusement,  mes clefs tombent à terre et instinctivement, je baisse mon buste pour les ramasser (en gros, je fais comme quand le médecin demande des toucher ses pieds avec ses mains, en laissant les jambes droites). Je m'aperçois de mon erreur trop tard,  plutôt que de plier les jambes et les ramasser discrètement, je lui offre mon cul et sa main effleure mes fesses quand je remonte mon buste. Je n'ose plus bouger en me disant pourquoi je suis comme ça, ça ne m'arrive pas souvent d'être gêné, décontenancer par un mec. Alors j'inspire un bon coup et je me tourne vers mon casier pour y mettre mon jeans, mon boxer et mes clefs et comme il continue à me mater, je tourne la tête vers lui.

Il a retiré son t-shirt et il est en train de déboutonner son jeans hyper class (Diesel, j'ai vu l'étiquette) Il est hyper musclé et même si je commence à avoir des abdos grâce au sport, je fais pâle figure à coté de lui. Il fait tomber son jeans à ses pieds et une bosse énorme déforme son slip orné du sigle Diesel (encore) sur l'élastique. Il avance sa main vers moi et commence à me caresser les cheveux puis descend sa main sur ma joue. Je continue à regarder son slip tendu. Il passe sa main sous mon menton et doucement, me remonte la tête afin que je le regarde dans les yeux.

Il me demande comment je m'appelle. Je lui réponds : - Zackarie.

-  Moi, c'est Hervé. T'es mignon p'tit gars. T'es venu tout seul ?

    -  Oui. Je lui réponds

Je me sens mieux, il me parle avec douceur et semble me scruter des pieds à la tête. J'avance ma main vers son entre-jambe et je caresse le slip. Je sens sa queue bouger au travers le tissu. Il me dit :

    -  T'es un rapide, toi. Ça t'excite les queues ?...

    -  (...Je ne sais pas quoi répondre à ça. Mon sexe s'est redressé à l'instant même ou j'ai touché le fin tissu qui protège son sucre d'orge)

    -  … parce que moi, ça m'excite les p'tits culs comme le tien.

Je lui souris Il remonte sa main dans mes cheveux et me dit : -  Pourquoi tu n'irais pas m'attendre dans les douches ?   

  Je prends la serviette sur le banc et commence à la nouer autour de ma taille. Il arrête mon geste avec sa main et me prend la serviette.

    -  T'es pudique ?

    -  Non. Je réponds.

    -  Mignon comme t'es, ce serait dommage. Il me fait avec un petit clin d'œil. 

Retour chez moi : -  il m'a demandé s'il m'avait fait mal, je lui ai avoué la vérité : -  Je lui ai dit oui mais si il n'y avait pas un peu de douleur dans le plaisir, ça n'aurait pas d'intérêt.

imaginez ce qu'a pulsé cette longue queue en moi...

Ce matin, en me levant, j'ai eu un peu mal mais quand je repense à hier soir, j'ai une érection, direct.