Mercredi 27 mars 3 27 /03 /Mars 15:00

Bizutage à la caserne, par Rémy.

Je venais d'avoir 20 ans et j'étais puceau et encore bien innocent. On me disait assez mignon et j'avais notamment de belles fesses bien cambrées.

Avec mes camarades, tous beaux et sympathiques, nous partagions une chambrée de six. Certains parlaient de leurs expériences sexuelles avec les filles et moi, je me taisais discrètement.

Ce soir là, après l'appel, les mecs de la chambrée (quelques petites bouteilles aidant) me semblaient plus excités que d'habitude. La conversation était au cul. Et Bertrand qui avait probablement des doutes sur moi essayait de me questionner sur mes "expériences" à ce sujet, mais en vain. Et tout d'un coup, Bertrand s'écria: "Et si on bizutait ce petit puceau de Rémy?"

Et avant que j'aie eu le temps de réagir, 4 des mecs de la chambrée me saisirent. Sur le moment je ne me débattais pas, espérant une plaisanterie. "Descendons à la salle de gym," dit Bertrand. À 6, ils n'eurent aucun mal à me transporter à l'étage du dessous.

"Foutez-le à poil," commanda encore Bertrand. Et en quelques instants, mon survêtement, mes chaussettes et mon slip volèrent à travers la pièce. "Attachons-le au portique," dit Vincent, un beau blond pour qui je craquais secrètement. "Et rasons-lui les poils du cul," dit Franck. "Comme cela ce sera à nouveau un petit garçon, un vrai petit puceau," dit Gérard.

 

Ils m'avaient attaché aux poignets et aux chevilles de telle façon que je me trouve les bras et surtout les jambes bien écartés. Frank revint avec paire de ciseaux, rasoir et mousse. Je me disais que si cela s'arrêtait là, ce ne serait pas désagréable ne tenant pas particulièrement à ces quelques poils et puis les mecs n'étaient pas méchants et semblaient plutôt avoir envie de rigoler.  

"Vincent, c'est toi le coiffeur dans le civil alors vas-y," s'écria Frank. Vincent prit les ciseaux et s'attaqua à ma petite toison brune. Les poils tombaient par touffes par terre, puis il attrapa ma bite la souleva pour couper les poils sur les couilles. C'était la première fois qu'un mec me touchait à cet endroit et j'essayais de ne pas montrer mon émotion. Puis Vincent prit la bombe de mousse et commença à me l'appliquer partout y compris dans la raie des fesses. Il en profita alors pour me glisser un doigt dans le trou du cul. Le menthol de la bombe me fit un effet monstre dans l'anus. S'en doutait-il ? je ne sais pas, mais les autres ne pouvaient pas le voir et bien que j'aie apprécié la manoeuvre, je le traitais de salaud. Mais il ne dit rien et se contenta de me regarder dans les yeux avec son petit sourire enjôleur.

 

Puis Vincent prit le rasoir. "Ne bouge pas sinon je te coupe," me dit-il, "et de toute façon dans 5 minutes tu n'auras plus un poil même si tu bouges." De sa main droite, il me rasa le bas-ventre et les boules, me soulevant mon système 3 pièces de sa main gauche. Je me demande encore comment je n'ai pas bandé à ce moment-là.

 

Quelques minutes après, il s'attaqua à la raie des fesses. Il demanda de l'aide aux autres afin qu'ils m'écartent bien les jambes et les fesses. "Ho, qu'il est mignon ce petit trou," s'exclama-t-il après m'avoir complètement rasé. Il me remit un doigt dedans en disant aux autres: "J'en connais une qui serait bien là dedans." Mais les autres qui regardaient la scène depuis le début commençaient à en avoir assez.

 

D'ailleurs Gérard proposa aux autres d'aller prendre un pot en ville. "Détachez-moi," leur demandai-je. "Certainement pas," dit Frank. "On va te laisser-là et prévenir les légionnaires qui sont à l'étage au-dessus qu'il y a un mec attaché et à poil dans la salle de gym et qu'il a envie de se faire enculer, et comme ça, tu ne seras presque plus puceau," ajouta-t-il. Et il me fit rattacher par les autres au portique dans une autre position: sur un tapis de sol, à genoux en levrette, les jambes bien écartées. J'étais à la merci du premier mec venu et je commençais à avoir la trouille.

Ils partirent en riant, fermant la lumière et me laissant dans la pénombre.

 

 

Cinq minutes s'écoulèrent quand j'entendis la porte s'ouvrir et se refermer à clef. Il n'y avait qu'une personne mais je ne pouvais la distinguer. Le mec s'approcha et je ne le voyais toujours pas. Il me caressa longtemps partout, le dos, les bras, les jambes, le ventre et pour finir et encore plus longuement les fesses et mon petit trou et enfin ma bite et mes couilles. Puis il recula et j'entendis un froissement d'étoffes: il se déshabillait.

 

Sans prononcer une parole, il se courba délicatement sur moi son corps épousant ma position. Il était chaud et doux, je sentais sa grosse queue bandante sur la raie de mes fesses. Il était plus grand que moi et je sentais son souffle sur la nuque. Il me tourna la tête, je sentis ses lèvres sur ma bouche et il m'embrassa. Je dois dire passionnément puisque je me laissais faire. Peut-être même commençais-je à participer...

 

Il passa ses lèvres et sa langue sur mon dos et descendit lentement jusqu'aux fesses qu'il embrassa et mordilla. Puis de ses 2 mains chaudes il m'écarta les fesses et me lécha le trou du cul, j'en frémissais de plaisir. Il entra sa langue au maximum et me bouffa littéralement le cul pratiquant des aspirations et des soufflements. Inutile de vous dire que j'avais une trique d'enfer. Puis il passa la tête sous mon ventre attrapa ma bite et la mit dans sa bouche. Il me pompait doucement en me caressant le trou du cul. Puis il accéléra le mouvement en me rentrant un doigt à fond dans le fion. Je ne pouvais plus me retenir et m'écriai: "Je vais jouir!" Il ne quitta pas ma bite et pompa de plus belle, son index gauche dans mon cul et sa main droite qui me branlait. Ce fut l'explosion dans sa bouche et à ma grande surprise il ne se retira pas et avala tout mon foutre. Il continua encore quelques instants de me lécher et de me caresser.

 

Puis il se releva, se mit devant moi et toujours sans un mot, posa sa bite sur mes lèvres. Je ne voyais toujours pas sa tête, mais je voyais bien sa belle tige. Je pouvais difficilement refuser et j'ouvris la bouche pour le sucer. Il sentait bon et cela était agréable. Mais rapidement, il se retira sans doute insatisfait d'une pipe sans les mains. Puis il vint se positionner derrière moi. Je sentais sa bite raide et encore baveuse se balader dans ma raie des fesses. J'éprouvais un désir intense, inconnu pour moi jusqu'alors. Bien qu'il subsiste  un peu de peur de ce bel engin et à l'idée que j'allais y passer, je lui dis: "Allez, vas-y, baise-moi, encule moi... s'il te plaît."

 

Je sentis alors son gland qu'il positionna sur mon trou du cul. Puis il appuya d'un coup sec et entra brutalement. Il m'avait tellement léché et préparé que je n'avais pas mal. Je me sentais seulement coupé en deux par ce gros bâton. Il prit le mouvement de va-et-vient, ressortant presque parfois pour mieux rentrer brutalement à fond. Il haletait et poussait de petits grognements. Sentant une douce torpeur dans mon cul, je gémissais de plaisir. Il accéléra encore le mouvement et se bloqua au fond de mon cul. Je l'entendis jouir et j'imaginai plus que je sentis son sperme chaud qui devait couler dans mon ventre.

 

Et voilà, j'étais baisé, j'étais un "enculé". Mais que c'était bon. Il se retira doucement et s'allongea sur moi en m'embrassant. C'est là que je l'ai reconnu. C'était Vincent. Je lui dis: "Ça va Vincent? Je t'ai reconnu tu sais." "Oui mon petit Rémy," me dit-il. "Mais je croyais que tu m'avais reconnu tout de suite..."

 

Il me détacha doucement en m'embrassant. Je restais à terre et il se coucha à côté de moi sur le matelas de gym. Il me dit que j'étais son "petit mec" et me dit encore qu'il me baiserait tous les jours. J'en profitais pour découvrir le reste de son corps et nous fîmes encore un petit câlin avant de remonter discrètement dans la chambre.

 

PD à l'armée c'est un choix difficile, mais avais-je choisi ?

 

     

20 ans et doué pour les relations sociales... 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES
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