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J'ai découvert que mon frère bien aimé est homo et m'avait menti...

Pour bien situer cette aventure, je me dois de nous présenter. Moi, Jean-Denis, je viens d'avoir mes 18 ans, je mesure 182 cm, 70 kg, yeux bleus et cheveux blond long, ce qui me donne un style, bien a moi, mon frère aîné Bernard, qui a 24 ans, 174 cm, 77 kg, lui aussi yeux bleus et cheveux blond, c'est de famille.

Mon frère a son propre appartement dans la grande ville, depuis qu'il y travaille, à force de l'en supplier, malgré sa réticence, j'ai réussi à le convaincre qu'il me reçoive chez lui pour une semaine. Donc cet été, je suis allé y passer une semaine, dans son petit appartement de une pièce et demi, petite cuisine, toilette et salon qui sert de chambre, en même temps, mais quand même très bien, pour un mec qui aime baiser, comme il s'amusait à me raconter certaines de ses aventures avec les filles.

Mon premier soir, fut superbe, il me reçut gentiment et nous avons partagé son divan, qui s'ouvre et qui sert  de siège et de lit en même temps. Le lendemain, il partit pour son travail, me laissant seul. Curieux comme je suis, j'ai découvert dans ses tiroirs des condoms, du lubrifiant et quelle ne fut pas ma surprise, de trouver cachées derrière des boîtes, au fond de son placard des vidéos XXX et le pire de tout cela des vidéos de sexe, qui se passe entre hommes, je n'y comprenais absolument rien...

Mon propre frère est-il menteur et est-il homosexuel, lui qui me disait baiser des dizaines de filles ? Moi qui comptais sur lui, pour qu'il me présente une fille et enfin perdre ma virginité et devenir un homme... Un gars a besoin de plus, que ses masturbations quotidiennes. J'ai planifié ma soirée, je voulais absolument en avoir el coeur net. Après un petit souper que j'avais préparé pour nous deux, installé sur le divan, regardant un film, plutôt ennuyant, je lui dis...

— Bernard, j'ai quelque chose à te demander!

— Demande-le Jean-Denis!

— J'ai 18 ans, depuis 3 semaines et je voudrais...

— Tu voudrais quoi?

— Comment te dire cela?

— Dis-le, comme ça vient!

— Ne te fâche pas, je suis vierge et je veux perdre ma virginité, présente-moi une fille s'il te plaît!

— Pas de problème, je vais t'arranger ça!

— T'es gentil Bernard!

— Mais frérot, sais-tu comment t'y prendre avec une fille?

— Non, je n'ai jamais eu la chance encore, montre-le-moi!

— Tu es sérieux, tu veux, que je te le montre? Attention si tu fais la fille,  tu vas être coopératif, soumis...

— Promis, Bernard, montre-le-moi! Aide-moi!

Il me fit asseoir près de lui sur le divan, après avoir tamisé les lumières et mis une musique douce, il se colla sur moi, passa son bras par-dessus mon épaule, commença avec son doigt à me jouer délicatement et tendrement dans les cheveux et dans l'oreille, voyant ma réaction et mon sourire ravi, il se mit à me lécher l'autre oreille. Complètement ahuri, j'avais les deux yeux fermés et je me mis à gémir comme un enfant et surtout mon entre jambe se mis à bander raide!

Doucement il passa ses doigts sur mon front et il descendit à mes yeux. Mon nez et jusqu'à mes lèvres, se passa son doigt dans sa bouche et revint l'introduire dans ma bouche, j'ai ouvert les yeux, le regardant de toute ma timidité, il ne dit rien et s'approcha, pour m'embrasser direct sur la bouche, me mordillant la lèvre du bas et délicatement poussa sa langue entre mes lèvres entrouvertes, direct dans ma bouche, je ne pus que lui rendre son baiser mouillé, nous nous sommes embrassés à pleines bouches de longues minutes, j'étais tout en sueur et ma queue avait bandé de la grosseur d'un cheval, je sentais mon gland tout mouillé.

Il défit les boutons de ma chemise, un à un, tout en me mordillant dans le cou et commença à me lécher et mordiller les mamelons, passant même sa langue sous mes aisselles, descendit à mon nombril, tout en descendant la fermeture éclair de mes jeans et baissant mon sous-vêtement, il me sorti les couilles et la queue de plus de 18 cm, bandée comme elle n'avait jamais été, je croyais que mon gland allait exploser.

Et doucement il se mit à me lécher les couilles et remonta le long de mon érection, du bout de la langue, il se mit à jouer dans mon trou de pisse, tout le tour de mon gland et engouffra complètement ma queue dans sa bouche, ses lèvres bien collées à mes poils pubiens, je sentais mon gland collé au fond de sa gorge, il se mit à me sucer si avidement qu'en quelques minutes, je n'en pouvais plus, je lui ai crié:

— Bernard, arrête, Bernard arrête-je vais jouir arrête arrrrrrrrrrrr

Plus je lui criais de s'arrêter, plus il continuait à fond, plus j'éjaculais, plus il me la mangeais, je lui es donné six longs jets de mon sperme, il se releva de sa position, se colla sur moi, de tout son long et m'embrassa à pleine bouche, me faisant goûter à mon propre sperme mélangé à sa salive. J'étais comme ivre.

Tout en m'embrassant, ils nous retourna et lui bien étendu, il me dis:

— Déshabille toi et après, fais ce que je t'ai fait !

Je me suis laissé glisser, lui mordillant les mamelons et il me poussa la face sous ses bras en sueur, son odeur me saoûlait. Je le léchai et suis descendu à son nombril, j'ai déboutonné et baissé ses jeans, pour y découvrir son super gros 20 cm et ses énormes couilles poilues, que j'ai léché et mangé, une à une et délicatement j'ai baissé le prépuce de sa grosse queue, pour voir apparaître son gros gland ruisselant. Je me suis mis à le lui lécher et manger avidement comme il m'avait fait, il gémissait de plaisir, plus il gémissait, plus je me forçais pour la rentrer au complet dans ma bouche, ce que je réussis.

Je n'en revenais pas, plus je mangé sa belle grosse queue, plus je bandais à nouveau, plus j'étais bandé, plus j'avais le goût de lui manger à fond, je le sentis donner de grands coups virils, son gros gland gonflé à bloc et sans me prévenir, il me remplit la gorge de plusieurs longs jets de son sperme abondant et épais.

Pour lui rendre la pareille, je me suis étendu sur lui, pour l'embrasser et lui donner de son sperme, il m'embrassa fougueusement, tout en me caressant le dos et les fesses et nous retourna de nos positions. Il me fit mettre à quatre pattes sur le bord du divan, les genoux sur le tapis, le torse sur le divan et il se baissa. Il se mis à me caresser les fesses et l'anus!!!

Tout en jouant avec ma queue bandée raide, il se mit à me manger les couilles et remonta à mon anus, je sentais sa langue fureter à l'entrée de mon trou de cul vierge, même sa langue s'introduire dans mon petit cul et tout à coup, je sentis son index s'introduire en moi et je sentis son gros gland collé a l'entrée collé à mon intimité et s'y introduire, je sentis une certaine douleur, quand même bien supportable.

Je le sentis introduire doucement son gros 8 pouces en moi, me faisant gémir de douleur et aussi de satisfaction, je ne voyais rien, mais je sentis quand même qu'il l'avait entré complètement dans mon cul, je sentis ses grosses couilles collées sur mes fesses et son gros gland me frottant l'intérieur.

Bernard satisfait au maximum de mon petit cul serré et vierge, il se mit à m'enculer virilement, bien à fond, tellement que je me croyais le rectum ouvert à tout jamais, ce qui me fit hurler, mais plus je criais, plus il m'enculait à fond, quelle sensation extraordinaire de sentir une grosse queue dans son intimité la plus profonde et surtout quand il se mit à râler et que je sentis sa queue me remplir les intestins de son sperme.

Il sortit sa grosse queue de mon cul endolori et me l'a mise dans la bouche, pour goûter aux dernières gouttes de son jus de mâle et de sa queue goûtant aussi mon propre cul.

Il m'étendit sur le dos sur le tapis et il s'est assis directement sur ma queue bandée raide, mon frère à son tour m'offrait son cul chaud, mais tellement excité de son super enculage, que je ne mis que quelques minutes à lui éjaculer dans les intestins en hurlant comme un fou, tellement ce fut extra et aussitôt après il me l'a sucée, pour me forcer à lui donner encore quelques gouttes de mon sperme.

Le tout finit par un baiser à pleines bouches, long et bien mouillé, il me dit:

— Jean-Denis, c'est comme ça, que l'on fait l'amour!

— C'est super Bernard !

— Bien heureux que tu aies aimer ça!

— J'espère juste pouvoir recommencer avec toi et que cette fois là, je ne me viderais pas aussi vite!

Je vous laisse deviner la suite de la semaine, des 3 semaines, car il m'a gardé chez lui durant 3 semaines. Si vous êtes amateurs, je vous conterai, peut-être, la soirée qu'il a organiser avec deux autres de ses amis. Pour vous en donner une idée, toute la journée du lendemain j'avais des problèmes à m'asseoir, tellement que j'avais le trou de cul sensible et si satisfait...Je pensais déjàplus aux filles.

Jean-Denis

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