Partager l'article ! Sc Fiction ->expérience sexuelle chimico-électronique inhumaine sur Genji. Cette découverte doit quelque chose au hasard comme c'est souvent le ...
Les personnages de ce récit "mordent" à la fois dans le réel et le virtuel. Mercy a, elle-même, fait revêtir à Genji le scaphandre spécial que vous pouvez voir et qui lui permet de faire, exactement comme un cosmonaute, ce voyage particulier sur place et sous influence.
Sous influence électrique, chimique, psychique, Genji, personnage si beau, si courageux devient un jouet soumis, veule et méprisable aux mains de Mercy qui le possède encore plus entièrement qu'elle n'aurait cru en commençant...
Genji avant :
Mercy la diabolique disciple de Mabuse...si c'est une fierté pour un homme de faire jouir un(e)partenaire, ça l'est tout autant pour une femme comme Mercy.
"Tu arrives à supporter ? Tu aimes ? " Demanda Mercy en ajustant l'appareil à mi-longueur. Genji gémit, sentant que le gode le dilatait encore plus largement. -"Celui-ci est un peu plus grand que le précédent. Mais pour tous ceux dont on dispose ils sont réglables en longueur et en diamètre. On dirait que tu as un peu de mal à t'adapter " dit -elle avec un petit rire qui révélait son caractère assez sadique et tout aussi gentil que celui d'une infirmière."c'est pratique de pouvoir passer par les voies naturelles" (nouveau petit rire) " pas encore besoin de te piquer"
-"Ngh! Ne le mettez pas plus profondément s'il vous plaît !"
- "Pourquoi? Est-ce que ça fait mal ou pas ?" Genji baissa la tête, embarrassé. - "Oh, je vois. C'est bon, n'est-ce pas? Tu aimes vraiment être sous cette tension, n'est-ce pas?"
- "Ugh(rire forcé)-vous ne pensez pas que je sois déjà suffisamment sensibilisé?"
- "C'est à moi de décider. Alors, dis-moi, qu'est-ce que tu ressens maintenant? "
Genji soupira, essayant d'ignorer la pulsation entre ses fesses. -"Il y a ce ... picotement. Je sens tout. Je suis pas anesthésié. Je me sens ... plein".
Mercy sourit et frappa le commutateur, imposant un rythme lent au gode-outil que la machine poussait tantôt à l'intérieur et tantôt à l'extérieur . Le mouvement était soudain et inattendu, et fit gémir Genji de plaisir . Sa chatte invaincue luttant encore contre l'outil faisait de l'obstruction, et il ne voulait pas le faire voir, mais il ne pouvait s'empêcher de devenir rouge alors que ses entrailles étaient triturées.
Mercy se recula et regarda, évaluant l'expérience. Sur les écrans de contrôle elle pouvait le voir trembler, serrer les poings, haletant pour avoir de l'air, mais ce n'était pas suffisant. Sa chatte était sombre et tremblante, en demandant davantage, mais c'était trop peu significatif, trop déconcertant de passivité classique. Avec un ricanement frustré, elle a cherché son sérum et l'a aspiré dans une seringue transparente. Quoi qu'il en soit, elle était déterminée à faire crier Genji.
-"Qu'est-ce que tu vas faire avec ça?" Demanda Genji avec un regard apeuré sur l'aiguille.
- "Shh, ne t'inquiète pas. Je te promets que ça ne te fera aucun mal. "
Genji a essayé de regarder pendant qu'elle disparaissait derrière lui. Son scaphandre le maintenait verrouillé et il ne pouvait pas se tourner, mais la véritable terreur s'est déclenchée quand il a senti ses doigts sur son "clitoris" sculpté chirurgicalement entre son périnée et son trou. Il a crié en signe de protestation, se rendant compte de ce qu'elle allait faire, mais il savait que rien ne l'arrêterait. Il a crié quand une douleur aiguë a percé sa nuque sensible, mais, bien que très violente, elle fut de courte durée. Tout ce qu'elle lui avait injecté avait aussitôt amplifié de dix fois son plaisir , et sa chatte brûlait et palpitait d'une jouissance qu'il ne connaissait pas jusqu'alors.
- "Oh, Dieu-eu-eu !" Hurla-t-il, le cou tiré en arrière sans voir, "Qu'est-ce que tu viens de me faire Miss Mercy ?"
-"Je n'ai fait que manipuler tes hormones. Ne t'inquiéte pas, tout ira bien".
Genji hurlait, le scaphandre rigide le maintenait à quatre pattes alors que ses jambes et ses bras étaient mous et que le gode dominait jusqu'à la moindre parcelle de son être. Il n'avait jamais senti une telle pression, une telle prise de possession de sa personne, mais toutefois il ne se sentait pas humilié, seulement subjugué et reconnaissant, sa volonté anéantie . La longueur et la texture du "jouet" s'étaient emparés de tous ses points érogènes et sensibles sexuellement . Avec le sérum, il savait que si ces deux éléments, machine et drogue, arrivaient à se conjuguer en travaillant en tandem, il ne pourrait pas résister et il pourrait bien quitter ce monde-ci, au moins un moment. Il se mordit la lèvre, pressant son front sur le devant de son casque, esclave de la nouvelle sensation, anxieux de la suivante.
- "Là, là, là... c'est ...c'est ... trop !" Dit-il, mais sa force d'opposition échoua de nouveau.
- "Trop?" Mercy se mit à rire de ce qu'il avait dit. Et soudain le voussoyant : -"Mon cher, rappelez-vous que c'est vous qui avez demandé à faire cette expérience."
- "Oui, mais c'est aussi ... aussi ... beaucoup trop fort! Nhgh! Je ne peux pas ...j'arrive pas à gérer tout ça ! "
- "Je vois ça" ironisa-t-elle." Ben oui, ta fréquence cardiaque est à à la limite mais sous contrôle ! "
Genji frissonna, bavant sous son masque alors que l'appareil continuait inexorablement à se frayer un chemin en lui. Avant ce moment il pensait qu'il connaissait la vraie félicité, mais il s'était trompé. Jamais dans sa vie il ne s'était mieux senti qu'en ce moment. Les mouvements lents berçaient son corps vers l'avant et vers l'arrière, en gardant un rythme régulier. Il n'arrivait pas à croire à quel point c'était bon. Il n'aurait pas trouvé les mots pour décrire ce qui lui arrivait. Quand, venant du gode, survint le liqide chaud, tout ce qu'il put faire ce fut d'exhaler un profond soupir et un cri alors que ses nerfs éclataient en un torrent d'extase .
- "Oh mon Dieu! Je ... Je vais ve-ve-nir, mou-ou-rir ! Hgnnnnn! Aughhhhhh! "
- "Ah ! voilà un bon garçon", a déclaré Mercy satisfaite de ses réactions. Elle caressa son dos et regarda sa chatte resserrée et convulsée sur la machine qui repompait le liquide chaud qu'elle lui avait injecté exactement au bon moment.-" Tes organes ont évolué, ils s'adaptent. C'est plus pareil tu vois. Ca c'est positif. Dis-moi comment tu te sens ? "Genji a ouvert la bouche, mais n'a réussi qu'à marmonner quelques mots incohérents avant que son corps ne s'effondre contre la table. "Oh, que je j'étais con...."
Mercy a désactivé la machine, donnant à Genji une petite chance de récupérer. Elle se tenait derrière lui, silencieusement, prenant note des fluides qui s'écoulaient de son trou. Elle n'avait pas enlevé le gode, mais l'arrêt du mouvement avait donné suffisamment de temps à Genji pour qu'il arrive à reprendre son souffle. Et, allant lentement mieux, il respirait.Il se remit en arrière, la poitrine haletante.
- "Oh mon Dieu…."
- "C'était bien? Tu as aimé?"
- "ouihhh ..." a t-il admis après un temps, toujours à bout de souffle.
-"Penses-tu que tu puisses en gérer un peu plus ?"
- "un peu plus, D...Davantage? bégaya-t-il"
Elle ne lui a pas laissé le temps de répondre. Avant de connaître sa réponse, elle était entre ses jambes, et approcha l'appareil. Sans hésiter, elle poussa le gode profondément en lui à fond et le remplissant complètement.
- "Ahhhhhh! Qu'est-ce que tu fais? "Genji a pleuré, vaincu.
- "Eh bien, il n'y a aucun intérêt à l'expérience si le sujet ne peut pas éprouver des orgasmes multiples".
- "Mais c'est trop sensible maintenant! S'il vous plaît! C'est trop profond! On pourrait tenter ça un autre jour"
- "Non, alors là c'est absurde. Je lis les écrans. Tu vas bien. Crois-moi."
-"Non! s'il vous plaît, ne le rallumez pas! "
- "Arrête de pleurnicher. Je suis médecin, tu le sais. Je pense savoir ce que je fais. "
- "Mercy !" Ignorant ses plaidoyers, elle a activé la machine, la laissant monter jusqu'à mi-vitesse.- "Augh! Non ... pas plus alors ! "
- "Tu es sûr de vouloir arrêter ? Parce que je regarde les moniteurs et ils m'indiquent que ce n'est pas ce que tu veux vraiment. En fait, je dirais que tu le veux encore plus fort". C'était vrai : les sondes sur son cerveau ne dissimulaient à Mercy aucun de ses sentiments ni ses désirs profonds.
Elle a augmenté la vitesse et l'intensité, et Genji s'est mis à pleurer, tremblant, alors qu'il perdait tout sens des réalités.
Sans qu'il le veuille, ses fesses se disposaient toutes seules. Humilié, immobilisé mais il restait conscient de chaque seconde. Ses jus coulaient sur la table d'examen auto-nettoyante, la salle retentissait des bruits grossiers et bruyants des gaz qui sortaient de ses boyaux. Mais ce n'était pas tout. Les verrous qui tenaient ensemble les éléments de son organisme flanchaient et ses articulations tremblaient, et pendant un moment il pensa qu'il avait perdu sa santé mentale.
- "On dirait que je me suis vraiment surpassée", a déclaré Mercy avec fierté. "Tu es certainement plus sensible que lors de notre dernière session. Alors dis-moi, comment tu sens les effets maintenant ?"
Genji a crié, ressenti une vague de plaisir de ses bouts de doigts à ses bouts d'oreille. Il ne s'intéressait plus à rien: Hanzo, Overwatch, le Clan Shimada, l'illumination de sa vie. Ce n'était rien devant ce plaisir. Sa chatte se crispe puis se contraint, succombant à l'invasion brutale. Et, désespérément, il s'accrocha au bord de la table pour Faire cette demande :
- "Encore ! Allez svp, Mercy encore ! S'il vous plaît!"suppliait-il
-"Qu'est-ce que c'est?" S'écria-t-elle faisant mine de ne pas y croire. "Je n'ai pas vraiment compris ce que tu veux dire."
Genji reprit son souffle, mais les mots fierté, dignité ne signifiaient rien pour lui maintenant. Ils n'existaient pas. Rien ne comptait plus. Il n'y avait que son plaisir, lui, et la barre perforeuse battant sa chatte sans vergogne. Il claquait des dents come un drogué en manque, lâcha la dernière de ses objections, puis cria avec la fureur d'un dragon mythique.
- "Faites moi baiser, Mercy! S'il vous plaît! Dépêchez-vous! Baisez-moi ! Baisez-moi ! "
Sa voix était forte mais pathétique, et il le savait. Mais ce n'était pas grave. C'était de la musique suave aux oreilles de Mercy et, avec un sourire, elle a monté l'appareil à plein régime.
- "Auuuuugggh! Oui! Oui!"
La nouvelle vitesse a eu raison de sa résolution, étirant ses muqueuses et pressant alternativement sur l'entrée de son intestin. Comme on sait cela est excitant au possible. Son corps convulsé a transpiré alors qu'il étirait les ligaments de ses articulations, instinctivement. De la vapeur a commencé alors à sortir des orifices et jointures de la combinaison-scaphandre, compensant la montée de la chaleur à l'intérieur de sa tenue de voyageur virtuel. Le nouveau gode était long et épais, déformable en longueur comme en diamètre, et maintenant sorti presque complètement avant de se positionner, remodelant son trou. Il criait encore et encore, voyant des éclairs noirs et blancs. Sa chatte était douloureuse, palpitait, mais semblait supplier pour une libération. Ses doigts creusèrent dans le revêtement de la table, ses orteils se tordaient. Comment une telle intensité aurait-elle pu se prolonger ?
- "Dis-moi tout ce que tu sens", poursuivit Mercy. "J'en ai besoin pour mes recherches."
- "C'est trop gros, je ne peux pas le prendre!...nooon paaaaa svp ! ", et il a pleuré, les genoux tremblant. "Oh, dieu! K-kimochi! Mou gaman dekinai! Watashi no chitsu-! retrouvant sa langue d'origine ou bien oubliant son français ? "
- "En français!" Hurla-t-elle à son oreille en lui tapotant brusquement le cul, bien que l'avoir entendu revenir à sa langue maternelle était pour elle une indication qu'elle allait noter.
- "Je ... Je suis désolé. Je ne peux pas! Je ... je vais recommencer! Je vais éjac....uler !
Mercy leva les yeux, sachant que ses questions n'étaient pas utiles. Au lieu de cela, elle souriait et pinçait le clitoris gonflé de Genji. Avec cette stimulation supplémentaire, il retourna la tête, son cri retentit dans les murs. Sa chatte se serra sur le gode et ses muscles se crispèrent. Des larmes brillaient dans ses yeux alors qu'une forte impulsion traversait son corps et son âme. Un mélange de douleur et de plaisir tourbillait à l'intérieur de lui, puis s'accrochait et éclatait d'une manière violente entre ses jambes.
- "Aaahhhhh! Auuuuuggghhh-huuh! "
Impressionnée, Mercy rougit et chatouilla le clitoris de son "patient", prolongeant son orgasme aussi longtemps que possible. Elle regardait avec joie que la tige continuait à pousser, à traquer les liquides ou ce qui pouvait rester de réaction. Genji se tut car l'arrêt du battement le laissait sans voix après avoir craqué sous l'effet de l'orgasme paroxystique qu'il venait de vivre. Ses lèvres et sa "bosse" avaient ramolli, mais le plaisir durait, même après que la stimulation ait cessé, le laissant gémissant.
Perdant la bataille, son corps lâcha prise, pantelant dans le scaphandre qui le contenait comme une pâte molle. Son esprit brisé, ne sentant que la tige qui l'avait vaincu. Il était content, au moins,de porter son masque, parce que son visage, tordu dans un profond état de bonheur ne lui semblait pas présentable, même à Mercy, témoin de sa descente. Parviendraient-ils jamais à oublier ces moments ?
"Bon", soupira Mercy. "Voyons s'il y a eu des dégâts."
Genji gémissait légèrement alors qu'elle tirait le jouet de son "sexe" et l'éloignait de la table. Il ressentait tous les centimètres de l'extraction qui lui laissait un vide éperdu. La vision de Genji couché avec son cul à l'air et un trou béant entre ses fesses suffirait à exciter toute femme, et Mercy n'y faisait pas exception. Elle regarda avec émerveillement les parois internes convulsées, accompagnées de petits gémissements et d'une respiration sifflante. Elle ne pouvait pas mentir, elle aimait le voir impuissant et exposé, mais elle ne l'admettrait jamais.
"Eh bien, Genji. Je dois dire que tu n'as jamais été mieux."
- "Mmm plus ..." il bégaya, luttant. "Merci ... encore!"
- "Es tu sérieux?"
- "S'il vous plaît!", A-t-il imploré, secouant son cul. "Ruinez ma chatte! Faites de moi tout ce que vous voulez! Je m'en fous, faites-le moi tout de suite! Dépêche-toi, dépêche-toi!"
Tout d'un coup Mercy se leva, visiblement confuse et en proie à un doute. Alors que Genji criait et luttait contre ce qui l'immobilisait sur la table, elle courut à son comptoir et examina ses produits chimiques. Elle lut chaque étiquette avec soin....
fiction ->Genji victime d'une (heureuse) expérience sexuelle chimico-électronique sans pitié. Souvent une découverte importante doit quelque chose au hasard, et là c'est un nouveau type de viagra pour passifs qui est né.
commentaires :
les nouveaux monuments...
seringue et plug géants...
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