Partager l'article ! L'esclave et le seigneurQuand j'ai commencé à entendre les copains parler de sexe et étais encore un innocent petit garçon, je croyais bêtement e ...
qu'il suffisait de mettre son zizi dans un sexe féminin pour entrer dans le nirvana ! Non mais ...! Eh ben certaines histoires gay-et c'est joli- relèvent de ce genre de croyance. cavaillongay
Pudiquement et joliment dit : « je cherche quelqu'un pour assouvir mes actes intimes . » ! Le maître |
TITGAYCURIEUX nous emmène au pays des rêves. J'adore.
Lire l'histoire originale sur cyrillo : https://cyrillo.biz/histoire-gay-2015-eclave-seigneur-01.php
Cette histoire se déroule en 1297. Je m'appelle Neto et je viens d'une île particulière : j'ai été élevé par des hommes venus d'autres terres. Mon île aurait été colonisée il y a un siècle. Moi je n'ai que 19 ans et je n'ai ni parents, ni famille. Je suis un des nombreux hommes colonisés de l'île. D'ailleurs il n'y a que des hommes ici. Je ne sais pas à quoi ressemble une femme.
Depuis mon enfance, je suis instruit et construit par des hommes richement vêtus. Moi je suis pauvrement vêtu et je ne sais pas pourquoi nous devons tous obéir ainsi. Toujours, je me suis posé des milliers de questions sur mon existence et mon rôle ici. Mais de réponses je n'ai eu que des coups de bâton. Je sais juste que demain, j'ai 20 ans et que je pars d'ici. Mais je ne sais pas où.
Ce jour venu, nous avons tous été attachés et traînés dans un bateau. Ceux qui ont refusé d'obtempérer ont été sévèrement punis. C'est là que j'ai réalisé que nous étions plus nombreux que ce que je pensais. Une fois monté dans le bateau, on nous a descendus dans la cale. Là il nous a été demandé de nous dénuder. Je ne comprenais pas mais tous le faisaient donc moi aussi. Une fois nu, on m'a inscrit un numéro sur l'épaule : 494. Je me sentais de plus en plus comparé à une bête. J'ai essayé de comprendre mais personne ne me répondait. Puis on m'a poussé dans une cellule exigüe et froide.
Le bateau a tangué pendant une éternité. Certains étaient malades même. Moi j'étais d'un coup terrifié par un destin inconnu que je ne pouvais imaginer.
Puis tout s'est arrêté. Dehors, du bruit, des voix. Qu'est-ce là ? Je ne comprends rien.
Un homme est entré et nous a hurlé de nous mettre debout près de la porte de la cellule.
Quelques minutes après, des hommes encore plus richement vêtus que ce que je connaissais sont entrés. Puis des femmes, enfin je crois. Ils nous dévisageaient, nous jaugeaient. Puis je compris qu'il nous monayaient, nous achetaient. C'est là que j'ai su à quoi je servais.
Un homme, jeune, s'est planté devant moi. Un brun, aux cheveux courts, bien bâti, sans aucun doute mieux que moi, avec des yeux étincelants de jaune, de l'or en somme :
"Combien pour celui là ?"
Le marchand lui a répondu :
"Celui là ?! On m'a dit qu'il était trop intelligent et curieux ! Il ne vaut que des malheurs."
"Ce n'est pas là l'objet de ma question ! Combien dis-je !"
Sa voix, son ton, son regard sur moi,j'étais envoûté !
Le marchand a balbutié mon ... prix :
"500 écus ..."
"Seulement ?! Je l'achète !"
"Vraiment ?! Soit ..."
"Je veux qu'on le couvre aussi."
"Oui mon Seigneur."
Seigneur ?! Qu'est-ce que c'est ?
Il m'achète ? Pourquoi ?! Il est ... tellement beau !!
Rapidement, je suis sorti sans ménagement de ma cellule et habillé de guenilles poisseuses. Puis on m'a traîné violemment dehors.
"Eh doucement, je l'ai payé, prenez soin de lui !"
"Pardon Seigneur."
Jamais on ne s'était inquiété de moi !
Dehors, le sol était teint de pierres taillées et soudées entre elles. Les bâtiments étaient immenses et teint de pierres. J'ai dû monter dans une machine sur roues et tirée par deux animaux étranges. Je suis resté bête devant eux. Une voix familière m'a chuchoté :
"Ce sont des chevaux. Monte vite. Je t'en montrerais d'autres ailleurs."
J'ai pénétré dans la machine et le "Seigneur" s'est posé à mes côtés.
"Tout va bien ?"
"Euh ... oui."
"Bien. Au château ... vite !"
Château ?! Qu'est-ce encore.
Il est à côté de moi. Si proche. Il ne parle pas. Nous avançons dans les bois. Puis nous arrivons à une immense bâtisse qui doit être le château.
Il me quitte et des femmes me traînent en pouffant. Je suis emmené rapidement vers des sanitaires où je suis déshabillé, lavé de toute part, rhabillé, nourri et ... laissé là.
Je ne savais pas quoi faire ni où aller. Je restais debout au milieu de la pièce immense et froide.
Pudiquement et joliment dit : « je cherche quelqu'un pour assouvir mes actes intimes . » ! Le maître |
Puis la porte s'est ouverte. Mon Seigneur est entré d'un pas assuré et a
refermé derrière lui. Il était moins habillé que plus tôt. Il avait une chemise
lâche dont les deux premiers boutons étaient ouverts. Je pouvais distinguer
une chaîne à son xou, sûrement d'un métal rare. Le haut de son torse était
glabre et propre. Il m'a sourit et m'a dit :
"Je suis Thomas, Seigneur de cette contrée. Je suis ton maître et tu devras m'appeler ainsi. D'accord ?"
J'ai bafouillé un "oui maître".
"Bien. Quel est ton nom ?"
"Neto maître."
"Discipliné en plus. De mieux en mieux ! Si je t'ai choisi, c'est parce que tu me plais bien et que je cherche quelqu'un pour assouvir mes actes intimes. Je vais dès maintenant t'initier. Dénude-toi !"
Je n'en croyais pas mes oreilles. Les sentiments nous animent. Est-ce possible ? Mais je n'y connais rien. Il veut m'apprendre, mais quoi ?!
Je me déshabille lentement, un peu gêné d'être nu devant lui. [alors que c'est dans cet état qu'il m'a acheté]
Une fois fait, il s'approche, tend sa main vers mon visage et me le caresse doucement. Je ferme les yeux et frémis. Sa main est d'une douceur incroyable. Il me caresse les cheveux et le cou. Mon corps se tend, tout comme mon sexe qui durcit doucement. Il descend sur mon épaule et mon bras, me prend la main et délicatement l'embrasse. Ses lèvres sont exquises sur ma peau.
Puis il passe sur mon torse et mes tétons qui pointent rapidement sous ses doigts. Il me caresse les abdominaux, s'attardant sur chacune des parties de mon corps.
"Je vois que tu aimes ça. Je savais que je ne me tromperais pas."
Il parle doucement et sa voix finit de dresser chaque poil de mon corps et mon sexe qui n'a jamais été aussi dur.
Mon sexe, il le saisit soudain à pleines mains et tire doucement dessus. Un liquide perle au sommet de mon chibre. Il prends la goutte sur son doigt.
"Ouvre-la bouche."
Je m'exécute. Il y met son doigt et la goutte, divin nectar salé et amer, mais doux aussi.
"Suce."
Il excite tous mes sens.
"Maintenant à genoux !"
Je tombe à ses pieds nus. Je remarque une bosse sur le tissu qui recouvre ses jambes. Il est dans le même état que moi.
"Tire sur la ficelle."
Je tire et son pantalon tombe à ses pieds. Il est nu en dessous. Son sexe maintenant libre se dresse fièrement. Il est impressionnant !
Il le saisit et me caresse le visage avec. Puis il titille mes lèvres et ma bouche. Je goûte pour la première fois à ce plaisir. Machinalement j'ouvre la bouche. Il m'enfonce son sexe et caresse ma langue.
"Ferme la bouche dessus moi. Tu vas aimer. "
Doucement, il fait quelques allers et venues dans ma bouche. Je prends un plaisir infini.
Sa main derrière ma nuque, il bloque ma tête et m'imprime un rythme tantôt lent, tantôt effréné. Je m'habitue doucement, même si ma bouche se crispe et me fait mal. Je grimace doucement. Il comprend que ma bouche fatigue. Il se retire et me relève.
"Tu es un bon garçon. Tu mérites une récompense !"
Par le menton il me tire à lui et sa bouche vient directement au contact de la mienne. Sa langue se fraie un chemin jusqu'à la mienne. Là commence une longue et divine étreinte qui pour moi a duré une vie entière.
J'ai alors croisé son regard brûlant d'ardeur. J'ai cru défaillir.
"Deboutonne ma chemise."
Sans un mot, je retire un à un les barrages qui entravent une vision de rêve. Une fois ouverte, il fait tomber sa chemise et se retrouve nu devant moi. Le paradis se trouve devant moi.
"Leche moi maintenant."
Sans hésitation, je fais courir ma langue sur son corps entier. Chaque millimètre de peau a été parcouru. Je n'avais jamais vu des abdominaux aussi saillants et des pectoraux autant sculptés. Le tout d'une finesse presque parfaite.
"Couche toi sur le sol."
Je glisse à terre et il vient se coucher sur moi. Mon corps caressé par le sien, son sexe pénètre soudain mon intimité. Je hurle de douleur. Je suis violé mais consentant. Il plaque sa main sur mon visage et m'embrasse pour faire taire ma douleur.
"Laisse toi faire, ça ne va pas durer."
Effectivement, au bout de quelques secondes, la douleur fait place au plaisir et au délice. Je sens son sexe en moi frotter depuis les parois de mon anus, jusqu'à mes organes internes.
Doucement, le rythme augmente. Vite, plus vite, encore, il finit par me pilonner l'anus. Il sue et moi aussi. Il râle et hurle comme un fou. Moi je geins et pleure mon plaisir et la douleur des à coups. Soudain, la tension se fait des plus vives et un flot chaud m'inonde à l'intérieur. Il hurle sa jouissance et je me remplit jet par jet.
Il s'effondre sur moi, essoufflé. Son sexe reprend sa forme normale et sort de moi. Son liquide coule sur le sol.
Au bout d'une minute, il se tient sur ses bras et m'embrasse vigoureusement. Sa langue chaude m'inonde à nouveau de plaisir.
"Tu as été parfait. Je suis content de toi."
Il se relève, dégoulinant de sueur et me prend dans ses bras. Il m'accompagne dans la baignoire et la remplit.
De ses chaudes mains, il me lave le corps, jusqu'à me pénétrer encore de son doigt pour me nettoyer.
Pour finir, il m'essuie, s'essuie, s'habille de son bas et me porte jusqu'à sa chambre.
Il me couche dans son lit immense et se couche nu près de moi. Il me tire à lui et me prend dans ses bras.
Je m'endors rapidement, exténué mais heureux. Cette vie me plaît déjà.
Moi, à Neto, je lui aurais lu ou donné à lire l'histoire de l'empereur Hadrien et son esclave-amant Antinoüs car Neto en a l'étoffe . » ! cavaillongay |
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