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Depuis le début du ramadan, le 4 mai, les arabes, jeunes et vieux, nous ont manqué sur la

  Sur la drague homo de Cavaillon, Ils nous ont manqué pendant le ramadan. Enfin, le 4 juin, après l'Aïd, les arabes ont enfin pu revivre, partager et 'distribuer'des relations sexuelles

 mon beau kabyle qui veut rester anonyme !

    Il faisait noir.

Mon imagination leur court encore après-lol-

 J'ai seulement entendu leur baise et je les ai croisés dans la lumière de la rue à la sortie des chiottes...oui, ça devait être gros !  

une architecture arabe très suggestive et...cubiste !  -lol-

Dites-moi si vous avez vu bouche plus attirante !

Le bel arabe gay  qui mate les autres pendant des heures en train de réaliser leurs plans-cul dans les buissons de la drague, puis finalement se joint à un duo ou un trio pour réaliser son triomphe d'embrocher les passifs les uns après les autres(et les actifs qui veulent... et là pensons à Fred qui se régale de se faire mettre gros) . A refaire, demain ou un autre jour, au-revoir et...pas merci! Ah, en ai-je connu des bites ravageuses dans les euh... inévitables chiottes situés à l'entrée de la drague "du mont des oliviers" et disparus aujourd'hui      Les ampoules des chiottes étaient régulièrement vandalisées, aussi, un soir, je me suis retrouvé dans le noir dans la même stalle qu'un arabe et un 'bon' bourgeois cavaillonnais qui sous l'énormité de l'invasion ans son cul, avant, au palper, pendant ...et après il criait sans arrêt : «Putain  c'est gros ! » -lol-J'en rigole encore !  

 à la faveur de l'obscurité complice et risquée de ces chiottes la nuit ...c'est gros !  

  Pas de pitié salope ! 

  Siiii ! c'est un "bal", la ronde des homos qui tournent sur la drague jusqu'à faire penser à des cons ...  

  "Le Bal" poème de Gogo, original dans la revue 'La Plume Taillée' du GLH de Marseille (Groupe de Libération Homosexelle)

Demain, j'irai au parc. Je baiserai derrière un buisson.
Peut-être que cette fois sera la bonne, un étrangleur 
de passage, un étrangleur qui tue après l'amour ou
en même temps, une main sur mon cul et l'autre sur mon cou.
Je suis sûr qu'ils sont tous ambidextres, ces hommes
assoiffés qui font des détours par les coins sombres,
derrière les talus rouges, au jeu des lampions sauvages
qui enrubannent la fête imposée, tranquillement désuète
et qui s'efforcent de tenir en gaîté, avec les efforts conjugaux 
de chacun, alcool aidant, les bosquets tout neufs mais 
crasseux déjà parce que décidément on ne respecte plus rien.

Il pleut
C'est la fête aux Tuileries

Je vais au bal 
Il y a de beaux mecs et de belles nanas
Ils dansent ensemble
Je m'intègre facilement mais n'éjacule point encore
Je fume lentement
Je regarde passer les gars en slip jaune de honte décalottée,
avec leurs croupions dressés sur mes regards pédérastes
Je vois dans leurs filets garnis de péchés mortels
leurs couillettes dérangées par ma concupiscence salope.
Tout ça me crapule. Me désinfecte. Me tremblotte.
Me chamaille. Je vais en poursuivre un jusqu'au fond du
jardin puisqu'il m'a regardé avec cette insistance, avec
ce petit air étrange qui m'a rempli le ventre.
Came toi.
Tradition : toute la vie je m'emmerderai avec toi.
Came toi.
Je crois que ce que tu veux vraiment, c'est pouvoir
regarder sans honte les vitrines rouges où l'on expose
les enfants chauves, les hautes coupoles où s'effarouchent
les fulgurants troubadours, les renards et les biches,
si bonnes, si belles, et dans ce grand tumulte, les
effacements de ceux qui pensent que les hommes n'ont pas
gagné et que leurs envies sont coupables, coupables de
panique dans une grange en feu.
Bientôt dans la grande force que te donnera sa voix,
accompagnée de ses caresses, tu retiendras les hommes 
avec tes mains sur leurs épaules et par terre, les arbres
tombés seront de grandes poutres qui retiendront leurs
sols.

Peut-être alors, sans gagner son amour et toujours en 
perdant son véritable sourire, tu partiras lui dire que 
tu l'aime, sans broncher, d'un coup, d'un corps, sans
baisers, avec une seule étoile, de toi.

Came toi 
Il est ta trouble fête.
Tiens, c'est vrai, c'est la fête.
Elle bat son trop plein. Elle le bat en neige vermeille
de douceurs puisqu'ils se serrent plus fort parce qu'ils 
ont quinze ans.
Je danse avec eux.
Et je ne passerai pas sur leurs corps tremblant déjà
de mille premières caresses. 
Et c'est comme ça.
Et lui, le bal doucement contre lui.
Et lui, le bal doucement contre lui.
Quand même came toi.
Ils sont beaux les petite mecs qui osent les fillettes.
Et lui, la musique dans ses cheveux tout frais
Je t'aime, murmure.
Viens. Regarde moi rien qu'une fois, touche moi, touche 
moi rien qu'avec tes yeux, et peut-être tu vas comprendre
et tu vas venir et on dormira ensemble, blottis. 
Demain, tu la reverras ta chérie. C'est la fille de la
boulangère. Tant qu'il y aura du pain, il y aura cette
peuchère et des tartes à la framboise.
Viens
Je ne suis pas encore parti. 
Retourne toi
Retourne toi rien qu'une fois
Rien qu'une fois

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  Parisiens, ne désespérez pas, vous y avez droit aussi !

  Mets-toi un vibro dans le cul pour m'écrire

  claudemodou@gmail.com      

                                                                                                                               à la tienne ! CM