Partager l'article ! encore un VIOL...de courrier Fabien-claudio. Brûlante fusion.: à retrouver dans CONFIDENCES &INTIM. (31) à nos visiteurs : ...
à retrouver dans CONFIDENCES &INTIM. (31)
à nos visiteurs :
nous pensons que vous êtes conscients de violer nos derniers e-mails perso
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De:claudio
A : Fab' lutteurgay@xxx.ch
Mon Fab' Chéri,
tu me donnes un gros appétit lol
et l'événement ne serait pas banal. Pour nous surtout.
Oui, tu aurais bien pu être Raymond car il est très viril,
a un appétit sexuel d' autoreverse insatiable.
très doux et réfléchi en même temps.
Mais je suis content que tu sois Fabien, tel que je te connais et que je t'aime.
C'est sûr, plus ou moins toutes les relations homo ont une
ressemblance, certains vont vite à traiter les autres de "mythos"
quand une rencontre est ressentie plus fort que la simple baise-suce
classique.
Nous nous sommes rencontrés sur le net et nous y sommes encore,
sans impatience aucune. Au lieu de mythomanes, nous avons une sensiilité
qui nous permet de jouir de manière exhaustée de nos expériences passées,
LES REVIVRE ENSEMBLE...quasiment en mieux. Bien sûr, si l'opportunité nous
en est donnée, nous saurons rendre réels nos câlins, nos baisers et fellations,
frottages et rimmings, mais ton coeur sur mon coeur est au sommet de mon émotion.
Sombrant dans l'extase, je garderai suffisamment de conscience pour dire à mon coeur
et mon âme, c'est ton Fab' que tu tiens dans tes bras, qui t'étreint et te maintient à lui,
dont les doigts adorés marquent ta chair et s'y crispent au rythme de nos respirations
partagées et de nos échanges divers.
A travers nos courriers nous nous sommes faits l'un à l'autre et, si c'était
aujourd'hui-même ce serait une fusion absolue sans aucun tabou, naturellement!
Des baisers bien tendres .Bonne soirée mon Chéri. Je me sens tout plein de toi.
Avec ta permission je scellerai notre échange d'aujourd'hui
J'ai évoqué Raymond dans mon dernier article. Le présent récit est le plus authentique possible. Je draguais souvent en ces lieux
Ci-dessous cette photo du film "L'Inconnu du Lac"me rappelle le moment ou Raymond et moi avons fait connaissance.
On était alors chacun plus jeune que les deux acteurs ci dessous du film "L'Inconnu du Lac"en ce moment-même sur les écrans.
Oh, sur la drague tout va très vite et même si vous êtes plutôt timide dans la vie sociale, ici chacun sait pourquoi l'autre est là.Surtout si on sait soi-même pourquoi on est là ! lol. Je dis ça parce qu'il y a aussi les hésiitants. Nous non. Il y avait sa moto genre moto cross
cachée dans les buissons, et lui était assis au bord du lac N° 3 que forme la Durance sur cette route dévolue à la drague en ces temps-là. Je me suis assis près de lui et j'ai contemplé le lac....
- Bonjour ! - on se connaît ? Je t'ai jamais vu ici. - Je viens pas souvent. Toi oui ? - Quand je peux. Tu dragues ? - je réponds oui dans un souffle et un hochement de tête.
Il a l'air tranquille Il est costaud, Moi plus fluet. Nos mains on joué les éclaireurs.
Il m'a dit que j'étais beau, m'a demandé si j'étais étudiant ... (quelle importance ??? Par la suite il m'a appris qu'il bossait dans une petite entreprise de services : location de matériel pour fêtes et expos ).
Je sentis sa verge puissante et épaisse à travers son short. Mon attitude et mon corps lui laissaient entendre que je me laisserais faire. On était assez abrités des regards, mais sans plus. L'eau était juste là en dessous et le talus trop pentu s'avérait inconfortable. C'est pourtant là qu'il m'a pris pour la première fois. Les caresses ont été brèves. Je me posais la question de savoir si j'allais pouvoir prendre un tel engin dans mon cul alors encore assez "vierge". Pourtant je ne souhaitais que ça.
Oui, la photo (fake) ci-dessous est hors décor naturel mais sa queue c'était plutôt ça en plus raide et plus épais quand il baissait son short. :
Je suis sûr que son désir de me prendre était teinté de questionnements. Comme beaucoup allais-je refuser de prendre un tel engin ?... L'incertitude prévalut jusqu'au moment "M", l'instant"T". Je sortis un préservatif. Je n'en avais que des ordinaires. Le lui enfiler sans le déchirer posait problème. Par la suite j'avais des king size avec moi. Tout le temps et à plusieurs reprises il lubrifia. - je ne veux pas que tu aies mal. Arrête-moi s'il faut..On était tous les deux à genoux, je me présentais de dos, le défi était pour moi. Enfin je triomphai : j'avais mal. Sur ce talus inconfortable il entreprit de parfaire son oeuvre. Il allait, il venait sans fin. Savez-vous ce que c'est un piston ? Sa verge me procurait des sensations inconnues. J'étais sa chose. Il m'enculait tranquillement sachant l'envoûtement qu'il était en train de faire naître. Personne ne m'avait pris de la sorte et il n'en finissait pas.
Par la suite les RV se multiplièrent et on eut une couverture tirée de ma 2cv et on chercha de bonnes planques.
Je n'avais pas à me poser la question d'être capable de lui rendre ce qu'il me donnait J'étais subjugué et ma passivité le séduisait à fond selon moi : j'étais ce qu'il cherchait et réciproquement.. Chacune de ces photos (fakes)évoque bien ces momentsde plein air et de baise intense.
Au début j'étais épuisé après, au point de ne plus pouvoir rien faire pendant de très longs moments. Ensuite, ce vide en mon corps et mon esprit jouait comme une détente absolue dont j'avais besoin. Et je devins accroc'. Ca c'est toujours mauvais. . En moi il y avait deux luttes : assumer ma bi sexualité et ma passivité avec les hommes.
Le fait nouveau ce fut qu'un jour il tira de son sac à dos un gode bricolé par lui. On était "en train"et il me dit : "ça je préfère que ma femme le trouve pas" Il se le mit tout en me baisant et me mit la main sur le long manche en bois pour que je sois aux manettes. Ca changeait la donne et je culpabilisais légèrement. de comprendre son insatisfaction. Gentil raymond ! Il devait s'en prendre des gros, vu la grosseur du gode.
Mais il passait beaucoup de monde sur la drague et un jour, arrivé après lu,i je vis sa moto planquée et le trouvai en "baise debout" dans les genêts du bord de Durance avec un petit jeune bien foutu, plutôt plus fluet que moi, l'air d'un apprenti plus que d'un étudiant et dont l'anus était aussi élastique que le mien. lol Candidat à la complicité je voulus observer sur leurs visages les effets de cette énorme intromission. Je m'offris à sucer, caresser, exhauster la jouissance du jeune... mais non, sans que Raymont pût protester je fus gentiment évincé.
Il me rejoignit après avec des regards évocateurs de son plaisir. Je le félicitai de sa bonne fortune, mais il me dit que ce garçon était un habitué. Je savais, pour avoir été avec d'autres gars, que sur la drague il ne faut pas être jaloux. Ca j'ai bien appris. On a vécu pendant une baise l'orage terrible de Vaison en 1992 , ça je me souviens, il faisait si sombre j'ai culpabilisé qu'on ait été dans la joie du sexe pendant que des gens souffraient et se noyaient. That's life me répondrez-vous : à chaque instant sur la terre certains sont dans la joie et d'aures dans la souffrance. Aucun lien de cause à effet, mais je crois qu'à partir de là des choses ont concourru à nous séparer. Lassitude ? il y a de ça. Tentations diverses sur une drague riche à l'époque ? sans doute. Raymond avait perdu son travail l'entreprise ayant fermé. A part quelques stages (infirmier notamment), il fut désormais libre tout le temps et moi toujours heureux de mes trois demi-journées par semaine.
Côté baise, Raymond si je le croisais, était toujours dispo. Mais une sorte de crainte du pistonnage violent de mon amant était survenue. J'aimais sa façon rude et exigeante de me posséder, je m'y préparais si j'avais RV en me faisant des lavages et même en ayant le
nécessaire avec moi. Mais j'avais la hantise au bout de quelques minutes que mon anus très sollicité ne vienne à salir, ne serait-ce qu'un peu. J'ai horreur de ça, on mecomprend sans doute.
Puis, à partir d'un moment, il n'est plus venu à la drague. Je me suis reproché de ne pas savoir où le joindre pour savoir (de façon désintéressée) s'il allait bien ou lui venir en aide s'il lui arrivait quelque chose. C'était la loi de cette drague : incognito, surtout les hommes mariés. Est-il parti à l'étranger ? Je prie Dieu, s'il existe, qu'il soit en vie et en bonne santé. Allez, que le hasard fasse que le tag "cavaillon" sur le net lui dise encore quelque chose et qu'il soit devenu l'un des 5 à 600 visiteurs quotidiens de ce blog...Raymond, rassure-nous, moi je t'aime ! Reviens svp !
Ton souvenir est si vivant, toi si généreux, si vaillant, je te désire encore :
on inventera des choses nouvelles nées de nos expériences
shootés tous deux par notre plaisir partagé
chacun peut me joindre pour des échanges : claudemodou@gmail.com
NB : toutes les photos sont évocatrices de la vérité mais FAKES du net.
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