Partager l'article ! EN VACANCES CHEZ GRAND-PERE: [...]Pour ...
[...]Pour résumer les épisodes précédents je suis un jeune de 18 ans passés et je suis en vacances chez mon grand-père en compagnie de mon cousin de
17 ans et demi, son autre petit fils. Papy nous a surpris ensemble, en train de nous sucer, et il a profité de la situation.
Il n'y a que deux lits, et il m'a fait coucher avec lui pour me séparer de Mathieu. Il aime les hommes et j'ai accepté de faire l'amour avec lui en
paiement de son silence vis à vis des parents. J'ai passé un moment merveilleux et suis prêt à recommencer, sauf que papy veut aussi se faire mon cousin. Il m'a chargé de lui en parler et de le
convaincre d'accepter.
On est sur la plage tous les deux et je lui raconte ma folle soirée et tout le plaisir que j'y ai pris. Il me dit que j'ai de la chance, qu'il
aimerait être à ma place, et je n'ai même pas besoin de lui parler du désir de son grand-père, il lui suffit de lui dire qu'il veut lui aussi dormir avec lui.
Je mets papy au courant et effectivement, arrivé le soir, Mathieu demande à papy de prendre la place que j'avais la veille, dans son lit. Papy
accepte avec un large sourire et m'adresse un discret clin d'œil de reconnaissance complice.
Ils sont couchés de l'autre côté de la paroi de ma chambre, je ne peux m'empêcher de les imaginer, je bande et ne parviens pas à m'endormir. Je
décide de me lever pour me taper une queue aux toilettes et me calmer.
J'ouvre doucement la porte et vois le couloir éclairé; leur chambre est allumée et la porte est restée entrouverte. Je passe devant et jette un coup
d'œil. Ils sont de dos, ne peuvent me voir, et je reste là à les mater. Mon cousin est à quatre pattes au bord du lit et se fait défoncer le cul par grand-père. Je repense à la veille, me dit
qu'ils vont se faire le même plan, ce qui veut dire que Mathieu a déjà enculé papy et qu'il va sans doute remettre ça. Je bande à mort, je me branle.
Je les reluque un bon moment jusqu'à ce que papy se retire et contourne mon cousin. Je sais qu'il va lui offrir sa grosse bite à sucer, qu'il risque
de me voir, et je me retire dans le couloir. J'attends quelques minutes avant de risquer un œil et je les vois à nouveau de dos, sauf que cette fois ci c'est Mathieu qui encule papy, ce
vieux cochon.
Je suis chaud, très chaud, je vais jouir et arrête de me masturber. Trop tard, j'ai atteint le point de non retour et je vais éjaculer
inévitablement. J'enferme mon gland dans mes mains et j'éjacule, je sens mon bourgeon baigner dans mon sperme bouillant, je serre les dents pour jouir en silence. Je suis soulagé, j'ai les doigts
couverts de mon jus et je les lèche, les suce, pour ne rien perdre. Je suis calmé, j'ai la bite au repos, et je vais me recoucher et les laisser forniquer.
Le lendemain matin on déjeune tous les trois et papy attaque direct le sujet sexe. Il sait que l'on est tout ravis de ce qui s'est passé et il nous
fait une proposition pour les nuits à venir. On va faire un roulement sur trois jours, il couchera une fois avec moi, une fois avec Mathieu, et une fois seul pour nous laisser entre cousins. On
est autant surpris qu'heureux de son idée, on pensait qu'il nous interdirait de recommencer nos séances coquines, qu'il voudrait nous monopoliser pour lui, et voilà qu'il nous remet dans le même
lit. On lui saute au cou, on l'embrasse, on le remercie chaleureusement. Il nous dit que c'est normal, que ça lui fait plaisir, que ce serait dommage que deux beaux gosses comme nous ne puissent
pas s'aimer.
La journée se passe et on rentre de la plage vers dix-huit heures. Papy est resté à la maison et il vient nous ouvrir, à poil, sa grosse queue bien
dressée. On est surpris mais pas choqués, et il nous explique qu'il regarde un porno, comme tous les jours, mais que maintenant ce n'est plus la peine qu'il le fasse en cachette. Il nous propose
de le regarder avec lui et on accepte après que l'on se soit pris une douche vite fait. On s'entend pour lui faire une petite surprise et on s'installe sur le canapé, tout nus, de chaque côté de
lui.
On lui demande si c'est toujours d'accord pour cette nuit, il confirme, et on se propose de le sucer tous les deux pour le remercier
encore.
On se penche tous les deux sur son sexe, on lèche sa grosse queue de la base jusqu'au gland et nos langues se rejoignent pour s'enrouler sur son
beau bourgeon. On le lèche à deux, on le suce en faisant passer sa bite d'une bouche à l'autre, on lui bouffe les couilles, on salive, on s'embrasse. Il nous caresse tendrement, nous parle
gentiment, nous dit que nous sommes mignons, beaux, doués, nous appelle ses chatons, ses chéris, ses amours. A force de s'occuper de sa queue on finit par le faire jouir, nos bouches sont soudées
sur son gland et on reçoit sa semence sans l'avaler. On la recrache doucement et ça dégouline sur son manche, comme de la cire sur un cierge. On remonte les coulées avec nos doigts jusque sur son
gland que l'on lèche pour ensuite se rouler des pelles au foutre. Il nous encourage, nous félicite, nous dit aussi que l'on est des petits salauds mais sur un tel ton que ça passe pour un
compliment et non pour une insulte. La séance est finie, il nous embrasse et nous dit qu'il est le plus heureux des grands pères.
On dine, on regarde la télé et on va se coucher.
A peine deux nuits que l'on a été séparé mon cousin et moi et on se retrouve avec le même désir qui suit une longue absence. On est nu, face à face,
on se prend par les hanches, nos queues se frottent l'une à l'autre, et on se roule une longue pelle passionnée. Jusqu'à aujourd'hui on n'avait fait que se sucer, mais papy nous a initiés à la
sodomie et ça nous ouvre des horizons nouveaux. On décide de s'enculer et on tire au sort pour savoir qui va commencer; c'est Mathieu et je me mets en position pour m'offrir. Il me fout une bonne
ramonée et je le supplie de décharger entre mes reins pour savoir ce que l'on ressent. Il m'a bien rempli et je vais lui nettoyer la queue et récupérer son sperme avec mes doigts pour le
savourer, comme papy l'a fait avec moi et sans doute avec lui. C'est ensuite moi qui enfile mon cousin, puis lui, puis moi; on s'est aimé deux fois chacun, on a jouis deux fois et on s'endort
épuisé. On se réveille dans la nuit et on remet ça.
Les jours suivant se passent à merveille, papy couche avec moi puis avec son autre petit fils, mais quand arrive notre tour à Mathieu et à moi il
nous propose une variante. Il nous rassure, on va pouvoir baiser autant que l'on veut, mais c'est juste qu'il trouve dommage que le troisième reste seul alors qu'il pourrait profiter du
spectacle. Ca peut-être intéressant, excitant, de jouer aux exhibitionnistes et au voyeur, et on lui donne notre accord.
Arrivé le soir on l'aide à porter un fauteuil dans la chambre et il nous donne quelques indications:
- Il va nous regarder comme il regarde une vidéo, commenter, mais ne pas intervenir, ne rien nous suggérer.
- On doit s'aimer normalement, sans se préoccuper de sa présence.
- Un petit souhait toutefois, on doit faire attention aux angles de vue pour qu'il mâte le mieux possible: par exemple si je pompe mon cousin,
celui-ci ne doit pas lui tourner le dos mais se mettre de profil pour qu'il voit bien mes lèvres coulisser sur sa queue.
Il va se chercher une bière et on va à la chambre.
On se fout à poil tous les trois et il s'installe dans le fauteuil, la bouteille dans une main et la bite dans l'autre. On est un peu hésitant avec
Mathieu mais on se fait vite bander et sans l'oublier on se fout de sa présence. On va lui offrir du spectacle, mais lui aussi va nous offrir un bon scénario.
Il caresse sa grosse colonne, la branle, et commente à haute voix sans s'adresser directement à nous:
- Oh oui, putain qu'ils sont beaux ces petits salauds!.....ces bites qu'ils ont!.......hummm, ce qu'ils se mettent!.....oui, c'est bon ça, ces
enculés!...............
On baise sans se préoccuper de lui, on s'offre juste à son regard vicieux et on le mâte nous aussi. Il a fini sa bière, passe une jambe sur
l'accoudoir, et se frotte la raie avec la bouteille. Il enfonce le goulot dans son trou et pousse avec force en s'encourageant:
- Oui, vas-y mon chéri, tu n'es qu'une salope. Enfonce la, fait toi du bien fumier, tu es un putain d'enculé toi aussi, comme ces deux superbes
minets...................
La bouteille est plus étroite au milieu et il parvient à introduire la partie la plus large, se servant de cet ustensile comme d'un plug. Elle est
bloquée en lui et il recommence à se branler d'une main et tape sur le cul de la bouteille de l'autre pour la faire pénétrer un peu plus et ressortir sans cesse. Il continue ses commentaires puis
s'apprête à jouir; il s'affale dans le fauteuil et se branle sauvagement en s'encourageant encore:
- Jouis pute de queue, jouis salope, ce n'est pas pour rien que je te branle, crache ton jus, mets m'en partout..................
Il éjacule puissamment, de longues giclées qui se répandent sur sa poitrine et sur son ventre. Il a terminé, récupère son souffle, puis il serre sa
hampe à la base et remonte jusqu'au gland pour finir de se dégorger le poireau. Une petite coulée s'échappe de son méat et il la récupère de ses doigts pour les sucer. Il récupère ensuite tout le
sperme sur son corps et bouffe tout.
C'est fini pour lui, il se lève et part à sa chambre, la bouteille plantée dans le cul, en nous souhaitant une bonne continuation.
On continue encore un peu, puis on stoppe avec l'intention de remettre le couvert dans la nuit.
Les deux nuits suivantes on couche chacun son tour avec papy, mais quand vient notre tour il nous propose à nouveau une variante. Ca ne lui suffit
plus d'être spectateur, il veut participer, et nous propose une baise à trois. On accepte, à condition de baiser aussi à trois quand ce sera à son tour de coucher avec l'un de nous; c'est comme
cela qu'il l'entendait, on va s'aimer tous les soirs ainsi et ensuite il se couchera tout seul et nous laissera ensemble toutes les nuits: il n'est plus jeune, doit se reposer, alors qu'il sait
que l'on est de chauds queutards.
Cela fait dix jours que l'on est chez lui et il nous reste encore trois semaines pour s'aimer sans relâche.
Nos premières parties se font au feeling, sans scénario préétabli, et on essaie que chacun suce chacun, que chacun encule chacun. Puis il nous
propose, en tournant sur trois jours, que l'on regarde un film en fin d'après midi, que l'un de nous se fasse pomper par les deux autres, comme on l'a déjà fait pour lui, et qu'enfin celui qui
s'est fait sucer soit la pute soumise aux deux autres pour la soirée à trois. Il se propose d'être le premier et on accepte. Il a l'air de trop aimer ça, et c'est vrai que je n'ai jamais autant
joui que quand est venu mon tour, et c'est pareil pour Mathieu. Du coup on pense garder ce plan jusqu'à la fin des vacances .
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