les bikers sans complexes gradation incroyable mon cul est
tellement élargi que l'un d'entre eux y passe le bras sans effort pour lui et sans trop de mal pour moi
J'en avais assez de chercher sur le net des mecs comme je les aime. Moi, c'est musclé plus cuir archi-moulant, plus grand mecs. J'en veux au moins
trois, des sérieux, pas des gros ni des s/m, ni uro-scato. Je suis passif. Je décidai d'aller dans un bar où il y a souvent des motos devant.
Je rentre. Bizarrement, on m'indique une salle au fond. J'avais mis mon perf, mes tiags, et un 501 moulé à faire damner un curé. Il ne laisse rien
perdre de ce que j'ai dedans, on le croirait peint. Il fait ressortir mes couilles et mon 18 cm. Je rentre dans la salle et là, surprise, je tombe sur une réunion de cuirs comme rarement:
pas des abdos kronembourg, des mecs genre bodybuildés. Je salue. On me dévisage longuement et on répond. Il me semble que la glace se rompt. On m'invite à boire un verre. Un super athlète en
combarde de course s'approche, je vois qu'il la porte à même la peau. elle est vieille et sent un mélange de cuir et de... sperme. J'ai soif, mais pas de flotte!
Je vois que d'autres se rapprochent et cette fois ci, c'est gagné: en voilà en tout cinq comme dans mes rêves. Je remarque deux choses: ils sont
tous immenses et ont tous des couilles plus qu'apparentes à travers leurs cuirs ou leur jeans, de taille énorme. On les croirait fait au moule: je ne sais plus auquel céder, alors je décide de
céder à tous. J'en bande comme un cheval et pas un ne perd la vue. Mon cuir est taillé pour que cela se voie et qu'on le sache.
L'un d'entre eux me prend le paquet dans le cuir et le caresse gentiment. Je remarque qu'il commence à bander aussi: sa pine monte en force dans son
cuir et atteint la ceinture. Je lui dis que je vais exploser et que ce serait dommage que je sois le seul. Il dit simplement: "Ok, compris." Il se retourne et dit à la cantonade: "J'ai
l'impression que le dîner est servi!"
Le temps de le dire et voilà trois autres mecs qui m'entourent. Malgré mon 1m83, j'ai l'air tout petit. Un me masse les couilles, l'autre frotte un
jean archidestroy qui laisse sortir par tous les côtés des poils blonds et voir à peu près tout, contre ma jambe. Un autre vient par derrière et commence à faire comme s'il m'enculait. Il est
tellement puissant que je me retrouve assis contre son paquet pas encore sorti du cuir!
On décide de tous aller chez l'un d'entre eux qui n'habite pas loin. Je les suis sur ma ThunderAce, eux sont presque tous en 1100GSXR et CBR.
On se range, on monte. On est sept!
sept d'un coup : le Petit
Tailleur (de pipes -lol-)
On entre dans un appartement plutôt petit mais bien foutu. Un détail: tout est presque occuppé par des appareils de bodybuilding et sent le foutre à
plein nez. Partout, des flaques de sperme à peine sèches. Un régal.
À peine rentrés, je leur confirme mes goûts et ils éclatent de rire: eux n'ont pas besoin de merde ou de faire mal pour baiser. Simplement, ils me
préviennent que chacun à l'habitude de tirer environ 4 coups au moins et encore chacun a une particularité: l'un tire presque 10cl d'un coup avec un orgasme géant, l'autre multiplie les petits
coups et son orgasme dure plus d'une heure. Un autre me dit que son gland gonfle tellement qu'il s'ancre dans l'intestin et qu'il est pratiquement impossible de l'enlever bandé sans tout
arracher, comme les chiens. Le programme me plaît. Tous avouent préférer baiser habillés en cuir ou en jean. Un dernier me prévient qu'il se fraie un passage avec une pointe métallique de santiag
quand même arrondie et non coupante. J'adore l'idée. Quand tout le monde a fait son couplet, mes réponses les ont tous rassurés, on attaque.
À peine on commence qu'un m'ordonne de sucer son sexe à travers le cuir. Excellent goût et vive surprise: il y a tellement de sperme séché dedans
que le cuir est tout raide! Le goût est radieux, cela me fait bander. Ils en rigolent et le premier ouvre son cuir sans enlever son ceinturon. Un énorme chibre en sort comme poussé par un
ressort. Belle bête. Je le mets en bouche mais il m'arrête et m'enlève mon cuir. Quand je suis nu comme un ver entouré de sept géants en cuir avec la perspective de me faire enfiler environ 28
fois et de rentrer presque un litre de sperme, j'ai une appréhension. C'est trop tard!
Il m'attrape comme un brin de paille et m'empale à sec. C'est intenable, j'avais beau être prêt et avoir assez été léché par les uns et les autres,
j'ai très mal. Il me dit: "Bienvenue au club."
Il commence à me limer ce qui de douloureux devient extraordinaire. Je suis au 7° ciel. On m'attache empalé à lui, je ne peux que sentir sa pine
grossir rythmiquement loin dans mon intestin. Il s'allonge par terre, moi donc dessus. Un deuxième avec une combarde sort une pine incriyablement longue, elle doit faire au moins
28 cm ! Elle est fine: c'est les meilleures. Il nous enjambe, se place au dessus de moi, me demande d'ouvrir la bouche et l'enfile après m'avoir conseillé d'allonger
l'oesophage en basculant la tête, pour ne pas étouffer. Je ne peux rien faire, car un troisième s'est assis sur mon torse. Il se bascule en arrière, s'empalant sur moi et suçant le troisième.
Nous faisons un beau mille feuilles. Je suis pénétré jusqu'au nombril d'un côté ai-je l'impression, jusque dans la moitié de l'oesophage par la bouche. Je ne peux pas bouger.
Les trois commencent à aller et venir, onduler, faire gonfler leurs glands. Je vais de l'extase à l'inquiétude de l'étouffement. Mais ils savent ce
qu'ils font.
Un 4° se branle devant mes yeux immobilisés dans la pile de loubards, et soudain, un flot de sperme épais se rue sur moi, m'inondant entièrement: je
suis complètement englué. Je me concentre sur ma respiration et essaye de faire en sorte d'avoir du plaisir.
Soudain, un coup de boutoir dans mon intérieur: le premier me décharge son foutre brutalement. Une sensation de satiété dans l'intestin. Bientôt le
deuxième en fait autant: j'ai l'impression d'avaler un broc de sperme entier, directement dans l'estomac.
Deux autres se masturbent sur nous trois pour lubrifier.
Je ne vois plus grand chose. Quand j'arrive un peu, je vois du cuir, des couilles énormes et des montagnes de muscles qui me triturent, me
fouillent, m'empalent, me remplissent.
Mon rêve est devenu réalité.
Au bout d'une partie de la nuit, l'ankylose aidant, nous nous démèlons. Les trois autres commençaient à en avoir assez de devoir se palucher en
regardant.
Santiags me fourre dans le cul sa pointe métallique de botte et enfonce gentiment. Pure formalité car avec l'occupation qui se termine, je suis mûr
pour un gros machin sans problème. Mais j'aime bien cette mise en contact. Il retire sa botte de mon cul et m'encule sauvagement. Il est monté comme un vrai cheval. Malgré le début de la nuit,
j'ai enccore du mal à l'accepter. Il force à grands coups et finalement je sens ses couilles contre mon cul. Sa pine est très vivante: elle est tellement turgescente que je sens chaque pulsation
de sang dans mon anus distendu. Il commence à me limer comme un étalon, rien ne peut l'arrêter. Je ne suis qu'un trou d'accueil.
Je sens que sa pine grossit encore, chaque veine sur sa pine démesurée devient douloureuse et soudain il m'inonde. Je sens une marée chaude
m'envahir et tout devient hyper lubrifié. C'est une extase, je ne sens que de la douceur est me sens en même temps complètement devenir son jouet sexuel. Chaque contraction de son corps en
orgasme se voit à travers ses cuirs, je vois des muscles impressionnants jouer sous la peau, je le sens se vider en moi. Nous ne faisons plus qu'un.
Pendant ce temps, je n'ai le temps que de voir une combarde qui fut blanche et rouge et sans doute deux tailles trop sérrée, s'ouvrir devant mon
visage et libérer la plus grosse paire de couilles que je n'ai jamais vue. De vraies balles de tennis. Branchées sur un chibre de 24 cm environ, ce qui semble être le minimum chez ces
mecs.
Il s'assied doucement sur ma figure, se frotte les couilles sur mon nez et ma bouche. J'essaye de goûter au passage, j'ouvre la bouche. Il met ses
couilles dedans! comme elles sont trop grosses, je bouge la tête. Le dernier qui était entrain de se branler sur ma poitrine se met à genoux à califourchon sur mon torse et m'enserre la tête
fermement avec deux cuisses en cuir, je ne peux plus bouger d'un poil. Mis comme cela, il ne reste plus
à la combarde blanche et rouge qu'à m'enfourner sa pine. Je n'ai que le temps de basculer la tête et de happer ce qui vient. Sa pine est très dure, comme un gode. il commence un va et vient
rapide que suit une éjaculation multiple que je n'ai que le temps d'avaler au fur et à mesure. Celui qui me maintient la tête éjacule et j'ai l'impression qu'il me dépose une méduse chaude sur le
visage: je suis de nouveau complètement englué. J'adore.
Pour occuper mes mains, je caresse les deux premiers du début de la nuit à l'aveuglette. Je soupèse leurs couilles et ai le temps de me demander
comment ils font pour récupérer si vite. Ma nuit va être longue. Tant mieux. Le matin semble se pointer, le jour se lève, pas mes 7 mecs.
Je n'ai pas faim, je suis amplement nourri de leur sperme abondant. Je suis un peu endolori mais c'est pour la bonne cause.
On se démèle enfin, je me relève. On rigole tous. Mes sept loubards ont l'air tout frais, leur cheveux longs simplement collés de spermes
mélangés.
On mange un petit morceau et on avale un café.
Les motos sont au garage et ils ont une idée: on descend tous et ils me mettent à plat ventre sur une des 1100 GSXR, le cul encore amolli à l'air.
Avec sa selle mono très haute, la moto me lève les fesses, je suis appuyé sur le réservoir, la tête dans les compteurs. La bête entre les jambes. Ils la démarrent, et font rugir le moteur. En
échappement course, c'est assourdissant et les vibrations sont géniales.
Ils commencent une série de chevauchées en m'enculant ce coup-ci sauvagement. Mon cul est tellement distendu et gavé de sperme que je ne trouve que
de l'agrément. Je regrette de ne rien avoir en bouche. Comme s' ils avaient eu la même idée, l'un se place sous ma bouche, ce qui me relève la tête et lui permet de m'enfourner. C'est les grosses
couilles de tout à l'heure. Elles semblent vibrer plus encore et bientôt il recommence à éjaculer. Je pense que je n'en peux plus. J'ai l'estomac comme dilaté de tout ce sperme. L'intestin lui
aussi est rempli à déborder, quand ils se retirent, pas mal de sperme ressort et se perd.
Quelques injections de foutre plus tard, je suis tellement gluant qu'ils commencent à glisser en m'enculant. Le plaisir n'est plus le même.
On s'arrête et on remonte à l'appartement.
Mon cul est tellement élargi que l'un d'entre eux y passe le bras sans effort pour lui et sans trop de mal pour moi. Dans mon anus, il serre le
poing et le tourne. Je vois des étoiles : je suis shooté, au ciel.
* [ Joey sait comment faire jouir mon cul
Avec ses grands poings puissants et ses épais avant-bras , Joey donne à ma
chatte tout ce qu'elle veut : coups de poing(punchs) de poing, avant-bras qui fiste profondément et large étirement du trou . Ceci est assez pour pousser quelqu'un dans ses
limites, mon propre but : prendre du plaisir avec chaque enfoncement profond, & élargissement max ]
. Ils me félicitent, disent que je suis le bienvenu quand je veux. On prend rendez-vous pour le week end suivant, cela va être
long d'attendre jusque là.
Comme si de rien n'était, ils se mettent sur les appareils de muscu pour y finir le week end.
J'emporte un pot de confiture rempli de sperme pour passer la semaine.
J'en voudrais plus la prochaine fois!
anonyme :
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Ils_%C3%A9taient_sept_et_moi,_seul,_quel_pied
sur ma ThunderAce
* USA : With his mighty big fists and thick meaty forearms Joey gives my man's cunt everything he wants : fist punches,
forearm deep fisting, and double wide hole stretching. This is enough to push anyone’s limits, my own goal: To take pleasure with every deep digging, hard fisting, double wide ass
stretching
Derniers Commentaires