Dans le passé les filles de manants et les filles de rois étaient épousées très jeunes et, chez les arabes et d'autres peuples hors d'EUROPE c'est toujours le cas... On raconte quee les
musulman(e)s qui veulent faire l'amour avant le mariage pratiquent la sodomie pour éviter de briser l'hymen, cette membrane qui témoigne de la virginité. En Europe et dans le monde
occidental on a mis des barrières,fixé un âge pour le consentement, mais nombre de filles et de garçons perdent leur"innocence"avant l'âge plancher fixé par les études des démographes. Je
crois que beaucoup sont impa tient(e)s de perdre leur pucelage et devenir ds personnes à part entière. claudio
Es-tu sûr que c'est moi qui ai eu le plus de plaisir à recevoir ce lavement ou toi qui me l'as
administré ? .
stratagème d'Elodie pour offrir le pucelage de sa jeune soeur à son mari Bert ?
le dépucelage gay d'un jeune mâle peut être comparable....il y a moins de cérémonial que dans cette histoire ça d'accord...
mais on pourrait l'imaginer
Ma soeur Elodie et son mari Herbert (Bert, Bertie) m'ont invité à
passer un long week-end relaxant en leur compagnie dans leur maison de vacances du lac de Matemale. D
Elodie est une vraie beauté avec de longs cheveux bruns et une personne modeste qui se
cache.Bert est l'un des hommes les plus beaux que j'aie jamais vus. Grand , bronzé et bien construit. J'étais très friande de
Bert et j'ai toujours envié Elodie depuis qu' elle l'a épousé. Nous avons eu un bon
dîner et nous avons discuté un moment avant de nous en retourner Elodie m'a servi du vin qu'ils
buvaient et je me souviens d'avoir été un peu "paf" après avoir bu deux verres pleins. Après le trajet jusqu'au lac, nous avons passé les heures restantes au soleil assises
sur la terrasse de bois .
Le lendemain, j'ai passé la matinée à bronzer
sur le solarium . Elodie était dans la cabine et Herbert faisait du travail
dans son «bureau ... en ville». Nous étions seules. Vers midi, je suis
entrée dans le salon et je me suis assise avec Elodie sur le canapé. Elodie a guidé notre conversation au seul sexe, ce qui m'embarrassait
bien car j'étais toujours vierge. Elle m'a raconté comment
elle avait perdu sa virginité en tant qu'adolescente et quelle expérience douloureuse ça avait été. Je me souviens de la
nuit où cela s'est passé. Moi-même je m'en souviens Elodie est rentrée
tard ce soir-là et est venue directement dans la chambre que nous partagions. Elle pleurait et semblait
avoir très mal. En se déshabillant, je pouvais voir du sang
sur ses jambes et ses culottes étaient trempées de sang. Sans préliminaires, le garçon avec
qui elle avait été ne lui avait laissé aucune chance de se détendre et de se préparer. Il avait cassé son hymen d'une
seule poussée. Le lendemain matin, il y avait du sang sur
ses draps et elle continuait à saigner un peu. Toute
l'expérience avait été tellement douloureuse qu'elle n'a plus eu de rapports sexuels jusqu'à son mariage avec Bert. Même alors, elle m'a dit qu'elle avait pris le sexe en horreur pendant un bon moment. C'est seulement parce que Bert était si patient et l'a aidée à se détendre
qu'elle a commencé à participer activement. Maintenant, ils ont une vie sexuelle complète et
merveilleuse, at-elle dit.
Elle a expliqué que, comme j'avais le même âge qu'elle quand elle a vécu ce moment, il fallait que cela arrive.. bien préparée
et bien informée mon initiation au sexe ne serait qu'une joie. Elle a alors affirmé qu'un lavement préalable m'aiderait à me détendre et que s'il était correctement administré c'était
une expérience extrêmement agréable pour une femme et pourrait non seulement intensifier le sexe plus tard, mais pourrait souvent apporter un orgasme rien que par lui-même. Bert que Sue
avait appelé entra dans la conversation et m'a alors dit qu'il fallait m'administrer une série de lavements. Chacun contiendrait progressivement plus de liquide et que cela ferait
évoluer mon opinion et mes craintes sur le sexe. Le résultat serait un intestin nettoyé à fond et vide. Et je serais complètement détendue et plus réceptive. Je m'étonnais qu'ils ne
parlent pas de mon vagin. Après deux verres de leur bon vin, je me sentais disposée à tenter une avancée. Elodie m'a suggéré
d'enlever totalement mon string. Sans hésiter, je me suis conformée même en sachant que Bert
viendrait à me voir impudiquement nue.
Au lieu de se retirer discrètement et laisser Elodie seule opérer,
Bert s'est assis sur le lit et m'a placée sur le côté gauche avec ma tête dans les
genoux d' Elodie qui ainsi pouvait me caresser les cheveux, il a tiré mes jambes dans une position foetale avec ma jambe droite légèrement repliée. Ceci, a-t-il expliqué, était la
position classique utilisée dans les hôpitaux. Je savais que je lui étais maintenant entièrement exposée, comme à un gynéco. L'embarras était écrasant et j'ai fermé les yeux
résolument. C'était mon beau-frère quand même et ma soeur le missionnait pour me toucher et après ça me faire un soin...on va dire intime et infirmier ! Bert a tapoté
ma fesse droite et j'ai senti qu'il frottait doucement mon anus. Je ne cherchais pas à voir. Elodie m'a dit de ne pas penser à quoi que ce soit sauf les sensations que je
ressentais et j' ai de nouveau dit ne pas avoir peur. Toutefois Bert a tenu à me montrer la canule qu'il allait me rentrer et le lubrifiant dont il l'avait garnie disant que ça ne peut pas faire
mal et que j'allais voir, plutôt le contraire : j'allais m'en trouver bien.
Quand le bout de la canule m'a touché, mon anus a froncé et s'est rétracté. Bert faisait tourner le tuyau dans les deux sens en
même temps qu'il appuyait et il l'a lentement fait glisser vers lintérieur. J'ai senti chaque millimètre entrer et il ne m'a pas fait mal du tout. Quelques frissons ont parcouru mon
corps tout entier tandis que, les yeux fermés, j'imaginais voir la progression du tuyau. À ma surprise, je m'en suis sentie très bien et j'ai pris du plaisir dans cette
nouvelle sensation. Bert a doucement caressé la canule avec son doigt et l'a faite tourner dans les deux sens. Je n'avais jamais rien senti de tel dans ma vie. Bert l'a fait sortir
complètement et l'a introduite à nouveau j'ai émis un doux gémissement à cette nouvelle sensation agréable et j'ai entendu un clic et soudain il y avait un afflux de chaleur dans mon bas du dos
et rectum. Elodie qui me tenait tendrement par les mains m'a dit de me détendre et laisser la diffusion de chaleur se répandre en moi tandis que Bert continuait la manipulation
savante de l'appareil.
Du fait que je me suis bien détendue, je me suis retrouvée à profiter de l'administration de mon premier lavement préparatoire.
Il a fallu quelques minutes pour que la solution d'un litre puisse entrer dans mon corps. Herbert a pincé* (clampé )le tube, retiré lentement la canule et m'a dit de rester immobile. Comme je n'étais pas encore prête à voir un homme m'accompagner aux
toilettes, il a quitté la salle. Elodie me frotta doucement le dos et m'a fait rouler pour me frotter doucement le ventre et le bas ventre. Son massage s'est avéré merveilleux et a aidé
à faire travailler la solution plus profondément dans mes intestins. Avant longtemps, la pression s'est fait sentir et Elodie m'a guidée vers les toilettes où elle me tenait assise sur le
siège et me penchait légèrement vers l'arrière. Elodie a expliqué que la technique pour expulser la solution de lavement était tout aussi importante que la façon dont je l'ai reçue. Je
devais garder la solution jusqu'à ce que la pression s'élève vraiment, puis tout relâcher et laisser s'écouler. Ne jamais forcer.
Un instant plus tard, je ne pouvais plus retenir le liquide et, comme je
l'ai dit, je me suis contentée de me détendre. Un torrent d'eau mousseuse et de matières grasses éclatent de mon anus. La sensation était absolument exquise et je lâche un petit gémissement
de plaisir lorsque mon corps frémit. Je n'avais aucune idée de que je pouvais m'attendre à ressentir. Elodie m'a dit que Hal avait utilisé une solution d'eau chaude avec du savon non alcalin et
de la lanoline. Le savon alcalin donne dans les intestins une sensation de brûlure qu'aussitôt calme la douceur de la lanoline. Quand j'ai eu expulsé le lavement et que Elodie
m'eut nettoyé avec une douchette, qu'elle m'eut essuyé les fesses et l'anus, nous avons rejoint Herbert dans le salon. Assise sur le canapé, j'ai eu une merveilleuse sensation de
chaleur dans tout mon corps. Nous avons discuté pendant un moment et discuté des lavements et comment les prendre. Elodie a décrit plusieurs procédés et positions que nous allions
essayer plus tard et à quelle fréquence ils devraient être administrés. J'étais complètement détendue et mes inhibitions avaient presque complètement disparu. Après un moment, Herbert quitta la
pièce et je savais qu'il allait préparer mon prochain lavement. J'aurais eu honte de l'admettre, mais j'étais impatiente de le prendre.
Elodie me ramène à la chambre où Herbert attendait. Le sac de lavage de deux litres
était plein. Encore une fois, je me suis étendue sur mon côté gauche dans la première position
avec ma tête dans les genoux de Elodie. Quand
Herbert m'a touchée pour appliquer le lubrifiant, je me suis rapprochée pour écarter mes joues fesses et lui ai donné l' accès
complet qu'il attendait à mon anus. Quand il a massé le gel en moi, j'ai
ressenti une profonde humidité dans mon vagin. Je n'avais jamais connu une telle
stimulation avant et bientôt l'odeur de ma propre lubrification lui a indiqué que leurs soins avaient l'effet désiré. Alors que Herbert insérait la canule, mes propres jus gouttaient de mon vagin sur ma jambe.
Je ne pouvais m'empêcher de soupirer alors que je sentais la tige m'entrer dans le corps par
le fondement. J'ai entendu un clic et une fois de plus, le torrent de chaleur a commencé à me
remplir. Quelques minutes plus tard, quand j'avais pris la moitié du sac,
Herbert arrêta le flux et retira la canule. Elodie m'a dit de rouler sur le ventre avec mes jambes
légèrement écartées. Dans la nouvelle position, je pousse mes hanches vers le haut sans
qu'on me dise de donner l'accès à Herbert. Je voulais vraiment ressentir à nouveau la sensation de
l'insertion . Quand le lavement reprit, Herbert me
massait doucement le dos tandis qu'Elodie me dit doucement de ne penser qu'à la sensation que ça me procurait et de laisser entrer la chaleuren moi. C'était merveilleux. Herbert a
enlevé la buse lorsque j'avais accepté le dernier lavement et m'a encore recommandé de rester immobile jusqu'à ce que la pression s'établisse. Il ne fallut pas longtemps avant que je ressente le besoin d'expulser la solution
et, encore une fois, Elodie m'a aidée aux toilettes. Une fois assise, elle m'a demandé si
je pouvais contrôler le reste moi-même et j'ai répondu que je pouvais. Elle
m'a donné un baiser affectueux et a quitté la salle de bain à ce moment j'ai expulsé doucement mon deuxième lavement.
Les jus coulaient toujours de mon vagin alors que j'avais expulsé la solution. Sans y penser ma main a glissé entre mes jambes et j'ai commencé à me masturber. J'avais fait cela avant l'épisode des lavements mais je n'avais jamais été si humide. Des vagues de plaisir m'ont balayée alors que je frottais mon clitoris maintenant
gonflé alors que l'eau chaude sortait de mon corps. Il a fallu un nettoyage supplémentaire
cette fois pour retirer mes jus de mes cuisses intérieures. Je suis restée assise là pendant
quelques minutes pour que l'intensité de mon exaltation diminue. C'est ma soeur! je le rappelle et c'est son mari ! Elle pouvait être jalouse. Il y avait un peu de
gêne du fait que je m'étais tellement exposée à Hal et que j'avais eu tant de plaisir à faire quelque chose qui avait été si agréable, c'était un peu comme faire l'amour avec son homme
sous ses yeux...Plus tard je me suis posée des questions sur leurs motivations à tous les deux...
Quand je suis retournée au salon, Elodie et Herbert étaient là pour m'attendre.
Je
savais qu'ils étaient conscients de la stimulation que j'avais reçue et de la façon dont j'étais excitée, et j'ai dit à voix basse à Elodie ce que j'avais fait en expulsant
le lavement : me masturber. Sans problème elle sourit et me fit un grand câlin. Herbert m'a demandé comment je me sentais et je lui ai dit que je me sentais très bien, mais j'avais un
petit mal de ventre. Il m'a dit que c'était une chose normale après avoir reçu
un lavement lorsque l'organisme n'est pas habitué. Les crampes ont bientôt disparu et je me sentais chaud
et complètement détendue. Comme
nous avons discuté, je ne pouvais pas m'empêcher de penser à combien Elodie m'a choyée et pris soin de moi et me préparer pour ce que je savais être à venir bientôt.
Une demi-heure plus tard, Herbert quitta la pièce pour préparer mon prochain lavement. Maintenant, j'étais anxieuse en attente de ce traitement et quand Herbert a appelé
Elodie je suis retournée dans la chambre. Cette fois, elle n'avait pas à me
conduire. Je pensais que j'étais prête à recevoir le lavement, mais ce
que j'ai vu lorsque je suis entrée dans la pièce m'a donné un choc :
deux sacs au lieu d'un avec des tuyaux et
des canules installées dessus venaient d'être accrochés. L'un contenait deux litres d'eau et le second
un litre. J'ai dit à Elodie que ce serait trop et je savais que je ne pouvais pas le prendre.
Elle m'a dit que les entraînements qui venaient de précéder avaient
certainement élargi ma capacité, mais qu'en effet je ne pourrais peut-être pas encore retenir trois litres. Cependant, je devais en prendre autant que possible pour que le lavement fasse un effet
profondément dans mes intestins. Il était
nécessaire de me procurer un nettoyage approfondi et de rincer le reste du savon qui avait migré plus profondément dans mon corps. Parce que je serais placée dans trois positions cette fois.
Je me suis couchée sur le côté gauche comme précédemment et j'ai écarté mes fesses pour Herbert.
Cette fois, il a non seulement massé du gel autour de mon anus plissé, mais, parce que les deux lavements précédents avaient lavé ma lubrification naturelle, il a glissé un doigt dedans
pour lubrifier le canal d'entrée. Nouvelle étape, c'était la première fois que quelque chose d'autre
que la canule m'avait pénétrée. Je me suis tendue pendant un
instant, puis je me suis décrispée et j'ai laissé glisser son doigt par le sphincter et dans mon rectum. Il ne semblait pas gêné alors qu'il tournait son doigt en étalant complètement le lubrifiant en
moi. L'anticipation du lavement a fait couler de nouvau le jus de mon vagin.
Encore une fois l'invasion
agréable de la chaleur m'a fait trembler dans mon corps alors que je commençais à me remplir et un sentiment d'euphorie semblait me balayer. Je me suis détendue et respirais profondément alors qu'une sensation de chaleur se
répandait de l'anus et du bas du dos dans tout mon corps. La buse enfoncée dans mon rectum se
faisait si bien sentir que je voulais rester là pour toujours. Lorsque
le premier sac fut à moitié vide, Bert a enlevé la buse et j'ai dû rouler sur mon ventre. En levant mes hanches, j'ai émis un
petit gémissement. Bert m'a assuré que je pourrais avoir la canule de nouveau
et , de nouveau elle s'est glissée facilement dans mon anus. L'eau Le liquide a
commencé à couler et j'ai apprécié la stimulation continue qui avait encore provoqué le gouttage de mon vagin. J'ai commencé à avoir des crampes douces lorsque le sac a vidé son contenu et Bert a retiré la
buse.
Ensuite, ils m'ont fait rouler sur le dos et Elodie a
tenu mes jambes écartées tandis que Bert a inséré la buse du deuxième sac. Après cela, j'ai mis mes pieds sur le lit afin
que Bert puisse continuer sa manipulation "pro" de la
canule. Je pouvais voir
le sac plastique commencer lentement à se contracter alors que l'eau coulait dans mon corps, m'investissait dans mon rectum et se déplaçait plus profondément dans mes intestins.
Les crampes devinrent pires et très rapidement, j'ai crié
à Bert que je ne pouvais plus rien prendre et je le suppliais d'arrêter. Bert a plié le tuyau et, tout en tenant la buse dans mon anus, il m'a
demandé de lever le dos autant que possible. Puis il m'a dit de me pencher en avant. En répétant ces deux mouvements, la pression a diminué et encore plus d'eau a recommencé à couler
en moi. Mais peu de temps après, je ne pouvais plus supporter et Bert
arrêta le lavement et retira la buse. La pression était intense et
les crampes avaient repris alors Elodie m'a rapidement aidé à aller dans la salle de bain, et là j'avais besoin de son soutien. Je me sentais lourde et gonflée et je ne pouvais m'empêcher de remarquer que mon ventre semblait
un peu distendu. Une fois sur les toilettes, je ne pouvais plus
supporter le lavement et il a commencé à jaillir de mon corps en torrents. J'ai commencé à transpirer et
mon corps tout entier frémit avec plusieurs spasmes. Malgré cela,
j'ai été submergée par la stimulation sexuelle alors que j' évacuais mon premier lavement de trois litres. Encore une fois, mes cuisses étaient recouvertes d'un liquide qui continuait à filtrer de mon vagin.
J'étais très proche d'atteindre un orgasme. J'avais évidemment eu ce qui était pour moi une
expérience très érotique, quelque chose que je n'avais pas réalisé à l'époque était possible pour une fille de mon âge.*(à cet égard je ne pouvais
savoir la composition exacte de cette nouvelle solution dont l'odeur le parfum était différente et la consistance un peu sirupeuse. Aussi bien le sac eût pu contenir un peu de drogue
? ça aiderair à expliquer mon euphorie super naturelle après ce troisième lavement ! ??? Alcool ? non ça aurait été iritant. Cannabis ? peut-être ? Ni lui , ni Elodie ne m'en ont dit
mot)
Je
me suis assise sur les toilettes pendant un certain temps alors que l'eau la solution continuait à s'écouler de mon intestin
supérieur. Enfin, je me suis nettoyée et suis retournée au salon pour rejoindre Elodie et
Herbert. Mon ventre gargouillait un peu, mais
encore Bert et Sue m'ont assuré qu'il s'agissait de crampes normales et cela s'arrêterait bientôt. J'avais faim d'une suite. Elodie se tourna vers Bert et lui demanda de lui donner un lavement aussi. Il semblait qu'elle avait été très excitée en me regardant. Bert lui a dit qu'elle venait de l'avoir il y avait quelques jours, mais elle l'a supplié et, finalement,
il a accepté. En outre, elle a fait rematquer que je devais
me reposer un peu, et nous pourrions toutes les deux prendre l'huile chaude. Je n'avais aucune idée de ce
dont elle parlait et elle n'a pas expliqué. Ils se sont levés et se sont dirigés vers leur chambre me laissant
seule dans la salle de bains. L'envie d'expulser m'a reprise,
alors j'ai utilisé leurs toilettes pour évacuer un peu plus du dernier lavement. Lorsque j'ai eu fini, Elodie est entrée dans la chambre en portant maintenant un string et m'a demandé si je
voulais regarder. J'ai hésité un moment mais elle m'a assuré que ça ne la dérangeait aucunement.
Après tout, elle était avec moi depuis le début, alors pourquoi pas ? alors je l'ai suivie
dans leur chambre.
Le sac pendu était un sac à deux litres, mais la buse était vraiment
différente. C'était beaucoup plus épais que le tuyau
standard que j'avais pris et il y avait des rangées de petites bosses sur une canule spéciale et plus longue. De
toute évidence, cela ne provenait pas de la pharmacie du coin ! (une sex-shop sans doute) Elodie a laissé tomber son string et, pour la première fois depuis l'enfance, j'ai vu son magnifique
corps. Ses seins pleins et dressés n'étaient pas grands mais parfaitement dimensionnés pour sa
taille. Ses mamelons
durcissaient tout comme si elle était déjà stimulée par l'anticipation de quelque chose dont elle se promettait de jouir énormément. Elle avait tout rasé sauf une petite partie de ses poils
pubiens afin de porter un ticket de métro très discret. J'étais un
peu jalouse de la beauté de ma soeur, mais je savais qu'à mon âge j'avais encore le temps de changer. Elle donna à Bert un long bisou humide et se coucha sur le ventre avec ses jambes écartées. Bert
s'est positionné entre ses jambes et a commencé à masser la lotion pour le corps autour de
son anus. Elodie commença à gémir et à se tortiller de joie. Au fur et à mesure que ses doigts se couvraient de lotion, soudain il glissait un doigt
dans son anus ce qui la faisait presque hurler de plaisir. Travailler son doigt dans son corps a amené Elodie à une augmentation de sa tension et de
son désir. Bientôt, elle ne pouvait plus se lever et roulait sur son dos en tirant
ses jambes au maximum. Elle a supplié Bertie de commencer le lavement, mais il l'a taquinée
davantage. Enfin, il a inséré la grosse buse tout en la tournant en avant et en arrière.
Les cris de passion d' Elodie s'intensifiaient alors qu'elle suppliait de nouveau son
Bert de commencer son lavement. Mais il a maintenant glissé un doigt dans son
vagin gouttant tout en manipulant la buse. Sue a commencé à se débattre et à se débattre alors que ses
cris s'amplifiaient. Je n'avais jamais assisté à
pareille scène et je ne croyais même pas qu'une femme pouvait être tellement excitée qu'elle perdait totalement le contrôle de son corps. Enfin, Bertie a arrêté la torture amoureuse en retirant son doigt de son vagin et en
relâchant la pince. Alors que l'eau la chaude solution entra dans son rectum, Elodie cria et son dos eut des convulsions et elle retomba sur le lit. Cette ruée initiale de son lavement l'avait amenée à un orgasme. J'étais tellement fascinée par ce dont j'étais témoin que je resserrais
instinctivement tous les muscles autour de mon anus et de mon vagin. Elle allongea les jambes en prenant sa dose, ondulant doucement
avec ses hanches en se retournant lentement tandis que Bert manipulait la grosse buse. Je pouvais voir ses jus d'amour couler de son vagin alors qu'elle se tordait de plaisir. Quand elle eut pris ses deux litres, elle en a demandé plus à Bert, mais
il lui a dit que c'était suffisant pour l'instant. Bert a enlevé
la grosse buse, j'ai entendu Elodie évacuer son lavement et, quand elle a fini, nous nous sommes toutes deux
étendues nues sur le lit. Nous avons parlé pendant un moment et Elodie est
allée relâcher le reste de l'eau qui restait dans son intestin. Ensuite, elle m'a parlé de l'huile chaude que
nous recevrions toutes deux. Après un lavement et surtout
après un gros, les lubrifiants naturels sont " lessivés" des intestins et du rectum. L'huile d'olive est un lubrifiant merveilleux pour remplacer les huiles naturelles et fait également
un bon lubrifiant sexuel. Bientôt, Bert est entré dans la pièce en portant
une seringue à bulle féminine à long cou et un tube de gel. Elodie se coucha sur le dos avec
les jambes pliées pendant que Bert insérait la seringue. Lentement, il a pénétré plus profondément jusqu'à ce que les quelques 20 cm
soient entrés et l'ampoule ait été fermement pressée contre son anus. Quand elle se déclara prête, Bertie pressa le piston et envoya les 30 ml
d'huile d'olive chaude dans les intestins d' Elodie. Cette dernière s'est détendue alors
que Bert a retiré la seringue et a quitté la pièce pour la recharger. On m'a dit qu'il fallait injecter l'huile au fond du rectum et
aussi près de la première courbe de l'intestin que possible. De là, une partie
serait absorbée et une autre partie saturerait le rectum et le canal anal supérieur. Quand Bert
est retourné, je me suis également étendue sur le dos et j'ai écarté les jambes. Le cylindre, bien que d'un assez fort diamètre, a glissé sans trop d'inconfort et Bert l'a guidé
lentement. La seringue a pénétré complètement dans mon rectum
et s'est installée dans la base de mon intestin. Bertie m'a donné une minute pour
me détendre et me préparer à avoir quelque chose de logé dans mon corps. J'ai dit que j'étais prête et il a pressé le
piston. L'impact soudain de l'huile chaude dans mes intestins m'a coupé le
souffle et je respirais à grands coups. Cela ne faisait pas mal mais m'a effrayée un peu au
début.
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C'est super! c'est toi qui l'as écrit hein ! Putain je me régale à tes histoires de Q! Il me semblait qu c'était moi Biz .
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Jim fenix rosi
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C'est super! c'est toi qui l'as écrit hein ! Putain je me régale à tes histoires de Q! Il me semblait qu c'était moi Biz
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De : modeste moussor [mailto:claudemodou@gmail.com]
Envoyé : samedi 6 mai 2017 06:32
À : Francis Bouche
Objet : Re:
Salut Francis ! c'est cavaillongay-lesitelocal@erog.fr
MERKI! content que ça t'ait fait bander comme pour des gays
Non c pas un viol mais un art d'influencer! je parie que "tu donnerais cher"
pour être à la place de la jeunette Bises
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"D'après ce que je comprends ça débouche (lol) sur un ménage à trois que défend Jacques Attali
entre parenthèse il doit pas s'emmerder cuila ! ( SALO)
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