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Bien visé John jr.! John jr., lui c'était pas pareil, je savais qu'il ne voudrait pas tremper sa queue  où avaient spermé les autres : mon cul ! Alors c'est pour lui que j'ai ouvert la bouche. Mais il avait tort de faire le fier et le  délicat. Combien de fois l'ai-je nettoyé de ma langue après qu'il ait joui dans mon fondement ?        

"Regarde-moi, jeune mec! " a t-il exigé, " Laisse-moi voir ta gueule pendant que je baise ton cul encore trop tendre "- Je ne pouvais pas m'empêcher de me demander pourquoi il m'avait fait coucher sur le ventre, et si c'était aussi important, qu'il le disait mais j'ai fait comme il a dit et j'ai tourné la tête. C'est un homme vraiment sexy et sauf pour son téton percé et ses boules lisses, il me rappelle beaucoup  John Jr. ;  naturellement ça ne me dérange pas du tout de regarder son grand corps au travail. ah ben non au contraire !. Sa queue est vraiment bonne aussi, même si elle ne peut pas être comparée à celle de John Jr !        

Mais il compense par un barattage de mon trou comme peu d'hommes savent faire. C'était comme si mon plaisir était important pour lui aussi. Il me souriait et c'était comme s'il lisait en moi, qu'il captait mon désir et mon plaisir. , il me dit :« ça se voit que tu jouis, ton visage ne ment pas !" il haletait, "tu la sens bien dans ton cul, non?» «Oui, monsieur," Je gémis et serrai mon trou autour de lui. Cela le fit gémir bruyamment et augmenter le rythme. "Ouais mec, attention ça y est, ça vient" at-il dit, "Continue à serrer ton trou pour moi.» Je regardai en arrière , alors que son pubis claquait mes fesses plus fort et plus vite, et quand il fut sur le point d'atteindre l'extase, il se pencha sur moi et cala sa langue dans ma bouche tout en lâchant sa dose. 

 je veux que vous vous dressiez à la baise hard a dit John jr.

"Chut, petit gars, pas si fort" me murmura-t-il à l'oreille qu'il me mordillait. 'Je vois bien que c'est bon pour toi, mais mets un peu en sourdine" Sa femme devait probablement encore dormir dans la pièce à côté et il ne voulait pas qu'elle découvre qu'il est bi (ou à moitié gay si vous préférez)

il m'enculait assez gentiment-je fis attention de faire le moins de bruit possible- et qu'est-ce que c'était chouette qu'i sache maintenir ce long orgasme qui me prenait tout entier.

 Ce qu'jl navait pas compris c'est que je gémissais plus de sa grosse main qui écrasait mes lèvres que de ma jouissance qui était bonne. En même temps je devais me concentrer pour   ne pas éjaculer moi-même et répandre mon sperme tant mon bonheur était grand, mais c'était quasi impossible. La sensation de sa grosse queue prête à faire jaillir en moi sa fabuleuse crème à faire les bébés  c'était trop, beaucoup trop et trop de joie. Il jouit en moi et peu après cela créa un petit lac en dessous de moi...       

  ça peut arriver...on demande trop à nos mâles et eux trop à leur sexe         

Ses couilles n'arrêtaient pas de claquer contre les miennes et comme je n'avais pas joui depuis longtemps il me faisait mal,  vraiment mal car elles étaient pleines de sperme. Il savait que je n'avais pas été libéré depuis longtemps, et il était bien au courant de la façon dont je jouis facilement quand je suis dans cet état. Alors,, il a arrêté, au fond de moi. «ça n'allait pas?», me souffla -t-il à l'oreille: «TU SOUFFRES ?" me dit-il avec tendresse.  Dans la pause, qu'il me donnait, je suis parvenu à reprendre mon souffle et lui expliquer comment ses grosses couilles fracassaient les miennes et bloquaient mon plaisir. Ca lui a donné un petit rire et il s'est excusé gentiment. "Sur le dos, maintenant," dit-il, et je me suis retourné  "C'est meilleur pour toi, alors?» Dit-il et est tombé dans un rythme qui a mis rapidement une étincelle à mon orgasme. Mon  gémissement fut une récompense pour lui, mais au lieu de pauser, il a continué et a tiré sa charge. J'e criais presque quand il est sorti : moi aussi, sans même me toucher j'explosais enre nous deux. Nous ne parvenions pas à arrêter nos rires et nos baisers.