Partager l'article ! DANS LE NOIR Je ne saurai jamais vraiment quelle gueule il avait on s'est pas vus...Récit d'une baise mémorable: Cette histoire ? il s'en passe ...
Cette histoire ? il s'en passe tous les jours des dizaines sur la route. c'est pourça qu'elle est réelle. Elle est bien racontée, c'est tout ! Ceux qui n'en ont vu que le premier jet (lol) n'ont pas profité de mes illustrations...revenez, sinon, à quoi ça sert que claudio y se décarcasse ? 920 visiteurs du blog hier ! Bonjour et merci à eux .
ben oui, c'est dans le noir ET à Cholet ! et ils sortent des Kleenex ! hi hi !
Il faisait du stop sous le dernier lampadaire avant d’arriver à la Nationale, à la hauteur de Vihiers (trente bornes de Cholet), et j’ai failli le louper. Je me suis arrêté sec un peu plus loin. J’ai juste eu le temps d’apercevoir une silhouette jaillir près de ma camionnette, balancer son sac de sport à l’arrière, s’installer sur le siège du passager. Pas un mot. Juste: “Saumur?” “Ouais! OK!”
On ne se voyait qu’à peine. J’avais les couilles pleines, comme souvent le soir après une journée de travail. J’avais envie de lâcher ma crampe. On était vendredi soir, et ce mec sentait la sueur de salle de sport, bien virile. Ça m’a fait monter l’adrénaline au top. Je me suis gratté les couilles deux ou trois fois. Les mecs, ou ils pigent tout de suite, ou ce sont des connards d’hétéros. Sans échanger une parole, l’atmosphère s’est faite plus hot. Une main est venue assez rapidos me tâter le slibard. Il faisait nuit noire et on était en rase campagne. Dès que j’ai pu, on a bifurqué sur un chemin pour se mettre à l’aise et faire une petite pause.
On est passé à l’arrière de la camionnette, vide à cette heure. Avec un bon garnissage au sol. J’avais la gaule. On ne voyait absolument rien, mais, avec les mains, on voit tout. Il commençait à pleuvoir, ça résonnait sur la tôle. Le paquet que j’ai touché entre les cuisses était bien rempli. J’ai malaxé une bonne paire de couilles, pendant que le mec cherchait les miennes au fond du slibard et tripatouillait mon entre-cuisses. Ma bite était bien raide, prête à s’enfoncer dans n’importe quel trou de balle. J’y ai été mollo, mais le mec avait l’air d’aimer ça et d’en vouloir un max. C’est lui le premier qui, à tâtons, m’a défait ma ceinture pour me baisser le froc et le slibard.
Le nez dans les poils, il m’a pris la bite dans sa bouche,
et je me suis limé le gland entre ses dents.
Il m’a bien nettoyé le nœud
mais je ne voulais surtout pas lâcher ma crampe tout de suite. Avec mes doigts, j’ai fait l’inspection de son cul. Sa rosette avait dû voir passer de bonnes bites, vu sa largeur et sa souplesse.
Pour un mec qui ne semblait pas très costaud physiquement, ce devait être quand même une belle salope qui devait s’enfiler des godes dans le cul, parce que trois de mes doigts y rentrèrent largement! Je n’avais pas de raison de me réfréner, d’autant plus que mes doigts dans son cul de pute entraient et sortaient, et qu’ils rythmaient leur cadence en donnant de bons coups de reins. Je profitais vraiment de l’aubaine. Un cul de chienne en chaleur, ça ne se refuse pas! Heureusement que je sais où sont mes présos dans mon vide-poche. J’ai dû ressortir sous la pluie pour les prendre.
Des culs comme ça, faut surtout pas laisser refroidir. Quand même, pour m’encapuchonner, j’ai dû prendre ma bite d’une main et l’écarter de la bouche suceuse. Le mec a gémi de déplaisir.
Fallait pas qu’il il allait bientôt se la prendre dans le cul! Je l’ai retourné comme une crêpe sur le bout de moquette qu’il y a sur le plancher (ça m’arrive de dormir là, les soirs de bittures!). Sous mes mains, je sentais que le mec était excité à mort.
Il était assez mince, la peau douce et pas très poilu. Je n’ai pas fait de manières et, sans rien dire, j’ai poussé ma bite entre ses fesses et je lui ai défoncé la rondelle d’un coup de reins. J’étais tellement à l’aise que je lui ai branlé le conduit avec un doigt en plus, le long de ma queue.
Pour corser le tout, je lui ai empoigné la bite pour la branler vigoureusement. Le fion éclaté sous les grands coups, il m’a juté très vite dans la main. Mais j’ai continué à le limer sans retenue jusqu’à ce que son conduit devînt brûlant, et que ma bite s’échauffe un max.
C’était presque douloureux quand j’ai senti ses couilles se ratatiner. Il bandait à nouveau. Là, ça m’a fait sauter les plombs.
Je lui ai défoncé la rondelle du plus profond que j’ai pu, et j’ai cogné mes balloches à son cul, me les serrant au passage avec ma main, puis pour finir, je me suis carré un doigt dans le cul, et j’ai explosé. J’ai déculé assez rapidement parce que j’avais peur de faire refluer du foutre. On ne respirait plus, tellement ça sentait le foutre. Le mec a fini se s’astiquer le nœud alors que je tentais de lui fister l’anus. Je lui ai branlé les balloches et il a juté une deuxième fois. J’ai sorti des mouchoirs de papier, on s’est essuyé le fion et la queue, et, sans rien dire, je suis remonté à l’avant pour reprendre la route. On est arrivé vers une heure du mat’ à Saumur. Le mec était resté dormir à l’arrière. J’ai arrêté ma camionnette devant la place de la mairie.
J’ai fumé une clope. Le mec est sorti par l’arrière sans rien dire. Je ne saurai jamais vraiment quelle gueule il avait, cette petite pute, mais je m’en fous! L’obscurité a aussi ses avantages, parfois on sent mieux, on touche mieux dans le noir.
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