Vendredi 15 février
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16:52
imaginant à quoi il ressemblerait nu, dans mon lit, je bénissais le Ciel que ce fût ma voisine, qui me haïssait, qui me fît remarquer
du policier, lui disant probablement - en mal- que j'étais le plus ceci-le-plus-cela.
il me semble qu'elle a dû lui dire cela : - "il fait des fêtes bruyantes sans arrêt avec ses amis gay jusqu'à des 7h du matin, heure où je me
lève pour aller bosser, moi ! Et regardez-moi cette tenue : toujours à s'exhiber nu au vu de tous sur sa terrasse et souvent sans maillot...."
Moi
j'ai mon opinion sur l'hypocrisie des porteurs de lunettes noires et ce genre d'aventure entre un jeune adulte et un père de famille, mais ça reste à l'état d'opinion et pas de consommation ! un
'corres' anglais de 19 ans que mon fils Alain accueillait chez-nous depuis plusieurs années en vacances m'a surpris en train de le mater intensément pendant son bain de soleil. Ah qu'il
était beau ! offrant son corps cuisses ouvertes au soleil et, sans le savoir, à ma contemplation. Du moins le croyais-je dissimulé derrière les
volets croisés de ma fenêtre du 1er étage. Brusquement il
s'assit, ôta ses lunettes et se mit à fixer intensément dans ma direction. Ma faute était découverte. Ouf il n'en a jamais rien dit. J'avais plusieurs raisons de ne pas essayer de
tirer parti de la situation, à commencer par la loyauté envers mon fils Alain que je supposais avoir une liaison secrète avec ce garçon. Profil bas : pas question -avec
regret-d'exploiter ce coming-out inattendu. Il savait désormais que je m'intéressais au beau jeune homme
qu'il était et, par déduction, que j'étais homophile pour le moins...et plus si affinité. Les regards et les mots que nous échangions reflétaient cet instant que je n'ai jamais pu
qualifier sinon d'équivoque et qui probablement changeaient nos rythmes cardiaques ! Les yeux sont souvent ouverts derrière des lunettes opaques, ne nous y fions pas
!
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FICTION :
Ce n'est pas moi sur la photo (trop dangereux sur les réseaux sociaux) mais, en toute modestie, mon cul ressemble à celui de ce beau gars
:
Daddysbottom
Je bronzais dehors dans la cour de ma résidence. Je portais mon speedo mince et bien serré faisant ressortir avantageusement mon
joli cul bombé et satiné. La cour était presque totalement ouverte à tous ceux qui marchaient le long du trottoir et voulaient regarder. Je n’ai jamais eu personne qui
se plaigne de mes habitudes de bronzage, alors j’ai pensé que personne ne s'en souciait.
J'appréciais la matinée tranquille quand j'ai entendu un véhicule se rendre à la maison en face de la rue, puis j'ai entendu la voix de quelques
personnes. Curieux, je levai la tête pour regarder la source de ces voix. C'était, quand je l'ai vue, ma voisine d'en face, Caroline, qui était en train de parler à un policier.
J'imaginais qu'elle se plaignait de sa voisine la plus proche dont elle s'était souvent plaint de ses fêtes fréquentes tard dans la nuit. À cet instant précis ça m'était bien égal.
Je me concentrais sur le morceau de chair d'un homme à qui elle parlait.
Ce mec pourrait être considéré comme mon idéal de père et d'homme. Il avait l’air d’être soit à la fin de sa quarantaine, soit au début de sa
cinquantaine, en pleine forme, son corps portant très bien l'uniforme. Mais ce qui m'a attiré dans ce lieutenant de police, c'est son visage à la fois viril et beau
!
Tandis que ma voisine
et l'officier discutaient, je le déshabillais lentement dans ma tête, imaginant à quoi il ressemblerait nu, dans mon lit. Je me suis alors rendu compte que ce n’était pas une si bonne idée
dans l’état où j’étais, parce que mon mince speedo se remplissait à vue d'oeil. Maintenant, personne n’aurait le moindre doute que j’étais complètement excité. Cependant je ne voulais pas aller à
l’intérieur pour me changer et mettre autre chose et c'est en contrôlant mes gestes que je m'exhibais devant cet homme n'oubliant pas qu'il représentait la LOI .
Le fait qu'il regarde mon corps presque nu rendait ma bite encore plus dure. Il n'y avait plus rien à cacher. Il pouvait certainement voir mon érection complètement formée. Il a continué à me
regarder, et je souhaitais qu'il se rapproche afin que je puisse mieux regarder son entrejambe pour voir tout signe révélateur d'un renflement en formation.
Dieu devait être à mon écoute ce matin-là, car bien sûr, après avoir souhaité qu'il s'approche, l'officier a traversé la rue et s'est dirigé vers moi. Je feignais de ne pas être conscient de
sa présence.
"Excusez-moi, Monsieur?" J'ai entendu sa voix. Bon sang, c'était profond et masculin. Ce mec pourrait-il être plus sexy?
Je fis semblant d'être surpris et levai la tête pour le regarder. Il était encore plus beau de si près. Eh oui, en cette fraction de seconde, j'ai détecté un léger contour de sa queue dans son
pantalon serré.
«Oh, bonjour monsieur l'officier? Quelque chose ne va pas?» J'espérais qu'il n'allait pas me verbaliser pour attentat à la pudeur. En effet je suis peu habillé mais je porte un maillot, si
petit soit-il.
-«Rien monsieur. Je voulais juste poser quelques questions sur l'une de vos voisines de l'autre côté de la rue. Mme Caroline Duran, de l'autre côté de la rue, vient de déposer une plainte
concernant un certain voisin pour tapage nocturne. Je pensais que je pourrais peut-être vous demander si vous-même pourriez confirmer cela ou si vous avez vu ou entendu de tels
bruits »Dit-il.
-«Je peux certainement répondre à ces questions, Lieutenant», ai-je répondu. «Mais si cela ne vous dérange pas, je dois y aller maintenant, car je pense que je suis sur le point de prendre un
coup de soleil. Souhaitez-vous entrer? Je peux alors répondre à toutes vos questions. J'ai aussi fait un grand pichet de jus de fruits fraîchement pressés si vous voulez en prendre. Oui ? »
insisté-je gentiment ; j'avais lancé mon piège.
Je pense qu'il a hésité un instant. Mais quand je me suis levé de ma chaise longue, j'ai vu ses yeux se baisser vers le renflement obscène de mon speedo. Il ne lui a pas fallu plus
de quelques secondes de plus avant de répondre. «C’est très gentil de votre part, monsieur…. ”
«Barili. Léonard Barili. Mais s'il vous plaît, appelez-moi Léo », ai-je répondu.
Je ne n'avais jamais pratiqué de sexe auparavant avec un agent de la force publique. Je n’avais même pas réalisé que je me sentais une forte attirance envers l’un d’eux. Tout
est changé cet après-midi : j'ai pris 2 charges complètes de sperme de policier en application de la loi HOMO dans mon cul.
commentaire :
J'aime montrer
mon cul dans ma cam. Envie ?
Ouihhhhhh ! Tu vas pendre !
les trucs de garçons je connais. J'essaie de le faire en fille pour voir
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