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SAUTER LE PAS
Je me prénomme Jeremy, j'ai trente-deux ans; je suis brun, bien fait, avec des pectoraux musclés et bien fermes. J'ai été marié deux fois. La première, j'avais 19 ans, ma femme 20. Elle n'était pas très chaude au lit et moi j'avais une envie folle de découvrir les joies de l'amour. Ce qui devait arriver est arrivé, en voulant éviter l'adultère dans sa définition classique, j'ai connu des hommes gays qui m'ont fait découvrir et appris les mille et une façons de jouir entre hommes. Un après-midi, ma femme m'a trouvé au lit avec le jeune quincaillier du coin, en levrette, ma bite bien plantée dans son cul. Elle est arrivée juste quand il me disait de le défoncer. Je me rappelle le type en train d'éjaculer sa semence, à gros jets, sur le drap blanc du lit. Quelques jours après, j'étais célibataire.
Deux ans plus tard, j'ai retrouvé une épouse. Elle, c'était l'inverse, elle choyait tout ce qui avait une queue et des couilles. Elle me baisait bien, je dois le reconnaître, mais ma passion pour les jeunes hommes revint. Trois ans après, d'un commun accord, nous avons divorcé. À 26 ans, j'étais de nouveau célibataire. Pendant près de deux ans j'ai fait l'amour d'une chambre à l'autre sans jamais me lasser. Parfois avec des femmes, parfois avec des hommes. Puis, j'ai connu Alex un garçon de 18 ans, très passionné par le sexe et qui baisait comme j'aime. Avec lui, je faisais tout ce qui est permis, sans une once de bestialité. Ce qui m’a fait apprécier et adorer Alex, c'est le culte de la bite, le culte de la fellation.
Bien sûr, j'ai de nombreux amants mais en aucun cas je ne les laisse me sodomiser et jouir en moi. J’aime me faire lécher l’anus et me faire doigter mais pas plus. J'aime trop. Un de ces jours, avec un mec plus doué que les autres, j'ai peur de succomber et de passer de l'autre côté. Pour l'instant, quand j'ai une relation avec un inconnu, je le laisse me caresser, me masturber, me sucer, mais ce qui me fait le plus tripper, c’est quand il me demande de lui faire l'amour. Suivant le cas, je l'emmène chez moi ou on va chez lui, sinon on va à l'hôtel c'est ce que je préfère. C'est plus excitant.
Un soir j'avais envie de me vider mais avec une bonne salope comme je les aime, surtout sachant être bien femelle de la chatte. Sur un réseau social je tombe sur un mec qui semble correspondre à mes attentes. On discute, il me dit qu'il est une bonne femelle à la chatte bien souple mais il est dans le 12è, moi je suis dans le 8è et il est tard. Je lui dis ok mais le rappelle plus tard lui disant que je sens pas son truc. Il insiste, me dit que je regretterai pas le déplacement, qu'il m'attend en jeans destroy, le cul tendu sur son canapé.
Je finis pas sortir et trouve un taxi qui me balade dans Paris. Je me dis: "Putain le plan gaolère, je n'aurais pas dû y aller!" mais je suis là dans le taxi. J'appelle le mec pour lui dire que j'arrive, il me donne quelques instructions pour trouver la rue le taxi se tire et je rappelle le mec. Apparemment c'est pas du bidon, il me guide toujours, me voit dans la rue.
Au bout de quelques minutes, j'entre chez lui. Il a laissé la porte entrouverte. Il est bien là sur son canapé, cul tendu dans son jeans destroy. Je vois pas sa gueule, seules quelques bougies éclairent la pièce.
Je vais direct au cul, je suis venu pour ça. Au travers du jeans destroy, je commence à caresser la chatte du mec. Ça me plaît bien, elle a l'air clean. J'y fous direct la langue, j'aspire les lèvres (j'adore bouffer une bonne chatte de mec, ça me rend dingue!), je commence à raidir. Putain oui! Ça c'est de la bonne chatte! Je la doigte, elle s'ouvre bien, le mec semble bien salope (j'adore les bonnes femelles). J'aurais préféré un cul plus musclé mais bon, c'est pas mal quand même.
Il me demande s'il doit retirer son jeans, je lui dis ok. Il se relève, se défroque. On en profite pour se rouler une bonne pelle. Bomec, la trentaine, oreilles un peu décollées. Les mecs trop beaux quelquefois font les mijaurées. C'est pas le cas ! et je retourne à la chatte. À l'aide du gel, je la travaille bien, elle s'ouvre comme une fleur, putain je trique comme un malade de voir cette fente qui n'attend que ma bite mais je ne veux pas qu'on se presse. Je profite du spectacle, je caresse, je doigte, le mec s'offre, se donne s'abandonne, d'une voix "off"de mec shooté par le sexe, me dit que je fais ça super bien.
Puis j'en peux plus, je fais glisser ma bite raide dans la fente, ça rentre tout seul. C'est divin, juste un ou deux va-et-vient histoire de me faire raidir plus. J'y retourne avec les doigts, putain je la lâche pas cette chatte de mec. Je lui roule des pelles, lui bouffe les seins, lui dit qu'il est une bonne pute, une bonne femelle. Il semble prêt à tout tant il aime ce que je lui fais. Je le prends dans mes bras, lui gamelle la gueule pendant que mes doigts fourrent son trou toujours plus souple. Je sais pas pourquoi mais quand il me dit que ça se voit que j'ai l'habitude avec les chattes de meufs, qu'il aime mon côté macho avant d'engouffrer ma bite, il doit penser que je suis un hétéro marié. Pas faux, lol ! Moi assis, cuisses largement écartées, bras sur le dos du canapé. Je ne réponds pas pour ne pas rompre le charme. C'est vraiment trop bon, on voit qu'il aime la bite, sans doute autant que moi j'aime les chattes de mecs.
Je me comporte avec lui comme s' il était une meuf Patins, bouffage de seins, sans jamais lâcher son trou. J'empoigne sa croupe à pleine mains tout en lui roulant des patins. Il me dit que je le fais super mouiller, qu'il veut ma bite. Ça fait plus d'une heure que je lui travaille la fente, je suis un peu fatigué, j'ai envie de cracher mon jus, lui aussi. Je le prends en levrette et lui bourre la moule au plus profond avant de larguer mon jus au fond de la capote.
Il est 1h30 du matin, il est sympa: il appelle un taxi et m'accompagne jusqu'en bas de l'immeuble. Je me tire vite fait, je dois me lever à 6h et je suis nase... Mais on a pris notre pied tous les deux...Une vraie vie de patachons !
Ce qui devait arriver tôt ou tard va vous faire sourire : c'est en plein inconfort que je me suis fait avoir. Je suis tombé en panne un matin au beau milieu de nulle part, à 100 bornes de Paris.
Mon sauveur est arrivé sur un tracteur alors que je venais à peine de verrouiller ma bagnole. Dès que je lui ai fait signe, il s’est arrêté, un beau mec blond avec les cheveux bouclés, très baraqué, à peu près de mon âge, c’est à dire à peu près 30 ans. Sur le moment, je n’ai pas du tout songé au côté baise de cette rencontre, j’avais trop de soucis. Il m’a gentiment proposé de jeter un coup d’œil sur mon moteur. Visiblement, il s’y connaissait beaucoup mieux que moi. Il m’a parlé d’un problème de Delco et d’allumage. Quand il m’a dit que ce n’était pas grand-chose, je me suis senti profondément soulagé. Il est reparti vers son tracteur chercher des outils et il a commencé à démonter une pièce du moteur. Sa position me laissait tout le loisir de le détailler, et devant ses bras puissants, j’ai commencé à fantasmer sur ce superbe étalon. Il mesurait plus d’1m80 avec des épaules larges. Son jean serré épousait son paquet et formait une belle bosse au niveau de la braguette. Il était assez banal de visage mais possédait un corps athlétique moulé dans un débardeur blanc qui laissait entrevoir quelques poils blonds de son torse. Tout en discutant avec lui, j'ai appris qu’il s'appelait Francis, qu’il travaillait comme agriculteur dans la ferme de ses parents. Je lui ai demandé si ce n’était pas trop dur de vivre dans un coin aussi reculé. Je le draguais déjà et je voulais surtout savoir s'il avait souvent l'occasion de prendre son pied et de se vider les couilles. J’avançais quand même prudemment, je ne savais encore rien de lui, mais j’étais de plus en plus excité par la force et l’étonnante virilité qu’il dégageait. J’ai toujours eu un petit faible pour les travailleurs manuels aux mains rugueuses.
Sa réparation terminée, je suis allé remettre le contact et le moteur a démarré dès le premier coup de clé. Je voulais remercier Francis à ma façon, mais je ne savais toujours pas comment l’aborder. La phrase est sortie toute seule de ma bouche: “On ne va quand même pas se quitter comme ça. Je te trouve très mignon!” Anxieux, j’ai guetté sa réaction. Allait-il me mettre son poing sur la figure? Francis a paru hésiter. Il m’a détaillé de la tête aux pieds avant de répondre: “Tu aimes t’en prendre une grosse dans le cul?”
J'avais pensé l'inverse, mais je me dis que " l'appétit vient en mangeant" et que ce serait moi le baiseur.
J'ai tout de suite plaqué ma main entre ses cuisses. J'ai senti en même temps, sous mes doigts, une grosse paire de couilles et une pine qui commençait à gonfler et à raidir sous le tissu. On ne pouvait pas aller chez lui, à cause de ses parents. Il connaissait un coin tranquille, pas très loin de là. Je suis remonté dans ma voiture, lui dans son tracteur, et je l’ai suivi sur un sentier qui s’enfonçait dans une épaisse forêt de chênes, très excité à l'idée de cette baise matinale et imprévue avec un mâle aussi bien foutu.
Francis ne portait pas de slip sous son jean. Debout contre la roue de son tracteur, il a tout de suite ouvert sa braguette pour extraire sa tige, et là, j’ai pu me rendre compte du sacré morceau. Il a bien tiré sur la peau du prépuce pour faire saillir le gland, en m'annonçant: “21 centimètres! Tu crois que ton petit cul pourra l'avaler jusqu'à la garde?” Agréablement surpris par les dimensions de sa tige, je me suis approché de lui pour la branler. En même temps, j’ai avancé ma bouche vers la sienne et je l’ai embrassé. Sa queue était fine, tiède, raide comme un piquet. J’ai demandé à Francis de retirer son débardeur pour contempler son torse. Les pectoraux étaient saillants, recouverts d’une belle toison blonde, les abdominaux bien dessinés. Les deux pointes de ses seins étaient entourées d’un large mamelon sombre. Je les ai léchées puis sucées tout en continuant de manipuler sa bite. Quand je me suis aperçu que Francis aimait cette caresse, je me suis amusé à mordiller délicatement ses tétons avant de m’agenouiller devant lui. Son gland sentait fort comme s'il s'était déjà branlé dans la matinée. Je crois que c'est cette odeur épicée qui m'a fait complètement perdre la tête. J'ai sucé sa queue, j’ai bouffé ses couilles, je me suis appliqué de mon mieux pour le faire triquer comme un fou. En même temps je caressais ses fesses d'une main à plat et je tentai de la glisser entre le deux globes bien fermes. Il me saisit fermement la main et la repoussa. C'était joué !
Francis est venu dans mon dos. Il s’est penché pour me lécher le cul avec sa langue râpeuse et le mouiller abondamment de salive. Il m’a planté un doigt pour me dilater l’anus, puis un second, les faisant aller et venir en les vrillant. Rien que ça, c’était déjà délicieux. Il savait autant que moi très bien travailler un cul et assouplir une rondelle. En quelque sorte j'étais battu !Tout en me doigtant, il branlait ma bite et mes couilles avec son autre main. Je commençais déjà à me tordre de plaisir. Il a fini par retirer ses doigts de mon trou et, me montrant bien qu'il voulait me baiser, il m’a fouetté les fesses et la raie du cul avec sa queue sous plastique.
Ce n’est qu’après que, subjugué, je lui ai offert mon cul. Contrairement à mon habitude j’ai eu envie de me faire baiser et là, dans un total inconfort, contre son tracteur. me demandant si mon trou serait assez large et assez profond pour la recevoir jusqu’aux couilles. J'ai descendu mon froc et mon slip jusqu’aux chevilles, puis je me suis tourné en lui tendant une capote. J'ai posé mes mains contre la cabine en cambrant bien mes fesses vers l'arrière.
Enfin, il a dirigé le bout de sa pine vers mon trou du cul et il s’est mis à me forcer. J’ai poussé un gémissement de plaisir au passage du gland. Francis a continué de s’enfoncer. Il me plantait plusieurs centimètres de sa tige et s’arrêtait quelques secondes avant de s’introduire plus profond. Il tenait mes fesses largement ouvertes et commentait en même temps ce qu’il ressentait: “Putain qu’il est bon, ton cul! Un vrai cul de petite salope. Ça faisait longtemps que je ne m’en étais pas farci un d’aussi chaud!”
Il n’a lâché mes fesses qu’une fois bien à fond pour me saisir par les hanches et me défoncer de toutes ses forces. Il me tirait vers lui tout en me transperçant avec son dard. Ses coups de reins étaient rythmés par des: “Tiens, salope, c’est bien ça que tu voulais, hein?” ou “Tu vas voir dans quel état je vais le mettre, ton trou à bites!” Je n’aurais jamais cru trouver un amant aussi doué ici. Il fut long à venir. Il m’a prévenu peu de temps avant de décharger, et je n’ai eu qu’à astiquer sèchement ma pine pour décharger avec lui. J’ai joui très fort pendant qu'il giclait par saccades entre mes fesses.
Francis s’est rapidement retiré. En jetant un coup d’œil à sa montre, il m’a lancé qu'il était très pressé, son père l'attendait. Je l’ai vu disparaître avec un signe d'amitié sur son tracteur. Quant à moi, ma voiture réparée et mon cul bien baisé, j'ai repris la route de Paris, avec un petit pincement au cœur. Je venais de perdre mon deuxième pucelage
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