Partager l'article ! Chris versus jimmy Je m'appelle James, mais il persiste à m'appeler Billy: une vraie première ...forcée &nbs ...
une vraie première ...forcée
"- je t'en supplie Chris ! ne fais pas ça, je suis vierge ! ai-je dit en geignant. Mais justement, soumettre un gars qui pleurniche ça ne faisait que le faire bander de plus belle. Chris était déterminé à me prendre et, sachant maintenant que j'étais une vierge il désireux comme l'enfer de baiser mon cul.
"- JE VAIS TE FAIRE RAPPELER CETTE NUIT POUR TOUJOURS ma salope, Tu peux dire au-revoir à ton jeune-cul-vierge ! "
dit-il en ricanant et en trifouillant dans mon trou maintenant sans défense.
"- Noonn ! ne le fais pas " criais-je, mais avant que j'aie fini de le dire il poussait son gland dans mon trou.
"- comment ça fait ma salope ? tu la sens ?" hurla Chris tout excité.
" - oh nooon ça fait trop mal, Chris, arrêêête ! " dis-je. La douleur était atroce alors que, sans aucun lubrifiant, sa queue prenait possession de mon cul vierge.
"- ferme-là ! t'es un homme, non ? prends-la comme un vrai mec ! Huuuumm hhhh" gémit-il, en poussant de manière incroyable la totalité de son pénis dans mon conduit si serré.
"- ah ouais, t'es aussi étroit que je pensais!" dit-il triophaleent, la voix traînant dans une sorte de halètement permanent alors qu'i entamait un sauvage pilonnage qui me fendait en deux.
"- mais tu me déchires, ça fait mal. Arrête. Putain, je ferais n'importe quoi pour que tu arrêtes" marquant ainsi une fausse soumission. Mais il n'aurait rien voulu d'autre que baiser mon petit cul étroit, et mes cris jouaient sur lui comme un aphrodisiaque ! Chris était alors si excité que chaque coup de boutoir s'accompagnait d'une claque cuisante sur ma fesse droite. Il me sodomisait et il jouissait de chaque instant de cet épisode.
Sa queue épaisse distendait probablement mon anus aux limites de la déchirure, si ce n'était pas déjà déchiré. Je devais saigner, certainement. Aussi j'imaginais que mon cul était rougi au sang par la fessée brutale. Mais rien ne pouvait l'arrêter.
Son pilonnage était devenu intense. Chaque coup de reins était plus violent que le précédent. Il était à fond en moi et je croyais que chacun des coups de son engin le menait plus profond encore. Mon cul ne pouvait pas être cassé davantage, je pensais que ça ne pouvait pas être plus et pourtant il prenait de nouveaux puissants élans.
"- allez ! c'est à toi aussi maintenant : remue un peu ton cul salope !" ordonna-t-il en écrasant mes fesses et me pilonnant sans merci.
Incroyable, mais craignant des représailles, j'obéis, poussant mon cul vers lui et sentant ses couilles sur mes fesses. La seule réalité qui me parut alors moins rude. Si je n'avais pas été forcé je n'imagine pas qu'un autre homme me pénètre d'une gaule aussi monstrueuse.
Là où j'en étais ( nous en étions ! ) je ne pouvais que le supplier de ne pas juter dedans. J'espérais qu'il m'évite cette nouvelle humiliation. Mais je me trompais de nouveau.
" - s'te plaît, Chris, sors avant de jouir..." suppliai-je..
La réponse ne se fit pas attendre. Le monstre n'avait aucun état d'âme.
" - Je vais remplir ton cul de mon jus, salope ! Tu peux y compter, te remplir à fond." Sa voix changeait et il criait dans un râle de plaisir : il avait attrapé mes hanches et accélérait ses coups. Sa queue, dure comme du bois, ravageait mon cul de plus belle. Prépare-toi je vais jouir ! Ahhh je jouis, saloooope !" Dans ma vie, par la suite je ne me souviens pas d'avoir - pour les avoir recherchés- des battements aussi intenses de jouissance. L'humiliation avait beau être à son comble et aussi totale que Chris l'avait souhaitée, j je n'y pensais plus, comme une chose accomplie et advenue. Pourquoi à ce moment ai-je basculé sur le côté comme font les lapins ? je ne sais. Mais Chris a suivi le mouvement et me maintenait il ne m'avait pas lâché et continuait, j'imagine dans son jus...sa bite encore étonnamment raide.
Ensuite il décula (enfin) et s'agenouilla devant mon visage me présentant sa queue dégoulinant de son éjac et la frotta contre mes joues les enduisant de sperme. Il força mes lèvres pour que je le suce et le nettoie. Enfin il me "gifla " de sa longue queue sur les deux joues comme pour jouer. "- ah, appelle-moi si tu veux tenter quelque chose avec ce cul serré un de ces quatre, tu vas en avoir envie à partir de maintenant je pense", dit-il dans son rire gras..."- je suis toujours partant pour baiser un petit cul ! ahahahah"
Il m'avait retourné : désormais j'étais gay. .
by REINERB13
adapté de l'anglais ici au site Cavaillongay
Derniers Commentaires