cavaillongay-lesitelocal

l'alcool m'a beaucoup aidé à franchir ses réticences et il a fallu bcp de gin pour qu'il ne se soucie plus de ce qui arrivait- trop d'alcool en fait-   

  il n'a, à aucun moment montré qu'il aimait ce qu'on faisait, jusqu'à cette 8e minute où il a pris la "chose" en main et m'a baisé volontairement, mais avec trop d'indifférence, quoique  il a haleté, gémi, hurlé de plaisir vers la 10e minute . C'était un don généreux bien que je l'aie un peu beaucoup forcé à me baiser. Je me pose la question : va-t-il vouloir recommencer ?  J'en doute ! ...c'est sûr qu'en fin de semaine prochaine on va encore boire...¤  

commentaire :

tous les gars n'ont pas les mêmes réticences après "le binge drinking" de fin de semaine :

  on avait bu (trop) dans cette taverne du port...

tout avait commencé dans les chiottes ...

et ça s'est si bien poursuivi

que du bonheur !

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Une autre (bien belle) histoire de binge drinking :  

  Description: Un jeune agriculteur gay boit de l'alcool et a des rapports sexuels occasionnels. L'arrivée d'un travailleur migrant roumain enflamme une relation intense. A la campagne, avec un dur travail on a besoinde compensation. Soyons sûrs que nos gars du terroir, qu'ils trichent avec leur femme avec un employé de la ferme ou qu'ils soient célibataires, ont la même vie amoureuse passionnée :

 Josh O'Connor & Alec Secareanu dans une édition de "God's Own Country" où les scènes d'amour se multiplient.

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Les femmes veulent la vedette en "balançant leur porc" et les hommes gays veulent rattraper le temps perdu où ils n'avaient pas droit à montrer leur passion :

"Quand tu seras ému devant leur joie de vivre
Devant leur soif d'amour quand tu auras pleuré
Pour un Alain-Fournier vivant le temps d'un livre
Ou bien pour Guy Moquet mourant au temps d'aimer
Le temps d'aimer se perd le temps est ce qui passe
Le temps est ce qui meurt l'espoir est ce qui naît
Regarde ces garçons ces filles qui s'embrassent
Il va naître pour eux le temps que tu voulais

Alors tu aimeras alors tu salueras
La jeunesse la jeunesse la jeunesse"  Jean Ferrat