Partager l'article ! BARCELONE (Barna) une enculade de 1ère catégorie La morale de cette histoire ? ayez toujours du lube avec vous. Des capotes aussi. -lol-:   ...
RECIT REEL
j'ai peur de ce genre de drague ci-dessous, la nuit, en des lieux déserts ne soit dangereuse ... mais j'aime les frissons
pour vous dire, je déteste pas le risque
Je suis un dragueur invétéré. Maintenant fliquées, barrées, interdites, type de dragues que j'ai longtemps pratiquée pourtant...pantalons aux chevilles, etc ...
Jeune, c'était le début de mon année Erasmus, j'ai dragué à Barcelone dans les urinoirs d'une gare qui communique avec le métro.
N'ayant rien, ni lube, ni capotes j'avais quand même très très envie.
Un beau gars, costaud, bien doté à ce qu'il me fait voir, me dit -"ven !". Je devine qu'il m'emmène chez-lui ou dans un lieu tranquille. -" ¿ Eres francés, no? " -"si" dis-je en inclinant la tête -" vaya suis moi !" Une vraie course dans les couloirs
et arrivée à un terminal de métro.
Il enjambe les barrières du métro. Sans ticket ! essoufflé je le suis sans réfléchir avantage. On bouscule les gens pour les doubler. Mais qu'est-ce que je fais...??? ça va pas non ? Ben je suis assez allumé par ce garçon. et si je me fais choper à tricher ?
Silence dans le métro.On est presque seuls. On s'asseoit en vis à vis, jambes allongées...
On se dévisage (Nickel pour ma part, je regrette pas)... Il est beau, déterminé, jeune comme moi...A peine plus jeune.Un peu roux. Hummmh on va se régaler...Mon coeur bat si fort parce que je suis essoufflé ou c'est l'émotion ? L'envie aussi. " ¿No ?"
Il saute du métro sans prévenir. Il faut courir. Pourquoi ?
Rue étroite, immeuble un peu louche...j'y-va-ty ? Tout en haut des escaliers qui tournent et qui branlent, sous les toits, une chambre
si petite... dans un tel souk...Il commence à ranger un peu. Moi je n"ai pas toute la nuit...on doit être loin du centre...je me déshabille pour rester dans le sujet...
Je vois des cartons à dessin. " ¿Estudiante, no ?" -" Si, aqui en Barna en la Escuela de Arte y Superior de Diseño Pau Gargallo. ¿Usted conoce ?" . -"Claro, no ! pero dime "TU ! "por placer" (dis-moi tu svp). "Ok"
Je lui tends les bras, en boxer. Lui encore à demi habillé. Il parle un peu français. Il me dit "pipi" en s'éclipsant sur le palier...hi hi jirais bien aussi, j'ai un peu envie...
Enfin on est au lit. Putain qu'il est beau et fort sans être grand, avec ses poils roux partout. Vous vous posez la question, "et le sexe, la biiiite ? " Pas d'impatience. Elle est grosse. Très. Faudra qu'il me travaille, sinon c'est trop épais. Long je dis pas : c'est ok. Mais épais ça oui. Allongé sur moi, son haleine dans la mienne, son odeur autour. On a transpiré. Mais ce n'est pas de la vieille sueur. Humez avec moi : c'est enivrant au possible.
-"no !" me dit-il en m'arrêtant de la main, "No te toques"ne te touche pas ! (sous entendu : si tu jouis tu vas plus vouloir que je te baise)
-la quieres ? -Siiiiii Pero es gorda (tu la veux ? tu l'aimes ? o, oui, mais elle est grosse)
Il aurait pu être plus souriant !
un peu ça la photo ci-dessus (fake), c'est pas lui bien sûr ! et sa queue était plus grosse mais la barbe oui, superbe ! j'avais oublié de le dire.
Si moi j'étais très désireux qu'il me prenne, lui, je crois qu'il l'était encore plus...
Il me titilla, puis me mit un bout de doigt qu'il avait fin.J'ai dû fermer les yeux et soupirer je suppose...hihi
Mais ce qui ne m'était jamais arrivé : je me branlais doucement et il m'arrêta et chaque fois que je recommençais, il m'arrêtait avec une certaine autorité.
attente et pas de sturb svp !
Il arrangea les oreillers sous mon ventre pour me baiser à sa guise.
ben sans préliminaires, sans lube, juste un peu de salive... sans préparation même une queue plus petite m'aurait fait violence.
Et il me répétait : -"no te quejas" (n'aie pas de souci...) son magnifique gland sur mon entrée, il poussait. Je me retournais . Si je me touchais, il retirait ma main de mon propre sexe...
Il alla prendre une savonnette en guise de lubrifiant ...sans rien dire j'acceptai...ça allait piquer un peu. Et c'est comme ça qu'il me prit.
Ca ne pouvait être que douloureux. Et il voulait que ça dure.
La morale de cette histoire ? ayez toujours du lube avec vous. Des capotes aussi.
Je m'engouffrai dans le premier taxi et criai mon adresse. J'avais un satané mal au rectum. Mais j'étais content de ma sortie en solitaire.
Sinon c'est un beau souvenir
commentaire :
jungle d'Espagne.
suant et un peu essoufflé....et Moi, et moi, et moi ??? eh ben : crevé mais content !
Derniers Commentaires