Partager l'article ! avec Roland, vu son chibre énorme, vu sa dureté quand il bande, vu l'énorme quantité de jus, vu son coup de reins qui vous casse,vu qu'il est fort ...
c'est toujours la première fois car on ne se fait pas à un mec comme ça, rude et EN MEME TEMPS -lol-plein d'égards et de gentillesse...
"Et dire que si je l'avais croisé sur le parking au début, jamais je n'aurais accepté de baiser avec lui, il m'a avoué que, souvent, vu l'épaisseur de sa bite, les mecs refusaient de se faire enculer". La gentillesse était sa nature, mais c'était aussi la condition pour se faire accepter et pour séduire....
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"Je peux dire à un pote de venir, si tu veux, on va t' baiser tous les deux". J'ai pris un plaisir énorme à me faire baiser et à sucer en même temps, lui heureux de voir son pote au bord de la jouissance.
J'étais donc en panne de voiture, en attente d'une réparation et je venais de sucer un beau routier musclé et de me faire sodomiser par son copain Roland. ( Panne de voiture 1)
Nous revenions du petit bois et pour prolonger et ne pas se quitter comme ça, Roland voulait que je le suce dans son camion ()…. Je lui ai proposé
de venir dans ma chambre d'hôtel, pour plus de confort et de discrétion. Il était d'accord. Je pense qu'il aurait accepté n'importe quoi pour pouvoir me rebaiser. Il a récupéré quelques affaires
de toilette. Il rebandait déjà et ça se voyait bien. Un peu trop apparemment…
Un routier s'en est rendu compte et nous a interpellé. Roland, contrairement à son attitude avec pas du tout partageur à ce moment là, lui a sorti
une réponse vaseuse et a continué de marcher.
Sur le trajet jusqu'à la chambre, Roland m'a dit:
" J'ai envie d'être tranquille avec toi. J'ai envie de ton petit cul. C'était trop bon tout à l'heure. " et je lui ai demandé
" Tu le connais? "
" Oui, mais il est brutal, il t'aurais fait mal."
" Merci . C'est vrai que tu as pris soin de moi. Je n'ai pas eu mal. Merci Roland"
" Quand j'ai vu ton petit cul, j'avais trop envie de t'enculer. T'as vu, j't'ai bien dilaté avec mes doigts et je suis allé doucement. Maintenant,
on va pouvoir profiter plus rapidement."
Cette conversation m'excitait et j'avais hâte de me faire rebaiser.
Il ne tenait plus lui non plus et on a fini les derniers mètres, son bras sur mes épaules.
Nous sommes rentrés dans la chambre, très en forme.
Roland me demande:
" Avec cette chaleur, je sens un peu le fauve, ça te dérange si je prends une douche avant ?
" Pas du tout. Je vais venir te sucer sous la douche.
" Hummm, mon petit chéri, t'as envie toi aussi. Merci."
Je me suis donc déshabillé et ai préssé un peu le tube de gel dans mon cul, encore dilaté. J'étais chaud..
Quand j'ai pris son sexe en bouche, vu son épaisseur, je n'ai pris que le gland et un peu plus. Il aimait bien mais je ne peux pas dire que c'était
le top ni pour lui, ni pour moi. Il a préféré qu'on s'installe sur le lit. Il m'a rejoint, à peine sec, la bite raide, prête à l'action.
C'est sûr, il m' impressionnait: grand baraqué, une carrure de vigile, des cuisses énormes, une barbe de 5 jours, cheveux rasés courts….mais niveau
sexe, il était équipé ….oh, putain, la queue. Longueur normale (19/21sans doute) mais d'une épaisseur ….hummmm. Et le mec, poilu, sur le torse, les bras, les cuisses…Avec un visage viril, une
barbe de 5 jours, cheveux rasés courts, un mec au final doux et sympa…Bref, un beau mâle puissant et viril.
Je n'ai pas eu le temps de trop réfléchir qu'il était allongé contre moi, les poils encore mouillés et m'a roulé une pelle d'enfer. Sa langue
épaisse me fourrageait la bouche et sa barbe dure me grattait le visage. Jamais un homme ne m'avait embrassé avec une telle énergie.
Oui, il me faisait l'amour, pris dans son désir sexuel, m'enveloppant dans ses bras virils, me caressant les tétons, parcourant mon corps, visitant
mon sexe tendu de plaisir.
Ses larges mains n'ont pas tardé à rejoindre mon petit trou. Quand il a vu que son doigt glissait parfaitement en moi, il m'a mis sur le ventre.
Il s'est positionné derrière moi, m'a relevé les fesses en me prenant les hanches. Dès que son gland m'a ouvert la rondelle, il m'a envoyé doucement, sans s'arrêter, son énorme braquemart dans le cul. J'ai gémi bruyamment, mordu l'oreiller et me suis cabré sous l'effet de la pénétration. Avec un autre coup de reins, pour bien me la mettre à fond, dans son élan, il s'est retrouvé allongé sur moi. Malgré sa carrure et son poids, il ne m'a pas écrasé.
" Oh, putain, que c'est bon. Je sens bien ton cul. Des petits jeunes comme toi, j'en baise pas souvent. J'adore. C'est trop bon, mon chéri."
Il m'avait déjà enculé au fond du petit bois mais mon cul n'était pas habitué à tel gabarit. Il m'a serré dans ses bras, a attendu que je me détende
un peu, m'a demandé:
" Tu aimes bien, mon chéri" …….. " Oui, c'est trop bon" ….et le festival a commencé.
Il m'a tringlé en soufflant comme une bête sur ma nuque et en m'embrassant, en n'arrêtant pas de dire " Oh putain que c'est bon……Oh, putain que
c'est bon."
Son pieu était en moi et je prenais un plaisir inouï à le recevoir. J'ai dégusté chaque moment. Et sur le lit, c'était meilleur que dehors. Il était
en sueur mais n'arrêtait pas. Il sentait que je cabrais du cul et s'appliquait à onduler en moi, le plus loin qu'il pouvait.
Ca l'excitait de voir que je le désirais, que je voulais qu'il me féconde. Il était heureux, fou d'envie, léchant mes oreilles, cherchant ma bouche,
me salivant partout ou il pouvait.
Puis il m'a mis sur le dos, les jambes écartées. J'ai vu à ce moment là son sexe dans toute sa splendeur, bandé comme un arc, énorme et luisant, les
poils de ses couilles mouillés de sueur. Il m'a repris sans ménagement et j'ai senti ses couilles poilues toucher mon cul. Il était ravi de m'entendre gémir à chaque coup de piston et m'a demandé
si j'aimais sa queue. J'ai dit " OUIIIIIIHHH , c'est trop bon "et il s'est appliqué à me faire plaisir, me limant le trou au ralenti, satisfait de mes gémissements à chaque fois que son énorme
gourdin sortait puis rentrait en moi, regardant mon trou béant offert à sa bite. Il profitait de sa puissance, savourait.
Il s'est penché sur moi pour m'embrasser, sûr de lui, me dominant, me roulant une pelle baveuse tout en me labourant le cul. Mon plaisir devenait intense. J'ai passé mes mains sur ses épaules et sa nuque poilues. Je m'accrochais à lui et me tendais pour qu'il me pénètre encore mieux. Il voyait ma jouissance arriver. Mon cul était offert. Je le voulais, j'étais à lui. Il a amplifié et accéléré ses coups de bite, me faisant sentir ses grosses couilles restées à la porte, me serrant encore plus fort, bavant d'ardeur et de désir…
….J'ai crié, j'ai joui comme jamais je n'avais joui. J'ai senti chaque jet partir de mes testicules et parcourir ma tige, chaque contraction venir
exploser en coup de fusil au niveau de mon gland et mon sperme se répandre entre nous, se coller à son ventre poilu.
J'étais vaincu, offert, il n'avait plus qu'à porter l'estocade pour achever en beauté ce corps à corps improbable entre un petit jeune comme moi et
un balèze de routier.
Il a continué à coulisser en moi sans baisser la cadence, souriant et heureux, sûr du plaisir qu'il me procurait. Son souffle est devenu plus
puissant, ses coups de reins plus profonds puis, dans un râle salvateur et très bruyant, s'est répandu en moi en plusieurs giclées délicieuses, libérant toute la pression qu'il devait avoir
accumulé dans ses couilles.
Fourbus, nous avons basculé sur le côté puis nous sommes restés ainsi plusieurs minutes, sa grosse bite encore raide dans mon cul. Il m'a couvert de petits bisous, pour me prouver que, pour lui aussi, le bonheur était intense. Il me serrait et me caressait, voulant prolonger ce moment de bonheur.
Oh, putain, mon chéri, des moments comme ça, j'en veux bien tous les jours"
" Roland, c'était excellent, tu m'as fait jouir du cul. Jamais je n'ai eu autant de plaisir."
Et c'était vrai, je n'avais même pas tous les mots pour le lui dire mais il avait compris.
" Ca fait bien longtemps que j'avais pas baisé un petit jeune bien foutu comme toi. Oh, putain, ton p'tit cul, c'est trop bon."
Je l'ai embrassé et encore embrassé, sonné sous l'effet de cette jouissance merveilleuse.
" Putain, j'ai bien aimé ton cul, c'est trop bon. J'aimerais bien passer une nuit avec toi. "
Comment ne pas être ravi d'une telle invitation.
Et dire que si je l'avais croisé sur le parking au début, jamais je n'aurais accepté de baiser avec lui, vu son physique. Le beau routier que j'avais croisé au début avait bien fait de l'inviter et de le laisser me baiser sans que je le voie.
Il m'a donné une tape sur les fesses. Je me suis touché le cul quand il s'est retiré. Il a ri. Mon cul était ouvert. Ca me faisait tout drôle de ne
plus avoir de bite dedans, de sentir l'air rentrer.
Son téléphone a sonné, il a répondu que sa pause était finie, qu'il repartait.
Il m'a remercié pour le plaisir que je lui avait donné et m'a avoué que, souvent, vu l'épaisseur de sa bite, les mecs refusaient pour se faire enculer. Alors, enculer un petit jeune comme moi, c'était pour lui le plaisir suprême. Je l'ai remercié moi aussi pour le plaisir qu'il m'avait procuré et toute l'attention qu'il avait mise pour me prendre la première fois dans le petit bois.
Il s'est essuyé et habillé vite fait, il était à la bourre. Sa pause avait été plus longue que prévu.
Son téléphone a encore sonné, c'était son copain routier. Il voulait sans doute des détails croustillants sur nous deux. Sans la moindre gêne, devant moi, il lui a répondu:
" Je l'ai bien baisé, on a dégorgé tous les deux, putain, il m'a bien vidé les couilles. Je te rappelle, je suis à la bourre."
Il m'a donné un petit bisou très doux et laissé son numéro, sûrement pas dans ses habitudes.
En sortant de la chambre, je l'ai entendu croiser un voisin de chambre qui lui a dit, pour le féliciter:
" Dis donc, tu lui a bien ramoné le cul, je l'ai entendu profiter, il a pris son pied"
et Roland lui a répondu, fier comme un mâle vainqueur et dominant:
" Il a bien aimé, et moi aussi. Je lui en ai mis deux bonnes doses…T'as vu comment je suis bâti, et j'ai le matos en conséquence…. Je lui ai bien
ouvert le cul ". Et il a continué de se diriger vers le parking, fier comme un paon, ravi de faire baver le mec.
C'est vrai, j'avais le cul bien ouvert et j'avais bien aimé. Sur cette route de campagne, un peu éloigné de tout, je n'aurais pas pensé que c'était
possible.
J'ai pris une douche, me suis bien savonné le cul qui, le pauvre, avait un peu souffert. C'est un peu con à raconter mais il m'avait tellement
ouvert le cul que je ne savais plus si j'avais envie de péter ou d'aller aux toilettes. Enfin, il ne m'avait pas fait mal, c'était le principal.
Je ne m'étais pas souvent fait prendre par des mecs qui n'étaient pas de mon âge, mais ce jour là, avec ce beau musclé et ce balèze de Roland,
c'était jour de chance. Bref, des routiers sympas. Merci les gars.
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