Partager l'article ! ARRACHE TRIPES- " C'est Max qui t'envoie ? " -" Non rien de ça. Une chose à te dire. Max est à moi"-"Ok. tkt. Il me dira ça tout seul ."- "Nan. C' ...
bises
Il est blond. Trop costaud. Pas mon genre du tout, du tout.
-"Moi c'est Julien. Toi c'est Jérôme je crois"
-"On se connaît ? " Maintenant je suis un peu sur mes gardes.
-"Max me parle de toi" ..."j'en sais long"
- " Rien à te dire. C'est Max qui t'envoie ? " -" Non rien de ça. Une chose à te dire. Laisse tomber. Max est à moi"-"Ok. tkt. Il me dira ça tout seul à sa prochaine visite."- "Nan. C'est toi qui va lui dire que c'est fini vous deux."
Je me lève. Je veux pas d'histoire. Ce type a bu probablement.
Il me suit la démarche titubante. Je préfère aller à ma voiture qu'à mon appart pour ne pas lui montrer le chemin. Je démarre en trombe. Je ne suis pas suivi... J'arrête pour souffler et réfléchir après deux ou trois carrefours.
Max déchaînerait les passions ? Et moi, là dedans ? C'est bien la première fois que je vois des mecs se prendre comme pour se disputer une nana.
Rien faire. Attendre. Ne pas se montrer. Ne pas appeler Max. Pourquoi faire ? En tous cas voilà une preuve que je ne suis pas son seul partenaire. J'aime qu'il me baise, mais de là à péter les plombs comme ce Julien ? Je ris tout seul dans la voiture : Julien en tient pour la bite de Max.
Dix bons jours se passent. Max passe à l'improviste. Il tente d'ouvrir, la porte s'entrebaille retenue par la chaîne.
- "T'es tout seul ?" "...Attends je passe un pull et on descend boire quelque chose"
Ascenseur. Pelotage de Max qui me fera damner de désir.
Bar. Whisky. Deux. -"T'es venu seul ? " - " ????" -"Et Julien ?"
-"???" - " Ecoute Max, je suis cool, mais un mec est venu me menacer ici même si je ne te laissais pas. Tout le monde sait que je suis pédé, mais j'ai jamais d'histoires et là, Max, tu m'apportes des problèmes".
Max se démène : oui, il connaît Julien. Non, Julien ne me fera aucun mal. C'est un mec qu'il a rencontré au sauna. Je n'ai qu'à venir avec lui au sauna et je verrai. Oui il le baise, mais est ce que ça veut dire qu'il doit cesser avec moi ?
Jamais vu ça ! et il continue à me peloter en public. On est dans un coin, mais...
Et puis finalement, pourquoi pas ? mon désir est monté, sa queue doit être toute raide. On remonte chez-moi.
Aucun regret : c'est une soirée de dissuasion. Hihi. Max se surpasse. Je suis pâmé les deux tiers du temps. On baise comme des fous. C'est notre droit, non ?
Oui, mais moi je ne suis pas marié, je n'ai pas de partenaires jaloux, je ne vais pas au sauna...
Comment dire à max que c'est fini quand, jusqu'au plus profond de mes tripes, je le désire ardemment.
-"mais qu'est-ce que tu lui as dit de moi à ce Julien pour qu'il sache où me trouver ?"
-"Rien.Presque rien : je lui ai dit que tu es un fameux bon coup de passif, et comment ça s'est passé la première fois toi et moi"
- "tu as déclenché une crise de jalousie et moi je suis au milieu.
Et puis tu roules trop ici et là, je vais finir par choper quelque chose"
Dénégations de Max qui s'invite pour une prochaine soirée.
Un soir, je devrais dire ce soir là car il a été marquant, il neigeotait, les flocons piquaient le visage, activés par un vent violent. J'étais pressé de retrouver la chaleur de mon appart.
Ascenseur, palier...la porte n'est pas verrouillée. Mon coeur s'habille de joie : c'est sûrement Max, c'est le seul à avoir mes clés. Comme il fait bon ici, je me dis on va se faire une bonne éclate. - "Max tu es là ? Salut ! "
La porte à peine refermée, je suis empoigné par des bras vigoureux. Trois hommes cagoulés dont un me fait face, m'immobilisent sans ménagement. - " tu as été averti.Tu vas payer"
Tous mes vêtements volent. vous imaginez comment : je résiste, mais rien n'y fait. Ces hommes sont en cuir leur entrejambe est dégagée on voit leurs membres tendus ...
je crie : - "Max arrête-les, arrête ça ! tu déconnes " car je suis persua dé que c'est encore une farce de Max, 2e saison.
Les hommes observent maintenant le mutisme des gorilles au moment de se taper une femme blanches. Quelques petits cris de singe seraient plus rassurants que ce silence.
Si je voulais, au moins partiellement cacher ma nudité c'est raté : mes poignets sont liés au scotch aux barreaux de mon lit, mes bras en croix. Je suis au supplice, vraiment.
Sans défense, j'essaie encore la "persuasion" : -" Julien, je sais que tu es là, arrête tant qu'il est temps : je porterai plainte sinon !" Personne ne répond.
Maintenant j'ai vraiment la trouille : il y en un qui fouille mes meubles fout tout parterre, retourne toutes mes poches. Ca y est ils ont mes papiers, mon portefeuille, ma carte bleue, et des billets que j'avais mis entre les draps de l'armoire.
Ils sont quasi à poil, ils bandent mais on dirait que c'est pas la "bagatelle" qui les motive. La peur prend possession de tout mon être, je tremble et ça se voit. L'un d'eux prend un duvet de l'édredon dans la main gauche, et dans l'autre main tient un briquet. L'un d'eux maintient mes pieds. On les fixe aux pieds du lit avec une corde. Il approche la tête de mon visage. je vois son dur regard, de sa cagoule dépassent à peine ses lèvres et je vois ses dents. -"Tu préfères ça ou ça ?" Je comprends : les chatouilles ou la torture. -"ni l'un ni l'autre, connard !" Mais c'est une diversion : un autre approche un dong (1) noir énorme et d'une longueur démesurée : trois fois la longueur de mon abdomen... -"c'est souple tu vois, ça va partout, ça fait du chemin : quand c'est au bout de ton gros intestin ça contourne et ça va chercher plus loin dans tes tripes. Ne crie surtout pas ou on te bourre la gueule avec ton boxer"
-"on veut juste le code de ta carte bleue, quand tu es au top du plaisir, tu nous le dis, c'est tout et n'attends pas de tomber dans le pommes, car tant que tu ne dis rien, nous on continue". Ma tête va de gauche à droite et de droite à gauche, s'appuyant sur mon cou, disant non et refusant tout en bloc.
-"Nous le gel on connaît pas. Putain, tu vas jouir, j'aimerais être à ta place." et il part d'un grand rire effroyable.
J'implore, je supplie, je pense à Maman, Papa, tous les saints du paradis...rien n'y fait.
-"Tu peux tout arrêter, dis le code c'est tout".
Qu'est-ce qui me pousse à résister? Il veulent du fric, donne-leur me dis-je...
Avant que je n'aie rien dit j'ai dix centimètres du dong* dans mon rectum et j'ai la bouche ouverte et crispée par la douleur d'un engin gros et sec à l'évidence.
____ Notes . (1) Les dongs(godes, plugs) de sexe sont populaires pour un certain nombre de raisons. Ils peuvent être utilisés pour son propre plaisir de soi (masturbation) ou pour aider au plaisir d'un partenaire. Ils sont également extrêmement populaires pour l'utilisation entre les couples de même sexe qui veulent élever leur plaisir à de nouveaux sommets. Ce produit particulier est disponible avec Turbo Dong pour ceux qui veulent arpenter les sentiers non battus(1)Sex dongs are popular for a number of reasons. They can be used for self pleasure (masturbation) or to help ple sure a partner. They are also extremely popular for use between same sex couples who want to take pleasure to new heights. This particular product is available with Turbo Dong for those want to get a bit wild
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ARRACHE TRIPES- - " C'est Max qui t'envoie ? " - " Non rien de ça. Une chose à te dire. Max est à moi"-"Ok. tkt. Il me dira ça tout seul ."- "Nan. C'est toi qui vas lui dire que c'est fini vous deux"
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