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François est à l'aéroport de Munich assis sur un siège à l'embarquement, il reste une heure attendre, quand il vois arrivé une superbe femme au bras de son mari.
Le couple s'assoit à deux rangées de lui, la femme lui fait face moi et son mari lui tourne le dos.
Il a déjà remarqué son petit cul quand elle était passé, mais maintenant qu'elle est de face lui il vois aussi ses tétons tout dure qui pointent vers lui dans son t-shirt moulant.
Ses yeux ne peuvent se détacher d'elle et il la déshabille du regard.

Elle porte une robe blanche très courte et croise les jambes.
Son mari ne l'accompagne pas, il doit rester encore quelques jours pour régler certaines affaires.
Elle rentre donc à Paris seule.
Quand l'heure arrive, il m'accompagne jusqu'à l'entrée de la zone d'embarquement, se colle à elle et l'embrasse en posant sa main sur mes fesses.
“Bon voyage… Et ne fais pas trop de folies de ton corps….”
elle un peu vexée “ça veut dire quoi ça, tu crois peut-être que je vais me taper le premier venu, tu me prends pour une pute ou quoi”
Lui “mais non ma chérie tu sais que j'ai une entière confiance en toi. Allez file tu vas louper l'embarquement”
François embarque, s'assoit et là il la voit entrer et s'asseoir en classe affaires.
Un homme vient pour s'asseoir sur le siège à côté, il est accompagné par l'hôtesse.
L'hôtesse dit a François “excusez-moi monsieur, cela ne vous dérangerait pas de changer de place avec la femme de monsieur, en plus vous seriez en classe affaire et sans supplément”
Il lui répond que non et le voilà qui déménage ses affaires et à sa grande surprise il se retrouve assis à côté d'elle.
Moi “bonjour je m'appelle François et vous comment vous appelez-vous, ci ce n'est pas trop indiscret”
“Non, ce n'est pas indiscret… Moi c'est Morgane”
“Vous étiez en vacances ?”
“Oui… Enfin moi ! Pas mon mari qui a dû rester pour son boulot…”
Après le décollage, elle s'aperçoit qu'il lorgne discrètement sur ses jambes.
Elle, ne pouvant s'en empêcher, jette un coup d'œil à son entre-jambe et constate qu'une bosse se forme dans son Jeans et lui dit “ce sont mes jambes qui vous font cet effet”
François comprenant qu'elle a remarqué qu'il bande décolle lentement ses yeux de ses jambes et lui répond “Non Morgane, je peux vous appeler par votre prénom ?  c'est le tout ensemble, car figurez-vous que déjà, avant que nous ne montions, je vous avais remarquée.
Vous étiez assise à deux rangées de moi, en face, que déjà je regardais vos jambes et pas que, ne le prenez pas mal, je vous trouve très, comment dirais-je, très charmante, mais si cela vous gêne je peux demander s'il est possible de me changer de place”
“Mais non, ne soyez pas bête ! Cela ne me gêne pas… Après tout, si je ne voulais pas qu'on regarde mes jambes, je ne m'habillerais pas comme ça… Enfin avec une robe si courte…”
Tout en regardant par le hublot, elle se penche un peu vers celui-ci, bien consciente de dégager la vue sur ses cuisses.
François regarde ses cuisses et sent a chaque seconde qui passe son sexe qui s'écrase contre son jeans et commence à lui faire mal.
Ne pouvant plus contrôler son corps, du fait de l'excitation que lui procure la vue de ses cuisses, il se met a la caresser du bout des doigts, du bas jusqu'en haut tout en relevant légèrement ta robe et découvre dessous une petite culotte blanche a dentelles.
Comme elle ne réagit pas, il commence alors a y glissé un doigt afin de voir sa réaction.
Son sexe est de plus en plus gros, a tel point que l'hôtesse qui passe dans le couloir ne peut s'empêcher de regarder et de  donné le mots a ses collègues.
Morgane sens le doigt se glisser sous sa petite culotte. Elle se dit qu'il faut réagir, mais le contact est agréable.
Ses doigts caressent les reliefs des lèvres de sa petite chatte.
“Arrêtez… dit-elle, vous êtes en train de m'exciter…”
“Si seulement vous l'étiez autant que moi…”
Elle jette un coup d' oeil et le voit entrain de caresser la grosse bosse qui déforme son jeans.
“On peut pas… pas faire ça ici… il… il y a les passagers et puis… Les hôtesses…”

“dans moins de 10 minutes il vont éteindre les lumières pour les passagers qui veulent dormir en plus quand les lumières sont éteintes et les hôtesses ne se déplacent que si elles ont des appels”
“mais vous êtes fou, nos voisins vont nous voir et nous entendre”
“vous voyez le couple a côté” elle se penche légèrement pour voir et là François aperçoit ses tétons qui ont doublé de volume et qui sont devenus extrêmement durs sous l'effet de l'excitation “eh bien je les ai vus prendre un cachet pour dormir”
Au moment ou il achève sa phrase les lumières s'éteignent.
Tétanisée, elle se cale au fond du siège et repense à ce que qu'elle a dit à son mari avant de partir :“Tu me prends pour une pute ? Tu crois que je vais me taper le premier venu…”
François glisse sa main dans son décolleté, se faufile sous son soutien-gorge et commence à lui caresser un sein.
Il sent que ses pointes sont dures.
elle lui murmure d'une voix amollie  “arrêtez, j'aime mon mari et lui suis fidèle ” mais pour autant elle ne repousse pas sa main.
Il pivote légèrement vers elle et tout en glissant son autre main entre tes cuisses il lui dit “vous savez il n'en saura rien ” et constate que sa petite culotte et déjà trempée il ajoute “en plus ça a l'air de vous plaire. Je suis sûr qu'au fond de vous tout ça vous excite terriblement de baiser avec un parfait inconnu de plus dans un avion. C'est pas tout les jours qu'on a une telle occasion”
Elle ne peut s'empêcher de penser qu'il a raison… Et que son mari n'en saura jamais rien…
Ses cuisses s'ouvrent légèrement. Il caresse sa chatte par-dessus le tissu de sa culotte.
C'est dingue, mais l'idée de faire ça avec un inconnu la rend liquide.
Il se glisse une main dans sa culotte et frôle ses lèvres.
Elle retient son souffle ne pouvant toutefois empêcher sa fente de dégouliner d'excitation.
il retire sa main qui titille ses tétons; il a ouvert sa braguette.
Au bruit du zip les yeux de Morgane se tournent et regardent dans cette direction.
Son sexe était tellement à l'étroit dans son jeans qu'il en est éjecté, tel le diable qui sort de sa boîte.
il est droit comme un i.
François saisit la main de Morgane, qui n'aurait jamais osé le geste et bizarrement n'oppose aucune résistance, il la place sur son sexe et lui susure à l'oreille “branlez la un peu et vous verrez ce que vous risquez de louper si vraiment vous voulez tout arrêter”
Pendant qu'elle le branle il sent son clito qui grossit sous son doigt.
Elle tient son sexe entre ses doigts. Il est gros et large, comme elle les aime, comme elle en rêve secrètement tout le temps.
Elle se penche à son tour vers son oreille et lui murmure “Là… J'ai de moins en moins envie d'arrêter…”
Elle écarte un peu plus les cuisses en se laissant couler sur son siège tandis que les doigts de François appuient de plus en plus fort sur son clito.
Comme elle est affalée sur ton siège, François se redresse pour lui présenter son sexe à sucer.
Elle continue à le branler tout en ouvrant la bouche et elle commence a faire jouer sa langue sur le gland qui réagit à chaque coup.
N'en pouvant plus François détache sa ceinture et dit “levez-vous je vais me mettre à votre place et vous pourrez, si vous le voulez bien sûr, vous introduire mon sexe”
Elle se redresse en jetant de petits coups d'oeil inquiets aux alentours, fait glisser sa culotte jusque sur ses chevilles et la pousse sous le siège.
Elle l'enjambe, se met face à lui en se penchant un peu en avant pour ne pas être repérée et commence à frotter sa chatte sur son pieu.
Elle adore ça, sentir un gland bien dur contre son clito et bouger dessus. Elle fait plusieurs allers et retours.
François pose ses mains sur ses fesses et accompagne ses mouvements.
Elle n'en revient pas d'être en train de faire ça en public quasiment et avec un parfait inconnu.
Sa grosse queue bien raide la rend folle d'impatience. Elle ajuste sa position et, d'un mouvement du bassin, s'embroche dessus. Centimètre après centimètre, elle se délecte de la sentir entrer en elle … Elle continue… Elle s'enfonce… Elle se fait remplir….
Elle lui susure a l'oreille “elle est trop belle votre bite, elle me rend folle”
Tout en lui caressant les fesses il lui répond “moi c'est votre cul qui me rend fou”
Il glisse une main sous son t-shirt et lui pince délicatement le téton, elle colle sa bouche a son oreille et pousse de petits gémissements et lui dit “hum, c'est bon ça continuez j'aime”
Il sent sa chatte qui se resserre sur sa queue et sa mouille qui commence a dégouliner sur ses couilles puis entre ses cuisses et il se dit “putai elle jouit déjà la cochonne”
Morgane se mord la lèvre inférieure pour ne pas hurler son plaisir…
“Hum oui… tirez plus fort sur mes tétons….”
il passe de l'un à l'autre et les pince, les étire.
 Cette queue lui dilate bien la chatte. Elle est grosse et bonne…
Elle ne va pas pouvoir résister longtemps. Tout ça l'excite comme une dingue.
tout cela excite tellement François qu'il dit à Morgane “vous savez que c'est joli derrière qui m'a excité en premier chez vous et, je vous l'avoue, j'aimerais le pénétrer, mais seulement si vous le voulez”
À peine a-t-il fini sa phrase qu'il sent la chatte de Morgane qui enserre sa queue et là un torrent de mouille s'écoule et lui trempe l'entre cuisses.
Malgré elle, et malgré ou à cause du fait qu'elle l'ait toujours refusé à son mari, elle ne peut nier qu'elle  a envie d'essayer.
Sa chatte ruisselle littéralement d'excitation à l'idée de lui permettre ça. Comme François vient de lui dire, ça ne dépend que de son assentiment.
Elle lance une main derrière elle, attrape sa queue et positionne le gland contre sa rondelle.
Les mains de François sont sur ses fesses et les écartent en grand…
Morgane se dit “Si mon mari savait ça”
le gland de François à du mal à entrer malgré le fait qu'il soit lubrifié par la mouille de Morgane.
Il force un peu, mais pour l'instant sa rondelle refuse de cèder.
Enserrant ses hanches, il force un peu plus et son gland tout entier entre.
François met sa main sur la bouche Morgane pour étouffer son râle de plaisir.
Une fois son gland passé il la sent qui s'empale doucement sur sa queue.
À chaque centimètre qu'elle enfonce il sent sa rondelle se serrer, comme ci son corps ne voulait pas qu'il la pénétre et se dilater sous l'effet du plaisir que la queue de François lui procure. Morgane sent son cul s'ouvrir et essaie de se détendre. La queue s'enfonce peu à peu, inexorablement.
Elle lui sussure “Ah bon dieu… C'est égal, elle est grosse…”

 Pendant qu'elle s'empale dessus, elle frotte la chatte contre son pubis.
Il murmure tout bas contre son oreille :“Qu'est-ce qu'il est bon votre petit cul de salope… ”
Il soulèves le t-shirt de Morgane et prend l'un de ses tétons dans sa bouche. Sa bouche l'aspire et le tète.
Elle sens sa bite coulisser entre ses fesses
“Je… Je ne me suis jamais… jamais fait prendre… prendre par là… par le cul…”
“quel honneur d'être celui qui a la chance de vous dépuceler du cul. Votre mari ne sait pas ce qu'il perd”
Il sent ses fesses qui touchent ses cuisses, ça y est il est au fond, sa queue tremble dans son cul sous l'effet de l'excitation.
Elle se relève doucement pour savourer le moment.
Quand son gland est presque ressorti elle s'arrête, prend une inspiration et se laisse retomber d'un seul coup sur sa queue et un grand clac se produit quand ses fesses s'écrasent sur les cuisses de François. Mais personne n'a entendu.
François pousse alors un hummm de plaisir étouffé par le sein dans sa bouche.
Le plaisir qu'elle éprouve à se faire enculer est immense.
Le gland de François est au plus profond de son cul. Elle bouge lentement pour bien sentir sa rondelle coulisser autour de sa bite.
“Oui… dit Morgane, vous me dépucelez du cul… et… je… je dois dire… que ça me fait du bien.”
A ces mots, François immobilise les fesses de Morgane et lui assène plusieurs brefs coups de queue répétés pour lui couper le souffle.
“Quand j'ai vu votre cul…dit-il j'ai tout de suite pensé qu'il devait être bon à baiser… Et je ne me suis pas trompé…”
François lui demande alors de se retourner afin qu'il puisse regarder son cul s'empaler sur sa queue.
Elle soulève une jambe en se contorsionnant, la passe contre le torse de François et pivote sans qu'à aucun moment sa queue ne sorte de son cul.
De sentir son cul pivoter autour de sa queue le fait pousser un gémissement.
Une fois de dos Morgane recommence son doux va et viens sur sa queue pendant que d'une main il lui tripote ses tétons et de l'autre lui branle son clito qui lui paraît énorme.
il se penche sur son oreille et lui dis “alors ça vous fait quoi de vous faire dépuceler le cul par un inconnu” et il ajoute avec un large sourire, car il a déjà une idée de sa réponse au vu des gémissements qu'elle n'arrête pas de pousser, “pas trop déçue ? questionne-t-il”.
“Oh monsieur...François je veux dire...… Non ! En fait j'en rêve depuis toujours de faire ça… avec… avec un inconnu…”
Les doigts de François malaxent son clito et ses nichons pendant qu'elle danse sur sa grosse bite.
Morgane s'allonge sur François en gardant sa bite dans son cul. Elle sent qu'elle va jouir…
Elle n'en peut plus. Son clito la brûle.
François sent son cul qui se resserre sur sa queue à chaque fois que son doigt fait vibré son clito et qu'il resserre son étreinte sur ses tétons.
À chaque fois Morgane pousse des gémissement qu'elle étouffe avec la main.
Plus les doigts de François accélérent plus elle se resserre jusqu'au moment où tout son corps se met à vibrer et qu'il sens un torrent de mouille déferler entre ses jambes.
Il sait alors qu'elle a joui pleinement.
Excité par la situation mais aussi du fait qu'il la fasse mouiller à ce point, le corps de François se raidit tout entier, sa queue se met a faire des saccades dans son cul et son foutre s'élance dans le délicieux conduit.
Il pousse de discrets gémissements de bonheur.
Une fois son orgasme fini François lui dit à l'oreille “putain c'était bon”
“Oh oui ! C'était bon lui répond Morgane .”
Elle a joui comme une dingue en se retenant de crier.
Sa chatte a giclé comme jamais et ses jets de femme infidèle ont même atteint le dossier du siège devant eux.
La queue de François est toujours dans son cul et elle n'en revient pas du plaisir obscène qu'elle a ressenti alors qu'il jouissait dedans.
Elle, l"épouse parfaite, vient de se faire enculer par un inconnu…
“Oh oui !! c'était bon…”
“je suppose que la prochaine fois que votre mari vous demandera de prendre votre cul vous lui direz un grand oui, dit-il, et que vous repensserez, pendant qu'il vous baissera, à cet inconnu qui vous aura dépucelé dans un avion et, qui sait, peut-être lui avouerez-vous un jour”
“Hummm… oui… sans doute je dirai oui…Et c'est sûr que je repenserai à ce qui vient de se passer… Par contre lui dire… je pense pas… Il va me prendre pour une salope et une pute…”
“vous savez ce que l'on dit "faute avouée, faute a moitié pardonné” et qui sait peut-être que ça l'excitera et qu'il voudra vous baiser tous les jours dans le cul, et peut-être plusieurs fois par jour"
“Ah oui ! Vous croyez que lui dire que j'ai baisé avec un parfait inconnu va l'exciter?
Et peut-être n'ai-je pas envie qu'il me baise tous les jours…”
tout en lui faisant un clin d'oeil il lui dit “dans ce cas voici mon numéro de téléphone, on ne sait jamais, des fois que vous voudriez refaire ça avec un inconnu”
“Oui… On ne sait jamais… Mais maintenant vous n'êtes plus vraiment un inconnu”
“détrompez-vous je suis et resterai un inconnu pour vous car vous ne connaissez rien de moi, si ce n'est mon prénom et que je vous ai prise dans l'avion. Je pourrais entre un agent secret ou un psychopathe ou tout autre chose, qu'en pensez-vous?”
“A choisir, je préfèrerais que vous soyez un agent secret plutôt qu'un psychopathe… C'est vrai que la seule chose que je sais de vous, c'est votre prénom… et que je viens de tromper mon mari avec vous… ici, dans cet avion… Que pensez-vous d'une femme mariée qui fait cela ?”
“Si toutefois vous m'appelez je serai celui que vous voulez, mais jamais vous ne connaîtrez mon identité sinon je ne serai plus votre inconnu. en ce qui concerne ce que je pense des femmes infidèles, tout simplement que son mari ne la satisfait pas ou plus sexuellement, ou bien qu'elle se venge de son mari infidèle ou encore qu'elle n'a pas résisté au charme de celui avec qui elle a trompé son mari”
“Oui… Il peut y avoir de tout ça… Et aussi la recherche, ou l'opportunité de rompre avec la monotonie et la routine… Surtout lorsque, comme vous m'avez dit, le mari en question n'en saura jamais rien…. Pourquoi se priver…”
“Vous avez parfaitement raison pourquoi se priver”.

Merci a BelleEstelle pour sa participation à l'écriture de ce texte.
François le commentateur érotique.