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jMB la drague...ma "technique" 

Des fois je suis capable de me surprendre encore moi-même. Cette fois j’étais parti de chez moi vers 17h avec une furieuse envie d’avaler et de bien m’occuper du chibre d’un quelconque mais sympathique garçon. Je suis depuis plus de 45 minutes sur le parking d’un lieu bien provençal de drague gay (je ne sais pas s’il existe des lieux de dragues hétéros ??) . 18 heures...Les bagnoles passent et repassent, en ce mois de novembre ce sera vite la nuit les conducteurs essayent de voir dans la lueur furtive des phares la tronche des mecs qui attendent. Pour ceux qui ne connaissent pas les parkings de drague (ben oui, il y a des pôv petits qui ne possèdent pas de caisse) il y a plusieurs attitudes types suivant le caractère des garçons en question. Les (nombreux) chiants qui ne savent pas ce qu’ils veulent, même vieux et laids, ils sont persuadés d’être tellement haut de gamme qu’ils espèrent tomber sur "LE PRINCE CHARMANT", et juste ce soir ! . Ils ne sortent pas de leur voiture, gardent la vitre fermée, bref avec moi aucune chance que je rampe jusqu’à eux en tapotant comme un mendiant sur la vitre coté conducteur : ils n'ont qu'à sortir et faire la manche de la baise, eux ! D'ailleurs beaucoup repartent en regardant leur montre après "un tour de manège "(vire vire en parler local. 

    La nuit sur la drague  beaucoup se calfeutrent dans leur bagnole portières verouillées : ils sont morts de trouille. Moi ça me fait un petit picotement et ça m'excite mais pas la vraie peur.

 Les atterrissages sont perlés : un puis deux puis trois...voitures se garent ils repartent vite comme des oiseaux de nuit. Bref ce soir-là j’étais arrivé trop tôt. Je sais bien pourtant que ma meilleure technique c’est d’attendre que les étourneaux qui s'étaient posés s'envolent et qu'on ne reste que deux, trois à la rigueur, bien déterminés. Là on s'amuse vraiment.

Deux voitures + 1 camionette donc trois mecs...celui de la fiat est sorti, je le rejoins. C'est pas avec moi qu'il voulait...avec le gars de la camionette oui. Je lui dis : " le chauffeur livreur, c'est un voyeur, je le connais, il sortira pas."

- " oh bon, un voyeur ?  viens par là pour qu'il nous voie bien " Là on est vus de chez vus et de n'importe quel passant voire flic. 

et le gars se baisse le fut' ... son boxer semble gonflé d'une belle barre.

-" suce !" pour mon plus grand plaisir il me laisse le "déballer". Ouah c'est encore mou mais énorme. J'attaque. C'est goûteux...à la fin d'une journée de travail ...ça se lève, mais pas au top. Bon à sucer, lécher, parcourir méat, sillon du gland, frein, hampe et recommencer puis pomper, aspirer...

    Portière qui claque, je lui glisse : "je crois que le gars va venir ici "...- "ouais, tant mieux" dit-il en scrutant autour de nous... Dans l'espoir de le voir s'exciter encore, je cherche son trou...il me facilite et écarte les cuisses.  On est en pays connu. Je titille...Oh mais le voyeur est là. Il écarquille les yeux . Mon sucé frétille il est content  un doigt au cul je cherche son point g. Je lui dis : - "et ça tu en veux ? " en lui montrant mon vibro réaliste qui est de bonne taille - "oh ouihhhhh, il marche ? " . Je mets du lube des deux côtés, et, tout en le suçant j'aborde la pénétration le voyeur s'est approché jusqu'à pouvoir toucher s'il veut. Je dis - "tu aimes ? " un léger grognement me répond. -"Enfonce-le mieux toi-même". Il prend le relais et se gode, moi je suis le mouvement du bout des doigts. Ayé, le voyeur, tenté à bloc a une main sur la cuisse du gars, il a ses yeux fous rivés à 15 cm du gode et du trou !  

Je n'en crois ni mes yeux ni ma bouche : la bite a allongé, grossi, le gland est congestionné rouge vif, dur au possible. Si je gère bien je peux faire durer. Le gars râle de plaisir. Ben rien de plus normal, vu les trois stimulations qu'il a : la suce et la caresse, le gode et sa douce vibration, et surtout le voyeur une main sur sa cuisse et le regard vissé sur son trou. N'y tenant plus le voyeur touche tout .Une voiture passe, des phares, pas le moment que ça se gâte . Moi je me mets devant pour cacher. Ouf c'est passé. Le sucé s'abandonne sur moi qui le soutiens de ma tête sur son thorax  il est plié en deux . Je dis au voyeur : - "toi qui es mieux placé, prends le vibro, gode-le plus profond, fais-lui  des va et vient ...Ca marque un cran : je sens que notre "protégé" risque de venir à tout instant. Je ralentis pour ma part...

crispation...ayé il lance son sperme à travers ma bouche, ma gorge...

c'est fini...je tends des essuies...il est essoufflé...j'ai le temps d'admirer comme il est beau...40 ans au plus, docile comme un môme !   le voyeur me tend le gode à arrêter et essuyer. Non J'avais mis une capote. Je l'enlève : tout est net.

On peut ranger...Le voyeur se taille, le gars se rembraie. Je m'essuie les lèvres, les doigts..."à la prochaine" -"oui c'est ça"...putain il était beau quand même ! son regard a changé, il s'est chargé du souci du retour... 

Des voitures sont arrivées...la prochaine séquence sera pour les nouveaux venus...ma technique a encore fonctionné.