PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét

Samedi 12 août 6 12 /08 /Août 16:45

ok, il se branle, fais semblant de pas le voir, laisse-le rester, oui, laisse-le approcher       Image associée ËTRE VOYEUR ET SAVOIR SE FAIRE ESPIONNER SONT DEUX ARTS QUI SE CONJGUENT TRES BIEN

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 Résultat de recherche d'images pour "gay hot porn deux amants Gay# regardent l'horizon" faut qu'il voie, ça va le rendre fou ! mettons-nous de profil !
                                  
                                                                                                                                                                                                                      

 " ils"ne donnent pas la suite de ces belles images... espérons que le photographe ne les a pas dérangés car le voyeurisme c'est tout un art, partagé par des millions de gens(si ce n'est des milliards-lol-) Voir sans être vu ou voir en étant partie externe du jeu des amants.  

 

 

là le voyeur a dû se régaler d'observer la différence et la complémentarité de ces deux passions. L'un ne peut pas penser quand il baise et ça lui permet de bien faire son boulot ; l'autre, son cul en pleine action...passive cherche le regard, aimerait communiquer sa reconnaissance, partager son affection, même si c'est de l'amour sans amour. Ca reste une belle rencontre ! ( Je dis que l'amour    Même sans amour    C'est quand même l'amour     C'omprend qui peut ou comprend qui veut ! écrit par Robert Jean Francois Joseph Lapointe dit Boby)

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il y a des règles : le voyeur, pour être accepté, doit donner des marques d'appartenance (gay pour les gays)

- soit exhiber son sexe, 

- ou être nu  

- bien sûr se masturber c'est un gage de bonne entente  

- ou pratiquer le sexe gay tout à côté avec un autre voyeur ou partenaire

- dites-vous bien que, malgré l'observation de ces principes, vous serez peut-être viré comme un malpropre.

Regarder ça va, ça peut faire partie du jeu, DERANGER c'est l'horreur, l'abomination ! 

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  continuez vous gênez pas pour moi...surtout !!! -lol 

   

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    commentaire :  "oh oui, pour moi ça a toujours été: si un voyeur, quel qu'il soit, rentre sa vision dans sa mémoire, pour moi c'est 10 000 fois mieux et plus qu'un gars qui nous prendrait ds photos. D'abord ça ne présente aucun danger car il y a peu de chances que le gars me connaisse et joue les"donneuses" et aussi parce que je le ressens comme une preuve, un témoignage de mon heureux temps. Ainsi nous ne sommes pas seuls ça s'inscrit au ciel pour l'éternité gaie" (HADRIEN)  

 

Par PAIR VERT - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 9 août 3 09 /08 /Août 06:01

les femmes Image associée féministes sont des furies qui sévissent en de nombreux domaines (voir les articles PROSTITUTION dans ce blog)

  repris le 7/08  par Atlantico

Des femmes expliquent ce que peuvent ressentir les animaux violés de l’industrie alimentaire

Nous considérons les vaches qui produisent du lait comme des « mères », mais elles n’ont jamais vraiment l’opportunité de devenir mère car leurs bébés leur sont enlevés juste après leur naissance. Et nous ne les traitons certainement pas avec le respect mérite une mère. Les vaches et autres animaux femelles dans les élevages industriels subissent des viols à répétition, et leurs bébés leur sont arrachés avant d’être tués.

Quand un humain subit une agression sexuelle de façon forcée, contre sa volonté, cela s’appelle un « viol ». Quand les animaux dans les élevages industriels subissent des agressions sexuelles forcées, cela s’appelle une « insémination artificielle ». Les femelles vaches, cochons et dindes sont régulièrement violées (par insémination artificielle). Les femelles mammifères subissent des mises-bas douloureuses et bâclées et on leur enlève leurs bébés peu après leur naissance.

Le cœur même de l’élevage industriel est la reproduction. Les agriculteurs exploitent le système reproductif des femelles afin de maintenir un influx constant de nouvelles victimes qu’ils peuvent transformer en « produits » vendus dans les rayons des supermarchés.

Sans le viol délibéré et systématique du corps des femelles, l’industrie de l’élevage s’effondrerait.

Les vaches sont violées, et les veaux sont sciemment rendus orphelins afin de produire du lait.

Les vaches produisent du lait pour la même raison que les humains : pour nourrir leurs petits. Afin de les forcer à produire le plus de lait possible, les agriculteurs inséminent les vaches, généralement chaque année. Pour inséminer une vache, une personne enfonce son bras profondément dans le rectum de la vache afin de localiser l’utérus et insère de force un instrument dans son vagin. La vache est sans défense et ne peut éviter ce viol.

Les veaux sont aussi séparés de leur mère peu après leur naissance, ce qui cause une immense détresse aussi bien à la mère qu’au petit. On peut entendre les mères vaches appeler leurs petits pendant des jours. Les veaux mâles finissent dans des cages exigües ou dans des parcs d’engraissement sans enrichissement où ils seront engraissés pour être vendus comme viande de veau ou de bœuf, et les femelles sont condamnées à subir le même sort que leurs mères.

Après que leurs veaux leurs sont enlevés, les mères vaches sont très souvent reliées à des machines à traire deux fois par jour ou plus. Insémination artificielle, sélection génétique et régime alimentaire favorisant la lactation pour les forcer à produire encore plus de lait (une vache de nos jours produit en moyenne quatre fois plus de lait qu’une vache en 1950), malgré les effets néfastes que cela a sur leur corps et leur santé.

Les cochons sont maintenus dans des cages durant toute leur gestation.

La plupart des mères cochons passent une partie de leur vie confinées dans des cages en métal exigües. Elles ne ressentent trop rarement le toucher de groin affectueux d’un compagnon, et sont frustrées dans leur besoin naturel de construire un nid douillet et confortable. Au lieu de cela, elles sont entourées de barres métalliques froides et forcées à s’allonger sur un sol dur couvert d’excréments.

Quand elles sont assez âgées pour donner naissance, de nombreuses truies sont inséminées artificiellement et emprisonnées durant une partie de leur gestation dans des stalles individuelles de gestation qui sont trop petites pour leur permettre de se tourner ou de se reposer confortablement.

Après avoir donné naissance, les mères cochons sont déplacées dans des « cages de mises-bas », avec seulement une petite zone supplémentaire pour leur permettre de nourrir les porcelets, avant que les bébés ne leur soient arrachés pour finir à l’abattoir.

Un enquêteur de PETA États-Unis a consigné que, chez un fournisseur, un cadre a enfoncé violemment un bâton dans le vagin d’une truie et a frappé une truie au visage, à l’abdomen et dans les parties génitales, afin de la faire avancer, déclarant à l’enquêteur de PETA États-Unis : « Tu dois frapper cette salope. La faire pleurer. »

Les dindes utilisées comme nourriture ont été si génétiquement modifiées qu’elles sont incapables de s’accoupler sans aide.

Les dindes sont sélectionnées génétiquement et nourries afin de grandir le plus possible et le plus vite possible afin d’accroître le profit. En 1970, une dinde pesait en moyenne 8 kg à l’abattage. Aujourd’hui, les dindes pèsent 13 kg. Selon une revue d’industriels du secteur, les dindes modernes grandissent tellement vite que si un bébé humain de 8 kg grandissait au même rythme, l’enfant pèserait 680 kg à seulement 18 semaines. Parce que les dindes sont désormais si obèses qu’elles ne peuvent plus se reproduire naturellement, celles nées aujourd’hui ont été conçues par insémination artificielle.

Dans la Virginie de l’Ouest aux États-Unis, « la plus grande entreprise d’élevage de volailles au monde  », un employé a été accusé de cruauté envers les animaux après avoir été pris en flagrant délit sur une vidéo en train de coincer une dinde femelle au sol et faisant mine de la violer. Quand il fût interviewé par la police, il a admis avoir fait cela à des dizaines d’autres dindes. Dans un abattoir dans l’Arkansas aux États-Unis, un enquêteur de PETA États-Unis a vu un employé mettre son doigt de façon répétée dans le cloaque (vagin) d’une dinde.

 

Donc, la prochaine fois que vous vous rendez dans un supermarché, pensez à elle :

Jo-Anne Mcarthur donne la parole  aux animaux

Et elle :

 We, animals...

Et elle :

"Aucune ni aucun féministe ne voudrait consommer une nourriture issue du viol. Plus vous en savez, plus il devient évident d’agir. Devenez végan, pour les mères, pour les sœurs, pour les filles et pour toutes les femelles dont le corps est exploité".

Oui, on est pour les pénis dans les vagins des vaches : la nature 

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et là ça ressemble à du SM-BONDAGE , l'animal entravé :      

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  est-ce qu'elle dit si elle jouit ?  

 


les vaches sont violées!~> Moi qui m'attendris devant un beau steak, je suis effondré devant la position des FURIES à propos de la condition animale...et elles ne parlent pas ici de la guerre au gavage des oies


commentaire : "on n'est pas obligé d'écouter les furies liberticides" (Sans g(a)in)

Par SANS G(A)IN - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 7 août 1 07 /08 /Août 06:32

moi ? j'ai combiné ce plan uniquement pour rendre service, en bon chrétien ... 


 

 un bon Samaritain devient "Voyeur de nuit" 
Dans tout gay il y a un bon samaritain mais il ne faut pas trop approfondir les motivations qui sont celles d'humains normaux
..."
je regardais attentivement qui vous savez , et ne niez pas que vous le faites aussi quand ça se présente." 
Je vais pas chercher des excuses du fait que j'ai un béguin  pour un jeune homme. Et moi, étant coutumier du fait, ça ne vous surprendra pas que celui-ci ait environ 20 ans et qu'il voyageait avec ses parents quand je l'ai rencontré, pas une fois, mais deux fois de suite au cours du même voyage. 
 Coïncidence? Peut-être, mais je ne suis homme à "me défiler" quand un jeune homme a besoin "d'un coup de main", pour ainsi dire !
    
Il figure désormais sur sur une de mes photographies de visites touristiques. J'avais passé quelques jours tout seul dans la merveilleuse et éternelle San Francisco. Là , j'en étais parti en direction du parc national de Yosemite. J'avais réservé dans un petit hôtel familial à quelques kilomètres à l'extérieur du parc, un lieu ancien  plutôt pittoresque avec une façade en bois et des meubles anciens partout. C'était après le dîner et j'étais assis tranquillement en prenant un verre dans le salon de l'hôtel, en lisant le Guide du parc national de Yosemite et en prévoyant ma route pour le lendemain, tandis que du coin de l'oeil, je regardais attentivement qui vous savez , et ne niez pas que vous le faites aussi quand ça se présente.

Le salon était assez petit, le bureau d'accueil se trouvait dans le coin près de l'entrée et je pouvais voir les gens aller et venir. Il n'y avait pas beaucoup d'activité, il s'agissait d'un très petit hôtel et la plupart des invités  s'étaient déjà enregistrés. A ce moment il arriva un couple d'âge moyen, fatigué, accompagné d'un jeune homme d'environ 19 ans, sans doute leur fils . Soudain, mon guide du parc Yosemite devint flou à mes yeux, alors que j'écoutais attentivement la conversation qui se déroulait au bureau.

Il semble qu'ils aient voyagé toute la journée; Ils étaient venus en avion depuis Atlanta, puis ensuite de San Francisco jusque là. Ils avaient réservé des chambres dans un autre hôtel mais n'avaient pas payé d'arrhes et, étant arrivés beaucoup plus tard que prévu ils avaient trouvé leurs chambres attribuées à d'autres clients Un maleureux concours de circonstances, d'où ils avaient besoin de sortir vite à cette heure tardive de la journée.

La réceptionniste était très sympathique et voulait leur être utile. "Eh bien," dit-elle au monsieur d'âge moyen devant elle, "j'ai une chambre disponible pour ce soir et elle a un lit à deux places ; Je suppose que cela vous conviendrait à vous et à votre femme, mais je crains que nous ne disposions d'aucune autre chambre et que la chambre que je possède soit trop petite pour y ajouter un autre lit - même si j'en avais une, mais hélas non . Je suis terriblement désolée."
 Pendant ce temps, j'éssayais de donner un âge au jeune homme. Je lui donnais environ 20 ans, 1,75 m et 75kg. Il avait le teint hâlé  et bien soigné, des cheveux courts, mais pas militaires, son aspect «viril» était renforcé par un pantalon beige "camouflé" et une veste blanche. Ses bras nus et lisses révélaient que le jeune homme se palestrait et soignait ses muscles afin d'avoir bonne apparence, mais sans plus, sans aller jusqu'à effacer un certaine allure dégingandée qui lui allait si bien.

Maintenant les parents discutaient de l'éventualité que leur fils dorme sur le sol dans un sac de couchage.
  Je me suis levé.

"Je suis désolé de vous interrompre", dis-je, "mais je n'ai pu faie autrement qu' entendre votre terrible histoire. Je suis désolé, vous êtes dans un tel embarras et après votre voyage, vous devez être si fatigués. "

Mon accent anglais dut attirer leur attention car ils se tournèrent tous vers moi !
 
"Moi-même, je fais étape ici..." continuai-je, "et ... euh ...euh ..., il se trouve que j'ai deux lits jumeaux dans ma chambre mais n'en utilise qu'un. Si votre garçon ne craint pas de partager une chambre avec un étranger, il serait le bienvenu d'utiliser l'autre lit dans ma chambre. Ce n'est qu'une nuit après tout. C'est assez tard - et cela vous éviterait  quelques désagréments".

Comme je l'ai dit, j'ai regardé le jeune homme et l'ai trouvé me regarder les yeux à demi-fermés. Après une courte pause, j'ai ajouté une remarque de diversion :

" Comment cela se fait-il que vous ayez mis autant de temps pour venir d'Atlanta ?
"Le voyage a dû être long n'est-ce pas ?"

Le père  "Ah ça bravo ! Merci, monsieur! c'est très gentil", S'écria-t-il avec quelque accent d'un homme du Sud.

Il se tourna vers sa femme pour confirmer, mais la mère était plus prudente. Comme elle me regardait légèrement de côté, elle me regardait de haut en bas, alors qu'elle parlait à son mari,

"Henry, mon cher. Nous n'avons même pas été présentés. Nous ne connaissons rien de ce monsieur. Elle se retourna et me sourit: «Ne soyez pas offensé, dit-elle.

Je lui ai assuré que je n'étais pas offensé, mais la glace ètait rompue et une conversation amiable s'est rapidement déroulée, dont le résultat était qu'il était convenu que le fils, Lloyd, c'    était son nom, partageait ma chambre et budget serait divisé 50 / 50. J'ai essayé d'être indifférent au  propos financier de l'affaire, mais j'étais très impatient de voir à quoi pouvait ressembler le jeune homme sans pantalons de camouflage et gilet blanc ! Mon imagination avait devancé le projet et je pensais à lui en train de dormir au dessus des draps, comme tout Marine qui se respecte, et rien sur lui sinon ses shorts de jockey! Je préférerais évidemment, qu'accidentellement sa tige traîne hors du short par une jambe!
Au moment où l'affaire fut conclue, je serrai la main du jeune Lloyd et une petite bouffée d'électricité me traversa alors que je sentais la main ferme et la chaleur de son toucher. Il me regarda sans cligner des yeux et je vis dans ses magnifiques yeux gris-acier, dont les pupilles étaient, de façon intéressante, fortement dilatées. Il était plutôt bruyant ou, comme il était plus probable, se méfiait de cet anglais "étrange" qui avait  plus de deux fois son âge.

A l'étage, dans tous les coins de la pièce  je pouvais sentir la chaleur de son corps irradier son arôme masculin et musqué et j'ai essayé de distraire le petit affolement de mes sens  en suscitant de banales conversations occasionnelles avec lui. Il semblait un peu timide d'abord, alors je lui ai montré rapidement où il pouvait ranger ses affaires et ensuite diplomatiquement offert de lui laisser utiliser la salle de bains pendant que je descendais pour faire du thé, car il n'y avait pas d'équipement dans la pièce. J'ai proposé de lui monter quelque chose, mais il a refusé poliment. Au moment où je suis revenu, il était déjà au lit, tête nue et recouvert jusqu'à la taille par le seul couvre-lit dont les plis révélaient le contour de ses jambes. La couverture était nettement déployée et ses vêtements étaient pliés en un tas bien rangé sur la chaise. Il n'y avait aucun sous-vêtement au-dessus de la pile, alors qu'il était couché sur l'oreiller, les bras musclés derrière sa tête et son coffre presque imberbe mis à nu pour que j'admire. Ses pectoraux n'étaient pas trop développés, mais ses épaules étaient larges et sa poitrine ne montrait que quelques petits poils autour de ses mamelons.

En buvant mon thé sur le lit, je lui ai beaucoup parlé, essayant de ne pas le regarder trop directement. Néanmoins, je ne pouvais pas m'empêcher d'admirer cette poitrine, le profil de son visage lisse, ses sourcils marron et soyeux, son nez assez petit et ses lèvres faites pour le baiser. Enfin, je parvins à capter un peu son attention et, lorsque je l'ai finalement fait sourire, il a montré ses dents magnifiquement blanches. Mon esprit était maintenant sens dessus-dessous, en pensant à ses autres attributs; Américain, probablement circoncis -je pensais que je n'avais pas joué avec une bite circoncise depuis longtemps, . Ensuite, je me suis réprimandé et me suis dit :  "Et tu ne vas pas non plus le faire  ce soir!" J'ai soupiré et lui ai dit " bonne nuit!" et j'ai éteint la lumière.
Trouverez-vous surprenant que j'aie eu du mal à dormir cette nuit-là. J'ai écouté tous les sons qui provenaient de l'autre côté de la pièce, alors que Lloyd était là dans le noir. Il s'est déplacé dans le lit, essayant de prendre ses aises, mais il semblait agité. Finalement, après quelques heures, il rejeta doucement la couverture, s'assit et baissa les jambes sur le côté du lit. Dans l'ombre, je pouvais maintenant voir qu'il portait des shorts en coton et je pensais qu'il allait peut-être à la salle de bain, mais il se leva et glissa doucement pieds nus hors de la pièce, fermant la porte tranquillement derrière lui.

J'ai omis de mentionner que cet hôtel avait un petit porche assez charmant qui  donnait sur le palier, juste à l'extérieur de ma chambre. En fait, ma chambre donnait sur le même porche et plus tôt ce soir-là, avant le dîner,je m'étais brièvement assis près de ma fenêtre dans la brise fraîche pendant que le soleil tombait. Je reconnus maintenant le son de la porte qui s'ouvrit, alors que Lloyd se laissa glisser dehors. Mon réveil de voyage, indiquait 1h 15 et tout était "mrt" et silencieux partout.

Je me suis assis au bord du  lit et je me demandais s'il était raisonnable de le suivre. J'étais certainement curieux, mais je n'avais aucune idée de la façon dont il pouvait réagir, alors je regardai à travers des lames du store pour essayer de le voir sur le porche. Bien sûr, il était là, assis sur le banc juste à côté de ma fenêtre, les jambes étendues dans la lumière projetée par une rue voisine. La lumière semblait briller sur son corps bien tenu, entièrement nu si ce n'est son short en coton.

Comme il était assis là, les jambes tendues devant lui, ses bras et ses mains caressaient lentement son corps dans l'air chaud de la nuit. D'abord son cou, sa poitrine, son estomac qui marquait un petit pli, puis sur le haut de son short, autour de ses cuisses, puis il revenait à son short, où ses mains faisaient maintenant une sorte de mouvement circulaire sur le monticule qui semblait croître en lui. C'était comme s'il faisait l'amour à son corps, doucement mais avec passion.Lui portant un sincère intérêt, focalisant sur lui, le monde qui nous entourait disparaissait à mes yeux. J'étais fasciné. Rien ne signalait ma présence, il pouvait se croire seul...

Le monticule qui était dans son short a finalement donné naissance à un objet d'émerveillement, car ses mains caressaient sa virilité et elle s'élevait de son nid, fière et érigée, brillant dans l'ombre comme le reste de son corps. Il était circoncis à coup sûr; Je pouvais voir clairement le contour du casque congestionné de son outil, maintenant entouré de sa main. Mon cœur battait à tout rompre et je transpirais copieusement en raison de mon intense excitation.
  Et j'avais maintenant une érection douloureuse dans mon pyjama et je mouillais ma cuisse de mon pré-cum. Pour moi le frisson du voyeur dans son secret était meilleur que n'importe quel film porno que j'aie jamais vu - parce que c'était vrai je savais qu'il ne fonctionnait pas spécialement pour moi ou pour une caméra, mais pour lui-même - et pour lui seul- trop beau ! .
           
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En regardant à travers les lames du store vénitien, je le vis se lever lentement et déposer son short sur le sol. Il était en face de moi et j'ai maudit dans mon silence, de ne voir que le demi-profil de son derrière, brillant comme une autre lune dans l'ombre. Mais c'était tellement doux et arrondi que je le regardais avec ravissement et que je soupirai avec admiration.

Il s'est éloigné vers  la barrière de fer donnant sur le devant de l'hôtel, les deux mains devant lui, évidemment en tenant sa bite, et il était debout, son dos et sa tête d'un côté, alors qu'il commençait à se masturber par dessus la rambarde. Cela a duré d'intenses minutes qui ont pris pour moi maintenant une allure éternelle tant tout cela restera gravé dans mes souvenirs et je persistais à  tremper ma jambe avec mon pré-cum, tout l'entrejambe  douloureuse ainsi que mon propre membre surexcité tremblant déjà pour que je le libère. Bon, mais il ne s'agit pas de moi : "Tourne-toi - s'il te plaît!" chuchotais-je répétitivement. Et comme s'il m'avait entendu, il se retourna et se pencha contre la colonne de bois du porche. Enfin, tout le front de son corps nu fut révélé dans la demi-lumière.

Dans ses mains, il tenait l'outil circoncis le plus magnifique, qu'il caressait avec amour. Il a craché dans une main et, en utilisant sa  salive, il lubrifiait maintenant la tête de son sexe et devenait plus ardent et fervent dans son action caressante. Ses genoux demi pliés, d'une main il caressait sa poitrine lisse, ses tétons et son ventre, ondulant dans l'ombre devant mes yeux, et son autre main continuait son action obstinée et raffinée.

Sa tête a commencé à balancer d'un côté et de l'autre, alors qu'il entrait dans le domaine privé de sa propre extase , le dos appuyé contre la colonne et les pieds plus largement écartés, d'une part, caressaient l'intérieur de ses cuisses, puis saisissaient et caressaient ses boules visiblement sans poils, maintenant étroitement resserrées sous l'effet de la masturbation  regroupées sous la forêt sombre des poils pubiens autour de la base de son organe turgescent et palpitant. Mon Dieu, il était bien entré dans sa «zone de plaisir» - et moi le voyeur j'en ai été transfiguré.
            
            Mon regard  soudé à cette vision de la beauté nue , vue par un petit espace entre les lattes du store m'a fait, de manière involontaire, saisir mon propre outil glissant de précum d'une main, alors que je me tenais au dormant de la fenêtre. Alors qu'il continuait à caresser ardemment sa bite éclatante dans la demi-lumière, il posa son dos contre la colonne, alors qu'il relevait sa virilité et creusait son ventre pour diriger son pénis vers sonestomac et je regardais son corps se contracter dans l'ombre, alors que son sperme éclatait de son outil comme une petite fontaine , sur son ventre, dans des jets brillants captés par la lumière de la lampe de l'autre côté de la rue. Deux, trois, quatre fois, j'ai vu son corps frémir alors que son rayon s'élançait sur son ventre. 
            
         
Soudain, moi-même en transe, agenouillé sur le lit, bite à la main et mon corps presque tétanisé, j'ai explosé  de mes entrailles incontrôlablement par mon propre orgasme  et dans un mélange d'extase et d'agonie j'ai tiré la charge en essayant préventivement de ne rien déranger à la pièce car il allait probablement rentrer. 
      
Allongé sur le lit les yeux clos je récupérais de mon orgasme. quelques instants plus tard, je compris qu'il avait quitté la terrasse et quand j'ai ouvert les yeux j'ai entendu de nouveau le son de la porte. Il revenait au lit! Rapidement, je me suis enfoncé dans mon lit et ai tiré la couverture sur moi, me rendant compte qu'elle était trempée de ma propre éjac. Inconfortablement, je me suis couché là dans le noir, faisant semblant de dormir, alors qu'il rentrait dans la chambre et se glissa dans le lit, et je perçus qu'il était bientôt à courir les rêves dans le sommeil de l'innocent - et inconscient. Je repris mes réflexions et ajoutais des "si" à ce que séparément nous venions de vivre. Et si je m'étais montré me masturbant moi aussi près de lui sur la terrasse ? comment aurait-il réagi ?  

Je dois m'être enfin endormi, car la chose dont je me rappelle était de l'entendre ouvrir les fermertures éclair de son sac, puis de disparaître dans la salle de bain, puis enfin, émerger en plein jour, porter ses shorts de jockey et une nouvelle veste. Je l'ai regardé les yeux à demi-ouverts, feignant de dormir alors qu'il soulevait une première jambe pour mettre son pantalon de camouflage, puis l'autre jambe, révélant l'ombre noire et tentante de sa toison pubienne et le rose de ses boules sans poils dans une jambe de son short. La délicieuse vision demeura fugace, et il boutonnait son pantalon à l'écart de moi, alors que j'avaisai maintenant une vue de son derrière arrondi, éclairé par le soleil du matin à travers les lattes du store. Je pensais à la vue que j'avais de ce même derrière absolument nu la nuit dernière, brillant dans l'ombre sur le porche, et mon organe a commencé à ressusciter.

Prenant une respiration profonde, je lui ai fait savoir que j'étais réveillé.

"Passé une belle nuit ? Demandai-je".

"Ouais, excellente, merci bien", at-il répondu.
Un peu plus tard, en bas, nous nous servions tous à déjeuner et discutions poliment. Le père de Lloyd m'a donné de l'argent pour la moitié de la note d'hôtel et, fol espoir, compris qu'ils allaient tous, comme moi, en direction de Yosemite. Mais mon enthousiasme initial a été rapidement refroidi quand j'ai appris qu'ils ne restaient qu'une nuit à l'hôtel Ahwahnee dans la vallée, alors que je logerais 2 nuits au Yosemite Lodge. Le lendemain, ils allaient au Canyon du Roi et à la Vallée de la Mort, avant de se diriger vers Las Vegas, alors que je rentrais à la maison à San Francisco.

Dans nos adieux ce matin-là, mon dernier acte a été de serrer la main de Lloyd (non sans penser intensément, bien sûr, à ce que la même main avait fait quelques heures auparavant) et quand j'étais sûr que personne ne pouvait entendre, Je lui ai dit tranquillement avec un sourire calculé :

"Au fait, je vous ai vu sur le porche hier soir".

Il me regarda fixement et cligna des yeux, ce qui témoignait discrètement d'une prise de conscience étonnée, sa main encore saisie dans la mienne. Alors je lui ai souri et lui ai dit:

"Vous savez Lloyd, si jamais vous avez besoin d'aide, vous savez qui vous pouvez appeler."

Et quand nous nous sommes séparés, il s'est rendu compte que j'avais pressé dans sa main un bout de papier avec mon numéro de téléphone portable écrit dessus. Mais est-ce que j'en reviens encore de cette nuit merveilleuse  ?  Aurai-je des nouvelles de lui ?  Qui veut parier ? je tiens les paris ! 
 
 
 

(Un "bon" Samaritain devient Voyeur de nuit ) conflit d'intérêt quand même ! -lol- 

 

 

LE SAMARITAIN  authentique Evangile de LUC 10,25-37

33.Un Samaritain qui voyageait arriva près de lui et fut rempli de compassion lorsqu'il le vit.
34. Il s'approcha et banda ses plaies en y versant de l'huile et du vin; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui. 35. Le lendemain, [à son départ,] il sortit deux pièces d'argent, les donna à l'aubergiste et dit: 'Prends soin de lui, et ce que tu dépenseras en plus, je te le rendrai à mon retour.'
36. Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands?» 37. «C'est celui qui a agi avec bonté envers lui», répondit le professeur de la loi. Jésus lui dit [donc]: «Va agir de la même manière, toi aussi. [Et aime ton prochain comme toi-même]»

 

Six actions de compassion du Samaritain:un don de soi sans (conflit d') intérêt,,,
1. Il est allé
vers lui alors que le prêtre et le lévite ont passé leur chemin en l'ignoant.
2. Il a versé de l'huile et du vin sur les blessures de l'homme. L'huile a apaisé la blessure, tandis que le vin l'a désinfecté. .
3.Il "a bandé ses blessures".
4. Il "a mis l'homme sur son propre âne", ce qui signifiait probablement que le samaritain devait,
lui, marcher.
5. Il "l'a emmené dans une auberge".
6. Il «s'est occupé de lui» et a fourni assez d'argent («deux pièces d'argent») pour que l'homme
puisse rester plusieurs jours et se remettre.

.

  le bon samaritain secourable à son prochain : Un docteur de la Loi (juive) demande à Jésus : « Mais qui est "mon prochain ?" » après que Jésus lui ai dit qu’il fallait aimer Dieu et son prochain. Jésus ne répond pas directement à sa question, mais va plutôt l’enseigner en lui racontant cette parabole : un homme est laissé pour mort sur le bord de la route, un prêtre et un lévite passent successivement à côté de lui, et l’ignorent. Un samaritain (ennemi des Juifs) le voit et, saisi de compassion, le soigne, l’amène à une auberge et pourvoit à ses dépenses. 

  Aime-Morot-Le-bon-Samaritain il s'en faut de peu pour que cette image soit érotique, mais elle reste dramatique. A notre portée du 21e siècle il y a les SDF, les migrants... combien en avons-nous rencontrés tentant leur"chance" sur les dragues, prêts à se forcer à sucer une bite ou baiser pour un peu d'argent. En général la honte du gay va prendre le dessus pour s'empêcher de profiter de la misère du"prochain"  


commentaire : "selon les principes de la religion le voyeur ira en enfer, surtout s'il est machiavélique! _lol_ (rescuer)

 

 

 

         

Par VOYEURDESER_VICE - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 06:59

    HEIN? quand même  !!!!

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Par MATHEUS - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 26 juillet 3 26 /07 /Juil 08:07

  sa_lope !  

 

 

 

 

   

     

 

  je n'obtiendrais ça avec aucun autre : au 10e aller- retour je suis dans le coma sexuel

:

  voir plus bas mon délire sexuel où je repasse tous mes émois récents, mêli-mêlo    

Par NUME - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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