une furie qui vous veut du bien !

toutes les furies politiques françaises sont des anges blancs de ce style :

 elles veulent votre bien malgré vous ! Ici, en la personne de Françoise Aubin Niel 

  d  

d

  une vérité qui ferait mal ...si seulement on la disait...  [NDLR : en septembre 2007, Laurent de Villiers vit aux Etats-Unis. Le juge poursuit son enquête, malgré trois lettres de rétractation, et veut l'entendre. Philippe de Villiers appelle Laurent,  son fils.]
" Il faut que tu expliques au juge que tu as menti pour me faire du tort. Il te croira, puisque c'est ce que mon avocat lui a expliqué.
- Tu veux dire que pendant tout ce temps-là, vous avez raconté au juge que ce n'était pas vrai ?
- Il faut bien qu'on dise quelque chose. De toute façon, c'est la seule manière de clore le dossier." 

  Laurent de Villiers, fils de l'ex candidat à la présidentielle, qui accusait son frère Guillaume de viol avant que la justice ne rende un non-lieu en 2010, a publié  un récit où il dépeint un univers familial ["barré" (dit Françoise Aubin Niel) ] marqué par la politique et le catholicisme 

    L'EXPRESS PARLE DU LIVRE DE LAURENT DE VILLIERS COMME D'UN "LIVRE CHOC" 

On va jouer (ambiance...ndlr)
1994 [Laurent a 10 ans]. La maison est calme. Nous sommes samedi après-midi et tout le monde vaque à ses occupations. [Mon frère] pousse la porte du pied et entre, parle de mes GI Joe. Me demande de le suivre, on va jouer... Il a des choses à me raconter... Pour une fois qu'il est gentil, je le suis. Nous entrons dans sa chambre. Il est doux. Si différent. Me dit qu'il va m'expliquer plein de choses indispensables, très importantes. Comme le sexe. [...] Il me dit que je suis son petit frère, qu'il m'aime. [...] Il me dit que nous sommes pareils, que nous avons le même problème, que nous sommes pervers, obsédés par le péché de chair... Je ne comprends pas grand-chose. Je trouve juste qu'il est gentil, pour une fois. [...] Il me dit que nous " jouons ", mais qu'il ne faut pas en parler. [...] Souvent, j'arrive à table en pleurs d'avoir croisé mon frère quelques instants auparavant. Alors maman me demande ce que j'ai et je n'ose pas lever les yeux. Il guette. " Rien, rien... Je suis tombé dans les escaliers. " Guillaume me fait peur. Il m'a toujours fait peur. Lui n'a peur de rien. Maman m'aide à ne rien dire. Quand elle remarque des bleus, elle hausse les épaules. " Ah, mais tu ne peux pas faire attention ! " ou " C'est le petit Jésus qui t'a puni. " Puni de quoi?  

  De la plainte au non-lieu

30 octobre 2006 Laurent de Villiers porte plainte pour viol contre son frère Guillaume; les faits se seraient déroulés entre 1993 à 1996.
Juin 2007 Le jeune homme retire sa plainte.
7 novembre 2008 Confrontation entre les deux frères chez le juge d'instruction du tribunal de grande instance
de Versailles ; Laurent réactive sa plainte.
21 mai 2010 Le juge d'instruction considère les charges suffisantes pour renvoyer Guillaume de Villiers devant la justice.
17 décembre 2010 Dans un arrêt,la cour d'appel de Versailles prononce un non-lieu, estimant que les éléments à charge doivent être " relativisés " au vu des déclarations changeantes de Laurent et de certains détails contredits parla procédure. La cour estime se trouver face à " deux thèses cohérentes " impossibles à départager.  

  commentaire : "je sais pas si je n'aurais pas la même  réaction que le père du genre : "allons, enterre cette histoire : vous étiez mômes !" ...un coup de bite de plus ou de moins m'aurait-il changé, moi ? Non, je rigole pas . En pensant oui tout bas, je pense NON tout haut...j'ai fait front toute ma vie avec des coups de bite cachés !" (ALTERSEX) 

Au travail, à la "ville", dans la famille, nous faisons semblant de ne pas avoir de bite, d'être quasiment asexués. Alors que ce serait si bon de ne pas se gêner !

Pisse, pisse tranquille mon gars et fais comme ça pour la vie !

Dans la société, c'est à peine si on se tolère de dire : "excusez-moi il faut que j'aille aux toilettes", assez idiots pour être gênés et jusqu'à dire à la place :  " il faut que je me lave les mains" alors que vous pensez : "je vais me pisser dessus, tellement j'en peux plus de me retenir" et -" ça m'a fait presque jouir de pisser un bon coup, putain !" Tout ça impassible, sans rien laisser paraître alors que ça fait partie de notre vie intérieure et intime et que ce serait une vraie joie d'en parler. Je me sens comme un vrai scato à cet égard.
Quand on serre des mains on pense pas que le gars vient juste de pisser et ne s'est pas lavé les mains qui doivent sentir l'odeur de sa bite. D'un certain point de vue c'est sale, 'unhygiénic', mais c'est un non dit, un secret délicieux.

heureusement il y en a qui osent ! et il est pas gêné après pou serrer de mains pas plus que certains qui lui serreront la main en y pensant avec déliceet tout en regrettant de ne pas pouvoir se regarder vivre les uns les autres .

Putain, t'as un beau cul tu sais, laisse-moi toucher (cliquer sur l'image si la flèche de démarrage est absente)

Il pisse et ...

commentaire :

ce sont des nègres (double sens*) qui ont en...tubé les électeurs ds USA en déclenchant le "raz de marée" que l'on connaît. (* en littérature Un nègre est l’auteur sous-traitant anonyme d’un texte signé par une autre personne )

 mais elle tweette bien et pour pas cher avec son propre ordi !

Qui a fait élire Trump ? Pas les algorithmes, même pas les russes,  mais des millions de “tâcherons du clic” sous-payés