1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS

Mercredi 18 novembre 3 18 /11 /Nov 17:43

un gars qui l'aurait jamais  fait...ça manquerait à son expérience ! Noé, 16 ans en 2011.

 

 

  Noé découvre la vie  

Je métais informé sur le net mais c'est mon cousin qui m'avait passé ce bon coup.

 Je voulais pas me louper. Malgré le charme des amours ados, je m'étais juré  de ne pas le faire avec un mec aussi puceau que moi. J'avais le mail du type en question. Mon cousin Jérémie me l'avait donné. Je voulais mettre toutes les chances de mon côté et j'écrivis ce mail  : «  Salut, j'ai été en contact avec plusieurs de vos amants. Ils m'ont affirmé que vous les aviez dépucelés. Je cherche moi aussi à me faire dépuceler. Je suis gay et j'ai vraiment envie. S'il vous plaît je veux vraiment me sentir un "homme". Contactez-moi s'il vous plaît.  »

Le soir même j'avais la réponse à mon mail tant attendue. Il me disait  : «  Ouais, pourquoi pas. T'as quel âge  ? Je donne pas dans la nurserie. Et sache que si j'accepte, c'est surtout pour moi. Ton plaisir, je m'en branle  ». Bon, heureusement que je ne lui ai pas dit que j'avais 16 ans. Il allait falloir que je la joue serrée. Je lui répondis par un nouveau message  : «  Je sais. J'ai presque 18 ans. Je suis puceau. Je suis mince, mais pas efféminé. Blond, les cheveux courts et les yeux verts. Vous voulez qu'on se rencontre  ?  »

J'avais eu ce que je voulais. Un rendez-vous. Dans un café, d'accord, mais c'était déjà ça. J'étais peinard pour le week-end, mes parents étant allés voir mes grands-parents. A ma demande ils me laissaient de plus en plus souvent seul J'ai pris grand soin dans ma tenue. Je pris une longue douche bien chaude. Je me suis lavé avec un savon à l'amande douce. J'ai consciencieusement nettoyé mon sexe, mes fesses, allant jusqu'à enfoncer un doigt plein de savon dans mon anus. J'aimais faire ça de temps en temps, mais là, je voulais sentir bon partout. Je me suis séché, et je suis allé dans ma chambre. Je me regardais dans le miroir. Bon, j'étais un ado de 16 ans, et il fallait que je marque des points. Première chose à enfiler, un caleçon. Je savais qu'il en faisait collection. J'ai essayé un premier, puis un second. Mais même constat. Même s'ils m'allaient bien, ils ne me mettaient pas en valeur. J'ai tapé dans mes vieux boxers taille 10/12 ans. J'en avais un, un free-gun bigarré avec une dominante violette. J'ajustai mon sexe dedans. C'était bien mieux. J'étais bien serré dedans. Puis j'enfilai des chaussettes noires qui allaient bien avec mes chaussures de ville. Là aussi, l'adolescence avait commencé à montrer ses effets. J'avais pris 4 pointures en 2 ans, et je faisais maintenant du 41. Je pris une chemise blanche et l'enfilai. Elle était bien cintrée et proche de la peau. Je finis par un jean noir lui aussi serré à la taille. Je me regardais dans le miroir. Me voir ainsi me mis aussitôt en érection, renforçant encore ma sensualité. Pas besoin de pull ce soir. Mais j'en ai quand même mis un de côté que j'emporterai au cas où la nuit se rafraîchirait. Je repassai dans la salle de bain afin de peaufiner ma coiffure. J'avais les cheveux mi-longs et j'essayais de leur donner un aspect volumineux. Enfin prêt, je sortis de chez moi, avec une petite boule au ventre. Je me suis rendu au café.

Je repérai tout de suite celui qui allait devenir mon initiateur. Ouahh. Mon cousin ne m'avait pas menti. Il était barraqué. Son tee shirt, trop petit pour lui moulait chacun des muscles de son bras et de son torse. Il avait les épaules carrées et un visage carré, sec. Je me suis approché. Il me dit de manière très désagréable  :

– Tu veux quoi  ? T'as pas ton chocolat chaud qui t'attend chez maman  ?

Bon c'était mal barré, mais je persistai. Je lui demandai  :

– Vous êtes bien Nino  ?

Il me répondit, en se levant  :

– Casse-toi petit con, dit-il, je fais pas dans le gamin.

– Je ne suis pas un gamin.

– En tout cas tu n'as pas presque 18 ans.

– Si ! je suis plus proche de mes 18 ans que de ma naissance.

Il se rassit. Visiblement, je l'avais touché. Il m'invita à m'asseoir. Il me dit  :

– Bon alors, qu'est ce que tu veux p'tit con. T'es complètement barré de sortir le soir à la rencontre d'inconnus.

– Ben vous n'êtes pas inconnu, mon cousin, vous l'avez dépucelé l'an dernier. C'est lui qui m'a parlé de vous.

– Et tes parents  ?

– Non, ça c'est pas vous qui les avez dépucelés.

Il rit. Et toc, un nouveau point de marqué. Heureusement que j'ai de la répartie

– Non, en fait il sont en week-end chez mes grands-parents. Mais moi, les vieux, ça me saoule.

– C'est pour ça que tu viens me rencontrer, je suis quoi moi, si je ne suis pas un vieux.

– Ouais, mais vous c'est pas pareil.

– Ah, je suis un gentil monsieur à qui tu demande gentiment de te voler ton innocence  ?

– Vous me la volez pas puisque je vous la donne.

– Bon, admettons que j'accepte, que veux tu de moi  ?

– Que vous me dépuceliez.

– Tu sais ce que ça veux dire  ?

– Ça va, j'ai 16 ans, je ne suis pas un perdreau de l'année !

– Comment t'appelles-tu  ?

– Noé. Et vous  ?

– Nicolas.

– Qu'as tu déjà fait  ?

– Je me masturbe depuis que j'ai 10 ans. Ça fait presque 1 an que j'éjacule. J'ai déjà pratiqué la fellation sur mon cousin deux fois et je n'ai jamais rien fait avec mon anus, à part me mettre un doigt quand je me masturbe.

– Eh bien, ça c'est direct. Donc tu suces, tu gicles et tu te branles. C'est bien tout  ?

– Oui.

– Qu'attends-tu de moi  ?

– Je veux que vous me sodomisiez.

– Pourquoi  ?

– Pour mes hémorroïdes, répondis-je sérieusement.

– Bon, on fait quoi, continuai-je.

– Tu viens chez moi, mais juste pour continuer la conversation. Je n'ai pas dit que j'allais te baiser ce soir.

– Ok ça me va.

Gagné, J'avais gagné. On allait dans son appartement. Et quel appartement. Il était spacieux, pas de bordel. Intimidé, je quittai mes chaussures. J'avais mal au ventre, le stress certainement, imaginant la suite des événements. Il me proposa  :

– Bière, Whisky, Cognac  ?

– Ca va pas, je bois pas, je suis trop jeune, répondis-je.

Je voulais surtout avoir les idées claires, et puis j'avais envie que la boule que j'avais au ventre disparaisse.

– Tu es trop jeune pour boire mais assez vieux pour avoir envie de baiser  ?

– Ben oui, j'ai des valeurs  ! Je veux bien une tisane si vous avez.

– Bon, c'est toi qui vois, mets toi à l'aise, je te prépare ça.

Il s'éclipsa. Pendant ce temps, je regardais les bibelots classieux qu'il avait dans son appartement. Je me rendis compte que la majorité des objets étaient des représentations de sexe en érection, mais de façon très artistique. Il revint dans le salon, avec ma tisane et un verre à la main. Je lui dis  :

– Bon, par quoi on commence  ?

– Comment ça, par quoi on commence  ?

– Ben oui, je vais pas vous faire un dessin.

– Je t'ai dit que je te faisais monter pour discuter pas pour te baiser.

– C'est ça. Juste pour causer. Bien sûr, dis-je d'un air faussement contrit

– Ok, si c'est ce que tu veux vraiment, mais avant il faut que tu comprennes que je suis pas un tendre. Quand je baise, je baise, je me fous de savoir si la personne que j'encule a mal ou pas.

– Je sais, mon cousin m'a dit.

– Pourquoi tu ne demandes pas à ton cousin  ?

– Tout simplement qu'il est passif et quand j'ai essayé avec lui, il n'a pas pu.

– Ok. Alors d'abord tu vas me faire le plaisir de te foutre à poil. Pour t'enculer ce sera plus facile.

Je m'exécutai. Je déboutonnai ma chemise, l'enlevai et la posai sur une chaise. Je retirai ensuite mon pantalon et mes chaussettes. J'étais en boxer. Je savais qu'au moment où j'allais l'enlever, il ne serait plus question de revenir en arrière. Puis je descendis mon boxer. Il me détaillait. Je sentais son regard sur moi et je commençais à avoir une légère érection. J'allais poser mon boxer quand je me souvins qu'il faisait collection des sous-vêtements des mecs avec qui il couchait. Je lui lançai le boxer et lui dis  :

– Tenez, c'est pour votre collection, c'est mon cousin qui m'a dit... A votre tour, maintenant

Il n'hésita pas un instant et enleva tous ses vêtements. J'étais soufflé par la virilité de cet homme. Mon cousin était une crevette à côté.  Il était vraiment costaud. Des pectoraux développés, des bras, des cuisses musclées. Des abdominaux très bien dessinés. Il était velu sans excès du torse jusqu'au pubis. Je m'arrêtai sur son sexe. Je ne pus m'empêcher de dire  :

– Ouah il est gros votre pénis.

Il me sourit et me dit

– Tant que je bande pas, tu peux encore faire demi tour. Après il sera trop tard.

Je me suis approché de lui et je lui dit  :

– Non, je reste, mais elle mesure combien, je pensais pas que c'était possible d'en avoir un aussi gros.

– Tu n'es pas mal non plus pour ton âge. Tu n'auras pas une bite aussi grosse que la mienne je pense, mais tu es déjà bien équipé pour un chiard. Pour ton info, elle mesure 21 cm quand je bande, et vu ta main, tu n'en feras pas le tour.

Maintenant que j'y étais, je n'allais pas faire demi tour. J'avais le souvenir de la bite de mon cousin dans ma main. J'ai approché ma main de son sexe. Je la posai dessus et la pris en main. Je lui dis  :

– Ben si, regardez  !

– Arrête de causer et fais moi bander maintenant, tu verras bien.

Je me suis mis à genoux sur la moquette. J'ouvris ma bouche et embrassai son gland. J'ai ouvert un peu les lèvres et je commençais à jouer avec ma langue sur son bout pas encore décalotté. Il sentait fort, mais ce n'était pas désagréable. Ça ne sentait pas l'urine, juste l'odeur musquée d'un homme. Au bout de quelques secondes il bandait complètement. Avec ma main, je tirais sur la peau pour le décalotter complètement. Il avait une bite impressionnante. Il m'attrapa par les cheveux et me força à en prendre plus dans ma bouche. J'avais mal à la mâchoire. Je sentais dans ma bouche et à l'entrée de ma gorge son sexe bandé. Je ne pouvais pas en prendre plus. Je le suçais comme je pouvais. Ça faisait un bruit énorme de succion.

Tout à coup il se retira. Il n'était vraiment pas tendre. Il me tira par les cheveux pendant qu'il s'allongeait sur le canapé. Je compris qu'il voulais que je continue à le sucer pendant qu'il me sucerait à mon tour. Il goba toute ma bite dans sa bouche.  Il me goba les couilles aussi. J'essayai d'en faire autant, mais j'étais tellement submergé par les émotions que je faisais probablement n'importe quoi. Je sentis soudainement un de ses doigts mouillés forcer violemment l'entrée de mon anus. Au bout de quelques minutes je sentis un deuxième puis un troisième doigt me dilater mon fion. J'étais aux anges. Je suçai sa bite comme je pouvais, mais je me tortillais sous l'action de sa préparation. Il m'aspergeait le trou du cul d'un gel qui permettait à ses doigts de mieux glisser. Quand ses doigts furent remplacés par sa langue, je fus submergé par une  vague de plaisir inconnu. La branlette que je lui offrais était de plus en plus erratique. Soudain, je sentis son sperme gicler dans le fond de ma gorge. Surpris, je me suis mis à tousser et je reçus le reste de son sperme sur mon visage. Je lui dis  :

– Vous m'auriez prévenu, j'aurais pu tout avaler.

– Ouais, mais bon, t'es mignon avec du sperme sur le visage. Viens par là.

Je m'allongeais sur son ventre et son torse. Il m'enserra de ses puissants bras. Je sentais son sexe bandé contre mon pubis. Je bandais comme un âne . Il m'embrassa. C'était tout aussi intense et puissant que le reste de ses caresses. Il continuait à masser ma rondelle et à élargir l'entrée de mon intimité avec ses doigts.

Bandant toujours comme un âne, il me fit mettre à quatre pattes sur le canapé, les cuisses et les jambes très écartées. Je sentais l'air frais sur ma rondelle. Je pense que je devais bien être ouvert. Il me dit  :

– Je te préviens, quand j'aurai commencé, je ne m'arrêterai plus.

– Non, allez-y.

– Alors détend-toi, quand tu sentiras ma bite sur ta rondelle, tu pousseras comme si tu avais envie de chier. Tu peux gueuler, j'ai pas de voisins.

Je sentis une pression sur l'entrée de mon anus. Il poussait doucement pour essayer de rentrer son gland. Putain que c'était gros. Je n'arrivais pas à me détendre. Puis je sentis qu'il me pénétrait. La douleur fut intense. Tellement intense, que j'ouvris grand la bouche et que je hoquetais sans arriver à sortir un son. Je sentais sa bite entrer toujours plus profondément. Puis il s'arrêta. Je le sentais pousser mais il n'arrivait pas à aller plus loin.

Tout à coup, il donna un violent coup de rein et je sentis sa bite rentrer tout entière dans mes boyaux. Sous la douleur je me suis mis à hurler très fort. La douleur était vraiment intense. Mais petit à petit j'acceptais le corps étranger en moi. Il en profita pour me chuchoter  :

– Ca y est, dit-il,  je viens d'aligner ton colon tes sphincters et tes boyaux dans l'alignement de ma bite. Vu la taille, si tu mets une main au niveau de ton nombril, tu sentiras mon gland.

Je mis une main pour vérifier ce qu'il me disait. Je ne sentis rien de particulier. Par contre je pouvais sentir sa bite au plus profond de mes entrailles. Je pleurais de douleur, mais je ne voulais pas arrêter maintenant. Je bandais plus fort que jamais. Au bout de quelques instants, il commença à se retirer, puis il se renfonça. La douleur allait et venait en s'atténuant. Je commençais même à prendre du plaisir. Surtout qu'il s'occupait de ma bite en même temps. Il allait de plus en plus vite avec des va et viens de plus en plus importants. Je gémissais maintenant sous ses coups de boutoir. Il avait une main sur mon épaule alors que l'autre m'astiquait ma bite. A chaque coup j'avais l'impression de recevoir la ruade d'un cheval et il m'arrachait à chaque fois un petit cri aigu. J'ai éjaculé sur son divan. J'ai senti cette fois ci que j'avais spermé bien plus que d'habitude, ce qui me fit sourire inconsciemment. Puis dans un dernier coup de boutoir, je sentis un liquide chaud remplir mon ventre. Il venait d'éjaculer à l'intérieur de mes intestins.

Quelques secondes plus tard, il retira sa bite et ça fit un drôle de bruit quand il sortit de mon anus. Il me dit  :

– Allez, file prendre une douche et casse toi.

Je suis allé dans la salle de bain et pris une longue douche. En sortant, il prit ma place. J'étais exténué mais comblé. J'avais mal au cul, mais ça en valait la peine. J'avais la tête qui tournait. Je ne me suis pas rhabillé de suite. Je me suis allongé sur le canapé qu'il avait nettoyé.



Je me suis réveillé dans son lit. Il était toujours à poil. Visiblement, je m'étais endormi et il m'avait couché avec lui. Il bandait. D'instinct, j'ai commencé à le sucer. Il soupirait. Je pensais qu'il était en train de faire un rêve porno dont j'espérais être la star. Puis je sentis une main dans mes cheveux qui me caressait. Je le regardais pendant que je le suçais. Plus doux que la veille il me dit  :

– Mhhh Noé, C'est trop bon de se faire sucer au réveil par toi. Mhh continue.

Je continuai ma fellation. Au bout de quelques minutes, il me dit  :

– Attends, on va voir si hier je t'ai bien ouvert. Couche toi sur le côté.

Je m'exécutais. Je sentis une noix de gel frais sur mon anus. Il releva ma cuisse avec sa main. Je sentis sa bite contre mon cul. Il poussa. J'offris beaucoup moins de résistance que la veille, et la progression de sa bite dans mes entrailles fut plus aisée que la veille. Il me lima une dizaine de minutes avant de répandre sa semence dans mon cul. Il resta ainsi un bon bout de temps avant qu'il ne débande et décule. Je sentais son sperme suivre le mouvement et sortir de mon rectum.

Enfin, il me dit  :

– Noé, tu fais quoi ce soir  ? Tu veux découvrir de nouvelles choses  ?

– Oui, répondis-je.

 

 

  1of2dads: Thousand of pics. Just for you and your dick. Follow Daddy 1 if you want to cum.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par NOE - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 10 novembre 2 10 /11 /Nov 17:53

n'y être pour rien puisque contraint et forcé ! -lol-

 

autres récits de JOAO

http://www.gai-eros.org/w/index.php/Cat%C3%A9gorie:Auteur:_Joao 

l'enlèvement

 

karl666: used as a hole BBC rules

 

 

 

Salut je m’appelle Bernard, je suis en fac Orsay et j’arrive de province. Je ne connais personne dans la région et depuis un mois que je suis les cours, il y a un mec qui me fascine mais je n’ose l’aborder. Ce mec est toujours avec deux ou trois potes à lui et je ne les sens pas, j’ai un peu peur que ce soit du genre casseur de pédé. En les écoutant, j’ai appris qu’il s’appelait Alexandre.

Pourtant ce mec, à chaque fois qu’il peut croiser mon regard il n’hésite pas à se passer la main sur la braguette d’un geste rapide, mais à chaque fois je sens de la perversité dans son regard.

Moi de mon côté depuis que j’ai remarqué son manège, je ne pense plus qu’à lui. Il est pas mal foutu le salaud, 1m80 environ, blond, cheveux courts, des sourcils presque invisibles parce que décolorés par le soleil, les vacances ne sont pas loin. Il porte toujours des Tshirts moulants qui font ressortir ses pectoraux et ses pointes de seins. Il porte généralement un jeans délavé hyper moulant qui met en valeur un joli petit cul fendu par la couture qui lui rentre dans les fesses et, devant, un super paquet.

La nuit je pense à lui dans mon lit et immédiatement j’ai une trique d’enfer et la seule solution pour me calmer, c’est de me branler pour libérer ma tension, ce mec me rend dingue. J’ai envie de lui, il m’allume à chaque fois qu’il peut, j’ai la trouille de lui et de ses copains et je me retrouve seul comme un con à me palucher dans ma chambre de la cité-U. J’ai beau me jeter tête baissée dans le boulot, je n’arrive pas à chasser son regard de ma mémoire, il m’obsède. Un jour sans faire attention je vais me jeter sur lui, il faut que je me maîtrise. Personne ne sait que je suis homo, il faut faire attention, les mecs sont tellement fiers de leur pseudo virilité hétéro qu’ils sont capables de tout.

Les jours passent, je bosse comme un dingue, d’ailleurs mes résultats sont excellents, si les profs savaient que je bosse comme ça pour oublier un mec, je ne sais pas ce qu’ils feraient.

On est mercredi soir, demain jour férié et du coup il y a un pont jeudi, vendredi, samedi dimanche à occuper. Je suis toujours aussi seul, je n’ai pas les moyens de retourner chez moi, je ne sais pas ce que je vais faire. Je sors de l’amphi c’est le dernier cours, il est 18h. Je prends à travers le campus pour rejoindre ma chambre quand un des potes d’Alexandre vient en sens inverse. Salut! Salut, je ne m’arrête pas, le mec me demande du feu. Je fouille dans ma poche retrouve mon briquet, je vais pour lui tendre du feu quand par derrière on me plaque un chiffon avec une odeur affreuse sur le visage, je tente de me débarrasser de mon agresseur mais le mec qui me demandait du feu me bloque les bras. Cette odeur est atroce je me sens vaciller, les images deviennent troubles, mes jambes me lâchent qu’est ce qui m’arrive? Je tombe dans un trou noir, le vide plus rien.

J’ai froid, la tête me fait mal, j’ai l’impression que ma peau me brûle, je suis dans le noir. Où suis-je? Je bouge et je m’aperçois que je suis enchaîné, des anneaux me retiennent par les poignets et les chevilles. Que m’est-il arrivé? C’est un cauchemar, je vais me réveiller, mais non je ne dors pas c’est bien la réalité, je suis dans une pièce plongée dans le noir, des chaînes aux pieds et aux mains, la peau me brûle? Au secours, je me mets à crier, j’entends des pas une porte s’ouvre on bascule l’interrupteur, une lumière forte tombe du plafond, je suis aveuglé. Quand je commence à discerner ce qu’il y a autour de moi, je vois deux gars en shorts de cuir hyper moulants lacés sur les côtés, des bottes de cuir noir et des masques en cuir noir qui m’empêchent de voir leurs visages. Il sont torse nu, bien musclés ma foi, j’ai peur. Que vont-ils me faire? Un des mecs me passe des menottes dans le dos pendant que l’autre me pose une tringle entre mes chevilles pour les tenir écartées.

"Qu’est ce que vous faites? Qui êtes vous? Pourquoi m’avez-vous enlevé?" Je hurle mes questions mais aucune réponse. Ils m’ont soulevé et déposé dans un sling, je tente de me débattre et je me ramasse une claque pour réponse accompagné de ceci: "Tu fermes ta gueule, on veut pas te faire de mal. On veut juste te préparer pour un p’tit week-end dont tu te souviendras." Les deux mecs éclatent de rire.

Un des mecs est allé dans le fond de la pièce il revient avec une poche plastique remplie d’un liquide jaune, la poche se termine par un tuyau souple, le mec s’approche de moi il voit la panique dans mon regard. Il me fait un sourire en me disant: "Tiens toi tranquille, c’est juste un petit lavement." Il enfonce le tuyau dans mon cul, attache la poche aux chaînes de sling et ouvre un robinet, je sens le liquide tiède rentrer dans mon cul, la tension du liquide commence à me faire un peu mal, je lui dis d’arrêter. Comme un "infirmier"  Il me dit "non, il faut tout prendre, il reste encore du liquide mais celui-ci ne descend plus, j’ai le cul plein. Le mec me regarde et avec un sourire carnassier, presse la poche pour la vider dans mon cul; je gueule mais il s’en moque. Il a retiré l’embout. Je vais pour me vider mais il plaque son pouce sur mon trou en me disant: "Tu vas garder ça le temps qu’il faudra sinon t’auras des problèmes." Son pote est parti, fouille dans un tiroir et revient avec un plug, pas très long mais large, il le tend à son pote en disant: "Tiens, voila un bouchon!" et ils éclatent encore une fois de rire. Le mec pose le gode sur mon trou et pousse, j’ai l’impression qu’il va me déchirer. Je gueule mais il s’en fout, il pousse le gode et celui-ci finit par rentrer. J’ai l’impression d’avoir été coupé en deux, une douleur affreuse irradie de mon cul. Mon anus me cuit aussi. Ils attachent le plug pour empêcher que je le rejette et sortent de la pièce en me disant: "On revient tout à l’heure!" Ils éteignent et ferment la porte sur eux.

Mais qu’est ce qui m’arrive? Où je suis tombé? Qui c’est ces mecs?

Mon ventre me torture, j’en ai mal, je gueule qu’on me délivre. Des bruits de pas, la porte s’ouvre, lumière aveuglante, le mec qui m’a fait le lavement s’approche de moi, je lui demande de me libérer, il me dit qu’il faut encore un peu de temps pour que le produit agisse et ce faisant il me masse le ventre pour bien répartir son lavement je ne peux rien faire pour l’en empêcher, il me presse et tortille le ventre comme pour faire remonter le lavement le plus loin possible. Je le supplie, rien n’y fait. Je lui dis que j’ai mal au ventre que la peau me brûle que je deviens fou, il reste de marbre. Son pote vient de rentrer dans la salle il regarde une montre accrochée à un mur et dit: "On peut le laisser se vider." Je le regarde avec reconnaissance, c’est fou non? C'est mon tortionnaire et je le regarde avec reconnaissance.

Les deux me détachent, m’emmènent vers le fond de la pièce qui est carrelée. Là ils me demandent de me pencher en avant, ce que je fais. Un des deux défait les liens du plug et sans prévenir tire dessus. Une douleur fulgurante part de mon cul, je manque  trébucher tant c’est soudain et violent, je sens mes intestins se vider sous moi, un sentiment mêlé de soulagement et de honte, je me vide les boyaux devant des mecs, mais le soulagement l’emporte sur la honte. J’ai fini de me vider. Un mec prend un tuyau de douche et rince le sol souillé de mes excréments puis il enfile une canule sur le tuyau de douche, m’ordonne de me pencher et m’introduit la canule dans le cul, pour rincer, dit-il. Je sens l’eau rentrer en force dans mon cul puis sortir, je vois l’eau qui sort de mon cul encore un peu chargée puis elle devient parfaitement claire.

"C’est bon il est propre de ce côté-là. Maintenant redresse toi!" Comme je ne réagis pas assez vite, une claque monumentale sur les fesses me rappelle à la docilité. Le mec a pris un jet et commence à m’arroser de la tête aux pieds, la poitrine, les aisselles le ventre le pubis et là je réalise que là où il passe le jet mes poils tombent. Mon pubis est maintenant parfaitement lisse, plus un poil, idem pour mes couilles, mes jambes suivent le même régime. Devant mon étonnement, le mec qui me douche m’explique que si j’avais la peau qui brûlait, c’est parce qu’on m’avait recouvert d’un liquide dépilatoire et qu’il m’en avait passé partout sur le corps. Maintenant le seul endroit où tu as es poils c’est sur la tête mec, pour le reste t’es nu comme un bébé. Il me fait tourner sur moi-même et je me retrouve face à un miroir et en effet je n’ai plus un poil sur le corps, l’effet est curieux.

— Bon maintenant les mecs vous allez m’expliquer ce qui arrive?

— Pas tout de suite, il faut finir de te préparer, viens par là.

Un mes mecs me demande de le suivre, je me méfie, quand je refuse de faire quelque chose je me reçois immédiatement une correction qui me dissuade de recommencer mais...

Il ouvre un tiroir d’un meuble sort un tube de crème, en vide une partie dans se mains et commence à me recouvrir d’une crème, l’effet est apaisant, je ne sens plus la brûlure de ma peau. Il m’en couvre le corps entier, ses mains sont douces et il me passe la crème avec légèreté. Je me laisse aller à ses caresses. Une belle bosse déforme son short. Je vais pour y mettre la main quand il m’écarte brutalement, en me disant que les initiatives c’est lui qui les prend et pas moi. Je reste un peu bête. Il fait un signe à son compagnon qui s’approche et tous les deux me soulèvent et me déposent dans le sling.

— Bon maintenant, on va te préparer le cul, de deux choses l’une: ou tu te tiens bien et tout ira pour le mieux ou tu fais ta chochotte et tu vas ramasser des baffes. Vu?

— euh...Vu.

— Bon, on va commencer petit.

Il sort un gode d’un sac, il dit qu’il est petit c’est pas mon avis, je le lui dis, paf un coup de tapette en cuir sur les fesses.

— Il est petit j’ai dit!

Il pose une noix de gel sur mon cul et entre le gode sans ménagement, j’ai l’impression qu’on m’écartèle. J’ouvre la bouche pour crier quand l’autre me fourre sa queue dans la bouche pour me faire taire, je manque étouffer. Il me tient la tête pour bien me planter sa queue au fond de la gorge. L’autre en profite pour me travailler le cul avec le gode. La douleur commence à passer et le gode glisse mieux. Le mec s’en aperçoit et décide de changer de gode, la séance dure je ne sais combien de temps mais je n’en peux plus. Le mec qui me tient la tête lâche, je redresse la tête et je vois le gode sortir de mon cul, il fait la largeur d’une main; je ne croyais pas cela possible. Le mec qui me travaillait le cul me fait un sourire et me dit: "Tu vois, t’as été sage et tu es bien dilaté. Maintenant je vais te graisser le fion."

Il se lève, ouvre son short et en sort une queue impressionnante. Il se place entre mes jambes et sans autres forme de procès me plante sa queue dans le cul d’un coup. Heureusement qu’il m’a bien dilaté le cul, je ne ressens pas de douleur. Il commence un long va-et-vient. Une onde de plaisir commence à m’envahir et je me laisse submerger. L’autre mec a pris ma queue et me suce, les deux actions me mènent à la jouissance. J’éclate dans la bouche de mon suceur en même temps que je reçois des salves de foutre dans mon cul.

Je suis essoufflé comme si j’avais fait un 100 mètres. Les deux mecs s’embrassent en souriant.

— Bon petit mec, t’es pas mal foutu, t’as été gentil, maintenant on va te laisser te reposer. On revient plus tard!

Et ils me laissent seul dans le noir, attaché à mon sling. Je ne sais pas combien de temps, je ne sais pas depuis combien de temps ils m’ont enlevé, j’en suis là de mes réflexions quand la porte s’ouvre à nouveau.

Ils arrivent tous les deux près de moi. Il me donnent une pilule et un verre d’eau.

— C’est quoi?

— Avale tu verras bien.

— Mais c’est quoi?

Une tape sur les fesses et j’avale le comprimé. Ils me placent un masque de cuir sur la tête, ce masque m’empêche de voir il y a un trou pour respirer et il me laisse la bouche libre.

— Bon on va t’emmener là-haut, tu vas être bien gentil, il ne t’arrivera rien de mal. Tu vas voir tu vas aimer.

— Je vais aimer quoi?

— Tu verras bien, tu ne parleras pas, tu ne poseras pas de question, tu te laisseras faire et tu pourras te laisser aller si tu aimes le traitement.

Sur ce, ils me guident vers un escalier en me soutenant, il fait plus chaud, je sens une moquette épaisse sous mes pieds. Ils me laissent seuls. Pas de bruit, quand tout à coup une main se pose sur mes fesses, elle est douce, une autre main vient me caresser la poitrine et les pointes de seins. Je me laisse faire, un corps musclé vient se coller à moi, des bras m’enserrent, je pose ma tête sur une épaule. On me soulève et m’allonge sur un lit moelleux. Les caresses reprennent, je m’abandonne en gémissant doucement. Un corps coulisse sur moi et une queue vient effleurer mes lèvres j’ouvre la bouche et prends une verge dure et douce à la fois. Je bande comme un fou quand je sens une bouche chaude se refermer sur ma tige je me lance dans un 69 d’enfer, je sens que je vais jouir, le type qui me suce s’en aperçoit et arrête, je me sens frustré. Je demande pourquoi et une voix qui me rappelle quelqu’un me dit qu’il faut prendre son temps.

Il glisse son corps contre le mien et vient me lécher le trou, je deviens fou, ma queue bandée au max me fait mal je vais pour me branler mais il écarte mes mains. Sa langue remonte le long de ma queue pour me gober le gland. Il arrête je ne le sens plus où est-il? Il s’est placé à côté de moi, il prend ma queue, je ne sais pas ce qu’il fait. Quand tout à coup je comprends : il guide mon gland vers son trou et s’empale sur ma queue douloureuse à force de bander. Il descend lentement et me prend en entier. Ça y est, je sens ses fesses sur mes cuisses et ses couilles sur mon pubis. Je commence un mouvement du bassin. Il répond à mes mouvements, il caresse mes seins, je commence un long mouvement d’enculage. Ses mains remontent sur mon torse il me caresse les lèvres il se penche sur moi et pose ses lèvres sur les miennes, sa langue pénètre ma bouche et vient s’enrouler autour de la mienne. Ses mains sont passées derrière ma tête, il fait glisser le zip du masque et me l’enlève la lumière m’aveugle. Quand je commence à discerner les traits de partenaire, je manque m’étrangler. Je vois Alexandre souriant, empalé sur ma queue. Il se penche sur moi et comme j’ai la bouche ouverte par la surprise il en profite pour me rouler une pelle magistrale. Je le prends dans mes bras, le serre contre moi. Il se redresse je le regarde et lui demande.

— Pourquoi?

— Pourquoi cette mise en scène, parce que j’ai envie de toi depuis que je t’ai vu, que tu hantes mes nuits, que mes potes n' en peuvent plus d’entendre parler de toi et que si je ne faisais rien, nous serions encore des inconnus l’un pour l’autre. Voilà tu sais tout.

La révélation me laisse sans voix, Alexandre est souriant mais il y a comme une petite inquiétude dans son regard.

— Qu’est ce qui s’est passé?

— Et bien mes potes t’ont enlevé en te mettant un tampon de chloroforme, ils t’ont amené ici chez mes parents. C’était l’occasion où jamais ils sont partis en province pour tout le week-end. Tu m’en veux?

Le sourire a disparu, il est inquiet. Je réalise qu’il est empalé sur ma queue.

— Dis moi c’était quoi ce comprimé qu’ils m’ont fait avaler?

Un sourire passe sur les lèvres d’Alexandre.

— Du VIAGRA, tu devines pourquoi?

Un élan de colère s’empare de moi, je le prends par les hanches et l’encule comme un sauvage, il pousse des cris tels que ses potes entrent dans la chambre, inquiets. En le voyant, ils se mettent à sourire sortent leur queue et commencent à se branler. De les voir se palucher en nous regardant me fait redoubler d’ardeur. Alexandre est devenu un pantin désarticulé sur ma queue. Il éjacule en poussant un cri, il se vide en longues giclées de sperme bien crémeux. Il tombe sur moi en nage. Je lui roule une pelle d’enfer; les deux autres se branlent toujours, je fais signe à l’un d’eux il s’approche je lui baisse son short le penche en avant et l’encule d’un coup, il pousse un cri sous l’effet de surprise je commence un enculage viril le mec commence à gémir, je sens son cul qui se resserre sur ma queue je le branle énergiquement il vient dans mes doigts. Je décule et fais signe au deuxième. Il s’approche et me présente spontanément son cul, je l’enfile comme son compagnon, mais son cul est plus serré, il pousse un cri, son cul cède et je m’enfonce dans son fourreau chaud et humide, je suis dans son dos. Il vient poser sa nuque sur mon épaule et me donne un baiser pendant que j’encule sans ménagement. Je sens sa jouissance venir, je le branle et il vient dans une série de spasmes impressionnants, son pote est venu se mettre à genoux et l’a embouché, le mec se vide dans la bouche de son pote. Je les laisse tous les deux, me retourne vers Alexandre qui me regarde ébahi.

— Tu m’a fait prendre du Viagra et bien tu vas en profiter. Allez à 4 pattes!

Il commence àa se retourner. Une série de claques sur les fesses et il me présente son cul dans lequel je plonge ma queue hyper tendue. Il pousse un cri, me supplie d’y aller doucement, je ne l’écoute pas puis je commence à ralentir. Je le retourne, il est maintenant sur le dos, mon regard plonge dans le sien, je me penche sur lui et lui donne un baiser tendre, il m’entoure avec ses bras plein de tendresse. Je fonds, mon baiser devient tendre, mes mouvements de bassin maintenant sont accompagnés par les siens. Je sens monter la jouissance, Alexandre s’en aperçoit et serre son cul autour de ma queue, déclenchant des ondes de plaisir qui m'ont fait exploser dans son cul. Je m’écroule sur lui, les yeux fermés. Il a joui, je sens son sperme sur son ventre. Quand j’ouvre les yeux, il me regarde intensément sans rien dire.

Je lui fais mon premier sourire et lui dit: "Je t’aime!" Une lueur de joie traverse son regard, une larme coule. Il me rapproche de lui et me dit dans un souffle: "Moi aussi je t’aime!" Il me roule une pelle à damner un saint. Ses copains sont là tous les deux à échanger des baisers, Alexandre leur dit:

— Merci les mecs, je suis le mec le plus heureux du monde grâce à vous. La chambre à côté est pour vous, nous on a un tas de choses à nous dire.

— Tout le plaisir est pour nous!

Et ils se retirent. Alexandre me regarde en souriant et me dit:

— Tu peux me redire ce que tu as dis.

— J’ai dit quoi?

— Bernard, redis le moi s’il te plait.

— Je t’aime ducon, je t’aime depuis que je t’ai vu pour la première fois, tu étais dans tous mes rêves et maintenant je suis heureux d’être avec toi voilà mais...

— Mais?

Je sens le doute et l’inquiétude dans le son de la voix d’Alexandre.

— Mais tu aurais pu m’épargner cette mise en scène non?

— Je te demande pardon Bernard.

— Je te pardonne à condition de baiser tout le week-end. Au fait quel jour est-on?

— Nous sommes jeudi soir, tu vois on va pouvoir baiser longuement.

— Je te pardonne, mais comme on m’a forcé à prendre du Viagra, il faut que tu me soulage, regarde je bande encore.

Alexandre éclate de rire en se jetant sur ma queue. Je sens que le week-end va être fatiguant mais bon...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

maybestufflove: #bathroom #ass #dildo #scruff #wet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par BERNARD ALEXANDRE - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 9 novembre 1 09 /11 /Nov 06:34
 lui faire le plus beau souvenir du reste de sa vie
 
 ET IL ACCEPTE LE BBK POUR SA  1ERE
PUTAIN QUEL PIED ET QUELLE SATISFACTION IL SE PREND CELUI QUI A SU LUI CUEILLIR SA FLEUR !    
Par SEXWATCH - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 7 novembre 6 07 /11 /Nov 00:54

"Pierre Mazar", personnage fictif,  concrétise au théâtre le double d'un homme double.   Sous les questions du « docteur » Jacques Balutin », Pierre Palmade se confie sur le choix du nom de son personnage Pierre Mazar, dans sa pièce de théâtre « Le fils du comique ». Il avance que ce personnage est une sorte d'alter ego qui assume son homosexualité, un personnage à la Oscar Wilde. Il ajoute que la sortie de la pièce a coïncidé avec les faits d'actualité, notamment sur le débat de l'homosexualité. Il s'explique aussi sur le choix des deux actrices qui l'accompagnent sur la pièce.  

 

                        

on aime son coté j'y-va-t-y  j'y-va-t-y -pas

et surréaliste aussi dans ses coming-outs permanents 

 

adorable dans des affirmations comme celle-ci : 

« Etre heureux c'est tout juste ne pas être malheureux »

 

 

 

 

 

« ,,, »

 

 

 

Par PIERRE PALMADE - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 7 novembre 6 07 /11 /Nov 00:41

 

 

 

Telegraph Subscriptions 

http://www.telegraph.co.uk/news/newstopics/howaboutthat/9209758/Rugby-player-says-he-is-happier-since-stroke-turned-him-gay.html 

A rugby player who claims suffering a stroke turned him gay has said he is happier now than when he was straight.

 
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Chris Birch says he is happier since suffering a stroke turned him gay
Chris Birch says he is happier since suffering a stroke turned him gay Photo: Wales News Service / Splash News

A year ago, Chris Birch, 26, was a 19st beer-swilling athlete from the Welsh valleys who loved motorbikes and was engaged to marry his girlfriend at the time.

However, after suffering a stroke, he woke up to realise that he was no longer attracted to women.

He has since slimmed down, quit his job in a bank to become a hairdresser and is engaged to another man.

Reflecting on the dramatic change, Mr Birch, from Caerphilly, told the BBC: “The Chris I knew had gone and a new Chris sort of came along. I came to the realisation that the stroke had turned me gay.

“I'm happier now than I ever have been, why would I want to change?”

Par THE TELEGRAPH - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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