1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS

Mercredi 1 juillet 3 01 /07 /Juil 06:30

 

 

 

 

vas-tu la fermer ? quelqu'un peut nous entendre !

 

 

impatient de te voir

de voir ce que tu as dessous

 

 

parce que tu m"as vu une fois sur ma webcam

tu crois  que c'est arrivé  !

 

 

personne ne nous verra là

 

  hé, mec ! tu t'emballes là !

 

 

 

 

   

 

   

 

 

 

 

 

 

Par doubtful - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 28 juin 7 28 /06 /Juin 18:05
 gay séduit hétéro
 
 
 
 
 
Par Johnblue1 - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 15:32

le bon jour au bon endroit...tous les récits ne sont pas malheureux !

 

les-_ecc81toiles-roses_tombent_du_ciel.jpg RECIT ASSEZ ROSE

 

j’aurais cru voir un ange arriver : c'était JULIEN

Donc ce soir là, je suis sur la piste avec des copains et copines, nous dansons, nous nous éclatons, puis arrive Julien. Je le regarde, je me dis que vraiment il est beau mais je ne pense pas qu’il soit gay, il n’a jamais rien fait pour me le montrer en tout cas. Par contre, je ne l’ai jamais vu non plus avec une fille. Tout de suite Julien nous rejoint et commence à danser avec nous. Je le regarde, il me plait. Ju me regarde lui aussi de plus en plus, à tel point que nous finissons par ne plus nous lâcher du regard. Merde, il est gay ou quoi ? Enfin, Éric met des slows, les couples se forment rapidement, Franck est avec Nathalie, mes potes sont pour beaucoup avec des filles et dansent ou s’embrassent déjà. Je suis vers le bar, je bois un Shweps. Julien est de l’autre côté de la piste, il me regarde. Moi je ne le lâche pas des yeux non plus. Il traverse la salle, s’approche de moi  se penche à mon oreille et me demande si je veux danser avec lui. Alors là, j’en reste un peu con, certes je sais que je suis gay mais je n’ai pas encore fait mon CO, là tous mes potes sont réunis et en plus, je ne savais pas que Julien était gay. Je le regarde, j’ai 30 secondes pour me décider, 30 secondes qui vont dicter toute ma vie. Soit je refuse et je reste un homo refoulé qui n’osera jamais s’avouer qu’il aime les mecs, soit je danse avec lui et je m’assume enfin.


365 jours dans une vie
   


Chapitre 1 :

 
  J’ai 23 ans, je suis en faculté de médecine. Mon but est de devenir vétérinaire. J’ai assez bien marché dans mes études, aucun redoublement, plutôt « sage ». J’ai un frère de 19 ans avec qui je m’entends super bien. Je vis encore chez mes parents. Ces derniers sont cadres tous les deux. Papa, Christian, est patron d’une agence bancaire, maman, Florence, est médecin. Il va sans dire que nous vivons plutôt bien. Grande villa avec piscine, 2 chiens, 1 chat. Nous avons David, mon frère, et moi le premier étage de la villa pour nous, c’est à dire, une grande chambre chacun, une salle de bain avec une belle douche, une chambre d’ami qui nous sert de salle de jeux. David est en première année de médecine, il veut devenir médecin tout comme maman. Nous sommes dans la même fac.

  Bon, j’ai planté le décor, il ne me reste plus qu’à me présenter. Je suis assez grand, 1m80, je pèse 70 kg, plutôt sportif, je fais du judo, ceinture noire, je fais aussi de la musculation et je joue au basket puis au foot avec mes potes. Je suis blond, j’ai les yeux bleus. Plutôt mignon d’après mes potes et  mes copines. Sans me venter, il est vrai que souvent, les filles me regardent et plus d’une aimeraient sortir avec moi. Je ne suis pas très poilu, plutôt imberbe même, il faut que je reste une semaine sans me raser pour avoir un semblant de barbe qui pousse. Je ne suis pas prêt de ressembler à Gainsbourg ! Au fait, je n’ai pas dis mon prénom, je m’appelle Nathan.

  Vous voyez, une vie tout à fait normale et plutôt facile pour David et moi-même. En plus nos parents nous ont toujours laissé une paix royale tant que nous travaillons bien et que nous ne faisons pas les cons. Nous avons tous les deux notre groupe de copains et copines. Personnellement, j’ai Franck, avec qui nous avons fait toutes nos études ensemble depuis le primaire. Nous sommes inséparables et nous sommes aujourd’hui encore en fac ensemble, notre but étant d’ouvrir un cabinet vétérinaire en commun. Nous avons exactement le même âge, il a 15 jours de plus que moi. Nos parents sont devenus amis par la force des choses, les deux fils étant toujours ensemble. David, lui a un copain aussi avec qui il est hyper proche, Nicolas, lui aussi a l’âge de David et eux deux non plus ne se sont jamais quittés, il est tout comme nous en fac de médecine. Aussi, il n’est pas rare que nous nous retrouvions tous les quatre le week-end à la maison.

  Maintenant je dois aussi vous parler de ma vie privée, je suis gay. Attention, pas une grande folle, mais j’aime les garçons. David le sait, mes parents aussi et ils l’acceptent. Mes amis sont tous au courant et plus d’une fille m’en veut, mais je reste un super pote pour elle. Bien Sûr, Franck est au courant. En fait je sais que je suis homo depuis que j’ai 14 ans. Je m’en suis rendu compte d’abord au sport, j’aimais particulièrement regarder mes potes sous la douche, puis petit à petit j’ai compris que les mecs m’attiraient plus que les filles. Je suis sortie avec quelques filles quand j’avais 15 ou 16 ans, j’ai même eu des débuts de relations sexuelles avec elles, caresses et fellation, mais je ne prenais pas beaucoup de plaisir, faire un cunnilingus, bof, ça ne m’a jamais rendu fou. Puis, à 18 ans, j’ai rencontré Julien. Il arrivait dans notre ville et sportif, il s’est inscrit au judo. Étant du même niveau que moi et Franck, il s’est retrouvé naturellement avec nous. Puis, ça a collé tout de suite entre nous, le courant est passé super bien. Nous avons commencé à faire des bringues ensemble. Nous étions en terminal.

  Un soir de fête, nous étions chez Éric, un autre copain, nous faisions les dingues comme toujours sur les musiques qui passaient à fond dans les baffles. Toujours, Franck, quelques potes et moi. Nous avions bu quelques verres, mais rien de méchant, je ne tiens pas du tout l’alcool et je trouve que je peux très bien m’amuser sans être saoul, donc aucun problème de ce côté là.  Julien est arrivé vers les 23H 00, jeans noir, chemise blanche, avec ses yeux verts et ses cheveux blonds, j’aurais cru voir un ange arriver. Je commençais bien sûr à être certain de mon orientation sexuelle mais je n’étais jamais passé à l’acte avec un mec. Enfin, si avec Franck, quelques branlettes l’un devant l’autre mais rien de plus. Franck n’est pas gay, enfin pas encore, tout espoir n’est pas perdu, mais je pense que lui il aime les filles. Personne n’est parfait, mais il fait chier ce con, j’aimerais assez être avec lui mais ça, je pense que sa restera un fantasme ou un rêve. Autrement, bien sûr des branlettes sous les douches du sport mais très rarement tout de même.

  Donc ce soir là, je suis sur la piste avec des copains et copines, nous dansons, nous nous éclatons, puis arrive Julien. Je le regarde, je me dis que vraiment il est beau mais je ne pense pas qu’il soit gay, il n’a jamais rien fait pour me le montrer en tout cas. Par contre, je ne l’ai jamais vu non plus avec une fille. Tout de suite Julien nous rejoint et commence à danser avec nous. Je le regarde, il me plait. Ju me regarde lui aussi de plus en plus, à tel point que nous finissons par ne plus nous lâcher du regard. Merde, il est gay ou quoi ? Enfin, Éric met des slows, les couples se forment rapidement, Franck est avec Nathalie, mes potes sont pour beaucoup avec des filles et dansent ou s’embrassent déjà. Je suis vers le bar, je bois un Shweps.
Julien est de l’autre côté de la piste, il me regarde. Moi je ne le lâche pas des yeux non plus. Il traverse la salle, s’approche de moi  se penche à mon oreille et me demande si je veux danser avec lui. Alors là, j’en reste un peu con, certes je sais que je suis gay mais je n’ai pas encore fait mon CO, là tous mes potes sont réunis et en plus, je ne savais pas que Julien était gay. Je le regarde, j’ai 30 secondes pour me décider, 30 secondes qui vont dicter toute ma vie. Soit je refuse et je reste un homo refoulé qui n’osera jamais s’avouer qu’il aime les mecs, soit je danse avec lui et je m’assume enfin.

 
  Il me regarde, attend une réponse. Je le regarde dans les yeux, je lui prends la main et l’emmène sur la piste. Nos amis nous regardent mais continuent à danser, aucune réflexion, aucun commentaire. Julien me passe les bras autour du coup, moi je passe les miens autour de sa taille. Nous commençons à danser. Éric qui suit cette scène passe encore des slows. Franck embrasse Nathalie, mes copains du sport et de classe embrassent presque tous leur partenaire. Je regarde Julien, je n’ose pas faire le premier geste, le pauvre il va devoir me décoincer. Il me regarde dans les yeux, aucun mot, il approche son visage du mien, ses lèvres se collent aux miennes. J’ouvre la bouche, nos langues se rencontrent enfin. Je ferme les yeux, je suis bien. C’est le premier garçon que j’embrasse, et je sens qu’il me fait beaucoup plus d’effet que les filles que j’ai déjà tenu dans mes bras et embrassées. Je crois que Julien vient de me faire comprendre  ce que j’attendais depuis longtemps. Nous restons bouche contre bouche et langues emmêlées, au moins 5 minutes. Enfin, Éric remet de la musique plus entraînante. Nous quittons la piste de danse. Nos potes nous regardent à peine. Ils ont l’air de se foutre complètement que nous ayons osé nous embrasser. Franck s’approche de nous deux, il est avec Nathalie. Que va-t-il me dire ?  ....

 

LA SUITE ...

http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/365-jours-gay-sujet_11584_1.htm 

 

 

 

                                   

 

 

 

 

 

 

Par doctissimo 365 jours ->ALEX - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 06:49

 

ANTOINE CAPTIVé PAR LA VIDEO :  « — Il va se faire mettre?  »

 

sa vie a commencé là  

le bon jour au bon endroit.....  «  — Fais-en moi autant...»

 
    Grown Ups 2

 

Depuis quelques temps, Antoine, le fils de la voisine, un petit minet de dix-huit ans, a pris l’habitude de venir voir les films de cul de Canal + chez moi. Bien que les films pornos hétéros me fassent plutôt gerber, de voir ce beau mouflet en train de s’astiquer sur mon canapé, on ne peut pas dire que ça me laisse indifférent! Mais à ses dires, il n’est pas pédé, même s’il n’est pas contre.

Antoine est devenu une obsession pour moi. Je ne peux plus le regarder sans avoir envie de sentir ce jeune animal fougueux me limer le boyau. Un soir, ]’ai décidé de ne pas mettre le film de Canal +, mais une cassette vidéo très hard... et très gay aussi...

Les premières minutes, Antoine n’a rien dit. Il regarde les deux étudiants, sur l’écran, qui se passent les mains entre les cuisses et moulent, d’un geste, des sexes bandés sur des grosses couilles. Toute ma mise en scène est au point. Je commence moi aussi à me caresser le sexe sans déboutonner ma braguette. À soupirer un petit peu. En faisant comme si Antoine n’était pas là. Sur l’écran, la scène se précise. Je connais ce film X par cœur. L’un des deux étudiants sort son paquet de son jean et se fait sucer la queue par l’autre. Gros plan sur la bouche et la bite pleine de salive. Va-et-vient. Antoine se tortille un peu sur la banquette. Je vois qu’il bande mais qu’il hésite à se branler. Il se tripote la queue à travers le pantalon. Je le regarde du coin de l’œil. J’ai défait ma braguette, sorti ma queue. Je n’ose pas trop me branler. Je pourrais jouir vite dans ce genre de situation!

Maintenant, c’est la scène de la salle de bains. Le plus vieux des étudiants, un brun assez poilu (qui, sans me vanter, me ressemble un peu, en plus jeune) se baisse pour prendre ses affaires. L’autre arrive par-derrière, les deux mains plaquées contre les fesses musclées. Gros plan. Les mains écartent les fesses sur une raie parfaitement rasée et propre. J’entends Antoine qui émet un petit gloussement de surprise. L’anus est une belle rosette bien dégagée. Un doigt enduit de gel s’appuie autour, avant de pénétrer très facilement dans le boyau. Le doigt ressort, recommence son petit jeu autour de l’anus. L’absence de poil rend la scène hyper-excitante. Je me tourne vers Antoine. Cette fois-ci, il a les veux rivés sur l’écran, la bouche légèrement entrouverte, la queue bandée dans sa main. Je lui dis:

— T’as déjà enculé une fille?

Il me répond, dans un soupir:

— Non, elles ne veulent jamais!

— Pourtant, t’as vu, c’est bandant, un trou du cul...

— Ouais, ça doit être le pied d’y foutre sa queue!

Sur l’écran, l’anus est plein de salive, et trois doigts maintenant font le passage. Antoine s’impatiente.

— Il va se faire mettre, tu crois?

 

(via First post on here. Thoughts? - Imgur)

 

 

— Oui, oui, attends!

Une queue épaisse et encapotée entre dans le champ de la caméra. Elle paraît toutefois énorme par rapport à l’anus. Elle effectue un léger va-et-vient le long de la raie du cul et appuie son nœud sur l’orifice qui cède. La bite s’enfonce tout doucement tandis que le trou de balle s’élargit. Le type qui se fait enculer pousse des gémissements à faire jouir toute une caserne. Antoine s’astique frénétiquement le gland. Je me suis déshabillé discrètement. Je me glisse par terre devant lui, et lui prend la main. Il se laisse faire. Je la guide vers la raie de mon cul, soigneusement rasée, comme sur l’écran. Antoine continue de regarder le film, mais sa main ne reste pas inactive. Je sens ses doigts qui passent et repassent sur ma rosette, que j’ai eu soin de légèrement lubrifier.

Je sens un doigt un peu timide encore qui me pénètre, puis qui ressort, puis qui rentre avec un autre doigt, et qui massent mon boyau avec de plus en plus d’assurance. Je voudrais crier, mais je n’ose pas. J’ai l’impression de vivre un rêve. J’essaie de me rapprocher le plus possible d’Antoine. Je voudrais sentir sa bite contre mon cul. Sur l’écran, se succèdent les gros plans sur l’anus écartelé et la bite qui le lime avec force. Je murmure en lui tendant une capote:

— Fais-en moi autant... la suite dans :

http://www.gai-eros.org/w/index.php/Il_va_se_faire_mettre%3F 

 

 

 

 

 

Par PATRICE0 - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 27 mai 3 27 /05 /Mai 00:50

  http://bigay2.skyrock.com/3047534545-histoire-chaude-a-lire-jusqu-au-bout.html   

 

 

helixstudios: Troy Ryan

 

 

   

 

 

 

 

   L'ecrivain Michel Tournier, déjà interpellé par la chasteté de Robinson Crusoé qui lui paraît un faux semblant dans le roman de Daniel Defoe. Aussi a-t-il réécrit ce récit sous la forme de « Vendredi ou la Vie Sauvage »

 

Dans « Les Météores » M. Tournier peut établir une analogie entre l'homosexualité et la gémellité : l'homosexualité serait une contrefaçon sans pareil de la gémellité permettant de la comprendre, de la percer à jour :

 

« Ces deux systèmes inflexibles – le gémellaire et le féminin – n'avaient aucune chance de s'ajuster l'un à l'autre. Si l'on veut des mœurs souples, novatrices, fureteuses, c'est de certains hommes qu'il faut les attendre. Notre père Édouard par exemple aurait peut-être été disposé à tenter des expériences – et d'ailleurs qu'est-ce que l'adultère sinon une certaine ouverture ? – dans des limites il est vrai assez timides. Mais je songe surtout à son frère Alexandre, notre oncle scandaleux, dont toute la vie n'a été qu'une quête amoureuse qui s'est achevée superbement dans les docks de Casablanca. Celui-là, je ne me consolerai jamais d'avoir manqué sa rencontre, son amitié – parce que c'était quelqu'un, et puis il se trouvait à la distance idéale des "sans-pareil" et des jumeaux pour voir et être vu, entendre et être entendu. Son homosexualité – contrefaçon sans-pareil de la gémellité – aurait pu nous apporter des lumières précieuses, une médiation irremplaçable pour percer le mystère aussi bien gémellaire que sans-pareil. » (Michel Tournier, Les Météores, Gallimard/Folio, page 416)

 

(Michel Tournier, Les Météores, Gallimard/Folio, page 416)

 

 

 

Jumeaux
Romain et Cédric sont deux adorables jumeaux bruns de 19 ans. Ils ont à la fois le côté viril des petits mâles sauvages et le côté fragile des ados. Depuis un mois, Romain - qui est ouvertement gay - a un petit ami : Régis. Ce soir-là, les deux frères terminent une partie d'échecs dans la chambre de Cédric.

 

– Tu ne t'es jamais demandé la sensation que ça faisait ? demanda Romain à son frère.
– Quoi ?
– De « sauter » un mec !
– Arrête avec tes histoires ! Que tu sois pédé ça m'est complètement indifférent mais fous-moi la paix avec tes histoires de cul...
– Tu ne t'en fous pas que je sois gay !
– Si.
– Menteur !
– Pourquoi menteur ?
– Parce que d'abord tu dis pédé et qu'ensuite ça t'emmerde royalement que j'en sois un !
– Ça m'a emmerdé, c'est vrai... Mais je m'y suis fait, Rom' ! T'es pas le seul à l'école...
– T'as vraiment jamais eu envie ?
– Arrête et joue !
– On ne peut vraiment parler de rien avec toi, frangin !
– Bon, tu veux que je parle de la baise entre mecs avec toi... C'est ça ? Alors on y va. J'en parle. Non, je n'ai jamais eu envie d'enfiler un mec... Voilà !
– Même pas moi ?
Cédric resta bouche bée. Le silence aspira tout. Cédric n'osait pas regarder Romain. Sa réponse ne venait pas mais le silence pesant en étant une.
– J'en étais certain ! Tu en as envie...
– T'es vraiment lourd, Rom' !
– Ose jurer que tu n'as jamais pensé à ça ! Ose !
– Nous sommes jumeaux !
– Ce n'est pas une raison !
– Si. S'en est une excellente ! J'ai lu ça . Plus de 75 % des jumeaux ont eu envie de relations sexuelles avec leur double ! 30 % l'ont fait ! ça ne fait pas de moi...
– Un pédé ! Non, je sais ! Je n'essaie nullement de prouver que tu en es un... A entendre les filles se pâmer sous tes coups de reins...
– Tu as écouté ?
– J'allais me gêner. Tu n'as jamais écouté, toi, lorsque je ramenais un mec dans ma chambre ?
– Je n'ai pas écouté... J'ai entendu ! Nuance !
– Il passa la langue sur ses lèvres.
– Arrête de jouer à l'allumeur ! Va tout de suite au fait, Romain.
– As-tu envie de me baiser ?
– Toi, à première vue, tu es intéressé. Tu aimerais peut-être savoir pourquoi les filles crient sous mes coups de butoir.
– Tu marques un point... mais c'était MA question... et j'attends TA réponse...
– Tu m'offrirais ton...
– Mon cul, oui ! ça fait très longtemps que j'y pense... Je n'ai qu'un regret, c'est que ce ne soit pas à toi que j'ai donné ma virginité !
– J'aurais dû aller vite !
– Je ne l'ai pas perdue si jeune.
– Je crois rêver !
– Non, tu ne rêves pas ! Je suis sûr que tu bandes, là ! Tu triques à l'idée de « sauter » ton petit pédé de frère.
Romain se pencha et tâta l'entrejambe de Cédric qui eut un geste de recul.
– Woaw !
– Content ?
– Hyper heureux ! Et fier de te mettre dans cet état... Elle est toute dure, brother !
– T'en as tellement envie, hein. Allez ! Fous-toi à poil que je te fasse ton affaire !
Cédric ceintura Romain mais celui-ci se dégagea.
– Tu sais ce que tu veux ?
– Pas touche !
– Non, tu ne sais pas ce que tu veux !
– Il y a une condition...
– Quoi ?
– Il y a une condition.
– C'est quoi ce plan à la « mords-moi l'nœud » ?
Tu n'imagines pas à quel point ça l'est...
... ?
– A la mords-moi l'nœud !
Cédric soupira.
– Si tu veux me baiser, tu dois d'abord baiser mon mec !
– Tu es complètement taré ! Tu divagues, mon vieux. Tu m'embarques dans tes fantasmes parce que tu crèves de sentir ma queue au fond de ton cul... et puis maintenant, tu me proposes une partouze de pédales !
– Du tout ! Tu encules Régis et puis... tu m'encules. Tu auras bien assez de force pour nous deux, non ?
– Tu veux dire que tu es d'accord pour que je saute ton mec ? Et puis toi tout de suite après ?
– On verra si tu as encore de la force pour moi ! Si le petit salopard ne t'a pas fait jouir avant !
La discussion tourna court et Cédric s'en alla. Il passa une fort mauvaise journée car tout ça l'avait rendu nerveux. Lorsqu'il rentra, le soir, il frappa à la porte de la chambre de son frère. Leurs parents étaient partis, comme très souvent, pour un mini-trip en Grande-Bretagne.
– Entrez !
Romain était à moitié nu, sur son lit. Régis était dans la même tenue devant l'ordinateur.
– Tu veux quelque chose ? demanda Romain victorieux.
– Je suis d'accord !
– D'accord pour ?
– Pour vous baiser l'un et l'autre !
Le visage des deux gays s'éclaira.
– Vrai ?
– Oui.
R– égis en rêvait tout autant que moi !
Celui-ci enleva son short et s'installa à quatre pattes sur le lit.
C'est ce qu'on appelle démarrer au quart de tour !
Il sait ce qu'il veut, Cédric !
Cédric n'avait jamais vu Régis à poil. C'était un fort beau garçon à la musculature fine. Sa raie duveteuse était toute rosée.
– Vas-y, frangin ! Nique ma salope...
Cédric n'en revenait pas d'entendre son frère parler si crûment. Mais sa queue se dressait à la vue de ce tableau réjouissant et il laissa Romain le déshabiller.

 

                          twink twins                                              

 

Cover Page

Régis sera leur blond trait d'union 

 

  helixstudios: “Our First Threesome”  

 

 

 

 

Par MICHEL TOURNIER+ RECIT ANONYME - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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