Lundi 10 juin 1 10 /06 /Juin 15:19

à retrouver + tard dans  CONFIDENCES ET INTIM (23)

De:

<claudemodou@gmail.com>

 à : B...

 15:16 (Il y a 1 minute)
 
Répondre
 
Cher ami oui ! 
c'est gentil d'être venu et de m'avoir recontacté. 
Il ne tient qu'à nous que  ce contact se reproduise 
et continue. Et même que nous nous voyions pour 
ce qui te plaira...même pour gober les mouches 
un moment ensemble ! 
N'aie pas de crainte de  confier tes fantasmes.
Tu vas voir : ton mail et le mien vont passer sur le blog 
et toi tu restes anonyme.   
Ludo, je suis content que l'ambiance du blog t'ait plu 
au point  de me recontacter
A+ j'espère 
claudio
ah les cons ! dire que personne ne s'arrête ! Tu ne penses à rien ?
Moi je pense à tous ceux qui visitent sans nous laisser un petit mot !
Merci à toi B...

Le 10 juin 2013 13:40, B....> a écrit :
Salut j'ai regardé ton blog humm


Le 25 mai 2013 22:21, modeste moussor <claudemodou@gmail.com> a écrit :
bonsoir
visite mon espace de liberté 
ouvre-le de temps en temps 
mets des commentaires svp 
restons en contact
je suis dans la même situation que toi
le couple c'est la prison
bises a+
  en général
 ça plaît ...sinon ça : 
  tu en dis quoi ? 
claudio


Le 25 mai 2013 17:37, B...a écrit :

oké car je suis en couple et je cherche plan discret a plus


Le 21 mai 2013 14:51, <claudemodou@gmail.com> a écrit :
Salut !
je ne cherche pas un plan cul en premier
par rapport à une amitié le plan tchat ou 
le plan cul sont pour moi très secondaires 
notamment au tél !  
Ce qui compte le plus dans ma recherche  c'est ça : 
Homme 65a recherche amitiés masculines. Ech pics & récits X ( et 
ça peut être pensées et confidences)
amicalement 
claudio
cadeau : 
  
(tout ça dans le cul il va se régaler ! )  et nous donc !
adam2eve: Hey son… this kinda reminds me of us when we had both of our cocks sliding into the fleshlight together… but this would be so fucking much better!!!!
image perdue dans le transfert
idem
trevorjizz: insidewithpridebreedinghishideTrevorJizz
idem
Le 20 mai 2013 18:25, bern B... a écrit :
envoi telephone on discute


Le 19 mai 2013 19:12, <claudemodou@gmail.com> a écrit :
Cher ami ( B comme Bernard ?)
je suis très heureux de faire ta connaissance
et de savoir que tu es si près ça me fait d'autant
plus plaisir. Bien sûr si on peut se faire un petit plan
bien sympa,  je suis tout de suite d'accord.
Je suis plutôt du genre "on est comme on est", sauf crade,
je suis motivé pour tout et tous les hommes. Je prends ça
non seulement comme un plaisir mais  aussi un jeu.
Avec des amis on joue sur le blog à se faire passer des
photos x à xxx, des vidéos, des récits, des e-mails amoureux.
Tu peux t'en rendre compte en visitant le blog  qui est aussi
un point de fun et de rencontres    : clique sur
http://cavaillongay-lesitelocal.erog.fr/  
J'espère qu'on va entrer et rester en contact et + si on y arrive
(je suis dans la même situation que toi)
bizzz
claudio


---------- Message transféré ----------
De : Vivastreet <equipe-fr@sitemail.vivastreet.com>
Date : 19 mai 2013 15:48
Objet : Re: Homme 65a recherche amitiés masculines. Ech pics & récits X
À : claudemodou@gmail.com


Vivastreet 
Bonjour claudio, 

Vous avez reçu un message concernant votre annonce :

Re: Homme 65a recherche amitiés masculines. Ech pics & récits X publiée dans la catégorie Gays et Lesbiennes .

Coordonnées du contact
Adresse email : B...
 
Objet de l'email : Re: Homme 65a recherche amitiés masculines. Ech pics & récits X

salut ca va moi je suis de carpentras je suis en couple mai ci j'arrive a avoir un plan discreten semble j'aimerais bien

 

 

Par claudio - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 10 juin 1 10 /06 /Juin 06:13

à retrouver dans VIE DU BLOG CAVAILLON (23)

Bonjour mon Amour

J'ai peu de temps à moi en ce moment et je préférerais avoir 
d'autres ocCUpations ! lol
Je suis encore sous le coup de nos derniers délires...
mais s'est imprimé en moi notre dernier  RV  "soumission".
Un délice !
Je prépare un récit  assez long sur ce thème 
Dedans on n'est que voyeurs-spectateurs car ça va à l'extrême ! 
Il faut que je prévoie des illustrations...
En tous cas des baisers bien baveux et des sonores aussi
pour UNE BONNE SEMAINE 
claudio 

Toi et René comme si la nuit n'était pas finie !

Debout paresseux ! Bises

 

Par claudio - Publié dans : AMOURS & VIE DU BLOG - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 9 juin 7 09 /06 /Juin 14:55
à revoir dans SEXO VIVRE SA SEXUALITE  thème  gay pisse (69)
 
 
 
 
 
 
 
Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES
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Dimanche 9 juin 7 09 /06 /Juin 13:58

à relire dans RECITS REELS INITIATIONS (27) 

tags : auto stop, jeune, vieux, camionneurs, naturiste, à poil, foot, baise, uro, trans génération, trash 

l’histoire de mon baptême uro/scat.

La fin de cet été-là fut mémorable. Dans la fraîcheur de mes 19 ans, je me trouvais sur le bord de l’autoroute Marseille-Lyon en attente d’une âme charitable qui me rapprocherait de ma ville: Saint Étienne. Finies les vacances à Hyères, finis les émois de ma première vacance naturiste... J’en garderai toujours une sorte de répulsion pour les vêtements, quels qu’ils soient. Vivant nu chez moi, l’été comme l’hiver, je saisis toujours la moindre occasion pour me débarasser de mes fringues, ce qui fait que dans les lieux de drague je suis, la plupart du temps, dans mon plus simple appareil.

Je poireautais, donc, le long de l’autoroute, à poil sous mon short en jeans, mon sac sur le dos, des sandales aux pieds. Il était peut-être deux heures de l’après-midi lorsqu’enfin un poids lourd m’ayant repéré s’est arrêté. Il était temps... Une main, tout là haut m’a fait signe de monter. Je me suis empressé d’escalader ce gros engin pour atteindre la cabine du chauffeur.

Au premier coup d’oeil, j’ai cru avoir une hallucination: devant moi un mec blond, massif, la quarantaine souriante, poilu à souhaît, la moustache abondante, les cheveux mi-longs, trônait au volant entièrement à poil, une paire de tongues aux pieds et un foulard jaune au cou. CAMION 20 trucker fags in denial

— Salut! Vous allez vers Lyon-Saint Étienne?

— Ouais mec. Monte et claque bien la portière.

Je me suis exécuté aussi violamment que je le pouvais et je me suis assis sur l’ample banquette, un peu intimidé.

— Fait chaud c’t aprèm!

— Ouais putain. Par ce temps là, je me fous toujours à poil. Ça te gêne pas?

— Non non, au contraire! Je reviens, justement d’une vacance naturiste, alors vous pensez bien que j’apprécie...

— En ben, met-toi à l’aise aussi, n’hésite pas...

Je ne me le fis pas répéter deux fois. En un clin d’oeil j’ai tombé mon short et abandonné mes sandales, que je me suis baissé pour déposer au sol.

Le chauffeur venait de redémarrer et je sentais l’air chaud caresser mes jeunes poils bruns. Accroupi là dessous, je sentais que je commençais à bander... et que ça se verrait. En me relevant, mon nez s’est trouvé à la hauteur du pied droit que mon chauffaur venait de poser négligemment sur la banquette, tout en accélérant, imperturbable, du pied gauche. J’ai dégluti et entendu sa voix ferme qui me disait:

— Lèche moi ça, ça t’occupera.

J’étais si surpris et excité... J’ai embouché son gros orteil de blond en le suçant comme un biberon. Il devait vachement apprécier parce que, de sa main gauche, il a commencé à se tripoter les couilles.

— Bien entre les doigts, voilà, passe bien ta langue entre mes doigts de pied, c’est ça.

Son panard était délicieux, un peu salé, des résidus bien goûteux entre les plis des doigts... Un vrai régal. Pour bien lui lécher la plante du pied j’ai glissé par terre en me rapprochant de ses jambes. Heureusement le volant était assez haut et j’ai pu ainsi me glisser entre ses jambes en le léchant sans géner la conduite.

— Tu sais y faire, ma poule, on dirait que tu aimes bien ça!

— Mmm, Mmm...

Je venais d’emboucher sa belle bite. Elle bandait à moitié, bien dessinée, droite, un gros gland charnu et circoncis, des couilles énormes très poilues, rondes, parfumées et certainement pleines à craquer... Je ne fus pas long à l’engloutir jusqu’aux couilles, 20cm de bonne chair bouillante dans ma bouche.

— Putain quelle suceuse! T’as l’air d’en avoir déjà bien bouffé de la bite pour un petit jeune... T’as vraiment une bouche d’enfer, ma poule. Je sens qu’on va pas s’ennuyer... Continue, voilà, prend-la bien en fond de gorge, c’est ça, fais-moi bien sentir ta langue.

Sa bite était maintenant bandée à fond. Pendant que je nous régalais par un va-et-vient lent et baveux, je lui massais les tétons qu’il avait durs et petits, sous une épaisse touffe de poils blonds tout bouclés.

— Arrête, putain, tu vas me faire jouir. Fous-toi plutôt à plat ventre sur la banquette, que je voie ton petit cul de pédé pendant que tu m’astiques la tige.

Je l’ai alors enjambé avec précaution, histoire de ne pas heurter le volant, et je me suis étendu comme il le voulait, la bite à plat sur le siège et ma bouche à nouveau empalée sur son dard. Je me régalais. De sa main droite, il a commencé à me palper les fesses, pendant que je léchais bruyamment ses burnes.

À 19 ans, j’avais déjà le goût pour la bonne purée... je n’avais qu’une envie: boire son jus jusqu’à la dernière goutte. Et il ne tarda pas à m’en remplir la gueule. Quatre longs jets épais, âcres et salés, que j’ai savourés bien en bouche avant d’avaler. J’avais pas fini de lui astiquer la queue poisseuse que, de sa main droite, il m’a attiré contre lui pour me rouler une pelle comme aucun mec ne me l’avait fait avant. Sa langue était longue, enveloppante, il me l’a fourrée au plus profond de la gueule pour bien goûter à son propre foutre. J’étais si excité... j’ai failli jouir sous moi sans même me toucher.

— Tiens, bois un peu de bière, ça te calmera.

Et il me tendit sa canette à moitié entamée. J’avais soif effectivement et j’avalai 3 ou 4 gorgées.

— Pas tout, n’avale pas tout! J’ai soif moi aussi... Rends-moi celle que tu as dans la bouche.

Pigé le trip, je me suis penché vers sa bouche et lui ai recraché dans la gueule toute la bière qui me restait. Il l’a avalée sans en perdre une goutte et m’a léché les lèvres avant de me faire signe de me rasseoir. Je n’avais pas encore joui, mais après de telles émotions j’appréciais une petite pose.

La route continuait à défiler rapidement. Il devait être à peu près 3h et demi de l’après-midi. Depuis que j’étais parti, vers 9 heures du matin, je n’avais pas fait de pauses pipi, de peur de rater un véhicule qui s’arrêterait.

— Tu t’arrêtes tous les combien? (Vu les circonstances, le tutoiement m’était venu spontané).

— Pourquoi, tu n’es pas bien là, près de moi?

— Non, c’est pas ça, c’est que j’ai vraiment envie de pisser, après cette bière...

— Là, il est trop tard pour qu’on s’arrête avant Lyon. Mais pas de problème, tu n’as qu’à passer à l’arrière... Tu trouveras ton bonheur!

— T’as des toilettes à bord! Chouette, j’y vais tout de suite.

Derrière le siège avant, un rideau dissimulait, en effet, une cabine assez spacieuse avec une couchette dans le fond.

— Viens-là mon petit, viens te soulager...

Interloqué, je cherchai des yeux d’où venait cette voix et je vis au fond de la cabine un grand mec à poil, en débardeur, allongé sur la couchette: la cinquantaine athlétique, les cheveux poivre et sel très courts, une barbe de 3 jours, sinon presque imberbe. Il me toisait en passant la langue sur ses lèvres charnues et entrouvertes...

— T’affoles pas petit, j’ai soif, alors tu vas gentiment me donner à boire, veux-tu? Tu verras, tu vas adorer!

Il m’a alors attiré doucement vers lui, m’a happé la bite et, sans me sucer, il l’a gardée en bouche en me faisant signe de la main de me laisser aller. J’étais si surpris, que j’ai débandé et ayant la vessie qui explosait depuis de longues heures, j’ai commencé à lui lâcher ma pisse chaude dans la gueule. Il était allongé sur le côté, la bouche arrondie autour de mon gland et il recevait ma pisse, gorgée après gorgée, comme s’il buvait à un robinet ouvert. Ce petit jeu commençait à me chauffer à fond! Il s’est bruyamment léché les babines en lançant à haute voix à son coéquipier:

— Il est fameux notre jeune donneur, pas vrai?

— Ouais, il est chaud comme on les aime, et déjà bien déprav' en plus...

J’allais enjamber le siège avant pour retourner à ma place lorsque le buveur m’a attiré vers lui en me retournant pour m’enlacer les reins.

— Ne t’en vas pas! Viens plus près, mon petit, j’ai pas fini de te faire ta toilette...

Et avant que je puisse réaliser ce qui se passait, il avait déjà fourré sa grosse langue rapeuse dans mon trou du cul, en aspirant de toutes ses forces ma rondelle. J’avais, dans cette position, la tête qui ressortait du rideau, vers l’avant de la cabine et le cul complètement offert à cette bouche gourmande qui commençait à souffler dans mes entrailles comme on soufflerait dans un ballon. Pendant qu’il me remplissait le fion de son souffle, il me malaxait les couilles et caressait ma bite qui rebandait à mort.

— Ouvre-toi à fond, petit, tu m’a déjà donné à boire, maintenant tu vas me donner à bouffer, pas vrai?

— C’est ça, ma poule, lâches-toi bien, me dit le chauffeur. Ça va te plaire, fais mois confiance.

Je n’en revenais pas. J’étais là, à poil dans un poids lourd avec deux mecs vicelards et hyper bandants qui voulaient à tout prix me vider de mon foutre, de ma pisse et de ma merde! Et ça m’excitait un max! Le chauffeur s’est alors retourné de trois quarts et, tout en continuant à conduire, il m’a pris le menton avec deux doigts et m’a roulé une pelle bien baveuse, tandis que son pote continuait à me branler en gardant sa langue profondément dans le trou du cul.

— Chie un bon coup, mec, vas-y, pousse...

Et j’ai lâché mon premier étron: une sensation de plénitude m’a envahi aussitôt, j’étais excité comme jamais je ne l’avais été auparavant, j’étais au bord de l’orgasme. Et soudain, j’ai senti la langue du mec à l’arrière lapper ma rondelle merdeuse, dans un bruit d’engloutissement goûlu. Il venait d’avaler ma merde, ce putain de camionneur! J’ai alors lâché un deuxième paquet de brune, plus conséquent, qu’il a dû prendre en bouche parce que j’ai tout de suite senti sa langue qui m’astiquait la rondelle et qui me nettoyait comme une lavette tiède.

Je me suis alors accroupi pour approcher de son visage, et on s’est embrassés, langoureusement, ma merde dans nos bouches, amère et sucrée, crémeuse comme je n’aurais jamais pu l’imaginer... Ça en était trop. Le camion s’arrêta brusquement et d’un bond le chauffeur blond nous rejoignit à l’arrière.

— Alors ma poule, tu gardes ton meilleur seulement pour mon pote?

Et on s’est roulé un patin à trois hyper bandant! J’étais littéralement en transe. L’odeur de ma merde, son goût, sa consistance me rendaient fou et j’ai commencé à sucer ma propre merde de la bite du quinquagénaire. Il était super bien monté le salaud! Pendant ce temps, le blond s’était positionné derrière moi et me lappait le cul en y goûtant ce qui restait.

Soudain, j’ai ressenti quelque chose de chaud qui forçait ma rondelle. Ouvert comme je l’étais, j’ai à peine senti sa bite me forcer le cul. Un liquide bouillant me remplit aussitôt les entrailles, en dégoulinant le long de mes jambes. Mon chauffeur me pissait dans le cul, tandis que son pote me jutait en pleine gueule. Je n’en pouvais plus et j’ai joui dans un râle de plaisir. Inoubliable.

Voilà, tout simplement l’histoire de mon baptême uro/scat.

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 9 juin 7 09 /06 /Juin 08:38

à relire dans RECITS FICTIONS (41)  thème réalisme sain du sexe gay 

 

Gay, bi ou même hétéro, vous ne pouvez qu'aimer le réalisme sain  de ce récit

 

L’été dernier, je suis parti en Finlande en compagnie d'un couple d’amis invité par mes parents, ils étaient accompagnés de leur fils, Farid, qui venait tout juste de fêter ses 18 ans. Mes parents avaient loué un superbe petit chalet en bordure d’un lac aux alentours de Tempéré, à 4 heures de route d’Helsinki. Cette petite maison, ancien abri de pêcheurs était toute en bois. Les pièces se distribuaient de la façon suivante: une pièce commune et 3 chambres. Les parents avaient pris deux chambres et nous nous sommes retrouvés, Farid et moi dans la petite chambre contiguë à la pièce commune.

La beauté de la nature en été était remarquable, depuis ce chalet nous pouvions admirer le soleil de minuit, écouter le chant des oiseaux, et nous mangions tous les jours les spécialités locales. Nos parents, grands pêcheurs ramenaient tous les jours des superbes pièces de saumon. Nous aimions certes la pêche mais nous aimions aussi surfer sur internet. Les finlandais sont des fanas de nouvelles technologies et le chalet disposait d’un accès libre au net, nous mations en cachette, les filles sur les sites suédois. À cette occasion, nous avons découvert les charmes du sauna et nous aimions beaucoup profiter de celui-ci. Il faut dire qu’en Finlande, les saunas font partie d’un art de vie, tout comme la bonne bouffe chez nous.   C’est ainsi que tous les jours, vers 9 heures, dès que nos parents étaient partis à la pêche, nous profitions de ce moment pour prendre un bon sauna. Le premier jour, fut «en tout bien tout honneur». Ce ne fût pas – et heureusement – toujours le cas pendant cette semaine endiablée!

Dès le deuxième jour, nous nous sommes retrouvés, nus, revêtus de nos serviettes blanches  dans ce cabanon en bois, adjacent au chalet.  La douche s’était transformée en un petit lac d’eau froide, à l’extérieur. Pendant que nous prenions la chaleur, nous échangions des propos badins sur nos copines et Farid me racontait qu’il aurait souhaité qu’elles soient ici, histoire de nous donner un peu d’entertainment. Pendant la séance qui avait duré 40 minutes, nous avions tout le loisir de contempler nos anatomies et nous comparions nos biceps, nos jambes, nos points noirs et... nos sexes. Farid était circoncis tandis que moi, j’arborais fièrement mon prépuce qui s’était pour l’occasion décalotté. Farid n’avait jamais contemplé de près un sexe d’homme et le mien était à la disposition de son regard. Il s’employait à le regarder avec un regard d’anatomiste et voulait voir dans quelle mesure le prépuce recouvrait le gland. Je ne pouvais que lui faire coulisser cette particularité de mon anatomie. Il visualisait le bourrelet, et le frein qui retient le tout. Il trouvait un sexe non circoncis bien plus esthétique et bien plus protecteur.

Il me précisait que sa meuf experte en fellation, était une fana des sexes non circoncis, elle trouvait qu’ils étaient plus sensibles aux caresses buccales. Il voyait aussi mes testicules, bien renflés, poilus à souhait. Curieusement, sous l’effet de nos propos et des démonstrations, mon sexe se mit à gonfler, laissant ainsi entrevoir davantage encore mon gros gland violacé, la hampe de ma bite était irriguée par un réseau veineux imposant. «Bravo, me dit-il, voici une leçon d’anatomie bien pratique» et contre toute attente, il saisit mon sexe tout en précisant qu’il n’avait jamais touché un autre sexe que le sien, il voulait percevoir les sensations que sa meuf avait lorsqu’elle saisissait le sien et instinctivement il se mit à le caresser en souriant, quêtant des yeux mon consentement.

À ce moment précis, il prit conscience qu’il avait franchi une barrière et tout gauche il reposa ma bite comme il aurait reposé un objet délictueux, mais, c’était trop tard, le fait qu’il avait touché à cet objet se manifesta très rapidement par l’apparition de liquide séminal, léger au départ, il devint abondant, inondant aussitôt ses doigts experts. «Tu dois bien t’introduire dans les chattes bien baveuses des meufs toi?» me dit-il il en souriant, il essaya de se dédouaner, mais il avait compris qu’il était tombé dans un piège: ma bandaison était bien là et il me dit tout penaud:

— Je peux te sucer?

— As-tu déjà sucé un mec? lui dis-je.

— Non, me répondit-il.

— Alors, suis bien mes conseils et tu vas voir, c’est super!.

Il se mit à la hauteur de ma bite et il me lécha respectant les conseils que je lui fis.

– Aspire-bien la mouille, plus un mec mouille, plus c’est bon, va plus loin, insiste sur le méat, essaye d’y introduire un bout de ta langue, tire les poils de mes couilles et prends de temps en temps une couille dans ta bouche, caresse-moi l’anus avec ton index...

Tout cela devint pour moi bientôt insupportable et il me précisa en souriant:

— Moi aussi, je bande, mais mon gland est déjà de sortie!

Il se leva et réduit l’intensité de la chaleur du sauna qui devint excessive et dès qu’il revint, il se mit à ré-engouffrer mon sexe dans sa bouche et les mouvements de va-et-vient devinrent difficiles à vivre... Je lui proposai de me mettre à quatre pattes et de suivre les recommandations que j’allais lui donner. Il s’exécuta, je me mis à quatre pattes et il se mit à me faire un anulingus d’enfer, il engouffrait sa langue baveuse sur ma rondelle. Il titillait la couture qui sépare l’anus des testicules, tout en la mordillant, il insista sur mon anus. Il introduisit un index. Je n’en pouvais plus. Il me proposa de le sucer et je le fis immédiatement.

Nous étions en 69. Il était allongé, et moi j’étais sur son sexe. Sa bite, longue et épaisse, était douce, elle sentait un peu une odeur virile de bite pas trop lavée, mais cette odeur était terriblement excitante. Quelques minutes après, n’en pouvant plus, je sentais ses premiers petits spasmes; il m’annonça qu’il voulait jouir. Je lui précisai que j’étais prêt et 6 jets lui permirent de libérer ses couilles. Cela se traduisit par l’arrivée de plusieurs jets chaud qui remplirent ma bouche. Sa jute était très épaisse, très salée, mais aussi crémeuse à souhait. Son foutre était si goûteux, qu’une double ration aurait été la bienvenue. J’en avalais quelques millilitres et je réservais une lampée qui allait me servir de lubrifiant, car mon souhait était de le prendre, de lui casser le pot, car il était puceau de ce côté là.

Il comprit – bien que réticent - mon souhait et s’exécuta, il passa à quatre pattes et je me mis à cracher son propre foutre sur son anus, je tentais aussi d’en introduire une partie à l’intérieur en utilisant mon index. Sa rondelle était prête et je lui fis des déclarations douces, tout en mettant son oreille dans ma gueule. Le reste de foutre pénétrait dans le conduit auditif. Tout cela servait à le décontracter au maximum, je souhaitais vivement qu’il puisse garder un bon souvenir de son dépucelage.

Délicatement, je mis mon index, puis en même temps mon majeur, j’astiquais avec son foutre l’entrée. Il me précisa qu’il était réticent. Je lui fis regarder mon sexe et je lui dis que lorsqu’il dépotait un étron, il n’était pas plus conséquent que le diamètre de ma bite. Il esquissa un sourire et je le pris. Il gémissait, il était heureux, il me dit que jamais, il n’avait ressenti autant de plaisir. Il me fit comprendre qu’il serait honoré de recevoir mon foutre sur lui. Je me retirai de son anus, et par mesure d’hygiène - j’avais quelques petits résidus sur mon gland – je ne souhaitais pas qu’il me suce. Il préféra recevoir mon sperme, plus liquide que le sien sur son visage, et sur sa barbe naissante. Nous sentions l’un et l’autre le foutre et c’était super. En séchant le foutre servit de colle.

Nous étions ainsi près à remettre la chaleur du sauna que nous avions interrompue; nous nous rinçâmes dans le petit lac adjacent à la cabine du sauna. Ce jour là nos vacances avaient pris une autre tournure . Dès le lendemain, je l’initiais à la dégustation du foutre chaud.

Après cette matinée lubrique (le sauna finlandais en Finlande), nous nous sommes promis de reprendre nos activités sexuelles dès que l'opportunité s'en représenterait.

Ce fut le cas ce même soir vers 22 heures. À la fin du repas, nous avions choisi de déserter le gîte et de laisser nos parents seuls, pour nous offrir tous les deux, une petite randonnée de santé. Nous avons prétexté le souhait de faire quelques prises de vidéo, histoire d'immortaliser le soleil de minuit. Nous avons indiqué à nos parents que nous envisagions de rentrer très tard dans la nuit, cette aubaine nous laissait carte blanche...

Rien aux alentours du chalet à plusieurs kilomètres, nous étions seuls, la nature, et... les moustiques très présents en cette saison, nous avons à cet effet emporté le réchaud tue-moustique. Après 60 minutes de marche, vers 23 heures, nous fîmes une pause, et nous nous sommes confondus d'admiration pour cette nature, que soleil éclairait à cette heure avancée comme en plein jour.

Farid avait un peu de difficulté à marcher, il souffrait du posterieur, son anus saignait légèrement: sans doute son dépucelage du matin mais il me déclara tout de même qu'il avait beaucoup apprécié ma compréhension et ma douceur, son dépucelage s'était, malgré cette douleur magnifiquement bien passé, son anus n'avait pas trop emporté avec lui les stigmates souvent inhérents à cette phase. Je lui indiquais qu’en ce qui me concernait, mon dépucelage cela avait été très douloureux j’avais dû avoir recours à des bains de siège, il est vrai que mon compagnon de l’époque avait un vit qui n’avait pas intégré l’étroitesse de mon trou.

— C'était vraiment super, et j'aimerais bien poursuivre sur une autre phase de mon initiation, me dit-il.

— Qu'à cela ne tienne, tu es un bon élève, tu veux apprendre, à propos, aimerais-tu me sucer et me prendre?

Il rougit et accepta cette perverse proposition. Il est vrai que son anus n’aurait pu tolérer de nouvelles pénétrations. Nous avions acquis l'un et l'autre la certitude que nos statuts sérologiques nous permettraient de nous passer de capotes. Le sperme incarne l'apothéose du plaisir masculin et le simple fait de sentir cette semence chaude envahir nos corps dans ce qu'ils ont de plus intime est quelque chose de formidable. J’ai toujours apprécié que mes partenaires éjaculent dans mon cul, ressentir ce lavement intime de crème chaude est toujours un moment privilégié.

J'étais un peu réticent à l'idée que Farid puisse se saisir de mon sexe sans que celui-ci puisse être nettoyé, la macération de ma bite dans le slip pouvait dégoûter notre jeune impétrant, néanmoins, cette odeur naturelle pouvait aussi être pour lui un vrai révélateur de sa nouvelle passion pour la bite. L'odeur n'est elle pas un "signal sexuel"?

Il retira mon short, s'employa à faire descendre mon slip Calvin Klein sur mes mollets. Il ouvrit la bouche pour former un anneau bien serré qui entoura mon sexe, sa bouche lippue de suceur de foutre ne montrait pas de dégoût, mais bien le contraire, il ressentait un réel intérêt à l'odeur que je redoutais, je lui posai directement la question qui me préoccupait et il me précisa tout de go que la sienne était toujours un peu fétide et qu'il aimait les odeurs fortes et fromagères: il est vrai que le smegma ressemble à une sorte de fromage, je pris en compte cet aveu qui était à double sens et je sentis son réel attachement à mon sexe. Il introduisit un index dans mon anus et il vit que cela ne me laissait pas insensible  en multipliant les mouvements de va-et-vient dans la toison de mon cul, je suis très poilu -. Son souhait était de me procurer le maximum de plaisir. Il étirait délicatement mes testicules et suçait alternativement l'un et l'autre. Il recalottait et décalottait mon prépuce à l’aide de sa langue agile, il appréciait ma bite à l’état naturel fétide et non circoncise. En riant je lui déclarai que le prépuce est un bon réservoir à fromage!

— J’aime le fromage de chèvre, me dit-il entre deux goulées de bite.

J’ajoutais: "Le fromage de bouc!" De temps à autre, il touchait sa bite qui ne demandait qu'à sortir de son logement! C'est ce qu'il fit quelques minutes plus tard.

Je lui fis comprendre qu'il serait peut-être temps qu'il me prenne et je lui proposai de me mettre sur le dos pour mieux le guider. Mais avant je lui demandais de bien veiller à écarter les poils de mon cul car je ne souhaitais pas qu'il puisse les tirer lors de l’introduction avec son pieu! Il écarta avec sa langue, les poils rebelles, la salive permettait de les "coller" sur les côtés. Nous n'avions pas de gel et la salive devait remplir son rôle. Il cracha sur ses mains et il lubrifia le petit guichet, la petite entrée. Sa langue égalisait les replis crénelés de mon fion, il touchait de temps en temps le méat de mon sexe pour «ramasser» la mouille qui allait servir à garnir l’entrée du petit guichet. Sa mouille était très filante, j’avais remarqué le matin même qu’elle était délicatement salée. Son sexe turgescent arborait un gros gland violacé. Après un léger rictus de douleur, après l’introduction de sa biroute, je remuais mon cul pour donner de la vigueur à cet accouplement naturel, en plein milieu des bosquets de bouleaux. Nos corps entrelacés dans la clarté du soleil de minuit copulaient furtivement. Je lui fis comprendre que je serais très honoré qu'il jouisse dans mon cul. Quelques secondes plus tard, les jets de sperme chaud envahirent mon cul et me permirent de sentir une vraie jouissance, totale sur tous les plans. En se retirant de mon cul, je vis le liquide crémeux et chaud de son foutre, il essuya sa queue sur la toison de mes pectoraux.

Fidèle à son engagement, il reprit mon sexe dans sa bouche et me précisa qu'il voulait enfin voir à quoi pouvait ressembler la jute d’un mec comme moi. Il avait certes goûté sa semence lors de ses branlettes solitaires mais là c’était une autre jute, plus relevée. Tout en criant, je me mis à jouir dans sa gueule et il conserva ma queue dans sa bouche jusqu’à la détumescence complète de celle-ci. En souriant je lui déclarais:

— Moi j’ai pris ta jute dans mon cul, toi la mienne dans ta gueule, nous avons absorbé chacun par des organes différents des vitamines, des sels minéraux.

Lorsque ma bite était encore dans sa bouche, il la recalottait avec sa langue. En souriant, il me fit un patin et j’absorbais dans ma bouche le reliquat de ma jute qu’il avait encore entre sa langue. Il me précisa que mon foutre était très agréable, il était salé mais terriblement suave et goûteux.

Si certains se convertissent à une nouvelle religion, Farid avait choisi la sienne, ce qu’il appréciait par dessus tout c’était l’odeur, le goût, la suavité du liquide blanc qui sortait des mes couilles poilues et pendantes. Farid avait désormais son premier brevet de bonne salope, il devait se rendre compte que les copines appartenaient désormais à son passé sexuel. Il n’a eu au cours de cette semaine de cesse que de jouir et jouir et encore jouir. Pendant ces quelques jours, je me suis efforcé de rectifier sa rondelle car je lui ai précisé que des mecs plus baraqués que moi allaient peut-être dans l’avenir s’occuper de son cul et qu’il fallait agrandir son trou souffreteux aujourd’hui. Ah ce boyau à gourmandise!

Si vous avez aimé cette petite histoire, dites-le moi par email!

claudemodou@gmail.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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