Vendredi 21 juin 5 21 /06 /Juin 18:36

à retouver dans PHOTOS SERIES thème les choupinous (84)

Un petit coup de blues ? un pessimisme naissant sur l'humanité ? Encourageons-nous ... De savoir que ceux-là sont ou seront heureux ... ou ont tout ce qu'il faut pour l'être ! je suis pas curé mais je les bénis...et vous aussi qui suivez mon blog. MERCI !  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Enjoy !

Par claudio - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 17 juin 1 17 /06 /Juin 14:29

àrevoir dans recits fictionsTHEME SM  (44)

LE PREMIER WEEK- END SCATO SM et la 

première journée de Sodome ! 

 

MAXIME & JULIEN 1 (SM & scato)

Depuis la visite de Julien "venu se faire enculer", j'ai des relations très suivies avec lui: il vient me voir chaque weekend, que nous passons nus et chauds. Un jour, Julien me propose:

— Gégé m'a indiqué un type qui organise des partouzes. Il lui a demandé de nous embaucher un prochain vendredi soir jusqu'au dimanche soir.

— Tu peux m'en dire un peu plus?

Il nous propose 1000 euros chacun si nous acceptons d'être totalement soumis aux désirs de ses "clients".

— C'est intéressant mais dangereux, non?

— C'est vrai que les acteurs risquent de ne pas être très doux avec nos corps mais je t'affirme qu'ils sont contrôlés médicalement: ils doivent produire un certificat récent pour démontrer leur séronégativité. Nous aussi d'ailleurs!

— Ce sera donc du bareback?

— Tout à fait!

— Pourquoi pas... puisqu'on aime ça!

— J'appelle ce type...

Il revient quelques instants plus tard...

— Voilà, c'est réglé; nous avons rendez-vous demain soir pour un premier contact.

— C'est un examen de passage?

— En quelque sorte; il doit vérifier certaines choses avant de nous mettre à la disposition de mecs très salauds.

Nous nous préparons méticuleusement afin de réussir cette première entrevue: chacun explore attentivement le corps de l'autre afin de découvrir et d'éradiquer le moindre poil disgracieux, le moindre petit bouton... Nous choisissons soigneusement nos vêtements, blancs immaculés bien sûr!

L'organisateur, qui ne nous avait jamais vus, est surpris:

— Putain! Que vous êtes beaux!!! Entrez, mes jolis que je vous examine de plus près!

Il nous fait enlever tous nos vêtements; nous nous allongeons sur une grande table et les parties importantes de nos anatomies sont systématiquement tripotées. Il remarque la bonne élasticité de nos sphincters et la bonne dimension de nos bites bien dures sous les caresses! Tout est inspecté, jusqu'à notre langue et nos dents.

— Physiquement, vous êtes parfaits; vous avez tout ce qu'il faut pour plaire; il reste à savoir quels obstacles pourraient se dresser devant les désirs souvent insensés de mes clients. Le prix qu'ils payent demande à fournir des prestations haut de gamme.

— Expliquez-vous!

— Pas de capote.

— OK, s'ils ne présentent aucun danger.

— Ce sera contrôlé. Ils sont uro et scato.

— On s'y fera!

— Ils aiment les petits culs très dilatés.

— Ils veulent nous fister?

— Peut-être...

Je regarde Julien qui me dit l'avoir déjà subi, que ça fait mal au début mais qu'ensuite une étrange sensation s'empare de ses entrailles... comme s'il jouissait du cul... et que son anus met peu de temps à retrouver sa forme initiale.

— Vous êtes jeunes! vos petits trous seront bien graissés et se refermeront facilement!

— Alors d'accord... s'ils font ça gentiment!

— Il reste certains détails à régler: vous serez enfermés, nus jusqu'à la fin du séjour. Vous subirez les assauts sexuels quand mes clients le voudront. Vous aurez le devoir de tout nettoyer après chaque orgie. Vous aurez une douche à votre disposition. Le frigo sera plein de bière et de biscuits secs; ce seront vos seules nourritures... en dehors des émissions éventuelles dans vos jolies bouches... Vous aurez un grand lit sur lequel vous aurez le droit de vous reposer... quand vous le pourrez! Les clients disposeront de poppers pour vous maintenir en pleine forme.

— En somme, nous serons des lopes esclaves!

— Exactement... mais vous aimez ça!

— Oui!

— Oui!

La date du séjour est fixée et nous attendons ce jour avec impatience mais aussi quelques craintes!

— Tu crois qu'on a bien fait d'accepter ça?

— Une belle petite somme d'argent; ça vaut le coup!

— Oui, mais s'ils nous estropient?

— Ils vont nous sucer, nous enculer, nous attacher, nous faire pisser,

 nous faire chier...

— Nous faire chier, tu l'as dit!

— La merde ça ne me gêne que par son odeur mais si nous avons fait un bon lavement, nous n'aurons à chier que des biscuits secs; tu sais, comme dans les "120 journées de Sodome", la merde est claire et peu odorante.  

— Pourvu que cela ne se termine pas comme dans ce bouquin de Sade!

— T'inquiète pas; ces homos sont quand même des gens civilisés; si tu les rencontres dans la rue ou dans leurs activités professionnelles, tu ne les imagines pas nus en train de soumettre de jeunes hommes aux pires tourments sexuels.

— C'est bien ce qui me fait peur!

— On saura se défendre si on sent que cela va trop loin!

— Mais on sera pieds et poings liés!

— Oui, mais quel intérêt présenterait une séance SM si on était sûr de ne rien risquer ?  C'est déjà le point le plus important : n'oublie pas qu'ils auront laissé un certificat médical à leur nom. Ils ne se risqueraient pas à dépasser les limites!

Me voilà rassuré; mais ce Julien, quel tempérament sexuel!!! Il a tout vu, tout connu avant moi...et il veut qu'on en apprenne encore !

Le jour fatidique est arrivé! nous nous présentons sur le lieu de nos futurs ébats: l'organisateur nous intime l'ordre de nous foutre à poil et de déposer nos vêtements dans une corbeille devant l'entrée de la salle de jouissances.

— Vous les retrouverez dimanche soir!

Nous pénétrons, nus, dans une salle sombre: elle n'a qu'une petite lucarne munie de gros barreaux. Deux slings pendent au milieu de la pièce. 

HUMMMMH ! place à notre imagination ! et ...savoir ce qu'on va nous faire  ?

 Toutes sortes d'instruments sont accrochés au mur ou posés sur un établi. Du matériel de nettoyage, des chiottes, une cabine de douche, un frigo, une grande table en bois épais et un grand lit couvert d'une alaise en plastique complètent l'ameublement.

— Je dois vérifier l'état de vos jolis culs: posez vos poitrines sur la table et écartez bien les jambes.

Une giclée de produit lubrifiant nous refroidit l'anus et les doigts du mec entrent profondément pour inspecter la propreté de nos intérieurs. Que j'aime me faire fouiller le cul!!!

— Parfait, les petits, vous voilà prêts. Prenez connaissance des lieux et des instruments. Bientôt, on va s'occuper de vos corps!

Nous sommes seuls dans cet antre un peu sinistre. Nous nous étreignons en pensant que nous ne pourrions guère le faire pendant ces deux nuits et deux jours.

Le soir tombe. Nous sommes nus dans l'attente d'invités avides de nos corps. Une lumière orangée éclaire nos jolies peaux dorées et sans poil; même nos pubis sont rasés; ainsi nos suceurs n'auront pas de "cheveux sur la langue". Une forte odeur de camphre titille nos narines: elle provient d'un gros flacon de poppers prêt à encourager nos ébats. Des poutres, des rails, des chaînes garnissent le plafond. Des godes dont un à prépuce et à couilles, des plugs, des spéculums, des écarteurs, des laisses, des cordes; un double dong, des pots de graisse, un baillon en cercle, des martinets, des sondes urinaires, des boules anales garnissent les rayons du mur, des gamelles pour chiens... de quoi nous faire frémir... et bander!

Un magnifique bouquet d'orties trône au milieu de la grande table... brrrrr! On a encore le temps de jouer avec les deux slings qui pendent du plafond et qu'on peut placer côte à côte ou face à face selon les exercices imposés...

Un haut parleur nous fait sursauter:

— Vos deux premiers invités arrivent; Allez ! à genoux devant la porte, mains dans le dos et bouches grandes ouvertes!!!

Nous obéissons immédiatement; nos coeurs battent très fort; notre soumission commence.

Deux mecs se présentent: chacun se dirige vers une bouche accueillante; ils sont nus et je n'ai d'yeux que pour leurs paquets volumineux! Soudain le type qui s'approche de moi m'attrape par les cheveux et me tire la tête en arrière:

— Maxime!

Je vois son visage et je suis stupéfait de reconnaître mon prof de gym des années collège!

— Monsieur Lepage!

— Si je m'attendais à voir, dans de telles conditions, l'élève qui m'a tant fait envie!

Je me souviens en effet que ce prof, bel homme d'ailleurs, avait les mains baladeuses; il aimait beaucoup s'occuper de moi... et de très près... chaque fois qu'il fallait assurer une parade ou m'apprendre une position!

— Quel bonheur! Je vais pouvoir faire tout ce que je veux de toi! Enfin!!! Tu m'as trop fait bander et j'ai vidé des litres de foutre en pensant à toi!

Il approche son paquet de ma bouche et j'avale une magnifique bite encore toute molle. J'ai le nez dans ses poils et je suce de toutes mes forces un morceau de choix à la peau fine et gluante de ma salive. Je sens, avec délices, le morceau de chair grossir, durcir, s'allonger. Lepage maintient sa bite en entier dans ma bouche en appuyant fortement ma tête contre son bas-ventre. Sa queue s'enfonce profondément dans ma gorge; je déglutis pour ne pas dégueuler. Cette fois, elle est parfaitement raide.

— En avant pour venger ma privation! Mets-toi debout que je te regarde!

Lepage m'examine de la tête aux pieds, avec un bon malaxage de mes couilles et une grande claque sur les fesses.

— Tu es toujours magnifique! Et cette fois, je vois tout!

— Tout ce que vous voulez, Maître!

— On va commencer par un peu de gymnastique; cela me rappellera de bons moments... jamais entièrement satisfaits!

Je jette un oeil à Julien qui, après avoir fait bander son partenaire, se trouve déjà sur un sling. Le type lui attache la bite et les couilles et commence à explorer son petit cul avec un écarteur...

— Tu t'allonges à terre et tu pédales en l'air avec beaucoup d'amplitude.

J'ai le souvenir de cette forme d'abdos, mais cette fois je ne cache rien! Lepage pose son pied sur mon bas-ventre et presse fortement ma bite et mes couilles; j'ai un peu mal mais c'est bon quand même!

— Maintenant tu vas faire des pompes. Attention; tu ne triches pas sinon, gare à la punition!

Il se couche au sol sur le dos et je dois me placer au-dessus de lui.

— Tu tires la langue et tu descends jusqu'à ce qu'elle touche la mienne... pas plus bas!

J'exécute et je prends un plaisir énorme à ce contact d'autant qu'en même temps, ma bite vient effleurer la sienne!

— Mets beaucoup de salive sur le bout de ta langue!

Ma salive s'écoule sur sa langue gourmande et ma queue s'allonge d'avantage. Après une vingtaine de pompes, je commence à fatiguer et je finis par m'effondrer de tout mon long sur ce corps viril.

— Tu dois être puni! À quatre pattes que je te fouette!

Les coups de martinet tombent sur mon cul; j'adore ça même quand certains coups sont plutôt orientés entre mes cuisses; les lanières atteignent mes couilles et me causent de drôles de douleurs.

— Aie! Aie!

J'entends en même temps Julien qui hurle; j'ai le temps de voir son bourreau lui enfoncer un énorme gode dans le derrière.

— Tu feras attention car la prochaine punition sera encore plus terrible!

— Je vous le promets, Maître!

— Tu vas faire un magnifique poirier.

Je sais faire ce mouvement, c'est Lepage qui me l'a appris; je me rappelle qu'il passait beaucoup de temps au-dessus de moi surtout quand il fallait écarter les jambes à l'horizontale! Le salaud, il louchait sur les éventurelles ouvertures de mon slip! Là, il a une vue complète.

— Écarte au maximum!

Aussitôt il se met à me bouffer tout le paquet puis à me lécher l'anus bien offert. Je ne tiens pas longtemps et je m'écroule!

— Je ne t'ai pas dit d'arrêter la position! Recommence!

Je ressens alors une violente brûlure au bas-ventre. Le salaud s'est amusé à me passer des orties sur les couilles et la bite! C'est dur à supporter mais l'excitation est renforcée! Il me frotte vigoureusement; ça me soulage mais il n'y va pas de main morte et j'ai les couilles meurtries.

— Maintenant, voyons ce trou!

    Il me place sur l'autre sling, à côté de Julien qui me fait un clin d'oeil pour me rassurer. L'autre est en train de l'enculer! Je présente ainsi la totalité de la raie de mon cul. Il n'attend pas; il n'en peut plus; il faut qu'il jouisse et dans un cul comme le mien, ça vaut le coup!

Le fameux bout que j'ai fait durcir dans ma bouche pénètre violemment; cela m'arrache un cri vite réprimé quand toute la longueur y est passée et quand les va-et-vient ont commencé. Que j'ai aimé cette introduction et la possession de mes entrailles par un aussi gros noeud! Lepage a en même temps la délicatesse de m'empoigner la bite et de la branler avec force. Je gicle mon foutre avant lui; il en profite pour lécher les nombreuses gouttes qui s'étalent sur mon ventre. Cela finit par un râle très long:

— Ouiiii! Oui!!! Oui!!! Maxime!!! Enfin je t'ai!!!

Il décule aussitôt et me promet de me revoir demain.

— Ce sera différent, joli petit esclave!

Julien a fini aussi avec son enculeur!

Nous buvons beaucoup de bière et croquons des biscuits... en attendant les clients suivants...

JULIEN  2

_ Nous nous remettons de nos émotions.

— Alors Julien, comment vas-tu?

— Oh Maxime! Je pense que ça commence pas mal. J'en ai pris plein le cul et je n'ai presque pas senti la bite du mec tant il m'avait dilaté avec son énorme gode... Je suis prêt pour un bon fist... regarde!

— Ton petit trou est déjà bien refermé; pour le fist tu attendras un peu!

— Et toi?

— La surprise passée, j'ai beaucoup apprécié ce Lepage... surtout les pompes par dessus lui! Même les coups de martinet et les orties m'ont vraiment excité. Incroyable, cette onde brûlante qui m'a parcouru la bite et les couilles! Elles ne sont pas trop rouges?

— Parfaitement roses; prêtes à l'emploi!

Nous avons juste le temps de nettoyer l'écarteur et le gode que le haut-parleur annonce une nouvelle arrivée:

— En place! Les coudes sur la table! Les jambes très écartées et le cul bien cambré!

Nous nous positionnons de façon à offrir la plus jolie vue possible de notre petit derrière et de sa raie. Deux types entrent; comme les précédents, ils sont entièrement nus...

— Regarde ces beaux culs! On en a pour notre argent!

— T'as vu ces jolis trous bien roses?

— Et les beaux bonbons qui pendent?

— Deux jolis mâles avec une peau de jeune garçon!

— C'est vrai! Ils n'ont pas un seul poil! Même sur les cuisses! Qu'est-ce qu'on va se mettre!

— Allez mes jolis; écartez bien qu'on vienne s'y frotter!

Je sens un paquet bien chaud et volumineux; la bite du mec commence à prendre de l'ampleur et se place tout au long de ma raie. Il attrape mes couilles qu'il presse avec les siennes toutes proches:

— Y'a du bon jus la dedans!

S'écartant légèrement, il enfonce un doigt dans mon anus puis, le retirant:

— Y'a du bon jus aussi la dedans! Ça va glisser tout seul!

L'autre type est déjà en train de bourrer le cul de Julien.

— Ça rentre comme dans du beurre!

Mon client n'attend pas plus pour m'enfoncer d'un seul coup un dard de belle taille; je le prends avec joie jusqu'au fond de mon cul.

 

— Eh! Michel, on va leur en foutre encore une bonne dose; ça aidera pour la suite!

Leurs ventres claquent sur nos fesses; leur rythme s'accélère. Mon enculeur m'empoigne violemment le paquet pendant qu'il jouit.

— Tiens prends ça, petit salaud!

— Ouille! Tu me fais mal!

— C'est rien à côté de ce qui t'attend!

J'entends mon voisin qui crie sa jouissance tandis que Julien accepte sans bruit le jet de jus lubrificateur.


Une pause bière et nous voici en place sur les slings. Les appareils de suspension sont placés de façon que nos culs soient bien en face l'un de l'autre.

— Tiens Patrick, commence à lui enfoncer ça!

Mon bourreau prend le fameux double gode, impressionnant surtout pour sa longueur (je dirais: 40cm). Je sens l'objet pénétrer profondément dans mon cul, jusqu'à ce qu'il m'arrache un cri de douleur en passant le premier virage de mes boyaux.

— Branche le dessus!

L'autre bout du gode entre dans le cul de Julien jusqu'à ce que nos deux culs se touchent. Julien n'a pas crié; il est résistant mon copain!

  

— Oh! que c'est bon! T'en as pas un autre un peu plus long?

— Tu vas moins rire tout à l'heure, petit con!

Ils se placent derrière nos têtes légèrement renversées vers l'arrière et fourrent leurs bites encore molles et couvertes de sperme dans nos bouches gourmandes. Chacun empoigne la bite de son esclave et crée en tirant et en poussant un mouvement de va-et-vient faisant sortir et entrer le gode qui nous envahit les entrailles: une super branlette! Tous nos trous sont occupés et nos bites sont agitées de belle façon...que demander de mieux? Nous nous accoutumons à la douleur sur cette balançoire originale; nos bites sont bien raides et celles de Patrick et Michel prennent une bonne consistance grâce à la chaleur de notre accueil buccal. Nos culs s'entrechoquent chaque fois que le gode est entièrement entré de chaque côté. Le supplice devient un véritable plaisir. Le double godage est de plus en plus violent mais on tient bon! Les deux sucés finissent par cracher leur foutre que nous avalons avec délectation:

— Humm!!! Quelle bonne giclée!

Je ne sais pas si Julien a joui mais je vais bientôt le savoir en examinant sa poitrine. Moi j'ai envoyé de beaux jets jusque sur mon menton. Le double gode est arraché de nos petits culs meurtris.

— Regarde! Ton môme a de la merde pas loin!

En effet, un bout est légèrement coloré.

— C'est normal, je n'ai pas chié ce matin; je suis constipé!

— Bravo! on va en profiter!

Nos anus sont très près l'un de l'autre.

— Pousse! Chie-lui dans le cul!

Julien fait de gros efforts pour évacuer un étron certainement de belle taille; je sens cette matière dure arriver et forcer mon trou. Incroyable et sublime! Je me fais enculer par la merde de mon copain! Les deux mecs aident à faciliter cette pénétration pour le moins insolite. L'étron est énorme; il dépasse les dimensions de pas mal d'enculeurs! Que Julien a dû souffrir pour chier ça! Des doigts puissants achèvent la pénétration.

— T'en as encore! dit l'un d'eux en fouillant l'anus largement ouvert de Julien.

— Il va chier ça dans la bouche de l'autre!

Mon sling fait un mouvement de 180° et ma bouche, maintenue de force grande ouverte, accueille un petit étron plutôt mou et très odorant!

— Respire une bonne rasade!

Patrick me passe sous le nez le flacon de poppers; je sursaute et le désagrément de la puanteur s'efface instantanément. Je suis prêt à tout!

— Mâche la merde de ton chéri!

Je mastique cette matière presque avec délice.

— Ouvre grand ta belle petite gueule!

J'avale la bite sans apréhension: il a vite fait de jouir, le salaud! Il donne alors sa queue à nettoyer à la langue de Julien qui vient de respirer une bonne quantité de poppers. Il n'hésite pas à lécher, le petit cochon! Michel en profite pour m'enculer et ainsi bourrer mes boyaux déjà fort occupés. J'attends la délivrance car là, je n'en peux plus: j'ai mal au ventre! Il jouit heureusement très vite et donne sa bite toute merdeuse à Julien qui s'en sert comme d'un bâton chocolaté.

Tout est dit! Nos foutreurs se douchent et nous quittent en nous remerciant pour notre docilité. Ils espèrent bien nous retrouver dans de telles conditions. Nous aussi; pourquoi pas?

Un bon lavement me libère de la merde de Juju et des spermes de Lepage et de Michel; deux gargarismes à la bière nous enlèvent le goût plutôt amer de cette merde. Enfin une bonne douche efface les traces de cette soirée. La douche se fait sans savon "pour que votre peau conserve son odeur et son goût naturels".

Il est trois heures du matin; personne n'est attendu cette nuit. Il nous faut reprendre des forces pour affronter les épreuves du lendemain. D'autres invités, aux goûts variés, vont prendre possession de nos corps. Je crois même que Lepage va revenir plus vite que prévu...

Julien s'endort dans mes bras et je le rejoins bien vite dans le repos absolu.

 à suivre ...

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 15 juin 6 15 /06 /Juin 05:52
classé dans VIDEOGAY (232)
Pour remercier Fabien de son envoi de pics...et lui donner un prolongement (en a t-il besoin ? lol)
 
Par claudio - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 15 juin 6 15 /06 /Juin 05:35

à lire ou relire dans RECITS FICTIONS (42)

c'est ma vie... 

Introduction...lol ! n'allez pas vous plaindre : c'est une LONGUE introduction ! le récit suit.

C'estmoi, Maxime ! Je me remets de mes émotions chez Gérard; mon anus retrouve des dimensions plus raisonnables et mes couilles se rechargent. Il fait un soleil magnifique et je me prélasse, nu, comme d'habitude, sur ma pelouse au bord du lac.

Soudain j'entends la cloche de la porte de d'entrée! J'enfile un caleçon et je vais voir qui ose m'importuner pendant cette période de repos. Quel bonheur de voir que c'est Julien!

— Salut Maxime!

— Quelle bonne surprise! lui répondis-je.

— Je viens me faire enculer.

— Après tout ce qu'on a fait cette nuit, tu en veux encore?

— Justement, on a tout fait sauf ça!

— C'est vrai! Je ne t'ai pas enculé! Entre, beau gosse!

Malgré cette période de récupération, je ne vais certainement pas faire la fine bouche. Julien est un merveilleux garçon; vicieux certes, mais si tendre, si bien foutu, si entreprenant!

Une fois la porte fermée, notre étreinte est puissante. Nos lèvres se joignent, nos langues s'enlacent, nos mains partent en exploration. Celles de Julien n'ont aucun mal à investir l'intérieur de mon caleçon tandis que les miennes doivent d'abord ouvrir la braguette et écarter la ceinture du slip. Elles parcourent nos parties les plus sensibles et ont le plus grand effet sur nos bites. Je n'oublie pas de m'intéresser à la raie de son joli cul et je n'hésite pas à lui fourrer un doigt puis deux... à sec!

— Oui! Vas-y! Fort! Plus fort!

— Tu en veux? Tu auras bientôt 18cm de chair dure et chaude dans ton antre!

Il est vite à poil et mon caleçon voltige sur le tapis de la chambre. Je mets Julien sur le ventre, lui soulève légèrement les hanches pour mieux faire pénétrer ma bite déjà baveuse dans sa rosette déjà ouverte. Je m'allonge entièrement sur lui et je l'encule de toutes mes forces. En même temps, j'arrive à glisser une main et à le tripoter entre son ventre et le matelas.

— C'est bon!

— Julien, je t'aime de toute la longueur de ma queue!

— Je jouis!

— Moi aussi! Prends tout ça mon chéri! Dans tes entrailles!

Après cette double extase et quelques instants d'immobilité, je tente de me retirer de ce cul si accueillant. Impossible! Julien retient ma bite en serrant bien fort son sphincter!

— Reste en moi! On va recommencer!

— Pas tout de suite!

— Ne bouge plus et attends qu'on ait encore envie...

— OK!

Je demeure collé à Julien et j'entreprends de rouler sur le lit tout en restant branché. Cette fois, je suis sur le dos et Julien est allongé sur mon côté face; sa bite devient toute molle et les traces de sperme rendent collant son ventre que je ne manque pas de caresser.

— Raconte-moi comment tu es devenu homo! lui demandais-je.

— Tu sais, Maxime, je crois que je suis né pédé! Dès que j'ai ressenti des choses bizarres au niveau de mon bas-ventre, je me suis mis à regarder les hommes... surtout leur braguette! J'étais fasciné par la grosseur des paquets cachés... J'ai d'ailleurs beaucoup fréquenté la piscine pour les voir en slip!

— Et alors?

— J'ai décidé de les provoquer en me baladant souvent la braguette ouverte!

— Qu'espérais-tu? Tous les hommes ne sont pas pédés!

— Oui mais il y en aurait bien un qui s'intéresserait!

— C'est sûr, mais tu savais qu'ils risquaient la prison si tu avais des rapports sexuels avec eux!

— Je n'y pensais pas!

— Alors?

— Un jour c'est un voisin qui m'a fait remarquer que ma braguette était déboutonnée; j'ai fait celui qui était surpris et j'ai vite refermé le pantalon. Le lendemain, même situation: le même voisin me demande si je le faisais exprès. J'ai osé lui répondre que ça devait lui plaire s'il regardait cet endroit-là; il a vite avoué que oui et m'a invité chez lui.

— Tu l'as suivi?

— Je le connaissais bien et j'avais trop envie!

— Qu'est-ce qui s'est passé?

— Il m'a fourré sa main dans la braguette et m'a tripoté. Il m'a déshabillé entièrement et, me laissant debout, les jambes écartées, il m'a léché ma bite raide, mes bonbons roses et la raie de mon cul.

— Tu as aimé?

— Tu parles! Surtout sa langue sur mon trou! C'était génial!

— Ensuite?

— Il m'a renversé sur son lit et m'a sucé, sucé, sucé... jusqu'à ce que je lui envoie mon jeune foutre dans la bouche.

— C'est tout?

— Non! j'avais très envie de voir une bite d'homme. Il l'a bien compris et je lui ai ouvert la braguette, j'ai saisi son gros morceau poilu et je l'ai branlé... J'ai eu droit à de beaux jets sur ma poitrine. Voilà le début de ma vie sexuelle!

— Il ne t'a pas enculé?

— Il m'a fait comprendre qu'il en avait envie et que ce ne serait pas plus difficile que de chier une grosse merde en période de constipation mais j'ai eu peur, étant donnée la taille de l'engin qu'il voulait m'enfoncer.

— Dis-donc, Julien, tu bandes!

— Toi aussi, je la sens bien!

— On y va?

— Oh oui!

Et l'enculage recommence; les râles de plaisir sont à leur paroxysme... heureusement les voisins sont loin!

— Tu reviendras Julien!

 

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JULIEN VIOLé    

   

Je vois régulièrement Julien et c'est toujours l'occasion de merveilleuses galipettes! Ce jeune garçon de dix-sept ans n'a vraiment pas froid aux yeux et sa grande beauté ajoute au désir qu'il inspire! Parfois, nous évoquons le passé; d'ailleurs celui de Julien est déjà fort chargé... depuis qu'il aguichait les hommes en se promenant la braguette ouverte! J'ai voulu savoir comment il a fait connaissance avec notre ami commun Gégé.

— C'était l'année dernière et ma rencontre avec Gégé fut le fait du hasard.

— Raconte!

— J'étais apprenti et mes parents m'avaient loué un studio pour être près de mon travail; ce fut formidable car je vivais en toute liberté... et j'ai su en profiter!

— Petit cochon! Tu pouvais draguer les mecs comme tu le voulais et tu n'avais pas de compte à rendre!

— Ce qui m'est arrivé un soir de juillet est plutôt terrible.

— Vas-y! Accouche!

— Je faisais régulièrement, le soir, un footing pour me détendre d'une dure journée de boulot. J'aimais toujours emprunter le même parcours: un chemin qui traversait le bois près du lac. J'en avais pour une bonne demie-heure. Il est vrai que je souhaitais y faire des rencontres... mais pas tout à fait comme celle que j'ai faite ce soir-là!

— Tu as vu le diable?

— Pire! Je m'étais arrêté pour pisser lorsqu'une main s'est posée sur ma bouche, une autre m'a empoigné la bite et d'autres mains m'ont immobilisé: "Tu fermes ta jolie petite gueule ou je t'arrache le zob!" J'ai eu peur, d'autant que je n'avais ni vu ni entendu quelqu'un. "Avance dans le bois et ne résiste pas!" me dit une voix rude et déterminée.   Deux types cagoulés m'ont poussé loin dans le bois en me tenant fermement par le short jusqu'à un gros tronc d'arbre allongé. Je me suis débattu comme un fou... rien à faire. Ils me tenaient trop fermement et me giflaient. "Tu peux gueuler maintenant! Personne ne t'entendra. Tu nous appartiens et tu vas payer cher ta beauté!"

— Ça sent le viol, ça!

— Je n'en menais pas large, tu sais! Les types m'ont arraché le short, le tee shirt et le slip. "Regarde comme il est joli! Je ne t'ai pas menti; c'est une sacrée affaire!" "Quel beau cul!" Ils m'ont forcé à m'allonger à plat-ventre en travers du tronc, jambes écartées, cul bien offert. Ils m'ont attaché les mains et les pieds; je ne pouvais pas me soustraire à leur lubricité. Leurs braguettes étaient ouvertes et deux grosses queues bien dures me passaient à tour de rôle sous le nez. "Lèche, petit salaud! Suce! Attention, je ne veux pas sentir tes dents!" Je crois que j'ai dû me crisper sur une bite qui allait trop loin dans ma gorge et j'ai reçu un grand coup de pied dans le cul. "Je t'ai prévenu! Laisse-toi faire sinon tu vas avoir très mal!" Ils m'ont donné de grosses claques sur les fesses; ils m'ont craché sur l'anus. "Voilà, le terrain est prêt! Fous-lui déjà tes doigts." J'ai senti des doigts me fouiller le rectum; ils ont aussi tripoté mes couilles qui étaient comprimées sous mes cuisses.

— La totale!

— J'ai senti un gland entrer dans mon trou bien malaxé; le corps de la bite m'a ensuite défoncé d'un seul coup; j'ai crié très fort tant ça m'a fait mal. "Ta gueule!" m'a dit mon enculeur pendant que je pompais l'autre avec l'ardeur exigée; il me tirait les cheveux pour bien me positionner la bouche sur son membre. L'enculeur a joui violemment et l'autre a vite pris la place dans mon trou bien chaud. L'introduction m'a fait souffrir mais j'ai vite compris qu'un doigt était enfoncé en même temps que sa bite. C'était une façon de se chatouiller dans mon cul! J'ai encore pris une autre dose de foutre et les deux violeurs, avant de remballer leurs instruments de torture, ont pissé en visant mon trou encore béant. Je sens encore ce liquide chaud qui rentre dans mon anus et qui dégouline dans la raie de mon cul, le long de mes cuisses et jusque dans mes chaussettes!

— Ils t'ont relâché?

— Foutre non! Ils sont partis en rigolant et en me laissant nu, lié et couvert de pisse! J'ai pensé que je pourrais peut-être les reconnaître car ils étaient au courant de mes habitudes sportives. J'ai décidé de ne rien dire, d'autant que j'ai bandé pendant le viol!

— Comment tu t'en es sorti?

— En me tortillant, j'ai réussi à défaire les liens de mes mains puis ceux des pieds. Je me suis essuyé avec mon tee shirt en lambeaux. Mon short était déchiré mais j'ai pu l'enfiler et le maintenir avec ce qui restait de mon slip: son élastique. J'avais piètre allure quand j'ai rejoint le chemin! Je me suis assis dans l'herbe et je me suis mis à pleurer.

— Pauvre chéri! Tu es rentré chez toi dans cet état?

— Non! Un homme assez âgé faisait un footing. En me voyant, il s'est arrêté et m'a demandé s'il pouvait faire quelque chose pour moi. J'ai tout de suite pensé qu'il ne se serait pas intéressé à moi si j'avais été moche. Je lui ai avoué que j'avais été violé par deux salauds masqués. "Voilà le risque d'être aussi beau!" m'a-t-il dit en connaisseur. Pourtant je n'étais guère présentable mais comme j'étais à moitié nu, je ne pouvais pas laisser indifférent un amateur de jeunes garçons. Je n'avais rien qui puisse cacher mes couilles sous mon short et j'étais torse nu.

— Il t'a raccompagné chez toi?

— Non! Sa voiture était à deux pas. Il s'est inquiété pour mes parents. Quand je lui ai dit que je vivais seul, une lueur s'est allumée dans ses yeux et il m'a proposé de m'emmener chez lui et de "réparer les dégâts". J'ai accepté sans hésiter tant j'avais besoin de quelqu'un qui prenne soin de moi et qui me fasse oublier les assauts que j'avais subis. Un petit lavement sous la douche, un bon bain bien chaud m'ont permis de reprendre mes esprits tandis que mon hôte ne cessait de m'admirer. Il m'a ensuite enveloppé dans une grande serviette de bain, pris dans ses bras robustes et allongé sur un grand lit. "Il faut que je te soigne." En effet, mon ventre et ma bite étaient écorchés par les frottements contre l'écorce, mes fesses et mes reins étaient rouges et griffés. Mon sauveur a donc écarté la serviette et a ainsi découvert mon corps. Côté pile et côté face: tout a été passé en revue avec un coton imbibé d'un produit désinfectant; j'ai apprécié ces caresses et il n'a eu aucun mal à s'en apercevoir en voyant ma queue prendre des dimensions... honorables!

— Et alors?

— Alors il m'a donné un baiser discret sur le coin de la bouche puis, voyant que je n'opposais aucune résistance, il a approfondi son étreinte buccale. Sa langue a ensuite parcouru mon ventre, mon bas-ventre, mes couilles jusqu'à la naissance de mon cul. Elle s'est attardée sur ma bite de plus en plus raide. Il m'a sucé avec gourmandise; j'ai tout lâché dans sa bouche et il a avalé ma liqueur. J'étais bien dans ses bras! Je me suis endormi, je crois, pendant qu'il me léchait l'intérieur des cuisses.

— Alors, ce sauveur providentiel, c'était Gérard?

 

 

   

 

 

 

— Eh oui! J'ai dormi longtemps; heureusement je ne travaillais pas le lendemain! Gérard s'est chargé de me trouver un slip, un short et un maillot qu'il a tenu à me mettre lui-même. Il m'a gardé toute la journée. Je lui ai raconté ma vie, il a manifesté un grand intérêt à mon écoute tout en me caressant et m'a promis de me revoir... pour faire l'amour.

— Tu ne l'as pas vu à poil?

— Non, ce n'est que plus tard qu'il a bien voulu me laisser explorer son intimité. Il est d'ailleurs vachement bien foutu, le salaud... Pour un mec qui frise la soixantaine, il est performant!

— Moi aussi, je n'ai vu son sexe qu'à la troisième fois! Mais qu'est-ce qu'il m'a mis!

— C'est un excellent enculeur et il a beaucoup d'imagination!

— Sais-tu qu'il a fait un gâteau avec ma pisse, mon sperme et ma salive? En ajoutant du lait en poudre et du sucre, il a réussi un bel exploit culinaire!

— Il m'en a fait un aussi! En plus, je t'ai connu chez lui grâce aux magnifiques photos qu'il a faites de toi! C'est là que j'ai eu envie de te rencontrer! Je sentais que tu serais mon meilleur ami sexuel!

— C'est le cas! Grâce à toi, je vis des moments exceptionnels...

— Un viol a été le déclencheur d'un grand bonheur!

— Heureusement que tes agresseurs ne t'ont pas plombé!

— J'ai eu beaucoup de chance!

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 15 juin 6 15 /06 /Juin 00:08

à revoir dans SEXO VIVRE SA SEXUALITE (75)

 

de 1à 9, a) quel a été leur meilleur moment?

               b)  dans une séquence semblable tu t'identifies auquel des deux personnages ? le passif ou l'actif ?

               c)   et dans ce cas, quel serait TON meilleur moment (de 1à 9)

je donnerai ma réponse en commentaire  vous pouvez en faire autant ou nous poster à

claudemodou@gmail.com , adresse dévolue au blog ;  votre mail sera publié dans le blog.

 

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