àrevoir dans recits fictionsTHEME SM (44)
LE PREMIER WEEK- END SCATO SM et la
première journée de Sodome !
MAXIME & JULIEN 1 (SM & scato)
Depuis la visite de Julien "venu se faire enculer", j'ai des relations très suivies avec lui: il vient me voir chaque weekend,
que nous passons nus et chauds. Un jour, Julien me propose:
— Gégé m'a indiqué un type qui organise des partouzes. Il lui a demandé de nous embaucher un prochain vendredi soir jusqu'au
dimanche soir.
— Tu peux m'en dire un peu plus?
— Il nous propose 1000 euros chacun si nous acceptons d'être totalement soumis aux désirs de ses "clients".
— C'est intéressant mais dangereux, non?
— C'est vrai que les acteurs risquent de ne pas être très doux avec nos corps mais je t'affirme qu'ils sont contrôlés
médicalement: ils doivent produire un certificat récent pour démontrer leur séronégativité. Nous aussi d'ailleurs!
— Ce sera donc du bareback?
— Tout à fait!
— Pourquoi pas... puisqu'on aime ça!
— J'appelle ce type...
Il revient quelques instants plus tard...
— Voilà, c'est réglé; nous avons rendez-vous demain soir pour un premier contact.
— C'est un examen de passage?
— En quelque sorte; il doit vérifier certaines choses avant de nous mettre à la disposition de mecs très salauds.
Nous nous préparons méticuleusement afin de réussir cette première entrevue: chacun explore attentivement le corps de l'autre
afin de découvrir et d'éradiquer le moindre poil disgracieux, le moindre petit bouton... Nous choisissons soigneusement nos vêtements, blancs immaculés bien sûr!
L'organisateur, qui ne nous avait jamais vus, est surpris:
— Putain! Que vous êtes beaux!!! Entrez, mes jolis que je vous examine de plus près!
Il nous fait enlever tous nos vêtements; nous nous allongeons sur une grande table et les parties importantes de nos anatomies
sont systématiquement tripotées. Il remarque la bonne élasticité de nos sphincters et la bonne dimension de nos bites bien dures sous les caresses! Tout est inspecté, jusqu'à notre langue et nos
dents.
— Physiquement, vous êtes parfaits; vous avez tout ce qu'il faut pour plaire; il reste à savoir quels obstacles pourraient se
dresser devant les désirs souvent insensés de mes clients. Le prix qu'ils payent demande à fournir des prestations haut de gamme.
— Expliquez-vous!
— Pas de capote.
— OK, s'ils ne présentent aucun danger.
— Ce sera contrôlé. Ils sont uro et scato.
— On s'y fera!
— Ils aiment les petits culs très dilatés.
— Ils veulent nous fister?
— Peut-être...
Je regarde Julien qui me dit l'avoir déjà subi, que ça fait mal au début mais qu'ensuite une étrange sensation s'empare de ses
entrailles... comme s'il jouissait du cul... et que son anus met peu de temps à retrouver sa forme initiale.
— Vous êtes jeunes! vos petits trous seront bien graissés et se refermeront facilement!
— Alors d'accord... s'ils font ça gentiment!
— Il reste certains détails à régler: vous serez enfermés, nus jusqu'à la fin du séjour. Vous subirez les assauts sexuels
quand mes clients le voudront. Vous aurez le devoir de tout nettoyer après chaque orgie. Vous aurez une douche à votre disposition. Le frigo sera plein de bière et de biscuits secs; ce seront vos
seules nourritures... en dehors des émissions éventuelles dans vos jolies bouches... Vous aurez un grand lit sur lequel vous aurez le droit de vous reposer... quand vous le pourrez! Les clients
disposeront de poppers pour vous maintenir en pleine forme.
— En somme, nous serons des lopes esclaves!
— Exactement... mais vous aimez ça!
— Oui!
— Oui!
La date du séjour est fixée et nous attendons ce jour avec impatience mais aussi quelques craintes!
— Tu crois qu'on a bien fait d'accepter ça?
— Une belle petite somme d'argent; ça vaut le coup!
— Oui, mais s'ils nous estropient?
— Ils vont nous sucer, nous enculer, nous attacher, nous faire pisser,
nous faire chier...
— Nous faire chier, tu l'as dit!
— La merde ça ne me gêne que par son odeur mais si nous avons fait un bon lavement, nous n'aurons à chier que des biscuits
secs; tu sais, comme dans les "120 journées de Sodome", la merde est claire et peu odorante.
— Pourvu que cela ne se termine pas comme dans ce bouquin de Sade!
— T'inquiète pas; ces homos sont quand même des gens civilisés; si tu les rencontres dans la rue ou dans leurs activités
professionnelles, tu ne les imagines pas nus en train de soumettre de jeunes hommes aux pires tourments sexuels.
— C'est bien ce qui me fait peur!
— On saura se défendre si on sent que cela va trop loin!
— Mais on sera pieds et poings liés!
— Oui, mais quel intérêt présenterait une séance SM si on était sûr de ne rien risquer ? C'est déjà le point le
plus important : n'oublie pas qu'ils auront laissé un certificat médical à leur nom. Ils ne se risqueraient pas à dépasser les limites!
Me voilà rassuré; mais ce Julien, quel tempérament sexuel!!! Il a tout vu, tout connu avant moi...et il veut qu'on en apprenne
encore !
Le jour fatidique est arrivé! nous nous présentons sur le lieu de nos futurs ébats: l'organisateur nous intime l'ordre de nous
foutre à poil et de déposer nos vêtements dans une corbeille devant l'entrée de la salle de jouissances.
— Vous les retrouverez dimanche soir!
Nous pénétrons, nus, dans une salle sombre: elle n'a qu'une petite lucarne munie de gros barreaux. Deux slings pendent au
milieu de la pièce.
HUMMMMH ! place à notre imagination ! et ...savoir ce qu'on va nous faire ?
Toutes sortes d'instruments sont accrochés au mur ou posés sur un établi. Du matériel de nettoyage, des chiottes, une
cabine de douche, un frigo, une grande table en bois épais et un grand lit couvert d'une alaise en plastique complètent l'ameublement.
— Je dois vérifier l'état de vos jolis culs: posez vos poitrines sur la table et écartez bien les jambes.
Une giclée de produit lubrifiant nous refroidit l'anus et les doigts du mec entrent profondément pour inspecter la propreté de
nos intérieurs. Que j'aime me faire fouiller le cul!!!
— Parfait, les petits, vous voilà prêts. Prenez connaissance des lieux et des instruments. Bientôt, on va s'occuper de vos
corps!
Nous sommes seuls dans cet antre un peu sinistre. Nous nous étreignons en pensant que nous ne pourrions guère le faire pendant
ces deux nuits et deux jours.
Le soir tombe. Nous sommes nus dans l'attente d'invités avides de nos corps. Une lumière orangée éclaire nos jolies peaux
dorées et sans poil; même nos pubis sont rasés; ainsi nos suceurs n'auront pas de "cheveux sur la langue". Une forte odeur de camphre titille nos narines: elle provient d'un gros flacon de
poppers prêt à encourager nos ébats. Des poutres, des rails, des chaînes garnissent le plafond. Des godes dont un à prépuce et à couilles, des plugs, des spéculums, des
écarteurs, des laisses, des cordes; un double dong, des pots de graisse, un baillon en cercle, des martinets, des sondes urinaires, des boules anales garnissent les rayons du mur, des gamelles
pour chiens... de quoi nous faire frémir... et bander!
Un magnifique bouquet d'orties trône au milieu de la grande table... brrrrr! On a encore le temps de jouer avec les deux
slings qui pendent du plafond et qu'on peut placer côte à côte ou face à face selon les exercices imposés...
Un haut parleur nous fait sursauter:
— Vos deux premiers invités arrivent; Allez ! à genoux devant la porte, mains dans le dos et bouches grandes
ouvertes!!!
Nous obéissons immédiatement; nos coeurs battent très fort; notre soumission commence.
Deux mecs se présentent: chacun se dirige vers une bouche accueillante; ils sont nus et je n'ai d'yeux que pour leurs paquets
volumineux! Soudain le type qui s'approche de moi m'attrape par les cheveux et me tire la tête en arrière:
— Maxime!
Je vois son visage et je suis stupéfait de reconnaître mon prof de gym des années collège!
— Monsieur Lepage!
— Si je m'attendais à voir, dans de telles conditions, l'élève qui m'a tant fait envie!
Je me souviens en effet que ce prof, bel homme d'ailleurs, avait les mains baladeuses; il aimait beaucoup s'occuper de moi...
et de très près... chaque fois qu'il fallait assurer une parade ou m'apprendre une position!
— Quel bonheur! Je vais pouvoir faire tout ce que je veux de toi! Enfin!!! Tu m'as trop fait bander et j'ai vidé des litres de
foutre en pensant à toi!
Il approche son paquet de ma bouche et j'avale une magnifique bite encore toute molle. J'ai le nez dans ses poils et je suce
de toutes mes forces un morceau de choix à la peau fine et gluante de ma salive. Je sens, avec délices, le morceau de chair grossir, durcir, s'allonger. Lepage maintient sa bite en entier dans ma
bouche en appuyant fortement ma tête contre son bas-ventre. Sa queue s'enfonce profondément dans ma gorge; je déglutis pour ne pas dégueuler. Cette fois, elle est parfaitement raide.
— En avant pour venger ma privation! Mets-toi debout que je te regarde!
Lepage m'examine de la tête aux pieds, avec un bon malaxage de mes couilles et une grande claque sur les fesses.
— Tu es toujours magnifique! Et cette fois, je vois tout!
— Tout ce que vous voulez, Maître!
— On va commencer par un peu de gymnastique; cela me rappellera de bons moments... jamais entièrement satisfaits!
Je jette un oeil à Julien qui, après avoir fait bander son partenaire, se trouve déjà sur un sling. Le type lui attache la
bite et les couilles et commence à explorer son petit cul avec un écarteur...
— Tu t'allonges à terre et tu pédales en l'air avec beaucoup d'amplitude.
J'ai le souvenir de cette forme d'abdos, mais cette fois je ne cache rien! Lepage pose son pied sur mon bas-ventre et presse
fortement ma bite et mes couilles; j'ai un peu mal mais c'est bon quand même!
— Maintenant tu vas faire des pompes. Attention; tu ne triches pas sinon, gare à la punition!
Il se couche au sol sur le dos et je dois me placer au-dessus de lui.
— Tu tires la langue et tu descends jusqu'à ce qu'elle touche la mienne... pas plus bas!
J'exécute et je prends un plaisir énorme à ce contact d'autant qu'en même temps, ma bite vient effleurer la sienne!
— Mets beaucoup de salive sur le bout de ta langue!
Ma salive s'écoule sur sa langue gourmande et ma queue s'allonge d'avantage. Après une vingtaine de pompes, je commence à
fatiguer et je finis par m'effondrer de tout mon long sur ce corps viril.
— Tu dois être puni! À quatre pattes que je te fouette!
Les coups de martinet tombent sur mon cul; j'adore ça même quand certains coups sont plutôt orientés entre mes cuisses; les
lanières atteignent mes couilles et me causent de drôles de douleurs.
— Aie! Aie!
J'entends en même temps Julien qui hurle; j'ai le temps de voir son bourreau lui enfoncer un énorme gode dans le
derrière.
— Tu feras attention car la prochaine punition sera encore plus terrible!
— Je vous le promets, Maître!
— Tu vas faire un magnifique poirier.
Je sais faire ce mouvement, c'est Lepage qui me l'a appris; je me rappelle qu'il passait beaucoup de temps au-dessus de moi
surtout quand il fallait écarter les jambes à l'horizontale! Le salaud, il louchait sur les éventurelles ouvertures de mon slip! Là, il a une vue complète.
— Écarte au maximum!
Aussitôt il se met à me bouffer tout le paquet puis à me lécher l'anus bien offert. Je ne tiens pas longtemps et je
m'écroule!
— Je ne t'ai pas dit d'arrêter la position! Recommence!
Je ressens alors une violente brûlure au bas-ventre. Le salaud s'est amusé à me passer des orties sur les couilles et la bite!
C'est dur à supporter mais l'excitation est renforcée! Il me frotte vigoureusement; ça me soulage mais il n'y va pas de main morte et j'ai les couilles meurtries.
— Maintenant, voyons ce trou!
Il me place sur l'autre sling, à côté de Julien qui me fait un clin d'oeil pour me rassurer.
L'autre est en train de l'enculer! Je présente ainsi la totalité de la raie de mon cul. Il n'attend pas; il n'en peut plus; il faut qu'il jouisse et dans un cul comme le mien, ça vaut le
coup!
Le fameux bout que j'ai fait durcir dans ma bouche pénètre violemment; cela m'arrache un cri vite réprimé quand toute la
longueur y est passée et quand les va-et-vient ont commencé. Que j'ai aimé cette introduction et la possession de mes entrailles par un aussi gros noeud! Lepage a en même temps la délicatesse de
m'empoigner la bite et de la branler avec force. Je gicle mon foutre avant lui; il en profite pour lécher les nombreuses gouttes qui s'étalent sur mon ventre. Cela finit par un râle
très long:
— Ouiiii! Oui!!! Oui!!! Maxime!!! Enfin je t'ai!!!
Il décule aussitôt et me promet de me revoir demain.
— Ce sera différent, joli petit esclave!
Julien a fini aussi avec son enculeur!
Nous buvons beaucoup de bière et croquons des biscuits... en attendant les clients suivants...
JULIEN 2
_ Nous nous remettons de nos émotions.
— Alors Julien, comment vas-tu?
— Oh Maxime! Je pense que ça commence pas mal. J'en ai pris plein le cul et je n'ai presque pas senti la bite du mec tant il
m'avait dilaté avec son énorme gode... Je suis prêt pour un bon fist... regarde!
— Ton petit trou est déjà bien refermé; pour le fist tu attendras un peu!
— Et toi?
— La surprise passée, j'ai beaucoup apprécié ce Lepage... surtout les pompes par dessus lui! Même les coups de martinet et les
orties m'ont vraiment excité. Incroyable, cette onde brûlante qui m'a parcouru la bite et les couilles! Elles ne sont pas trop rouges?
— Parfaitement roses; prêtes à l'emploi!
Nous avons juste le temps de nettoyer l'écarteur et le gode que le haut-parleur annonce une nouvelle arrivée:
— En place! Les coudes sur la table! Les jambes très écartées et le cul bien cambré!
Nous nous positionnons de façon à offrir la plus jolie vue possible de notre petit derrière et de sa raie. Deux types entrent;
comme les précédents, ils sont entièrement nus...
— Regarde ces beaux culs! On en a pour notre argent!
— T'as vu ces jolis trous bien roses?
— Et les beaux bonbons qui pendent?
— Deux jolis mâles avec une peau de jeune garçon!
— C'est vrai! Ils n'ont pas un seul poil! Même sur les cuisses! Qu'est-ce qu'on va se mettre!
— Allez mes jolis; écartez bien qu'on vienne s'y frotter!
Je sens un paquet bien chaud et volumineux; la bite du mec commence à prendre de l'ampleur et se place tout au long de ma
raie. Il attrape mes couilles qu'il presse avec les siennes toutes proches:
— Y'a du bon jus la dedans!
S'écartant légèrement, il enfonce un doigt dans mon anus puis, le retirant:
— Y'a du bon jus aussi la dedans! Ça va glisser tout seul!
L'autre type est déjà en train de bourrer le cul de Julien.
— Ça rentre comme dans du beurre!
Mon client n'attend pas plus pour m'enfoncer d'un seul coup un dard de belle taille; je le prends avec joie jusqu'au fond de
mon cul.
— Eh! Michel, on va leur en foutre encore une bonne dose; ça aidera pour la suite!
Leurs ventres claquent sur nos fesses; leur rythme s'accélère. Mon enculeur m'empoigne violemment le paquet pendant qu'il
jouit.
— Tiens prends ça, petit salaud!
— Ouille! Tu me fais mal!
— C'est rien à côté de ce qui t'attend!
J'entends mon voisin qui crie sa jouissance tandis que Julien accepte sans bruit le jet de jus lubrificateur.
Une pause bière et nous voici en place sur les slings. Les appareils de suspension sont placés de façon que nos culs soient
bien en face l'un de l'autre.
— Tiens Patrick, commence à lui enfoncer ça!
Mon bourreau prend le fameux double gode, impressionnant surtout pour sa longueur (je dirais: 40cm). Je sens l'objet pénétrer
profondément dans mon cul, jusqu'à ce qu'il m'arrache un cri de douleur en passant le premier virage de mes boyaux.
— Branche le dessus!
L'autre bout du gode entre dans le cul de Julien jusqu'à ce que nos deux culs se touchent. Julien n'a pas crié; il est
résistant mon copain!
— Oh! que c'est bon! T'en as pas un autre un peu plus long?
— Tu vas moins rire tout à l'heure, petit con!
Ils se placent derrière nos têtes légèrement renversées vers l'arrière et fourrent leurs bites encore molles et couvertes de
sperme dans nos bouches gourmandes. Chacun empoigne la bite de son esclave et crée en tirant et en poussant un mouvement de va-et-vient faisant sortir et entrer le gode qui nous envahit les
entrailles: une super branlette! Tous nos trous sont occupés et nos bites sont agitées de belle façon...que demander de mieux? Nous nous accoutumons à la douleur sur cette balançoire originale;
nos bites sont bien raides et celles de Patrick et Michel prennent une bonne consistance grâce à la chaleur de notre accueil buccal. Nos culs s'entrechoquent chaque fois que le gode est
entièrement entré de chaque côté. Le supplice devient un véritable plaisir. Le double godage est de plus en plus violent mais on tient bon! Les deux sucés finissent par cracher leur foutre que
nous avalons avec délectation:
— Humm!!! Quelle bonne giclée!
Je ne sais pas si Julien a joui mais je vais bientôt le savoir en examinant sa poitrine. Moi j'ai envoyé de beaux jets jusque
sur mon menton. Le double gode est arraché de nos petits culs meurtris.
— Regarde! Ton môme a de la merde pas loin!
En effet, un bout est légèrement coloré.
— C'est normal, je n'ai pas chié ce matin; je suis constipé!
— Bravo! on va en profiter!
Nos anus sont très près l'un de l'autre.
— Pousse! Chie-lui dans le cul!
Julien fait de gros efforts pour évacuer un étron certainement de belle taille; je sens cette matière dure arriver et forcer
mon trou. Incroyable et sublime! Je me fais enculer par la merde de mon copain! Les deux mecs aident à faciliter cette pénétration pour le moins insolite. L'étron est énorme; il dépasse les
dimensions de pas mal d'enculeurs! Que Julien a dû souffrir pour chier ça! Des doigts puissants achèvent la pénétration.
— T'en as encore! dit l'un d'eux en fouillant l'anus largement ouvert de Julien.
— Il va chier ça dans la bouche de l'autre!
Mon sling fait un mouvement de 180° et ma bouche, maintenue de force grande ouverte, accueille un petit étron plutôt mou et
très odorant!
— Respire une bonne rasade!
Patrick me passe sous le nez le flacon de poppers; je sursaute et le désagrément de la puanteur s'efface instantanément. Je
suis prêt à tout!
— Mâche la merde de ton chéri!
Je mastique cette matière presque avec délice.
— Ouvre grand ta belle petite gueule!
J'avale la bite sans apréhension: il a vite fait de jouir, le salaud! Il donne alors sa queue à nettoyer à la langue de Julien
qui vient de respirer une bonne quantité de poppers. Il n'hésite pas à lécher, le petit cochon! Michel en profite pour m'enculer et ainsi bourrer mes boyaux déjà fort occupés. J'attends la
délivrance car là, je n'en peux plus: j'ai mal au ventre! Il jouit heureusement très vite et donne sa bite toute merdeuse à Julien qui s'en sert comme d'un bâton chocolaté.
Tout est dit! Nos foutreurs se douchent et nous quittent en nous remerciant pour notre docilité. Ils espèrent bien nous
retrouver dans de telles conditions. Nous aussi; pourquoi pas?
Un bon lavement me libère de la merde de Juju et des spermes de Lepage et de Michel; deux gargarismes à la bière nous enlèvent
le goût plutôt amer de cette merde. Enfin une bonne douche efface les traces de cette soirée. La douche se fait sans savon "pour que votre peau conserve son odeur et son goût naturels".
Il est trois heures du matin; personne n'est attendu cette nuit. Il nous faut reprendre des forces pour affronter les épreuves
du lendemain. D'autres invités, aux goûts variés, vont prendre possession de nos corps. Je crois même que Lepage va revenir plus vite que prévu...
Julien s'endort dans mes bras et je le rejoins bien vite dans le repos absolu.
à suivre ...
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