à retrouver dans la rubrique SEXO VIVRE SA SEXUALITE (67)
VINTAGE STYLE CADINOT
sm bondage
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L'apprentissage d'André.
Quand nous étions enfants, on respectait les adultes et en particulier, nos parents. Nous n'étions pas plus malheureux que maintenant où les jeunes ne connaissent plus l'obéissance, faute de l'apprendre! L'obéissance est la base de la discipline, sans laquelle, rien ne fonctionne. Tout ceci pour dire qu'aujourd'hui, le fait de donner une bonne fessée à un enfant qui l'a méritée est presque un scandale! Cela remet pourtant les idées en place et permet de se situer.
Enfin, si je vous parle de cela, c'est pour vous raconter la magistrale fessée dont je me souviens encore et que j'avais reçu étant apprenti. Cela ne m'empêcha pas de grandir et de découvrir mon monde d'adolescent.
Vers 15 ans et demi, j'étais déjà bien formé pour mon âge, pratiquant volontiers plusieurs activités sportives, mon corps musclé suscitait l'envie ou la jalousie des mes copains. J'excellais particulièrement en gymnastique. Mon corps se transformait, je remarquais, une pilosité nouvelle sur mon bas ventre, un peu autour de mon sexe et sur les jambes. Je me souviens même avoir pris un miroir de poche à la salle de bain, un soir, pour voir si j'en avais autour du trou du cul!
Encore peu au courant des choses de la chair, je n'avais pas encore eu de relations sexuelles - avec qui l'aurais-je fait? Je savais néanmoins une ou deux choses de par les discussions avec les copains. Bien sûr, il y avait beaucoup de vantardise, mais enfin l'on disait que si on avait du poil au cul, on était un homme! Je commençais donc à en être un!
Les filles ne me branchaient pas vraiment. Mon univers tournait surtout de bons copains, des camardes de jeux. Bien que quelquefois nous eussions comparé nos anatomies à la douche, après le sport, je n'avais pas vraiment cherché à en savoir d'avantage. Bien sûr, je savais comment l'on faisait des enfants, mais c'était assez flou dans ma tête sur le détail que je ne visualisais pas. Habitant la campagne, j'avais déjà vu le taureau grimper sur une vache! Mais c'était la nature... Et l'immense pine du cheval me laissait songeur...
Avec la nouvelle année scolaire j'eus un nouveau patron qui avait remplacé le précédent parti à la retraite. Tout jeune homme, il me semblait à peine plus âgé que moi! Il avait 23 ans et venait de confirmer son professionnalisme. Pas très grand, blond, les cheveux bouclés, il émanait de lui une gentillesse, une douceur renforcée par une voix calme et onctueuse. L'on aurait dit un garçon qui n'avait pas encore mué! Son regard était comme des lacs de montagne: d'un bleu dans lequel on pourrait se noyer et que l'on ne pouvait fuir. Au début, on a chahuté et on ne prenait pas les choses au sérieux ! Mais avec son calme, il ensorcelait et savait se faire respecter.
Pour la première fois de ma vie, je me sentais subjugué par quelqu'un, mieux encore émoustillé ! Quand il me fixait, je ne pouvais que baisser les yeux et je tremblais à l'intérieur. Mon coeur se mettait à battre plus vite et je sentais des frissons dans les reins... Rien que pour lui plaire, j'ai fait de notables progrès et je me faisais apprécier de lui et de nos clients.
Un jour, pourtant, sans savoir pourquoi, j'ai commencer à déranger ce beau maître, à le contrarier, voire même à lui manquer de respect! Alors que tout allait bien! Probablement que je recherchais son attention? De plus en plus souvent, je le fixais avec défi et insolence! Et c'est lui qui passait à autre chose, me quittant du regard. Dans ces moments-là, je me sentais fort, une nouvelle sensation naissait en moi et en plus des picotements, je sentais ma verge bouger dans mon slip de coton si peu sexy quand j'y pense ! On était en été et je portais des culottes courtes de velours côtelé, laissant ainsi mes jambes nues. Il en était de même pour tous les garçons, à l'époque et je regrette souvent cette mode aujourd'hui, quand je vois les jeunes dans leurs survêts trop vastes dans lesquels l'on a toujours l'impression qu'il ont fait leurs besoins!!
Mon anatomie adolescente était donc offerte à l'admiration des chaussettes jusqu'aux cuisses.
Ce jour-là, mon insolence alla trop loin et après plusieurs avertissements, le patron me signifia que j'aurais à rester après l'heure pour balayer et ranger tout l'atelier. Cette punition était d'ailleurs presque un plaisir...
Pendant qu'il travaillait aux factures dans son bureau, je plaçais les outils et les tabourets sur les établis et et soudains j'en laissai tomber un avec fracas!
— Patatras!
— Fais- donc attention! Tu tu es un vrai diable aujourd'hui!
— Le diable vous emmerde ! ai-je rétorqué.
— Insolent! Toi qui es si gentil d'habitude, pourquoi es-tu aussi agressif?
— P'têtre ben que j'ai envie de vous emm..nuyer!
— Cette fois c'en est trop, viens ici immédiatement!
Le sourire aux lèvres, je suis venu vers lui en me dandinant, ce qui a fini de l'exaspérer.
— Tu cherches vraiment une fessée, André eh bien tu vas l'avoir!
Il a reculé sa chaise, m'a empoigné par les cheveux, s'est rassis et m'a obligé à me pencher en avant avec une poigne insoupçonnée, en travers sur ses genoux. Bien que je me laissais faire, je sentis bien que si j'avais voulu me débattre, je n'aurais pas gagné. Sa main gauche sur ma nuque, il commença à me fesser avec la droite!
Un et deux, trois, quatre et ça continuait. Il ne faisait pas semblant et malgré la culotte les fesses me faisaient mal!
— Aie, aie! Ça fait mal!
J'en avais le rouge aux joues de honte et aussi quelques larmes dans les yeux, mais en même temps, il me semblait bien que l'ayant recherché, j'en retirais du plaisir! Impossible à décrire, ce n'était pas un plaisir physique, mais l'aboutissement logique de mon désir.
— Tu fais moins le mariole, hein!
— C'est vrai, M'sieur, arrêtez, je m'excuse.
— Tu fais bien de t'excuser et à mon tour, je regrette de t'avoir frappé, mais tu l'as bien cherché!
Sa main ne frappait plus, mais restait sur mes fesses endolories, et commençait même à les caresser. Très vite, je sentis mon sexe gonfler dans ma culotte et le sang battre mes tempes. J'ai un peu écarté les jambes et je sentais ses cuisses contre ma verge dure.
— Je t'ai frappé un peu fort, est-ce que tu as mal?
— Ça me brûle un peu.
— Viens avec moi au bureau on va arranger ça.
— Ce n'est pas la peine...
— Allez viens!
Je me relevai et je l'ai suivi. Il a éteint la lumière et fermé la porte À cette heure làon n'attendait aucun client. Il a ouvert la porte et allumé et je suis entré dans cette petite salle et il a ouvert l'armoireà pharmacie qui sentait l'embrocation et les médicaments. Au centre, il y avait une table . Il y avait encore au fond, un lavabo en faïence blanche et ébréchée.
Le patron, qui s'appelait Jean, ferma la porte à clé en disant:
— On va voir ce derrière endolori! Baisse ta culotte et étends-toi à plat ventre sur la table .
Je dois reconnaître qu'à ce moment-là, je tremblais un peu et j'obéis en devinant qu'il allait se passer quelque chose, mais sans bien deviner quoi? Je déboutonnais ma culotte de velours à la braguette, ouvris ma ceinture et la laissais tomber sur mes chaussettes. Mon sexe encore en peu gonflé faisait une bosse qui me gênait. Le coton blanc était ouvert sur le côté et béait un peu. Je m'étendis sur le lit, les bras repliés sous ma tête, les jambes un peu écartées. Le maître ouvrait et refermait les petits tiroirs de la pharmacie.
— Où donc est cette crème? Ha! Voilà du gel, ce qu'il me faut!
Un sourd désir me travaillait et tendait à nouveau ma verge qui se mouillait du bout. Le maître revint vers moi:
— Et bien tu ne crois pas que je vais masser tes fesses à travers ton caleçon!
Il tira sur l'élastique et descendit le caleçon sur mes genoux. La verge tendue le retenait un peu et je l'aidai de ma main droite.
— Oh! C'est vrai qu'elles sont bien rouges ces fesses-là! Eh bien attention c'est froid!
Il mit du gel abondamment sur mes fesses et commença à les masser.
— Ce n'est pas trop froid?
— Non ça va bien. Et j'ajoutais par réflexe: C'est bon!
Ses mains, avec douceur me massaient régulièrement et une tendre douceur m'envahit. Mieux je commençais vraiment à chauffer et un sentiment nouveau s'emparait de moi: le désir et le plaisir. Ses mains passaient de plus en plus sur mes fesses et repassaient et caressaient et je gémissais:
— C'est bon!
La douleur avait totalement disparu, mais je me tortillais de plaisir, ma verge mouillait mon ventre et je me tenais à deux mains à la table. Maintenant, Jean me massait des pouces vers l'intérieur des cuisses, me touchant, me caressant les bourses à chaque passage en me faisant me pâmer encore plus.
— Haaa!
Cette fois mes fesses dures et tendues n'étaient plus que désir et soudain, je sentis un changement : il avait bougé et sa langue (je ne le compris pas immédiatement) me léchait le périnée, les couilles, allant de l'un à l'autre, mouillant, la pointe forçant aussi mon oeil de bronze. Maintenant je l'appelle comme ça, à l'époque c'était mon trou du cul! C'est moins joli!
J'écartais de plus en plus les jambes, je ne me sentais plus et soudain, ma queue lâcha un peu de sperme, comme quand je me branlais dans mon lit! Est-ce qu'on peut jouir ainsi? Comme c'était contre mon ventre, je ne pouvais vérifier, mais je le sentis bien. De plus en plus cette langue me fouillait et il me mordillait même sur les cuisses en m'arrachant des cris de bonheur!
Soudain, je sentis un doigt me pénétrer, je ne fus pas surpris, inconsciemment je le désirais et voilà encore un nouveau plaisir que j'apprenais. Il me tira par les jambes au bout de la table, me fis mettre à quatre pattes. Je savais cette fois ce qu'il allait m'arriver, mais parfaitement détendu, je me laissais faire. Ma queue toujours raide pointait en avant en dégoulinant.
Je sentis à peine quand il me pénétra, puis il s'anima avec force et je dégustais totalement. Sa bite qui me fouillait l'intérieur, qui poussait contre ma prostate, encore une chose que j'ai apprise, ses coups contre mes fesses, ses couilles touchant les miennes, son sexe, tout me procura un immense plaisir et sa main agitait ma verge en même temps. Il jouit en moi avec un grand cri dans la même seconde ou j'ai giclé jusqu'au bout de la table!
Maintenant que je repense à tout cela, mon corps est parfaitement détendu. Couché sur le dos, j'ai la tête de Jean sur mon coude droit, son corps contre le mien, respirant au même rythme. Nous venons de faire l'amour et je suis heureux. Pleinement! Heureux d'aimer, Jean devenu mon amant et mon compagnon depuis plus de 15 ans et c'est tous les jours la fête! Du sexe!
à revoir dans CULTURE GAY (26)
j'ai capturé la bande annonce (ci-dessous)
Dans le cadre de sa Nuit Trans, Canal+ propose ce soir une diffusion de Laurence Anyways, suivi par le documentaire Bambi, Teddy Bear du meilleur documentaire en 2013 à la Berlinale, portrait tout en intelligence et en douceur de Jean-Pierre devenu Marie-Pierre et surtout, Bambi, figure mythique du Paris nocturne des années 1950 et 60. Un portrait signé Sébastien Lifshitz, récemment césarisé pour les Invisibles. Et qui propose ici un autre film documentaire exceptionnel!
Il s’est appelé un jour Jean-Pierre. Une identité qu’il refusera pendant toute son enfance algérienne. Au début des années 1950, Jean-Pierre deviendra Marie-Pierre, puis Bambi et s’imposera avec élégance, aplomb et un courage jamais ébranlé non seulement comme une reine du Paris des cabarets, mais aussi, avec Coccinelle, comme une des premières transgenres françaises dans une société qui les rejette avec haine. Avant, avec la même énergie, de quitter cette vie pour devenir une professeure aimée et respectée en enseignant le français dans différents collèges pendant vingt-cinq ans. Une histoire exceptionnelle que Sébastien Lifshitz retrace en construisant son film sur ce fil rouge: Bambi et son parcours hors du commun.
À-côté de la richesse de son témoignage où brille son intelligence, son à-propos, sa volonté de fer et son Français riche porté par une voix au rare velouté, ce qui séduit dans ce documentaire, c’est aussi sa richesse visuelle. Car Bambi n’a pas juste confiée quelques clichés intimes. Mais tous les films qu’elle a tourné dans les années 1960 et 70. Des pépites qui constituent un autre témoignage d’une rare valeur sur une période aujourd’hui révolue.
À noter que ce Bambi aura deux autres «vitrines» après sa diffusion sur Canal+. Le film sortira en salle le 19 juin en exclusivité au MK2 Beaubourg à Paris. Et qu'une version enrichie du documentaire sortira, elle, fin juin en DVD (entre autre avec de nouveaux témoignages de Bambi pendant ses années de professorat) chez Epicentre.
Le programme de la Nuit Trans sur Canal+: Après la diffusion du film de Xavier Dolan (20h50) puis Bambi (22h35), suivront I Am a Girl et Twinset, deux courts métrages de Amy Rose. Le plus réussi, I Am a Girl, est le l’histoire de Joppe, transsexuelle, qui vit comme n’importe quelle ado d’aujourd’hui, entre coups de cœur et questionnements, sous le regard affectueux de ses parents et amies.
On découvrira aussi un film de Manfred: Z Chromozome, qui dresse le portrait de la diva The Goddess, alias Joey Arias, qui décide de combiner l’homme biologique et la femme qui vit en lui pour construire une personnalité sous le signe du Z.
Enfin, à 2h40, la série britannique Hit & Miss, avec Chloë Sevigny, impeccable en tueuse à gages transgenre qui découvre qu’elle a eu un jour en enfant.
Bambi, Mardi 4 juin à partir de 22h35 sur Canal+.
à retrouver dans la rubrique SEXO VIVRE SA SEXUALITE (66)
Ils grandissent trop vite non ?
loin d’avoir un effet périphérique et superficiel, les coups donnés à l’enfant par ses parents l’atteignent jusque dans les zones les plus centrales et archaïques de son cerveau. Nous croyons le frapper sur les fesses, alors qu’en fait c’est un peu comme si nous déclenchions le mécanisme d’une arme à tête chercheuse qui, à notre insu et contre notre volonté, va frapper l’enfant droit au cerveau.
-"Une chose que j'ai remarquée c'est la légitimation des rapports sexuels jeune et vieux : ça légitime les décalages et ça les déculpabilise en ne voulant pas ressembler à des rapports jeune-jeune"
-"Tu disais que c'était tes plus intenses moments de ta vie sexuelle . Tu en as vécu de plus intenses depuis ? Tu peux nous dire comment si c'est le cas et si t'as envie d'en parler bien sûr..."
-"Oui en effet, c'est l'un des moments les plus intenses de ma vie sexuelle avec mon ex car il m'a révélé à moi-même et a su me faire comprendre
qu'il n'y avait pas de tabou dans le sexe, le plaisir n'etait pas honteux et que l'on pouvait se laisser aller à tous ses fantasmes.
C'est ainsi que j'ai découvert les fessées, puis le ligotage et ensuite le masque sur les yeux pour ne pas savoir ce qu'il me préparait comme
délices ni avec quoi il le faisait. Toujours dans les limites du sm, rien de hard mais trés excitant!
Pour en revenir aux FESSEES
J'ai un copain qui adore les fessées, et comme moi j'aime en donner, tout va bien...
J'aimerais avoir des témoignages.
Est-ce une pratique répandue, appréciée ? La fessée érotique est en vogue...faut pas croire !!!
Elle permet d'exprimer des pulsions sado que nous avons tous en nous...rares sont ceux qui osent l'avouer ! LOL je les vois venir !!!
Sans nécessairement entrer dans une relation SM avec tout ce que cela implique...la fessée peut se donner pour le simple plaisir et être
appréciée dans le cadre d'un rapport érotique en confiance mutuelle..."
à retrouver dans VIE DU BLOG CAVAILLON (22)
Date de création : | 15/12/2012 |
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un blog ouvert, sans tabous, accueillant et amical
bonne suite à tous
claudio
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