Samedi 22 mars 6 22 /03 /Mars 16:18

SAUTER LE PAS

   

 

Est-ce qu'il n'y a pas des "accidents", dramatiques certes, où se joue notre vie, comme à pile ou face. On peut en être malade(1) toute sa vie ou bien en faire son bonheur pour toujours.  Quel malheur...si ça n'était pas arrivé !

 

   

 

je le savais bien qu'un jour je pourrais me faire piquer avec mes conneries... C'est pas une raison, mais aujourd'hui on va en tôle pour un oui, pour un non. J'ai connu un mec qui avait ramassé quelques mois pour une grosse infraction au code de la route. On l'avait mis avec des durs. Il a eu droit à tout :  racket, sévices sexuels, privation de nourriture...etc.

Et ça juste à côté de ma cellule. On se parlait à la promenade quand il n'était pas trop sous l'effet des brimades.

Mais là ce n'est pas son histoire que je veux raconter. 

 

LE JOUR J

Il n'y avait pas de bruit dans la salle du tribunal. Le juge éleva la voix,

— Sa phrase s'acheva par le mot coupable... coupable que mon cerveau répétait en écho.

...on me passait les menottes.

Et voilà! Avec ces mots, on me tranchait la tête, on me retirait ma liberté, plus rien ne serait comme avant. Eh oui, pourtant, je le savais bien qu'un jour je pourrais me faire prendre... Mais une dernière fois, et puis une autre dernière fois, jusqu'au jour où à l'aube de partir en voyage à travers l'Europe, j'étais avec mes copains alors qu'ils s'étaient décidés de faire un "trip", de cambrioler une petite pharmacie. J'étais le seul qui s'était fait pécho en plus!

J'allais être placé en détention jusqu'à la semaine suivante, pour l'instruction du procès. J'allais sûrement en prendre pour 1 an au minimum! Si moi je l'étais, mon casier judiciaire n'était pas vierge, lui!

La semaine suivante, on m'informait que la sentence à purger serait de 15 mois, avec possibilité de liberté sur parole dans 5 mois. Cinq mois d'enfer!!! Heureusement, j'allais être dans un centre de détention pour jeune pendant la majeure partie de mon incarcération, je n'aurais mes 18 ans que dans 3 mois. Les policiers m'ont alors conduit à ma nouvelle demeure. Les deux policiers assignés à cette tâche étaient un homme et une femme. La femme était bien gentille avec moi, contrairement à l'homme qui lui était rude, et bête en plus d'être sarcastique. Une chance que je n'aurais pas à l'endurer longtemps. La maison de détention pour jeune était localisée à quelques 20 km du Palais de justice.

Une fois sur place, un homme à peine plus âgé que moi était à la porte et m'accueillait. Il se nommait Matthieu et il était stagiaire en relations d'aide avec les détenus. Il était bien gentil et rapidement, j'avais confiance en lui. Il marchait à mes côtés dans les différents couloirs de l'établissement, portant même ma valise, tout en ma parlant des règlements de base de la place. Ces règlements, je les connaissais bien, j'avais dû passer 2 semaines une fois pour un petit délit très mineur que j'avais commis, mais dans un autre établissement, beaucoup plus petit qu'ici, et sans barreaux aux fenêtres. Cette fois-ci, j'étais vraiment en prison, mais quand même pas si pire à comparer de ce que j'avais vu à la télé dans les reportages sur les prisons pour adultes.

En arrivant au bout d'un couloir, face à une grande porte noire, il me fit signe d'arrêter. Il ouvrit un casier et en sortit des vêtements. Pas grand chose, un pantalon style survêtement, un chandail en coton ouaté, un paire de bobettes de coton blanc et des bas blancs eux aussi. Un bruit retentit - je devinais la serrure électrique - et il m'invita à le précéder dans cette petite salle de l'autre côté. Regardant tout autour, il n'y avait qu'une table sur laquelle était déposée une boîte de rangement, deux chaises placées de part et d'autre de la table, et dans un coin, une douche sans rideaux, ni porte.

Il me fit asseoir sur une des chaises et prit l'autre, sortit quelques documents de la boîte sur laquelle mon nom était déjà inscrit. Il m'a raconté que la boîte allait servir pour mes effets personnels. Pendant ma détention, ceux-ci seraient conservés au sous-sol, dans une pièce prévue à cet effet. Tous les "gamins" comme il disait, portaient les vêtements fournis par l'établissement. Seuls les souliers allaient m'être donnés par un appariteur un peu plus tard. Il m'a demandé de me déshabiller et de déposer mes vêtements dans la boîte en les énumérant afin qu'il puisse en faire la liste sur le formulaire.

J'ai donc retiré mes souliers (sans lacets), mes bas, mon veston, mon chandail, mon t-shirt et puis finalement mes jeans. Je me suis rassis, vêtu que de de mon slip et mes bobettes, sur la chaise froide. Il me regarda d'un air gêné en me disant que je devais aussi les retirer pour les mettre dans la boîte. Mon visage s'est empourpré et je sentais la chaleur envahir mon front et mes joues. Me relevant, j'ai retiré mon slip en lui faisant dos, m'asseyant à nouveau sur la chaise complètement à poil, me cachant le sexe avec mes mains. Il a alors refermé la boîte, mis un scellé sur lequel un numéro était inscrit. Me demandant de comparer les numéros du scellé de la boîte et du formulaire, il m'a ensuite demandé de signer et de mettre mes initiales auprès du numéro de scellé. Vraiment, ils ne prenaient aucune chance! C'est dommage, mes jeans étaient déchirés, mes bas et mes souliers troués, alors je n'avais rien de valeur dans cette boîte, elle aurait aussi bien pu prendre la direction des poubelles.

En me pointant la douche du doigt, il m'a demandé d'aller me laver. Il me précisait d'ores et déjà qu'il devait rester afin de pouvoir faire une fouille personnelle après la douche. Ça, c'est quelque chose à laquelle je ne m'attendais guère. À la maison de correction, aucune mesure du genre n'avait été prise... Je me suis donc relevé, et dirigé vers la douche où j'ouvris l'eau. Elle n'était pas très chaude, mais heureusement, ni froide. Matthieu m'a donc tendu  du savon et du shampoing. Une fois bien lavé et rincé, il m'a lancé une serviette. Je m'essuyai, gardant toujours un oeil fixé sur Matthieu. Il se mettait tout à coup un gant de caoutchouc médical et sortait un tube du même étui duquel il avait prit le gant. Je savais très bien ce qui m'attendait! Merde! Moi qui détestais prendre un petit suppositoire, j'allais devoir me pencher devant ce gars-là et me laisser fouiller le cul! Il vit mon regard effrayé et levant les épaules, écarta les bras en signe qu'il n'avait pas le choix.

Sur le sol devant lui, je vis pour la première fois deux formes peintes en rouge, de la forme d'un pied. Il me demanda d'approcher, de mettre mes pieds sur ces marques et de me pencher, torse collé à la table devant lui. J'ai senti ses mains froides se poser sur mes fesses, d'une main, me les écarta et m'avertit que ça pourrait être désagréable et de lui dire s'il me faisait trop mal. Une gelée froide coula entre mes fesses et je sentais son doigt qui me pénétrait dans l'anus doucement, très profondément. Il se mit ensuite à déplacer son doigt à l'intérieur de moi, on aurait dit que j'avais une tête chercheuse dans l'cul! Malgré la gêne, le froid, et l'humiliation de me faire fouiller ainsi, j'avais une drôle de sensation inconnue qui me travaillait le bas du ventre. Ma queue se banda presque instantanément. Je rougis de nouveau. Son doigt sortit de moi, il m'essuya la raie avec un linge humide et me dit que c'était terminé, que je pouvais me relever.

Je ne savais plus quoi faire pour cacher ma queue qui pointait, gonflée à bloc, tout droit devant moi. Cette fichue érection ne partait pas. Tant que je lui faisais dos, il n'y avait pas de problème, mais là, il me tendait mes nouveaux vêtements et je devais me retourner pour les prendre. Jugeant mon hésitation, il me dit doucement de ne pas m'en faire pour mon érection, que tous les gars ont la même réaction durant la fouille, et il m'expliquait que c'était dû au frottement de son doigt sur ma prostate... Sans trop écouter ses explications, je me retournais rapidement, pris les vêtements que j'ai déposés sur la chaise pour les enfiler à toute allure. La prostate pour moi, c'était une gogosse qui pognait le cancer chez les vieux croutons, pas quelque chose qui me faisait bander pendant qu'on me fouillait dans le derrière!!!

Pendant que je m'habillais, il prit la boîte, la déposa sur sa chaise et me prit le bras, me guidant vers l'autre porte sur le côté opposé de celle où nous étions entrés. En marchant, je trouvais ces vêtements très désagréables à porter. Ils étaient rudes, je sentais la froideur du plancher au travers des bas minces, tellement que quelques secondes plus tard, mon érection était une chose du passé. Il sonna près d'une porte qui s'ouvrit quelques instants plus tard. Un homme trappu, d'une cinquantaine d'années et sans le moindre air sympathique me demandait la taille de mes chaussures. Il revint quelques instants plus tard avec une paire d'espadrilles immaculées dans une boîte sans couvercle. Quand je fis le geste de m'approcher pour les prendre, il recula d'un seul bond en me criant de demeurer à ma place. Je me suis figé sur le coup. Matthieu prit les souliers et me dirigea vers une banquette où j'allais pouvoir les mettre.

On a longé de nombreux couloirs. Il m'expliquait qu'on me ferait visiter le centre le lendemain, car il était presque l'heure de l'extinction des feux. On nous prenait pour des enfants d'école ou quoi! Il était à peine passé 21 h! Je me suis rappelé ensuite qu'on se faisait réveiller à 5 h tous les matins de la semaine.

Vint le dernier couloir où toutes les portes avaient des loquets de sécurité. J'ai vite deviné qu'il s'agissait de nos cellules. On se rendit jusqu'à l'escalier, on a monté au troisième étage, et ensuite, rendu à la "chambre" 308, il me faisait entrer dans un petit cubicule qui avait tout à envier à ma chambre chez mes parents. Deux lits en fer peints en blanc, avec un coussin qui faisait office de matelas, et des draps blanchis comme ceux des hôpitaux étaient déposés sur ceux-ci. Un petit luminaire sans interrupteur était accroché sur le mur du fond. Aux pied d'un des lits se trouvait un minuscule lavabo, de l'autre, un bol de toilette, un WC quoi. C'était pas croyable, je n'aurais pas seulement à partager ma chambre, en plus j'allais devoir chier devant lui et le voir chier devant moi! Je détestais cet endroit encore plus qu'à mon arrivée!

Matthieu me serrait ensuite la main en me disant qu'il devait se dépêcher, car un autre garçon l'attendait à l'accueil. Il me dit en souriant que j'allais vite le connaître en plus, car il allait être mon compagnon de cellule... "Compagnon"... Ces universitaires nous prennent pour des pédés ou quoi! "Compagnon!"

Il referma la porte derrière lui et j'entendis le loquet se refermer. Je me suis allongé quelques instants sur le lit qui faisait face au lavabo, je n'allais tout de même pas choisir celui avec la chiotte au bout! Au bout de quelques instants, je me suis donc décidé à placer les draps sur le lit, au moins, ça serait plus confortable.

Je m'étais presque assoupi lorsque la porte s'ouvrit devant moi. Un grand gaillard de plus de 1,80 m entrait dans la chambre suivi de Matthieu. Il nous présenta l'un à l'autre. Il s'appelait Nicolas. Avec sa face de bébé gâté par son papa riche, j'me demandais bien ce qu'il pouvait faire ici! En tous les cas, ça ne m'intéressait pas vraiment. Je lui ai serré la pince car il me tendait la main, et je me suis recouché. Mathieu nous dit alors que les lumières s'éteindraient dans 10 minutes, il a refermé la porte et le loquet derrière lui.

Couché dos à Nicolas, je l'entendais placer comme moi les draps sur son lit. Il s'est ensuite rendu au lavabo et s'est rincé le visage. Je l'épiais en faisant mine de rien, il ne portait que son slip de coton. J'allais me sentir gêné lorsque je devrais me lever devant lui dans mes sous-vêtements!!! Je pouvais clairement deviner la forme de sa queue qui passait par-dessus deux énormes couilles, et qui pendait presque à mi-cuisse. Moi, ma queue était plutôt gênée. S'étirant sur une bonne longueur, 18 cm, lorsque bandée, quand elle ne l'était pas, elle se recroquevillait sur elle-même...

Il s'est ensuite allongé sur le lit et quelques instants plus tard, les lumières s'éteignaient et il n'y avait plus de bruit. Je me suis endormi.

Je ne pourrais pas dire combien de temps plus tard, je n'avais pas de montre quand je sentis sur moi un autre corps. Je m'éveillai en sursaut, Nicolas se pressait sur mon corps, me retenant au matelas pendant que sa grosse queue bandée frottait sur mon ventre au rythme du balancement de ses hanches. J'avais beau essayer de me débattre, je ne faisais pas le poids... À la grandeur et à la carrure qu'il avait, j'étais fait à l'os. Mes pires cauchemars se réalisaient! Voyant qu'il était inutile de me débattre, j'ai cessé de bouger, et j'espérais qu'il finisse son manège le plus tôt possible. Ce gars en rut se ruait sur moi, et je ne pouvais rien faire. Malgré la situation, je sentais ma queue se raidir tout à coup... Elle qui était bien cachée s'allongeait et pointait le plafond quelques secondes plus tard, pour ensuite aller cogner sur les fesses de Nicolas pendant ses mouvements sur mon corps. J'avais peur qu'il sente sa présence, j'avais peur aussi de cette réaction soudaine... Je bandais pendant qu'un gars se glissait la queue entre nous! J'étais pas pédé pourtant!!! Je paniquais...

Soudainement, il s'est arrêté et m'a empoigné la queue. "T'aimes ça la pédale !" m'a-t-il dit. Il prit sa queue, la mit devant ma figure et m'a ordonné de lui faire une pipe. Ouash! Je ne voulais pas, mais il insistait et je ne faisais vraiment pas le poids à m'opposer, alors, décidé d'en finir le plus vite possible, j'ai placé mes lèvres sur sa queue et il a commencé à entrer et sortir de ma bouche, comme s'il baisait une bonne chatte justeuse... Et moi qui étais là, toujours bandé! Même contraint à le sucer, aussi répugnant cela sonnait-il à mes oreilles, j'étais bandé comme un cheval et je sentais le besoin de venir de plus en plus pressant sur mes couilles.

À peine habitué à la grosseur de son membre et des mouvements de va-et-vient qu'il faisait dans ma bouche qu'il la retirait et quelques secondes plus tard, toujours dans les vapes par ce qui venait d'arriver, il prenait mes chevilles dans ses mains et me relevait les jambes. J'avais presque envie de me mettre à chialer, à brailler. On riait entre jeunes quand on se contait des peurs à propos des prisons, mais on finissait toujours par se dire que les rumeurs populaires n'étaient pas la réalité! Oh que si, elles le sont, et j'étais à ce moment bien placé pour le savoir, les jambes et le cul relevé, le gland de mon "compagnon" Nicolas qui pressait ma rosette et qui me déchirait les entrailles... Mon cul échauffé par cette intrusion me faisait vraiment mal, mais peu à peu, Nicolas se déhanchant derrière moi, le cercle de feu fit place à la même sensation que j'avais senti quand je m'étais fait doigter un peu plus tôt par Matthieu. Mon ventre haletait au rythme de ma respiration qui allait en s'accélérant, je devais retenir des grognements de plaisir honteux que je sentais dans mon ventre et qui se dirigeaient vers mon bas-ventre, où je sentais cette étrange sensation que j'ai quand je vais jouir, comme si tous mes muscles se contractaient, et en effet, mon cul s'est refermé sur la queue de Nicolas et de longs jets blancs sortaient de ma queue sans arrêt. Nicolas s'était tout à coup ancré bien profondément en moi et je sentais chaque spasme de sa queue qui me remplissait de dèche chaude.

J'étais toujours couché sur le dos, les jambes appuyées contre ses épaules, il semblait se remettre de son orgasme, tout comme moi... Je me sentais sale, honteux, mais aussi très bien. La sensation que je venais de ressentir était tellement puissante, enivrante... Nicolas s'est levé de mon lit et se recouchait dans le lit à quelques pas du mien, insensible aux sanglots que j'essayais de retenir, insensible à ce que je pouvais ressentir après son viol. Je suis resté là, éveillé, regardant le plafond, les idées et les émotions s'entrechoquant dans ma tête... Qu'est-ce que la prison allait faire de moi, j'avais aimé me faire enculer par une bête de sexe 2 fois plus grosse que moi! Emu, j'avais accueilli l'événement comme une aventure qui faisait partie de mon destin. Je ne me suis pas endormi de nouveau cette nuit-là, ne sachant trop si c'était pour prévenir un nouvel assaut, ou encore, en espérer un...

 

  les idées et les émotions s'entrechoquant dans ma tête...   "   

     

 ne sachant trop si c'était pour redouter un nouvel assaut, ou encore, en espérer un...  "

 

 

(1).C'est en 2006 que, quitte à  plonger sa famille durablement dans le malheur toute sa famille,  le plus jeune fils de

l'homme politique Philippe de Villiers, a porté plainte une première fois contre son frère Guillaume, de six ans son aîné,

pour des viols répétés survenus entre janvier 1995 et décembre 1996 dans la résidence familiale en Vendée.

 

 

(1).C'est en 2006 que le plus jeune fils de l'homme politique Philippe de Villiers, a porté plainte

une première fois contre son frère Guillaume, de six ans son aîné, pour des viols répétés

survenus entre janvier 1995 et décembre 1996 dans la résidence familiale en Vendée.

Par tol'art gay - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 22 mars 6 22 /03 /Mars 01:32
Par jerem - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 22 mars 6 22 /03 /Mars 01:15

SAUTER LE PAS

 Movie showing horny gay french dude getting a good hard and deep assfucking outdoors

 

Je me prénomme Jeremy, j'ai trente-deux ans; je suis brun, bien fait, avec des pectoraux musclés et bien fermes. J'ai été marié deux fois. La première, j'avais 19 ans, ma femme 20. Elle n'était pas très chaude au lit et moi j'avais une envie folle de découvrir les joies de l'amour. Ce qui devait arriver est arrivé, en voulant éviter l'adultère dans sa définition classique, j'ai connu des hommes gays qui m'ont fait découvrir et appris les mille et une façons de jouir entre hommes. Un après-midi, ma femme m'a trouvé au lit avec le jeune quincaillier du coin, en levrette, ma bite bien plantée dans son cul. Elle est arrivée juste quand il me disait de le défoncer. Je me rappelle le type en train d'éjaculer sa semence, à gros jets, sur le drap blanc du lit. Quelques jours après, j'étais célibataire.

Deux ans plus tard, j'ai retrouvé une épouse. Elle, c'était l'inverse, elle choyait tout ce qui avait une queue et des couilles. Elle me baisait bien, je dois le reconnaître, mais ma passion pour les jeunes hommes revint. Trois ans après, d'un commun accord, nous avons divorcé. À 26 ans, j'étais de nouveau célibataire. Pendant près de deux ans j'ai fait l'amour d'une chambre à l'autre sans jamais me lasser. Parfois avec des femmes, parfois avec des hommes. Puis, j'ai connu Alex un garçon de 18 ans, très passionné par le sexe et qui baisait comme j'aime. Avec lui, je faisais tout ce qui est permis, sans une once de bestialité. Ce qui m’a fait apprécier et adorer Alex, c'est le culte de la bite, le culte de la fellation.

Bien sûr, j'ai de nombreux amants mais en aucun cas je ne les laisse me sodomiser et jouir en moi. J’aime me faire lécher l’anus et me faire doigter mais pas plus. J'aime trop. Un de ces jours, avec un mec plus doué que les autres, j'ai peur de succomber et de passer de l'autre côté.  Pour l'instant, quand j'ai une relation avec un inconnu, je le laisse me caresser, me masturber, me sucer, mais ce qui me fait le plus tripper, c’est quand il me demande de lui faire l'amour. Suivant le cas, je l'emmène chez moi ou on va chez lui, sinon on va à l'hôtel c'est ce que je préfère. C'est plus excitant.

Un soir j'avais envie de me vider mais avec une bonne salope comme je les aime, surtout sachant être bien femelle de la chatte. Sur un réseau social je tombe sur un mec qui semble correspondre à mes attentes. On discute, il me dit qu'il est une bonne femelle à la chatte bien souple mais il est dans le 12è, moi je suis dans le 8è et il est tard. Je lui dis ok mais le rappelle plus tard lui disant que je sens pas son truc. Il insiste, me dit que je regretterai pas le déplacement, qu'il m'attend en jeans destroy, le cul tendu sur son canapé.

Je finis pas sortir et trouve un taxi qui me balade dans Paris. Je me dis: "Putain le plan gaolère, je n'aurais pas dû y aller!" mais je suis là dans le taxi. J'appelle le mec pour lui dire que j'arrive, il me donne quelques instructions pour trouver la rue le taxi se tire et je rappelle le mec. Apparemment c'est pas du bidon, il me guide toujours, me voit dans la rue.

Au bout de quelques minutes, j'entre chez lui. Il a laissé la porte entrouverte. Il est bien là sur son canapé, cul tendu dans son jeans destroy. Je vois pas sa gueule, seules quelques bougies éclairent la pièce.

Je vais direct au cul, je suis venu pour ça. Au travers du jeans destroy, je commence à caresser la chatte du mec. Ça me plaît bien, elle a l'air clean. J'y fous direct la langue, j'aspire les lèvres (j'adore bouffer une bonne chatte de mec, ça me rend dingue!), je commence à raidir. Putain oui! Ça c'est de la bonne chatte! Je la doigte, elle s'ouvre bien, le mec semble bien salope (j'adore les bonnes femelles). J'aurais préféré un cul plus musclé mais bon, c'est pas mal quand même.

Il me demande s'il doit retirer son jeans, je lui dis ok. Il se relève, se défroque. On en profite pour se rouler une bonne pelle. Bomec, la trentaine, oreilles un peu décollées. Les mecs trop beaux quelquefois font les mijaurées. C'est pas le cas ! et je retourne à la chatte. À l'aide du gel, je la travaille bien, elle s'ouvre comme une fleur, putain je trique comme un malade de voir cette fente qui n'attend que ma bite mais je ne veux pas qu'on se presse. Je profite du spectacle, je caresse, je doigte, le mec s'offre, se donne s'abandonne, d'une voix "off"de mec shooté par le sexe, me dit que je fais ça super bien.

Puis j'en peux plus, je fais glisser ma bite raide dans la fente, ça rentre tout seul. C'est divin, juste un ou deux va-et-vient histoire de me faire raidir plus. J'y retourne avec les doigts, putain je la lâche pas cette chatte de mec. Je lui roule des pelles, lui bouffe les seins, lui dit qu'il est une bonne pute, une bonne femelle. Il semble prêt à tout tant il aime ce que je lui fais. Je le prends dans mes bras, lui gamelle la gueule pendant que mes doigts fourrent son trou toujours plus souple. Je sais pas pourquoi mais quand il me dit que ça se voit que j'ai l'habitude avec les chattes de meufs, qu'il aime mon côté macho avant d'engouffrer ma bite, il doit penser que je suis un hétéro marié. Pas faux, lol ! Moi assis, cuisses largement écartées, bras sur le dos du canapé. Je ne réponds pas pour ne pas rompre le charme. C'est vraiment trop bon, on voit qu'il aime la bite, sans doute autant que moi j'aime les chattes de mecs.

Je me comporte avec lui comme s' il était une meuf  Patins, bouffage de seins, sans jamais lâcher son trou. J'empoigne sa croupe à pleine mains tout en lui roulant des patins. Il me dit que je le fais super mouiller, qu'il veut ma bite. Ça fait plus d'une heure que je lui travaille la fente, je suis un peu fatigué, j'ai envie de cracher mon jus, lui aussi. Je le prends en levrette et lui bourre la moule au plus profond avant de larguer mon jus au fond de la capote.

Il est 1h30 du matin, il est sympa: il appelle un taxi et m'accompagne jusqu'en bas de l'immeuble. Je me tire vite fait, je dois me lever à 6h et je suis nase... Mais on a pris notre pied tous les deux...Une vraie vie de patachons !

Ce qui devait arriver tôt ou tard va vous faire sourire :  c'est en plein inconfort que je me suis fait avoir. Je suis tombé en panne un matin au beau milieu de nulle part, à 100 bornes de Paris. 

Mon sauveur est arrivé sur un tracteur alors que je venais à peine de verrouiller ma bagnole. Dès que je lui ai fait signe, il s’est arrêté, un beau mec blond avec les cheveux bouclés, très baraqué, à peu près de mon âge, c’est à dire à peu près 30 ans. Sur le moment, je n’ai pas du tout songé au côté baise de cette rencontre, j’avais trop de soucis. Il m’a gentiment proposé de jeter un coup d’œil sur mon moteur. Visiblement, il s’y connaissait beaucoup mieux que moi. Il m’a parlé d’un problème de Delco et d’allumage. Quand il m’a dit que ce n’était pas grand-chose, je me suis senti profondément soulagé. Il est reparti vers son tracteur chercher des outils et il a commencé à démonter une pièce du moteur. Sa position me laissait tout le loisir de le détailler, et devant ses bras puissants, j’ai commencé à fantasmer sur ce superbe étalon. Il mesurait plus d’1m80 avec des épaules larges. Son jean serré épousait son paquet et formait une belle bosse au niveau de la braguette. Il était assez banal de visage mais possédait un corps athlétique moulé dans un débardeur blanc qui laissait entrevoir quelques poils blonds de son torse. Tout en discutant avec lui, j'ai appris qu’il s'appelait Francis, qu’il travaillait comme agriculteur dans la ferme de ses parents. Je lui ai demandé si ce n’était pas trop dur de vivre dans un coin aussi reculé. Je le draguais déjà et je voulais surtout savoir s'il avait souvent l'occasion de prendre son pied et de se vider les couilles. J’avançais quand même prudemment, je ne savais encore rien de lui, mais j’étais de plus en plus excité par la force et l’étonnante virilité qu’il dégageait. J’ai toujours eu un petit faible pour les travailleurs manuels aux mains rugueuses.

Sa réparation terminée, je suis allé remettre le contact et le moteur a démarré dès le premier coup de clé. Je voulais remercier Francis à ma façon, mais je ne savais toujours pas comment l’aborder. La phrase est sortie toute seule de ma bouche: “On ne va quand même pas se quitter comme ça. Je te trouve très mignon!” Anxieux, j’ai guetté sa réaction. Allait-il me mettre son poing sur la figure? Francis a paru hésiter. Il m’a détaillé de la tête aux pieds avant de répondre: “Tu aimes t’en prendre une grosse dans le cul?”

J'avais pensé l'inverse, mais je me dis que " l'appétit vient en mangeant" et que ce serait moi le baiseur.

J'ai tout de suite plaqué ma main entre ses cuisses. J'ai senti en même temps, sous mes doigts, une grosse paire de couilles et une pine qui commençait à gonfler et à raidir sous le tissu. On ne pouvait pas aller chez lui, à cause de ses parents. Il connaissait un coin tranquille, pas très loin de là. Je suis remonté dans ma voiture, lui dans son tracteur, et je l’ai suivi sur un sentier qui s’enfonçait dans une épaisse forêt de chênes, très excité à l'idée de cette baise matinale et imprévue avec un mâle aussi bien foutu.

Francis ne portait pas de slip sous son jean. Debout contre la roue de son tracteur, il a tout de suite ouvert sa braguette pour extraire sa tige, et là, j’ai pu me rendre compte du sacré morceau. Il a bien tiré sur la peau du prépuce pour faire saillir le gland, en m'annonçant: “21 centimètres! Tu crois que ton petit cul pourra l'avaler jusqu'à la garde?” Agréablement surpris par les dimensions de sa tige, je me suis approché de lui pour la branler. En même temps, j’ai avancé ma bouche vers la sienne et je l’ai embrassé. Sa queue était fine, tiède, raide comme un piquet. J’ai demandé à Francis de retirer son débardeur pour contempler son torse. Les pectoraux étaient saillants, recouverts d’une belle toison blonde, les abdominaux bien dessinés. Les deux pointes de ses seins étaient entourées d’un large mamelon sombre. Je les ai léchées puis sucées tout en continuant de manipuler sa bite. Quand je me suis aperçu que Francis aimait cette caresse, je me suis amusé à mordiller délicatement ses tétons avant de m’agenouiller devant lui. Son gland sentait fort comme s'il s'était déjà branlé dans la matinée. Je crois que c'est cette odeur épicée qui m'a fait complètement perdre la tête. J'ai sucé sa queue, j’ai bouffé ses couilles, je me suis appliqué de mon mieux pour le faire triquer comme un fou. En même temps je caressais ses fesses d'une main à plat et je tentai de la glisser entre le deux globes bien fermes. Il me saisit fermement la main et la repoussa. C'était joué ! 

Francis est venu dans mon dos. Il s’est penché pour me lécher le cul avec sa langue râpeuse et le mouiller abondamment de salive. Il m’a planté un doigt pour me dilater l’anus, puis un second, les faisant aller et venir en les vrillant. Rien que ça, c’était déjà délicieux. Il savait autant que moi très bien travailler un cul et assouplir une rondelle. En quelque sorte j'étais battu !Tout en me doigtant, il branlait ma bite et mes couilles avec son autre main. Je commençais déjà à me tordre de plaisir. Il a fini par retirer ses doigts de mon trou et, me montrant bien qu'il voulait me baiser, il m’a fouetté les fesses et la raie du cul avec sa queue sous plastique.

 Ce n’est qu’après que, subjugué, je lui ai offert mon cul. Contrairement à mon habitude j’ai eu envie de me faire baiser et là, dans un total inconfort, contre son tracteur.  me demandant si mon trou serait assez large et assez profond pour la recevoir jusqu’aux couilles.  J'ai descendu mon froc et mon slip jusqu’aux chevilles, puis je me suis tourné en lui tendant une capote. J'ai posé mes mains contre la cabine en cambrant bien mes fesses vers l'arrière.

Enfin, il a dirigé le bout de sa pine vers mon trou du cul et il s’est mis à me forcer. J’ai poussé un gémissement de plaisir au passage du gland. Francis a continué de s’enfoncer. Il me plantait plusieurs centimètres de sa tige et s’arrêtait quelques secondes avant de s’introduire plus profond. Il tenait mes fesses largement ouvertes et commentait en même temps ce qu’il ressentait: “Putain qu’il est bon, ton cul! Un vrai cul de petite salope. Ça faisait longtemps que je ne m’en étais pas farci un d’aussi chaud!”

Il n’a lâché mes fesses qu’une fois bien à fond pour me saisir par les hanches et me défoncer de toutes ses forces. Il me tirait vers lui tout en me transperçant avec son dard. Ses coups de reins étaient rythmés par des: “Tiens, salope, c’est bien ça que tu voulais, hein?” ou “Tu vas voir dans quel état je vais le mettre, ton trou à bites!” Je n’aurais jamais cru trouver un amant aussi doué ici. Il fut long à venir. Il m’a prévenu peu de temps avant de décharger, et je n’ai eu qu’à astiquer sèchement ma pine pour décharger avec lui. J’ai joui très fort pendant qu'il giclait par saccades entre mes fesses.

Francis s’est rapidement retiré. En jetant un coup d’œil à sa montre, il m’a lancé qu'il était très pressé, son père l'attendait. Je l’ai vu disparaître avec un signe d'amitié sur son tracteur. Quant à moi, ma voiture réparée et mon cul bien baisé, j'ai repris la route de Paris, avec un petit pincement au cœur. Je venais de perdre mon deuxième pucelage

 

 

 

Par jerem's - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 21 mars 5 21 /03 /Mars 02:14

 

supervillainl:

 

J'ai tout à y gagner !

Moi je lui dis rien, Lui il dit qu'il m'aime

 

theoblaze:

Vous le trouvez difficile à satisfaire ? Moi j'aime les vieux.

theoblaze:

Vous voyez son alliance ? Bof, on s'en fout :

cet homme mûr s'intéresse à moi...vous croyez que quelqu'un d'autre m'appellerait "mon bébé "?

Ce gars-là vieux? ok

passif? ok mais il me donne son affection ...RESPECT.

 

Par homDbois - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 21 mars 5 21 /03 /Mars 02:07
Vous aussi vous aimeriez passer par mes mains, n'est-ce pas ?
 
Par coachmiguel - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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