Mercredi 9 juillet 3 09 /07 /Juil 01:34

ON LES CROYAIT EN PROGRES

Au Maroc, l’article 489 du Code pénal rend tout acte sexuel entre personnes de même sexe illégal et entraîne des peines allant jusqu’à trois ans de prison. En vertu des articles 71 et 504, les condamnés peuvent recevoir des interdictions de séjour – autrement dit des peines de bannissement* – pour atteinte à la «moralité».

* ah bon ! envoyez-les nous  ! NDLR

Deux Marocains condamnés en appel pour homosexualité
Publié par 
En mai dernier, un tribunal de Fqih Bensalah avait émis des peines allant jusqu’à 3 ans de prison à l‘encontre de six hommes et en vertu de l’article 489 du Code pénal marocain qui punit (sévèrement) tout acte sexuel entre deux personnes de même sexe.

Six à dix mois de prison pour homosexualité. Le 2 juillet dernier, la Cour d’appel de Beni Mellal a confirmé en partie le verdict d’un tribunal de Fqih Bensalah, au centre du Maroc, qui avait condamné six hommes pour homosexualité, «incitation à la prostitution» et «ivresse sur la voie publique», le 12 mai dernier.

Si les peines les plus élevées ont été réduites en appel, pour passer de 3 ans à 10 mois de prison pour un des accusés et à six mois pour un autre, rapporte le magazine Telquel, Human Rights Watch dénonce le 8 juillet ce nouveau verdict discriminatoire. «Les autorités marocaines devraient cesser de poursuivre en justice et d’emprisonner des personnes en raison de leur comportement dans l’intimité avec d’autres adultes consentants», a exhorté Sarah Leah Whitson, directrice de la division HRW au Moyen-orient et en Afrique du Nord. Elle ajoute : «Quelle que soit l’orientation sexuelle de ces six accusés, elle ne devrait pas les rendre passibles de sanctions pénales».

«L’ÉQUITÉ DES PROCÉDURES» MISE EN DOUTE
L’ONG de défense des droits humains, présente en Afrique du Nord, soulève par ailleurs les flous qui entourent «l’équité des procédures». Selon l’organisation, la condamnation en appel par la Cour ne s’est faite que sur la base des déclarations des six hommes «lorsqu’ils étaient aux mains de la police». Déclarations sur lesquelles ils sont revenus au moment du procès «affirmant les avoir signées sous la menace des policiers, selon le témoignage d’une avocate de la défense, Hadda Maidar» est-il précisé dans le communiqué du HRW. Aucun témoin n’a par ailleurs été auditionné et aucun autre élément de preuve demandé.

Au Maroc, l’article 489 du Code pénal rend tout acte sexuel entre personnes de même sexe illégal et entraîne des peines allant jusqu’à trois ans de prison. En vertu des articles 71 et 504, les condamnés peuvent recevoir des interdictions de séjour – autrement dit des peines de bannissement – pour atteinte à la «moralité». On ne connaît pas le sort des quatre autres accusés à des peines plus légères.

Photo Bertramz

 
Print This Post
Avatar de Florian Bardou
Publié par 
Journaliste (stage) Yagg. Culturovore.

 

 

 

Par Florian Bardou - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 8 juillet 2 08 /07 /Juil 15:14

* TITRE : chanson hurlée par les prisonniers ftrançais des camps nazis dans les années 40

Même chez les hétéros on ne s'est jamais autant doigté, branlé l'anus et sodomisé  que de nos jours, et pourtant... 

la peur des ogives... 

 

Le suppositoire, est un remède qui n'a plus la cote

Préparation pharmaceutique solide que l'on introduit dans l'anus et qui a une forme conique, le plus souvent, il est prescrit chez les nourrissons et les jeunes enfants pour soigner divers maux : la fièvre, les vomissements, en cas de constipation... Mais il est aussi prescrit pour les adultes.

Le suppo glycérine est vendu en France par 10, 50, 100, les pharmaciens anglais depuis longtemps les vendent en catimini...shocking !

Il aide au bout d'une application de qq minutes à évacuer la selle récalcitrante de la constipation. Il procure une sensation anale bien particulière...à la limite du plaisir grâce à un effet de contact de la glycérine avec la mucqueuse anale très sensible, je ne vous apprends rien. De là la peur que pour les enfants cet effet de plaisir anal ne drive vers le goût de vla sodomie.  

Suppos de satan !
Par George Yang 
 
 humour, fake, le suppo de la  biture  n'existe pas!
Le principe de précaution va-t-il sonner le glas de l’une des dernières exceptions françaises, le suppositoire ? Cela semble être bien parti en cette France frileuse qui veut interdire aux adolescents de boire et de fumer avant de s’attaquer encore plus fortement aux adulteiture bs sur les mêmes thématiques moralisatrices et sécuritaires. Une France qui a peur des antennes relais, qui n’ose plus utiliser un biberon à cause de ses composants, qui supporte stoïquement les caméras de surveillance, la géolocalisation par téléphone et le gilet jaune dans les véhicules, voit désormais un pédophile latent en chaque père, beau-père et enseignant.
le suppo musical
 

La société française a désormais atteint son paroxysme d’infantilisation et de déresponsabilisation. L’administration de médicaments par voie basse est donc menacée d’abandon et va d’ici peu lever les boucliers de la vertu et de la législation contre elle. Le suppositoire sera bientôt relégué à des pratiques médiévales teintées de satanisme, réservée à des excentriques ou de dangereux prédateurs.  La France était déjà aseptisée et anesthésiée depuis des années. La crise économique n’arrange rien, bien au contraire, elle annihile toute volonté de révolte contre les atteintes aux libertés individuelles. Les 200 euros des Guadeloupéens, les Français lorgnent dessus avec convoitise.

Quasiment banni de la pharmacopée de nombreux pays, le suppositoire est une exception bien française. La France est jusqu’à ce jour un des derniers pays utilisant largement la voie basse comme mode d’administration médicamenteuse. Il en est de même pour la prise de la température rectale qui est considérée par les Anglo-saxons comme une aberration dégoûtante et par les Latins et Sud-américains comme un risque de « contamination » des garçons à l’homosexualité. Ces peuples en restent au placement axillaire ou buccal de l’instrument de mesure de la fièvre et considèrent depuis longtemps les Français comme des égrillards manquant singulièrement d’hygiène.

Certes, ce genre de médication se retrouve encore sur les étagères des pharmacies européennes, mais elle n’est pas autant prisée que par les patients français. Les Flamands et Néerlandais en utilisent certes de temps en temps et emploient le terme générique de zetpil, mais les petits enfants lui préfèrent le gentil diminutif de pup snoepje, qui peut se traduire par « petit bonbon pour le cul » ! Mais ailleurs, le suppositoire n’inspire que de la méfiance. Du petit bonbon au godemiché, il n’y a qu’un pas pour le moraliste gavé de faits divers et de médias.

 

En défense : Le suppositoire est cependant fort utile pour la rapidité d’absorption du produit actif qu’il procure. Le rectum étant très vascularisé, la muqueuse relativement fine et les sucs gastriques absent à cet endroit, il permet une pénétration du médicament plus efficace que par voie buccale surtout chez des enfants qui refusent d’absorber un comprimé ou un sirop et vomissent systématiquement. De nos jours, en dehors du célèbre suppositoire à la glycérine, la plupart des indications de la voie rectale tant adulte que pédiatrique concernent les antalgiques, les antiasthmatiques et les anti-convulsivants. Supponere en latin signifie substituer ou mettre une chose à la place d’une autre. Cependant, l’étymologie ne saute pas aux yeux ni même ailleurs de façon évidente que l’on soit latiniste ou non.



Histoire :



D’abord rudimentaires, fabriqués de façon artisanale avec des moules, ils se sont progressivement imposés en Europe surtout à partir du XIX° siècle, quand le lavement a commencé son déclin. L’excipient principal, ayant été longtemps le beurre de cacao, ne peut être mis en cause pour sa toxicité. Et de plus, en certaines circonstances, le produit peut être considéré comme bio et équitable. Le cacao a bonne presse, il ne peut donc être à l’origine du rejet du médicament au nom de sa nocivité potentielle. Cela dit, administré de la sorte, le cacao ne peut séduire le gourmet et l’amateur de sucreries. L’anathème n’est donc pas d’origine « alimentaire » mais d’ordre sexuel. Il est certain qu’un enseignant baissant subrepticement la culotte d’un gamin ayant une quinte sous prétexte de lui administrer un anti-tussif, paraîtrait suspect à l’esprit le plus libéral. Mais dans le cadre de l’hôpital ou du milieu familial, il n’est pas sûr que ce médicament n’entraîne désormais des tollés.

Ravages socio-judiciaires Le suppositoire a perduré en France et était une forme pédiatrique privilégiée dans notre pays il y a encore une grosse décennie.

 geste paternel escadrille de scuds

Or, après le retentissant procès d’Outreau et des affaires Dutroux et Fourniret quel est l’infirmier inconscient encore capable de placer un suppositoire dans l’anus d’un enfant sans s’exposer à des accusations pouvant le mener aux assises ?

Jadis, le père de famille subvenait seul aux besoins du foyer. Il rentrait du boulot, se glissait les pieds sous la table, élevait le ton quand les gosses braillaient trop et donnait quelques baffes éducatives quand ils exagéraient. La femme au foyer avait tout le temps nécessaire pour changer les couches, torcher les culs et laver les fesses. Le père ne voyait que rarement la nudité de ses gamins et encore moins leur anus ou leurs autres organes. Avec la féminisation du rôle du père, est apparu paradoxalement la peur de l’inceste. Peur aiguillonnée à longueur de JT et de presse populaire, à l’aune des faits divers les plus sordides. Le père en ces conditions et a fortiori le père de substitution se pose la question du bien fondé et de la légalité de son action éducative et craint d’aller trop loin. Et du fait des familles de plus en plus recomposées, ce qui pourrait être encore toléré provisoirement pour un père biologique va devenir absolument interdit à un beau-père, un concubin ou un compagnon pacsé ou non.

 mise en place...

Et puis, depuis Outreau, même les femmes ne sont pas à l’abri de suspicion et de poursuites. La « boulangère » est bien placée pour le savoir.

Déjà un malheureux innocent a fait de la prison préventive sous l’avis de soi-disants experts de la psychologie de l’enfant. Le prétendu abusé par le présumé coupable avait dessiné une musaraigne avec une grosse queue, ce qui avait envoyé derechef un innocent en détention pour vingt mois. Il faudrait être totalement inconscient ou suicidaire pour continuer à utiliser des suppositoires dans le cadre d’une activité de santé. Déjà, quasiment aucun enseignant n’ose se retrouver seul dans un ascenseur de collège avec un adolescent. L’effroi et la crainte des poursuites judiciaires, sans parler du déshonneur, ne peuvent qu’obligatoirement gagner à leur tour  les professions médicales.

Labos et ministère : Cette autocensure menace donc à court terme les laboratoires pharmaceutiques. Guidés par le mercantilisme et la peur des procès, ils vont bientôt retirer de leur catalogue le sujet qui éventuellement pourrait leur créer des ennuis. De profondis, donc du suppositoire !

D’ici quelques années le suppositoire sera banni de la pharmacopée française et personne n’osera protester de peur d’être considéré comme un dangereux pervers. Son évocation même littéraire sera sujette à opprobre. Rechercher les meilleures pages de « La grenade et le suppositoire » de Jean Dutourd ou du « Grand suppositoire » de Lawrence Durrell reviendra quasiment à consulter des fichiers pédophiles sur Internet.

Pour le plaisir ... 

Finalement, faudra-t-il interdire le suppositoire aux mineurs ? Mauvaise initiative, car si un jeune peut être tenté d’enfreindre un interdit concernant le tabac, l’alcool ou les jeux de hasard, il n’a a priori aucune inclinaison particulière à s’acheter des suppositoires sans prescription, pour son propre plaisir. Une autre option serait la suppression des formes pédiatriques, mais le remède serait pire que le mal. En effet l’administration d’un médicament pour adulte peut s’avérer toxique pour un enfant et avoir des répercussions désastreuses en cas de surdosage. La solution définitive pour les partisans du risque zéro reste donc l’interdiction totale. Mais puisque nous sommes en France où il existe toujours au moins une dérogation, appliquons-la à la forme réservée au traitement des hémorroïdes. Bien que d’efficacité douteuse, il n’y a aucun risque de dérapage sur mineur, car la maladie ne touche qu’exceptionnellement des enfants.

Parité oblige, il faut terminer cet article en mentionnant les ovules. L’ovule gynécologique ne pose pas la même interrogation quant à sa potentielle utilisation à des fins détournées et des abus sexuels. L’ovule n’étant pas destinée à la fillette mais à la femme adulte sexuellement active, elle n’est placée localement que par l’intéressée, sans aucune assistance manuelle externe, sauf volonté expresse de la "récipiendaire". L’ovule a donc encore de belles heures devant elle avant d’attirer les foudres des moralistes.

La France étant prête à de nouveaux interdits, la ministre de la santé devrait s’atteler illico à cette nouvelle croisade. Sûr qu’elle obtiendrait de nombreux supports.

Pour ceux qui voudraient approfondir le sujet :

Suppositoires et beurre de cacao Olivier Lafont, Conférence prononcée le 1er octobre 2001 dans le cadre de l’exposition « Le chocolat remède à tous les maux ».

http://www.ordre.pharmacien.fr/fr/jaune/index3_synthese1.asp?id=155&lib=Histoire%20et%20art%20pharmaceutique

 

les suppos post traumatiques utiles aux bottoms :

 et il y en a a d'autres, prescrits par les proctologues

 

 

laxatif à la bile de boeuf

 

 

 

 

 

 

 

Par GEORGES YANG - Publié dans : PISS-TRASH- .LAVEMENT-CURIOSITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 8 juillet 2 08 /07 /Juil 07:39
   
LE 
eh non, ce n'est pas ça :    Déçu ???
Notre grand-père se réjouissait de nous voir tous trois en si bons termes! Pauvre Papy, s’il avait pu savoir la raison de notre rapprochement, sa joie aurait été certainement moins évidente…
Jouer à la bouteille? Encore une chose que je ne connaissais pas. J’essayais de n’en rien montrer, mais j’étais quelque peu déçu, persuadé que l’après-midi que nous avions vécu allait se poursuivre. Je regardais avec étonnement la bouteille vide entre les doigts de mon cousin quand je surpris le clin d’œil qu’adressa Xavier à son jeune frère. Je compris que mes deux cousins me réservaient encore une surprise, ce fut Jérémy qui se chargea de m’expliquer le fameux jeu:
 
Ce soir-là, Xavier et Jeremy m’invitèrent dans leur chambre pour y jouer ensemble, mes parents trop heureux enfin de me voir abandonner ma solitude légendaire saluèrent la proposition de Xavier qui en aîné leur promit de ne pas me faire veiller trop tardivement.
Nos chambres étaient situées dans une aile de la maison où jamais personne ne venait la nuit, à l’écart du bâtiment principal de la demeure, ce qui nous permettait de nous amuser sans craindre de faire trop de bruit. Ce soir là, cette précaution voulue par notre grand-père nous fut bien utile, car quittant la table des adultes, nous courrions dans notre antre, trop content tous les trois de nous retrouver à nouveau seuls.
Je découvrais la chambre de mes cousins aux dimensions nettement supérieures à la mienne, et qui était meublée de deux lits, l’un pour une personne, identique à celui que j’occupais dans ma propre chambre, l’autre un immense lit ancien ou deux personnes pouvaient très largement s’allonger sans craindre de déranger le voisin. En refermant la porte, Xavier prit la précaution de donner un tour de clef derrière nous. Devant mon étonnement, il prit un air mystérieux et me montra une bouteille vide:
— Ce soir petit Alex, tu vas jouer à la bouteille.
— Tu vas voir c’est pas compliqué du tout. On est tous les trois assis en cercle. Chacun notre tour, nous faisons tourner la bouteille, et quand elle s’arrête, son goulot fait office de flèche et désigne l’un d’entre nous qui sommes obligés de retirer l’un de ses vêtements, comme au strip-poker sauf que ça va plus vite! Si l’un d’entre nous se retrouve tout nu en premier, il fait tourner la bouteille, mais retire lui même le vêtement qu’il désire à la personne désignée. Si la bouteille te désigne quand tu l’as toi-même lancée, tu as le droit d’exiger de quiconque qu’il enlève un vêtement, et si la personne est déjà nue, tu as le droit de lui demander un gage. Pour finir, celui à qui il reste au moins un vêtement en fin de partie a le droit d’exiger un gage du joueur de son choix. Tu as compris?
Oui bien sûr que j’avais compris, et devant mon sourire, ils comprirent tous les deux que leur petit Alexandre en avait fini de sa timidité excessive. Quand Jérémy s’assit sur le tapis au centre de la pièce, je m’installai face à lui tout comme Xavier qui venait d’allumer une lampe qui diffusait une lumière douce sur la scène du jeu.
Comme il fallait un premier à faire tourner la bouteille qui allait nous déshabiller, mes deux cousins me laissèrent le premier tour pour me familiariser au jeu. Je lançai donc la bouteille d’un tour de poignet qui lui fit faire plusieurs tours sur elle-même. Quand elle s’immobilisa, son embouchure indiquait clairement la place qu’occupait Jeremy. Xavier me donna une petite tape sur l’épaule et nous regardâmes tous les deux son frère se dépouiller de son premier vêtement.
 
   
Jouer à la bouteille? Encore une chose que je ne connaissais pas. J’essayais de n’en rien montrer, mais j’étais quelque peu déçu, persuadé que l’après-midi que nous avions vécu allait se poursuivre. Je regardais avec étonnement la bouteille vide entre les doigts de mon cousin quand je surpris le clin d’œil qu’adressa Xavier à son jeune frère. Je compris que mes deux cousins me réservaient encore une surprise, ce fut Jérémy qui se chargea de m’expliquer le fameux jeu:
— Tu vas voir c’est pas compliqué du tout. On est tous les trois assis en cercle. Chacun notre tour, nous faisons tourner la bouteille, et quand elle s’arrête, son goulot fait office de flèche et désigne l’un d’entre nous qui sommes obligés de retirer l’un de ses vêtements, comme au strip-poker sauf que ça va plus vite! Si l’un d’entre nous se retrouve tout nu en premier, il fait tourner la bouteille, mais retire lui même le vêtement qu’il désire à la personne désignée. Si la bouteille te désigne quand tu l’as toi-même lancée, tu as le droit d’exiger de quiconque qu’il enlève un vêtement, et si la personne est déjà nue, tu as le droit de lui demander un gage. Pour finir, celui à qui il reste au moins un vêtement en fin de partie a le droit d’exiger un gage du joueur de son choix. Tu as compris?
Oui bien sûr que j’avais compris, et devant mon sourire, ils comprirent tous les deux que leur petit Alexandre en avait fini de sa timidité excessive. Quand Jérémy s’assit sur le tapis au centre de la pièce, je m’installai face à lui tout comme Xavier qui venait d’allumer une lampe qui diffusait une lumière douce sur la scène du jeu.
 
GAGE...
 
 
 AMUSONS-NOUS  COMME EUX ...
   
   
 
Comme il fallait un premier à faire tourner la bouteille qui allait nous déshabiller, mes deux cousins me laissèrent le premier tour pour me familiariser au jeu. Je lançai donc la bouteille d’un tour de poignet qui lui fit faire plusieurs tours sur elle-même. Quand elle s’immobilisa, son embouchure indiquait clairement la place qu’occupait Jeremy. Xavier me donna une petite tape sur l’épaule et nous regardâmes tous les deux son frère se dépouiller de son premier vêtement.
C’est son tee-shirt que Jeremy ôta lors de ce premier tour et au moment de lancer la bouteille pour une seconde étape, il me fit un grand sourire et me dit:
— Tu vas voir Alex, Xavier n’est pas mal quand il fait un strip-tease.
Et je vis! Les tours de bouteilles se succédèrent très vite, et le sort s’acharna en effet sur notre aîné. Jérémy n’avait dû quitter que son tee-shirt et ses chaussures, quant à moi je venais de quitter mes chaussettes, et j’avais encore mon jeans et mon slip, quand Xavier lui se retrouvait uniquement vêtu de son seul boxer jaune que je ne pouvais m’empêcher de regarder. J’avais la main, c’était à moi de lancer la bouteille et bien sûr, je comptais bien dénuder mon cousin de son dernier rempart, quand Jérémy me rappela la règle du jeu:
— N’oublie pas Alex, s’il se retrouve à poil, ce sera lui qui retirera les vêtements des autres.
Je souriais devant cette mise en garde, j’avais bien compris tout au long de cet après-midi que Xavier était plutôt du genre à regarder les autres, et l’info de Jérémy me démontrait que mes deux cousins étaient bien les complices que j’avais crû reconnaître quelques heures plus tôt.
Je lançai la bouteille avec un tour de poignet qui la fit tourner longuement sur elle-même avant que nous n’éclations tous les trois de rire. La bouteille me désigna ce qui pour la règle du jeu m’autorisait à demander à celui que je voulais de retirer un vêtement, et bien sûr je gardais la main pour un nouveau lancé. Tour à tour je regardais mes deux compagnons qui attendaient ma décision en me souriant.
L’idée d’avoir Xavier entièrement nu le reste de la partie ne me déplaisait pas, mais Jérémy était resté le plus habillé de nous trois et je ne savais pas ce que les tours prochains me réserveraient. Malgré tout, je choisissais une petite revanche sur l’après-midi, et sans rien dire, je tournais la bouteille vers Xavier qui éclata de rire en se levant. Il alla même jusqu’à esquisser quelques pas de danse avant faire glisser tout doucement la dernière pièce de tissus qui le protégeait de nos regards. Jérémy et moi nous sommes tapés dans la main, et mon cousin me mit en garde.
— Attention à toi Alex, il va pas te lâcher.
— Tu peux y compter, enchérit Xavier, je suis à poil, mais je te promets que tu ne vas tarder à me rejoindre.
L’ambiance était franchement joyeuse, je ne dus pas tarder à comprendre les paroles de Xavier quand je relançai la bouteille et que je le désignai à nouveau par le sort. Jérémy se roula de rire sur le tapis, tandis que Xavier me fixait du regard sans un mot. Je ne pouvais que comprendre, aussi je me levai et fit glisser sur mes jambes le jeans réclamé. J’étais en slip, Jérémy avait toujours trois vêtements sur lui et pensait certainement déjà avoir gagné la partie. À ce jeu que j’ai depuis bien souvent proposé lors de soirée animée, rien n’est jamais gagné d’avance, et au coup suivant que lança Xavier, Jérémy devait perdre ses chaussettes et ainsi se rapprocher comme moi de l’unique rempart. Il jubilait déjà, et j’étais comme lui convaincu de sa victoire quand il lança la bouteille pour ce que je pensais être le dernier tour.
Si le sort me désignait, je serais nu comme Xavier et il gagnerait la partie, d’un autre côté si la bouteille désignait Xavier, je ne doutais pas du choix du premier dénudé de la soirée, je finirais également en tenu d’Adam. Les spéculations sont une chose, le sort en est une autre. Quand il lança la bouteille, pour la deuxième fois de la soirée, nous eûmes droit à ce que nous appelions un "retour à l’envoyeur", la bouteille s’arrêta face à Jérémy. Après nous être calmé de l’éclat de rire général qui s’en suivit, Jérémy me regarda longuement et je m’apprêtais à me lever quand il me dit:
— Et puis non, comme la règle m’y autorise, je vais demander à Xavier de nous faire un gage. Xav’ tu est obligé d’accepter le gage. Je te demande de rouler une pelle à Alex comme tu m’as regardé le faire cet après-midi.
Xavier me regarda avec de grands yeux ronds. Visiblement, les deux frères ne s’étaient pas entendus sur la tournure que prendraient les choses. Pour la première fois de la journée, je le sentais déstabilisé, et je crus un instant qu’il allait refuser le gage de son cadet. Quand il releva la tête, je retrouvai le même sourire protecteur que celui qui m’avait accompagné toute la journée. Il se leva sans aucune gêne pour sa nudité totale et s’approcha de moi. Je lui souriais et il m’invita à me lever face à lui. Comme dans le courant de l’après-midi, les dernières minutes du jeu ne m’avaient pas laissé indifférent, et quand je me redressai, mon slip ressemblait plus à un fanion qu’au rôle attendu de vêtement protecteur.
Mes deux cousins pouffèrent de rire devant mon état, et quand Xavier m’enlaça, la chaleur de sa peau ne fit rien pour calmer le feu qui brûlait en moi. Quand nos corps se touchèrent, je sentis la verge de Xavier se coller à mon ventre. Mon cousin posa ses lèvres sur les miennes et ensemble, nos bouches s’ouvrirent pour satisfaire le gage de Jérémy.
Puisqu’un autre nous avait poussés à nous embrasser, Xavier ne se formalisa pas pour fouiller ma bouche et profiter pleinement du cadeau que son frère lui avait fait. Notre baiser dura à peine deux minutes mais je me souviens très bien m’être promis au moment où nos corps se séparaient de reprendre très vite la bouche de ce garçon à mes yeux déjà si grand et si fort. Toute ma vie je crois, je me souviendrai de cette forme chaude qui se colla à moi et que je sentis grossir et s’élever le temps que dura notre baiser.
Avant que nous ne retrouvions nos places, Xavier me dit à l’oreille:
— Pas mal pour un débutant, j’ai bien envie d’en connaître plus.
Je lui souriais tandis que Jérémy relançait la bouteille d’un mouvement brusque qui lui fit faire plusieurs tours sur elle-même. Le goulot pointa enfin vers Xavier qui poussa un grand cri de vengeance. Jérémy et moi partagions le même éclat de rire, tandis que crânement Xavier se levait dans sa plus totale nudité, et restait un moment à nous observer Jérémy et moi, la verge à peine remise du tour précédent. Quand il se tourna vers son frère, je compris que Jérémy devrait rendre coup pour coup du gage qu’il venait de nous infliger.
Xavier obligea son frère à s’allonger à même le sol pour retirer son jeans. Devant le sourire de mon cousin, je compris qu’une fois encore le moment allait être de haute teneur. Je ne fus pas déçu. Xavier se tenait debout, le sexe tendu, entre les jambes de son frère allongé sur le sol. Jérémy figea alors son regard dans celui de son aîné, et dégrafa le premier bouton de son jeans. Immédiatement, ma verge déjà tendue se rappela à mon souvenir et oubliant toute retenue comme il semblait être de mise en compagnie de mes deux cousins, je passai une main à l’intérieur du dernier vêtement que je portais. Jérémy ne fut pas long à comprendre mon état et tandis que lentement il dégrafait les boutons de sa braguette, il ne quitta pas du regard ma main qui doucement avait pris le contrôle de mon muscle masculin. Xavier aussi n’avait pu retenir une envie de caresse. Quand nos regards se croisèrent, mon aîné d’un simple geste m’invita à le rejoindre. Je m’approchai sans quitter Jérémy du regard et Xavier me passa la main autour du cou, me collant le dos à sa poitrine. Je sentais sa barre de chair tendue contre le bas de mon dos et il n’en fallut pas plus pour que je ressente le même étourdissement que l’après-midi. Xavier heureusement était un bon prof, tendrement il me posa une main sur les abdos et me chuchota:
— Va doucement, petit Alex, apprends à maitriser tes envies. Regarde ton cousin, tu vas voir comment il va faire durer le sien. Profite, et laisse-toi faire.
Me laisser faire? Je n’avais que cette envie de me noyer à nouveau dans l’océan que j’avais connu quelques heures plus tôt. Jérémy, dans un geste tout calculé, fit glisser son jeans le long de ses jambes. Pour ce faire, vu sa position allongée, il ne pouvait que se redresser et à un moment, son visage fut à quelques centimètres de mon bas-ventre. Ma verge était tendue comme prête à exploser et mon cousin après avoir retiré son pantalon resta assis quelques secondes, le regard rivé à mon bassin. Le moment était trop fort, j’avais envie de plus. Je tendis la main pour caresser ses cheveux et celui-ci colla sa tête à mon sous-vêtement.
Ma verge tendue battait contre sa joue, quand il tourna les yeux vers mon regard, ses lèvres furent en contact direct avec la bosse qui déformait effrontément mon slip. Je crus m’évanouir quand Jérémy embrassa la proéminence qui se cachait derrière la pièce de tissu. Immédiatement, mon muscle tressaillit demandant à être libéré de sa prison. J’étais encore trop jeune dans ce monde de perversité pour franchir le cap de me donner à mon cousin et ce fut Xavier qui encore une fois vint à mon secours.
Doucement, je sentis ses mains glisser le long de ma poitrine, danser sur mes abdominaux, avant de caresser mon bassin et de glisser dans mon sous-vêtement. Xavier me caressa le pubis, les hanches, évitant soigneusement tout contact direct avec ma verge tendue. Ses mains glissèrent sur la face arrière de mon bassin, empoignant mes deux globes fessiers dans une caresse nouvelle, elle aussi. Jérémy les lèvres toujours collées contre mon slip n’avait pas perdu une seconde de la sensualité de l’instant. Quand ses deux mains vinrent se poser derrière mes cuisses, je fermai les yeux m’abandonnant totalement à leur plaisir. Xavier fit glisser mon dernier vêtement sous mes fesses, Jérémy se chargeant de finir de me déshabiller en le retirant complètement.
Simultanément, je ressentis la verge dure et nue de Xavier se plaquer à mon bassin côté pile, et la joue de Jérémy côté face que ma verge libérée venait de frapper. Tandis que son frère couvrait mon coup de baisers et que ses mains me caressaient faisant naitre en moi un état indescriptible d’excitation, Jérémy avait empoigné mon cep et me masturbait doucement en regardant l’objet de son désir.
Je ne pouvais détacher mon regard de ce garçon à genoux devant moi et qui me tenait en main. Je connaissais son envie, elle était mienne. Aussi quand nos yeux se croisèrent, mon cousin soutint mon regard quand il porta mon membre à sa bouche. Je rejetai la tête en arrière, fermant les yeux tant la sensation fut extraordinaire. Quand sa langue s’enroula autour de mon gland, j’eus l’impression d’une autre vie. Jamais je n’avais ressenti de sensation semblable. Quand sa bouche se referma complètement autour de ma tige tendue j’eus du mal à réaliser que mon cousin venait de m’emboucher entièrement, m’avalant au plus profond de sa gorge.
Mes deux cousins s’occupaient totalement de mon corps. Je prenais conscience de devenir leur jouet, mais j’étais trop bien pour me poser trop de questions. Je n’avais qu’une envie, me donner, me lâcher totalement et jouir totalement de leurs caresses, de leurs envies. Jérémy alternait les moments de caresses et de succions qui me firent comprendre que chaque moment que j’avais encore à découvrir me transporterait de plaisir en plaisir toujours meilleur.
Pendant que son frère me faisait découvrir les joies de ma première fellation, Xavier avait commencé une tout autre exploration, qui n’était pas non plus pour me déplaire. Me couvrant le cou et la nuque de ses baisers, il continuait à me caresser sur tout le corps. Ses mains me caressaient les reins et quand je compris que l’un de ses doigts cherchait un passage jusque-là inexploré, je ne cherchai pas non plus à lui en interdire la découverte. Tout aux plaisirs qu’ils me donnaient, je laissai ma tête reposer dans le creux de l’épaule de Xavier, celui-ci me prit tendrement au menton et me fit tourner les lèvres vers les siennes. Nos langues jouèrent longtemps ensemble, j’avais contre moi ce grand corps chaud, et au creux des reins cette barre qi n’en finissait pas de grandir et grossir, cherchant à m’apprivoiser à de nouvelles expériences encore.
Comprenant mon abandon total entre les mains de son frère, Jérémy fit une pause dans sa caresse buccale, soucieux de ne pas me voir trop vite rendre les armes. Quand il se releva, Xavier lui tendit une main et quittant ma bouche laissa sa place à son frère. Complètement saoul de plaisir, je me jetai presque sur les lèvres de Jeremy. Mon cousin répondit à ma furie mais au lieu de m’enserrer comme il savait si bien le faire, il me fit tourner dans la pièce tout en me caressant et me dévorant la langue. Nous finissions notre danse contre le bois du grand lit qui était celui de Xavier. Je m’allongeai alors sur la couche tenant toujours la main de mon cousin. J’avais envie d’apprendre encore, et pour le coup je voulais autre chose que le rôle passif qui était le mien depuis le début de mon initiation, je voulais rendre à Jérémy ce qu’il venait de me faire connaître et de nouveau plaisir.
Quand mon cousin comprit mon caprice, un grand sourire se dessina sur ses lèvres. Crânement, il se défit du caleçon qu’il portait toujours, mais devenu bien trop étroit pour le contenir encore et il me rejoint sur le lit où nous nous enlacions à nouveau. Nous n’étions plus sur terre, nos bouches, nos membres, nos corps ne nous appartenaient plus, caresses et embrassades se succédaient à un rythme que nous ne maîtrisions plus. Et quand de longues minutes plus tard nous nous calmions enfin, j’avais devant les yeux sa verge magnifique, tendue d’amour et d’envie. Jérémy était allongé au travers du lit, j’étais à genoux entre ses jambes ouvertes telles un compas géant.
Comme il nous y avait habitués, Xavier s’était assis à notre côté et se caressait doucement en nous regardant. Tour à tour, mon regard allait du sexe tendu de Jérémy, à celui magnifique en taille de son frère aîné. Comme pour me laisser libre choix dans le rôle que je m’étais donné, Xavier vint s’allonger à côté de son jeune frère. Timidement, je pris le sexe de Jérémy dans le creux de ma paume, je jouai quelques secondes avec le gros bourgeon rouge puis je me baissai pour humer cet objet de plaisir dont je ne savais encore rien ou si peu.
Devant mon hésitation, mes deux cousins pouffèrent une nouvelle fois de rire. Xavier se releva sur son coude et de son autre main me caressa le dos et les épaules. À nouveau je me sentis rassuré par celui qui avait su m’apprendre tant de choses au cours de cette journée. Caressant Jérémy au plus près, j’osai enfin glisser ma langue sur le méat turgescent et ce premier contact me plut instantanément. Comme une grosse glace, je léchais le gland de Jérémy qui avait fermé les yeux et relevait son bassin vers mon visage. Descendant mes coups de langue le long de sa hampe, Jérémy ne put retenir un râle qui m’incita à lui en procurer d’autres. Ma bouche grande ouverte avala la barre de chair et je surpris chez mon cousin un sursaut de plaisir dont je ressortais ma petite fierté. De ma bouche je suçais la tige dressée, j’agaçais de ma langue le frein de son gland, et j’eus soudainement envie de caresser les deux abricots vierges de tout poil qui semblaient gorgés d’amour sous la hampe congestionnée. Une nouvelle caresse qui arracha un autre râle à celui à qui je voulais voir prendre son plaisir.
Xavier, comme à son habitude, n’avait pas perdu son temps, ses doigts avaient repris leur caresse sur mon dos et mes reins, et retrouvèrent le chemin qu’ils avaient explorés l’instant d’avant. À genoux devant Jérémy comme je l’étais, Xavier avait pleine vue sur mes fesses que je n’hésitais pas à ouvrir à sa première sollicitation et très vite je compris qu’il avait choisi un autre terrain de jeux. Quand son corps se coucha contre le mien, quand ses lèvres glissèrent dans mon cou, puis coururent le long de mon dos, quand sa langue me caressa le bas des reins avant de s’insinuer là ou jamais personne ne m’avait touché, je sus qu’une fois encore j’allais aimer ce qui se préparait. Distrait par notre aîné, j’avais quelque peu délaissé Jérémy qui comprit lui aussi très vite les intentions de son frère. Amant intentionné, il avait compris mon envie de le voir heureux mais souhaitait surtout me voir prendre pleinement plaisir de mes découvertes.
Celle qui s’annonçait sous les doigts de Xavier allait changer ma vie. Quand je sentis que l’un de ses doigts appuyait plus fortement qu’une simple caresse à la porte de mes reins, j’eus un mouvement de crispation que Jérémy m’aida à contrôler en me caressant le cou et le dos. Quand le doigt de Xavier revint à la charge, je compris qu’il était enduit d’une sorte de gel que je trouvais d’abord froid au contact, mais dont je pus apprécier le bienfait quand je sentis le doigt de mon cousin me pénétrer lentement. Doucement Xavier prépara l’entrée de mes reins, Jérémy étant tout aussi attentif que moi à ce qui se passait.
Un doigt tout d’abord me dilata l’entrée de ma croupe, puis deux et enfin après un long moment de caresse, et de tendresse dans sa préparation, je sentis que ce n’était plus un doigt de mon cousin qui se présentait l’entrée de mes reins. Doucement Xavier poussa contre mon fondement, et je sentis son gland énorme se frayer un chemin dans le sillon qu’il venait d’apprêter. Millimètre par millimètre, mon cousin glissait en moi, attentif à la moindre douleur que je ressentais. Malgré sa préparation minutieuse, je serrai les dents en calant ma tête dans l’épaule de Jérémy dont je sentais le cœur battre sous sa poitrine. J’avais l’impression d’être déchiré, je demandais à Xavier d’aller doucement et il prit encore plus de précautions, attendant longuement entre chaque millimètre que je m’habitue à sa présence en moi. Au bout d’un long moment, je sentis son pubis buter contre mes fesses. Xavier me caressa alors le dos et les reins et nous ne bougions plus durant de longues secondes. Petit à petit, je sentais la douleur refoulée et au contraire je m’habituais à ce pieu de chair que je sentais vivre en moi. Conscient que ma douleur était moins vive, Xavier commença tout doucement à aller et venir en moi. Sa tige se contentait juste de quelques millimètres de déplacement, puis revenait m’habituant toujours plus à sa présence. Enfin, je le sentais glisser presque complètement au dehors de mes reins pour revenir m’empaler de toute sa longueur. Durant quelques minutes encore, je ressentis la brûlure de mes entrailles déchirée, mais très vite cette brûlure se transforma en un feu semblable à celui que j’avais ressenti l’après-midi même quand je succombais une première fois à leurs caresses.
Quand il comprit que je l’attendais de toute sa puissance, Xavier m’accrocha les hanches et je le sentis enfin me besogner selon son envie. Ma verge se raidit à nouveau durant son assaut et Jérémy me reprit en main, soucieux de me voir profiter pleinement de ce moment qui ne se reproduirait jamais plus. De longues minutes plus tard, Xavier ralentit soudainement ses coups de boutoir, ses mains se crispèrent un peu plus autour de mes hanches et tandis que je l’entendais souffler avec force, je sentais en moi se déverser des jets qui inondèrent mon intestin. J’avais relevé les yeux vers Jérémy qui me souriait, certainement aussi heureux que moi des découvertes que j’avais accumulées au cours de la journée. Quand son frère abandonna mes reins pour s’allonger sur le dos et reprendre ses esprits, je m’allongeais à ses côtés et Jérémy vint s’agenouiller à côté de moi. Je passais un bras autour de sa taille, et mon cousin vint se lover contre mon flanc. C’est ainsi que le sommeil nous cueillit ce soir-là…
À mon réveil, Jérémy était toujours dans mes bras, endormi une jambe au dessus des miennes. Xavier nous avait laissé son lit et dormait allongé nu sur le dos dans le lit de son frère. Avant de se coucher, il avait une dernière fois fait preuve de grande attention en nous couvrant Jérémy et moi d’une douce couette.
La fin des vacances cette année-là se déroula à l’image de cette journée. Tout était prétexte ou presque à ce que nous nous retrouvions nus et enlacés. J’appris beaucoup d’autres choses de mes cousins
 
 
 
Par Dom Fun gai-eros - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 8 juillet 2 08 /07 /Juil 02:09

ON VA PAS RESTER LA !

VIENS DANS MA CHAMBRE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par SEXSTRUCTOR - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 7 juillet 1 07 /07 /Juil 14:18

UNE SCENE PAREILLE A LA DRAGUE EN PLEIN AIR DE LA DURANCE (AVIGNON-CAVAILLON)

mais tout est possible encore...

carpe-fur: That’s hot! Would love to know where this is

Et il y a toujours un Bel Indifférent...voyeur comme d'hab'  !

Par luka vaillon - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 15/12/2012

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

<!-- counter(current) -->&nbsp; personne(s) sur ce blog

Archives

Images Aléatoires

  • ERECTCOLUMN 2
  • restinghc1
  • 220 1000
  • CONCURRENCE 3
  • SENSE IS SENSUAL 000046334
  • ON SEST AIMES LA DANS UN CHEMIN FLEURI CACHE 012

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés