Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 23:21

 Publié en réflexion de l'article suivant : "chansons gay". Les arguments du texte sont étrangement en phase avec

 

 

Je rêve son visage je décline son corps
Et puis je l'imagine habitant mon décor
J'aurais tant à lui dire si j'avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?

Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu'on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j'offrirais mon âme, mon cœur et tout mon temps
Mais j'ai beau tout donner, tout n'est pas suffisant

{Refrain:}
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant donner
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité

J'ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d'autres ont versées
La vie n'est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant.................etc

 

 

 

Par davidharry - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 23:19

Cet extrait je le dédie à tous les mecs qui m'ont laissé tomber sans penser à ce que je pouvais ressentir.

C'est surtout inattendu ces images délibérément gay et non hétéro. Moi je dis merci

On écarte prestement ses préjugés négatifs concernant les comédies musicales et on se laisse envahir par le charme que dégage ce film... Oubliez les prises de son quelque peu hasardeuses et les passages peut-être un peu trop brefs de certains personnages et c'est le bonheur.

 

 Les mecs plaisent, ils chantent bien... ça a 7 ans ce "sitcom"

 

 

Il y a une part d'agression dans nos attractions amoureuses..

à un moment donné cette intrusion dans la vie d'un autre peut devenir un amour

partagé c'est certainement l'espoir de Erwan. A la suite de la mort de Julie, 

Erwan compte (rait) bien s'occuper de Samuel dont il est amoureux (fou) ...Il insiste bravement et c'est pathétique...on se prend à espérer une happy end ... 

Samuel : -"tu ne me connais pas et je suis pour toi un gros mstère

dont tu n'as pas idée. Tu n'as pas à m'attendre"

Mais, au contraire, on peut traîner l'echec d'une tentative de séduction  toute sa vie et vivre de regrets.

 C'est notre risque, notre lot à tous...Je dis ça à l'intention de ceux qui vivent la tristesse d'être éconduits, puis d'être mis à l'écart à jamais...

S'il suffisait qu'on (s')aime ce serait trop simple..revoyez votre théâtre classique. 

 

ComDram musical 2007 de Christophe Honoré, musique d'Alex Beaupain avec Louis Garrel, Ludivine Sagnier ...
 
 

 

 

Par Michel Constant - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 15:05

  Oui, on est surpris.Manque d'habitude. Ils parlent comme dans nos coms 

 

 

Lave 
Ma mémoire sale dans son fleuve de boue 
Du bout de ta langue nettoie moi partout 
Et ne laisse pas la moindre trace 
De tout ce qui me lie et qui me lasse 
Hélas 

Chasse 
Traque-la en moi, ce n'est qu'en moi qu'elle vit 
Et lorsque tu la tiendras au bout de ton fusil 
N'écoute pas si elle t'implore 
Tu sais qu'elle doit mourir d'une deuxième mort 
Alors... tue-la 

Pleure 
Je l'ai fait avant toi et ça ne sert à rien 
A quoi bon les sanglots, inonder les coussins 
J'ai essayé, j'ai essayé 
Mais j'ai le coeur sec et les yeux gonflés 
Mais j'ai le coeur sec et les yeux gonflés 

Alors brûle 
Brûle quand tu t'enlises dans mon grand lit de glace 
Mon lit comme une banquise qui fond quand tu m'enlaces 
Plus rien n'est triste, plus rien n'est grave 
Si j'ai ton corps comme un torrent de lave 

Ma mémoire sale dans son fleuve de boue 
Lave 
Lave 
Ma mémoire sale dans son fleuve de boue 
Lave (lave)
  • Date d'enregistrement : 02/06/2008
  • Date de publication : 01/06/2008
  • Durée : 03:53
Par jydom - Publié dans : FICTION & SCIENCE FICTION REVER PARODIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 06:00

 

    AH? LA FOULE... de quoi se mêle-t-elle ?

 

On ne parla que de cet incident dans les jours qui suivirent. Une très petite minorité du village prit notre défense...

 

 

[...]  J'ai été obligé de lui avouer que j'étais devenu impuissant.

— Cela ne fait rien, je vais te prendre.

Pas d'autre commentaire, pas de question sur le fait que j'étais devenu ce que j'étais, c'était la confirmation de la fin de sa passion.

Alors on a baisé comme il a dit. Nous nous sommes dénudés, nous nous sommes embrassés, et, debout, puis couché, j'ai senti de mes mains ce qu'était une vraie, une saine, une formidable érection. Et, lui, n'a vu, n'a touché qu'un sexe sans vie. Michel m'a baisé comme un vieil amant qui connaît les petites choses qui feront plaisir à son partenaire, sa queue était douce à mon cul et m'a conduit à une extase appréciable, il m'a enculé en me regardant, me mordillant la peau du cou, me glissant sa langue dans la bouche, il a joui en moi sans demander si j'acceptais, comme si cela allait de soi, et je n'ai pas osé dire quelque chose, puis, j'ai lâché mon sperme qui s'est répandu dans mes poils comme un trop-plein qui coule, sans force. Ce fut agréable, mais me manquait quand même le regard tendre de mon partenaire et, au moment suprême, le doux sentiment de n'avoir existé que l'un pour l'autre pendant ce court moment d'extase.

Nous n'étions pas rassasiés bien qu'ayant déjà joui deux fois. Géniale adolescence où les envies ne quittent jamais l'esprit et moment où les corps ne nous trahissent jamais... Nous étions donc prêts à poursuivre notre quête amoureuse, celle-ci nous avait fait découvrir le plaisir d'une séance de suce partagée où nous avions terminé l'apothéose bandaison par la dégustation mutuelle de nos liqueurs de fruits acides. Puis, entraîné par un fougueux Michel, je m'étais dépucelé la queue en même temps que son cul avait, lui, subi sa première intrusion. J'avais joui de ses frottements contre la peau sensible de mon membre et je l'avais vu prendre un gigantesque plaisir qui lui avait été tiré de son intérieur déchiré et bien que je l'aie désiré au tout début de cette séance jouissive, mon trou, lui, restait affamé.

— Baise-moi Michel, j'ai une pressante envie.

— Tourne-toi sur le dos Sandro, je vais te pénétrer et te faire voir ce que c'est que se faire baiser.

Lui, le quasi-puceau, commençait déjà à frimer et à faire son malin alors que nous étions encore des bambins il y a quelques heures. Il me prit alors "en main"...

— Laisse-toi faire et profite de moi sans te soucier de faire quoi que ce soit.

Je m'abandonnai à lui. Il s'agenouilla devant mon sexe et me releva les jambes, sa bouche entreprit alors de me lécher le gland qui devenait dur et me causait presque de la douleur tant il avait été sollicité auparavant. Il mouilla les couilles et les poils puis descendit, suivant le liséré des bourses vers la raie qu'il ouvrait en me tendant les jambes. Lorsque sa pointe de langue commença à chatouiller l'entours de ma rondelle puis, se faisant précise, pénétra facilement la dentelle de mon anus, je me mis à vibrer tant l'excitation commençait à prendre possession de mon être. C'était le moment annonciateur du plaisir divin que je devinais et qui tardait maintenant à m'exploser la tête.

Michel humecta le trou de sa salive émolliente, se releva et pointa son gland sur mon trou relevé, sans viser il s'enfonça, doucement, trop doucement à mon goût qui relevai le bassin afin de m'emmancher à une queue que je désirais aspirer. Je ressentais bien alors quelques douleurs au passage du membre fort volumineux de Michel, mais les espoirs de plaisir me contraignaient à gommer cette douleur qui, je le savais, serait mille fois payée en retour par ce que je ressentirais.

Quand il m'eut pénétré, lorsque que je le sentis bien à fond et que ses couilles furent écrasées tout contre mes fesses, il commença alors le divin ramonage, les parois de mon trou ressentaient bien ce va-et-vient et c'était terriblement excitant, j'apprenais à jouir du cul. Michel gouttait de sueur au dessus de moi et redoublait d'ardeur s'enfonçant et se retirant, il s'excitait et je voyais bien qu'il allait éclater dans mon intérieur. Je commençais à deviner que moi aussi, bientôt, j'allais gicler sur mon ventre, quelques spasmes, puis le sperme se répandait, pas la grosse quantité, non, c'était quand même la troisième fois de la soirée, mais ce fut accompagné d'une superjouissance qui me fit pousser une bramée digne d'un jeune cerf dans la nuit. Michel fut plus discret, et juste après moi, je sentis ses dégorgements venir remplir mon anus.

Nous restâmes collés, là, épuisés, quand!

La porte s'ouvrit brusquement sous la poussée d'une épaule, Marcel surgit, portant deux caisses de canettes de bière vide, et, hurla:

— Qui c'est qu'a crié ici...

Puis, observant la scène en clignant des yeux:

— Ah! les pédés... Ordures de pédés... Je t'en foutrai, moi, des enculades...

Il lâcha ses bouteilles d'un coup et se précipita sur nous, nous empoignant chacun par un bras, et, nous traîna dans le couloir, puis dans le bar en vociférant:

— J'les ai vus les pédés... Regardez... Ils s'enculaient... Les malades... Les vicieux...

L'effet de surprise nous figeait, nous fûmes jetés sur la terrasse, bondée de consommateurs, et devant des dizaines et des dizaines de spectateurs et de danseurs qui regardaient en se tournant vers nous. L'orchestre s'arrêta de jouer et, fendant la foule médusée, toujours sous les invectives de Marcel déchaîné: "Les ordures... Salauds... Pédales... Ordures..." Nous nous refugiâmes dans les ruelles noires où notre nudité éclatait toujours grâce à un clair de lune triomphant.

Un copain vint à notre recherche un peu plus tard, porteur de vêtements qui préservèrent alors le peu de dignité nécessaire pour rentrer chez nous.

On ne parla que de cet incident dans les jours qui suivirent. Une très petite minorité du village prit notre défense... S'ensuivit alors notre départ, moi chez mon père et Michel en internat.

 

http://www.gai-eros.org/w/index.php/14_juillet un récit de Urbain sur gai-eros

     Et alors ? ????

 

 

 BRASSENS LA LIBERTE

 

Par URBAIN - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 14 août 4 14 /08 /Août 05:14

ON LUI A REFUSE LE BALLON D'OR QU'IL MERITAIT

Ribéry, le dindon de la France*

Liberation.frPar Libération.fr | Liberation.fr  il y a 8 heures
  • *La France des charivaris** d'autrefois dans les villages  et du tollé d'aujourd'hui autour de Zahia
  • La France de la "manif pour tous"..."Aimez-la ou quittez-la avait dit un jour Le Pen ". Il en faudra plus pour qu'on "s'arrache"mais...encore un effort la bienpensance... Là, à brûle-pourpoint, citez-nous un français content.... merci 
    Franck Ribéry à l'entraînement près de Donetsk, le 12 juin 2012, lors de l'Euro.
    Liberation.fr/Libération.fr - Franck Ribéry à l'entraînement près de Donetsk, le 12 juin 2012, lors de l'Euro.

 

** Le charivari se tient à l'occasion d'un mariage jugé mal assorti (c'est notamment le cas des charivaris organisés lors du mariage d'un homme âgé avec une jeune femme) ou d'un remariage . "les conjoints devaient enfourcher un âne, la femme dans le bon sens, l'homme à l'envers, tourné vers le derrière et tenant en main la queue de l'animal, en général au moment du carnaval, au milieu de la foule qui les conspuait." ( les homos, plus facile,  on les brûlait non ? ndlr)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Charivari_(rituel)

 

 

Profitez du bomec à mater !
Abdelaziz Barrada, la nouvelle recrue de l’OM
Abdelaziz Barrada avec le Maroc face au Cap Vert, à la CAN 2013
20minutes.fr
Par 20minutes.fril y a 12 heures 
  • il joue pour le Maroc
  • Déjà livré au "qu'en-dira-t-on"

                 

 

      

 

 
FOOTBALL -  franco-marocain de 25 ans, ...il doit être le remplaçant de Matthieu Valbuena

Par 20minutes - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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  • : 15/12/2012

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  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

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