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Tandis que la Maison Blanche prépare un décret qui empêcherait les firmes de discriminer les gens sur la base de leur genre ou orientation sexuelle, que les sondages montrent que la plupart des Americains croient qu'il est tout à fait illégal de licencier quelqu'un parce qu'il est gay. Dans la plupart des états, c'est l'inverse : c'est tout à fait le cas.
impressionnant, non ?
Photograph by Ron Chapple/Getty Images
As the White House prepares to issue an executive order that would bar federal contractors from discriminating on the basis of sexual orientation or gender identity, polls show that many Americans believe it’s already illegal to fire someone for being gay. In most states, it is not. A bill that would have offered lesbian, gay, bisexual, and transgender employees federal protections—the Employment Non-Discrimination Act—passed the Senate last year, but it looks dead in the House.
So let’s say a gay person just came out to his boss—and got fired because of it. Is that legal? It depends.
What state are you in?
Most U.S. states lack explicit legislation barring discrimination against LGBT employees; current U.S. law is uneven, limited, and ambiguous.
Only 21 states and the District of Columbia bar firing employees for their sexual orientation. Of those, 18 (and again, Washington) also ban firing transgender employees. California and Colorado have bans on orientation and
gender identity discrimination; New York and Wisconsin have the former but not the latter; Florida and Pennsylvania have neither.
What city?
Nearly 200 municipalities—including cities in some of those 29 states without LGBT
discrimination laws, such as Philadelphia, Cincinnati, and Phoenix—have banned such discrimination within their boundaries.
Is the company very small?
If so, it might be exempt from state discrimination protections: While Connecticut’s law covers any company with three or more employees,
for example (PDF), statutes in Illinois, Maryland, Nevada, and New Mexico
don’t kick in until a company has at least 15 workers.
Is the worker covered by a union contract?
For employees under union contracts or other legally binding employment agreements, getting fired for sexual orientation or gender identity
could provide grounds for legal action under reasonable cause clauses, according to Christy Mallory, senior counsel at UCLA’s Williams Institute.
Or a public employee?
Government workers have greater protection against being purged for their sexuality than those in the private sector. In 1998, Bill Clinton
banned firing federal workers for being gay; in 2011 the Obama administration directed agencies to “ensure a non-discriminatory working environment”
for federal workers regardless of gender identity.
In 11 of the 29 states without LGBT protections, governors have issued executive orders or policies that prohibit discrimination against public employees based on sexual orientation—protections that can be a step toward passing broader legislation. Houston Mayor Annise Parker issued an order banning anti-LGBT discrimination in public employment in 2010, and last month she secured city council passage of a bill covering the private sector, following a contentious fight.
Is the employer a government contractor?
Even though workers at private contractors aren’t employees of the government, public agencies have a long history of conditioning contracts
on non-discrimination. The coming
executive order will ban discrimination against LGBT workers by federal contractors.
Or a religious group?
The big question about that promised executive order is whether it will include an exemption for religious groups. The language currently on
the books dates to an executive order (PDF) issued by President George W. Bush, which states that religious
contractors retain the right to employ only “individuals of a particular religion” if they so choose. That, suggests Human Rights Campaign Fund Vice President Fred Sainz, is ambiguous
enough that “it could potentially be used as a cudgel against LGBT people.”
Where’s all this going?
In a little-noticed 2012 ruling, the federal Equal Employment
Opportunity Commission concluded that discrimination against transgender people is already illegal under federal law. That decision—spurred by the case of Mia Macy, a transgender woman who applied to work at the federal Bureau of Alcohol,
Tobacco, Firearms, and Explosives—concluded that such firings were a form of sex discrimination and are prohibited under the 1964 Civil Rights Act.
That EEOC ruling relied on the Supreme Court’s 1989 Price Waterhouse (PDF) decision, which found that sex-stereotyping can be evidence of sex-discrimination. Using similar logic, notes Mallory, attorneys have argued in recent years that sexual orientation discrimination is inherently a form of gender discrimination “because it’s based on this idea that one gender has to be with another gender.” Earlier this year, a Library of Congress employee argued that he was punished because his “status as a homosexual male did not conform to [his manager’s] gender stereotypes associated with men.” A federal district judge is allowing the case to proceed.
Illustration et mise en valeur....
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Toilette_intime
extrait
J'ai remplacé durant un interim une infirmière dans un lycée. J'étais jeune et débutant, aussi est-ce peut-être pour cela que j'eus droit à de nombreuses confidences. Tout commença avec la venue, une fin d'après-midi, de Fred. Ce dernier était une des stars de l'établissement: joueur de rugby et beau gosse. Il se trouve que j'avais reçu peu de temps auparavant Anne qui était sa copine. Fred tournait autour du pot, je voyais qu'il était gêné, il avait d'ailleurs prétexté une foulure à la cheville pour venir. Après l'avoir manipulée puis constaté qu'il n'y avait rien, j'essayai de le mettre en confiance et j'y parvins. Il sz'agissait d'odeurs et de nettoyage intimes... [...]
— J'ai laissé tomber avec Anne.
En quoi cela me regardait? pensai-je.
— En fait l'odeur ça ne la dérangeait pas, de toute façon elle n'aime pas sucer.
Encore une fille qui était ramenée uniquement à ce qu'elle pouvait apporter à un homme.
— Et puis c'est de l'autre côté que j'ai des soucis.
Je ne comprenais pas.
— Excusez-moi de parler grossièrement, au cul!
— Qu'est-ce qui t'arrive?
— Et bien avec Anne justement, elle avait pris l'habitude de me mettre un doigt quand on faisait l'amour et depuis qu'on a rompu, je le fais moi-même quand je me branle parce que j'aime ça mais j'ai une douleur.
— Si ça ne te gêne pas, tu vas me montrer ça.
Il avait déjà commencé à se déshabiller et s'apprêtait à s'allonger sur la table de consultation.
— Excuse-moi, tu vas te placer sur ce fauteuil et mettre les pieds dans les étriers.
Il semblait avoir perdu toute inhibition. Je me penchai devant son paquet, j'en profitai pour le décalotter, il ne sentait presque rien.
— Maintenant je me lave à chaque fois.
En baissant mon regard, j'avais une vue superbe sur ses couilles, son périnée et son oeillet violacé qui était marqué par un peu d'irritation.
— Je vais te passer une crème mais avant tu vas me dire où tu as mal.
Cet examen était inutile mais était le prétexte d'une caresse anale volée. Je lui passai doucement l'index. Son anus se mit à palpiter et je vis que sa bite commençait à prendre du volume.
Il me demanda avec une voix légèrement voilée:
— Je suis un peu inquiet parce que j'espère que cela ne veut pas dire que je suis pédé si j'aime qu'on me mette quelque chose dans le cul?
— Rassure-toi, beaucoup d'hommes aiment ça. C'est entre autre la prostate qui est accessible et c'est une zone érogène.
— Vous vous êtes homosexuel, il paraît, ça vous fait la même chose?
Il s'était lancé, donc même si je ne m'en cachai pas la rumeur circulait bien.
— Tous les hommes sont différents, homos ou pas! lui répondis-je.
— Je voudrais que vous me suciez la bite, m'interrompit-il.
— C'est un ordre?
— S'il vous plaît.
Je ne pouvais résister. Je commençai toutefois par son cul et à la place de la crème, j'introduisis ma langue dans son petit trou après avoir bien humidifié ses contours. Il gémissait et même dans cette position il était trop beau. J'engloutis sa queue, bien dure désormais. Je passai ma langue sur le contour de son gland, puis montai et descendai le long de sa hampe. Il me maintint la tête dessus au moment où il jouit. Se relevant, la queue pas encore molle, il quitta le fauteuil pour se positionner sur la table de consultation et me présenta son cul. J'agis avec douceur et le dépucelai du mieux que je pus. Après avoir joui à mon tour, je constatai qu'il avait remis ça sur la table. Après nos ébats, il remarqua que j'avais son sous-vêtement, ça le fit rire et il me le laissa définitivement en cadeau.
Ce petit vicieux m'avait utilisé, pourquoi m'en plaindrais-je?
Que du bonheur
Jamais on n'a vu, jamais on ne verra
La famille tortue courir après les rats
Le papa tortue, la maman tortue et les enfants tortues iront toujours au pas
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curés gays, la grande hypocrisie de l'Eglise
A ne pas manquer dans ce N° de TÊTU, l'enquête exclusive sur les prêtres homos, beaucoup plus nombreux qu'on le croit, malgré le
discours officiel hostile de l'Eglise
Officiellement, l'Eglise catholique interdit l'ordination de prêtres gays. Pourtant, dans les faits, ils sont nombreux, et certains
vivent même en couple. Et les évêques, confrontés à la crise des vocations, ferment le plus souvent les yeux.
TÊTU a rencontré de nombreux curés homos, qui racontent leurs vies cachées, plus ou moins assumées, et ce dans un climat où leur hiérarchie affiche haut et fort son opposition à l'égalité des
droits pour les couples homos.
DAVID ET JONATHAN
92bis, rue de Picpus
75012 Paris
T:0143420949
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Petits amateurs ils ont choisi cette chanson parce qu'elle exprime bien ce qu'ils sentent...
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