VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES

Dimanche 16 février 7 16 /02 /Fév 22:30

CULTURE GAY INDIGNEZ VOUS

 

Bien sûr, me direz-vous, c’est d’abord aux parents d’aborder ces sujets, en fonction de leurs principes, croyances, et orientations.

Vraiment ? Le parent doit-il tout connaître de la vie sexuelle de son enfant ? Tous les parents sont-ils vraiment à l’aise pour aborder ces questions ? Tous les enfants sont-ils demandeurs de ce type de discussion avec leurs parents ?

Et surtout, les parents sont-ils vraiment conscients de la nature des connaissances, des questions et des pratiques sexuelles de leurs enfants ? Prêts à le savoir ?

A cette question pendant mes animations, la réponse des ados est sans appel : non.

Le mythe de la cabane avec de la paille

« Non, on ne veut pas en parler avec nos parents.

Mais alors, où cherchez-vous des réponses à vos questions sur ces thèmes ?

Sur Youporn ! »

Réponse systématique de mes petits collégiens de douze ans, l’air réjoui.

Le mythe du frais et naïf adolescent qui découvre, ébahi et enchanté, le sexe dans les bras d’une tendre amie aussi innocente que lui, sur la paille délicate de la cabane, c’est bucolique, mais en 2014, c’est irréaliste.

Irréaliste et dangereux, parce que « laisser faire la nature », laisser les choses en l’état, c’est laisser un jeune de 11 ans construire son imaginaire et sa sexualité future entre « 2 girls 1 cup » (ils l’ont tous vu), trashsexe.com et Titeuf.

16/02/2014 à 09h30 (Rue69)

Education sexuelle : je suis payée pour pervertir la jeunesse française

G Stevens | 

On entend beaucoup d’experts théoriser à rallonge sur les études de genre, ce qui devrait être fait, ce que ça entraînerait ou pas sur le psychisme et la construction sociale des enfants, invoquer Freud, Dolto, Jésus ou même John Gray, mais de professionnels de terrain, rien.

Figurez-vous que l’éducation à la sexualité en milieu scolaire n’a pas attendu l’arrivée au pouvoir du socialisme et son lot de perversions, puisque la loi du 4 juillet 2001 précise qu’« une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles et par groupes d’âges homogènes ».

Making of

Au terme de cette semaine au cours de laquelle des dirigeants de l’UMP ont fait semblant de croire que des livres pour enfants risquaient de pervertir notre société, la blogueuse G Stevens a eu envie de nous raconter son travail : conseillère conjugale et familiale, elle assure des séances d’éducation sexuelle dans des collèges. Précision : « toutes les citations introduites dans ce texte viennent de questions de jeunes de 4e et 3e, et sont représentatives de la majorité des propos échangés dans les collèges où je suis intervenue ».

Elle précise également qu’une « information consacrée à l’égalité entre les hommes et les femmes, à la lutte contre les préjugés sexistes et à la lutte contre les violences faites aux femmes et les violences commises au sein du couple est dispensée à tous les stades de la scolarité. »

Ces séances sont encadrées :

soit par des enseignants formés à ces questions ;

soit, le plus souvent, par des professionnels salariés d’associations agréées par le ministère de l’Education nationale pour intervenir en milieu scolaire.

C’est mon cas. Je fais partie de ces professionnels qui pervertissent la jeunesse française, et je suis payée pour ça, qui plus est.

Le parent doit-il tout savoir ? Non.

Dans la pratique, la loi est mal appliquée, et les collégiens les plus chanceux bénéficieront généralement d’une séance de deux heures en classe de 4e ou 3e, dans laquelle il faudra donc rattraper tout le retard concernant :

la contraception ;

la sexualité ;

la puberté ;

le sexisme ;

l’homosexualité ;

la pornographie ;

le respect ;

la violence ;

l’amour ;

le couple ;

la famille ;

la grossesse ;

l’accouchement...

Et le résultat est catastrophique. Catastrophique, parce qu’on a beau s’émerveiller des compétences de ces "petits poucets" , il n’en reste pas moins que l’imagination se nourrit de ce qu’on lui donne à voir, et les fantasmes que se construisent ces enfants-là leurs promettent une sexualité épouvantable.

leur permettre d’y réfléchir un instant. Les aider à penser par eux-mêmes

 

Tout ça sous la responsabilité des adultes qui :

soit « ne savent même pas utiliser Internet » ;

soit donnent leur bénédiction – « c’est mon père qui m’a montré les vidéos, pour que j’apprenne, parce que c’est la nature ».

Des filles pour qui la réussite s’appelle Zahia

La pornographie n’est qu’un exemple de tous les supports qui influencent en profondeur leur construction. Les médias se font le relais de toute une série de stéréotypes, qui eux-mêmes trouvent un écho dans la vie courante, et dans les rapports sociaux de sexe.

Quel est le problème, me direz-vous ? N’est-il pas bon pour un individu de s’inscrire dans un groupe genré, de construire son identité en accord avec la société dans laquelle il évolue ?

Certes, mais n’est-il pas bon également de lui permettre d’identifier ces mécanismes, et de distinguer, ou du moins de s’interroger, sur ce qui le meut au quotidien ?

Autrement dit, pour les collégiens : est-ce que je suis obligé de regarder du porno parce que je suis un garçon ? Est-ce que toutes les filles sont condamnées à se faire violer ?

Parce que quand nous avons face à nous des jeunes filles pour qui la réussite ultime s’appelle Zahia, la question des stéréotypes de genre prend tout son sens.

« Elle n’avait qu’à pas coucher »

Notre boulot dans tout ça ? Pour les établissements scolaires qui font appel à nous, c’est avant tout éviter les grossesses précoces. Certains nous appellent après coup, quand une élève de 4e est enceinte et qu’on craint que son exemple ne soit suivi par d’autres. Délicate manœuvre, qui risque souvent de stigmatiser encore plus l’ado en question, laquelle n’a vraiment pas besoin de nous pour ça !

Parce qu’être ado aujourd’hui, c’est vivre 24h sur 24 la vie d’un personnage de télé réalité. Tout se sait, tout.

Parce qu’ils mettent tout sur Internet, ou que les autres le font. Sur Facebook, sur Snapchat, chacun risque de se voir démolir pour un détail, une tenue trop voyante, une phrase malheureuse, une confession amicale... Preuves à l’appui, ils sont soumis au jugement populaire, et celui qui est mis au pilori n’a aucune excuse : « Il n’avait qu’à pas s’habiller comme ça », « Elle n’avait qu’à pas coucher ». Il faut maîtriser perpétuellement son image, et assumer pleinement tous ses faux pas.

Leur seule option ? « Etre invisible », « neutre », « porter un masque ». Le garçon se doit d’être impassible, fort, insensible, un vrai bonhomme. La fille, vierge. Et décente, parce que même une vierge peut être une pute, si elle porte une jupe au dessus du genou, des décolletés, se maquille mal, parle de sexe ou est sortie avec trop de garçons (plus d’un, c’est trop).

« Les pédés, faudrait les brûler »

Le premier réflexe est l’effarement, le jugement, le désespoir face à une jeunesse foutue. Mais en creusant, derrière les excès, on s’aperçoit vite qu’il ne s’agit en réalité que de la répétition de la société adulte, la répétition obéissante et minutieuse de ce qu’on leur martèle à longueur de temps.

Les enfants obéissent aux injonctions mieux que personne ! Et c’est bien là notre boulot : identifier ces injonctions et leur permettre d’y réfléchir un instant. Les aider à penser par eux-mêmes. Parce qu’ils en sont capables, avec une rapidité, une finesse et surtout une honnêteté que beaucoup d’adultes n’ont plus.

Pendant les manifs antimariage gay, ils me disaient :

« les pédés, faudrait les brûler sur la place publique » ;

« moi quand j’en croise un, je le traite » ;

« moi quand j’en vois, je les défonce ».

Mais en creusant, en s’extrayant des peurs (« Si j’ai un pote homo, il risque de rendre homo aussi ! », « Il va me violer ! »), on avance vite :

« M’dame, imaginez un enfant avec des parents homos, il va souffrir à l’école.

Ouais c’est ça surtout le problème des parents gays ! Leur gamin, tout le monde va se moquer de lui !

Donc ?

Ah, bah c’est vrai qu’il suffirait d’arrêter de les juger et ça règlerait le problème.

Ah ouais... »

Voilà.

Etre une fille c’est « avoir mal »

Les garçons endossent avec plaisir le rôle du caïd, du « fouteur de merde », puisque c’est ce qu’on attend d’eux. Sortir de ce rôle et adopter des comportements moins « virils », donc forcément féminins, fait d’eux des « tapettes », crainte majeure des parents. Que craignent-ils ? Une épidémie d’homosexualité chez les petits garçons qui joueraient à la dinette ?

Mais quand on autorise les garçons à parler (ce qu’ils ne sont pas censés faire), on réalise combien ils sont conscients des stéréotypes, et souvent bien plus révoltés par le sort de certaines filles que les filles elles-mêmes.

Evidemment, qui les blâmerait d’en profiter un peu ? On peut coucher avec une fille, tout raconter aux copains, photos à l’appui parfois, la larguer quand on veut, et lui coller une réputation si elle fait trop d’histoires.

Le groupe des filles se chargera de la diffusion de la rumeur, de l’exécution de la sentence. Parce qu’elles ont parfaitement intégré elles aussi les injonctions complexes qui les dirigent : être une fille,c’est « avoir mal » (grossesse, règles, rapports sexuels), c’est n’être « pas libre de sortir », « de s’habiller comme on veut », c’est « avoir peur » du viol, c’est « devoir être belle ». En bref, c’est n’être pas maîtresse de son corps. Le corps de la fille, c’est le groupe qui le régit. Celle qui trébuche est coupable, celle qui couche, de toute façon « ne se respecte pas, alors pas de raison de la respecter ».

Mais ils ne sont pas dupes pour autant. Pas dupes, et prêts à l’empathie. Il suffirait de les y encourager. De les y autoriser.

Notre travail doit se faire sans jugement, sans posture de mère la morale, qui iraient tirer les oreilles de ces jeunes dévergondés en les rappelant à l’ordre, comme on voudrait nous le voir faire parfois.

« S’ils en parlent à la télé, c’est que c’est vrai »

Pourquoi ne pas donner notre avis ? Ne pas faire de vrais cours de morale ? Parce que c’est justement à ça qu’ils sont soumis sans arrêt, et contre ça qu’il faudrait se battre : à la télé, sur le Net, au collège, des messages qu’ils reçoivent sans aucun tri, accordant du crédit à la dernière injonction entendue, sans vérification des sources, sans hiérarchisation.

Si je leur dis « on ne peut pas être enceinte en allant à la piscine », ils peuvent me répondre

« Mais non m’dame, c’est pas vrai, sur Internet ils disent qu’une mère est tombée enceinte en prenant un bain après son fils qui avait spermé dans l’eau.

Meuh arrête c’est pas vrai ce qu’il y a sur Internet. Par contre, l’autre jour à la télé aux infos ils ont parlé d’une fille tombée enceinte dans un jacuzzi.

Mais non c’était pas aux infos, c’était dans “Tellement vrai !”

Ouais enfin c’est pareil, s’ils en parlent à la télé c’est que c’est vrai. »

Ce qu’on leur dit aura valeur de vérité, jusqu’à ce qu’une autre info plus fraîche, et surtout plus spectaculaire, ne vienne prendre la place.

« Mais qu’est-ce que tu fais avec ce crétin ? »

Alors, à cette jeune fille de 12 ans heureuse comme tout de se croire enceinte, je donne des informations. A ce garçon de 14 ans qui demande un test de virginité pour sa petite copine parce que le bruit court que c’est une pute, j’explique que les certificats de virginité sont interdits par l’ordre des médecins, parce que c’est une violation de l’intimité, et que non, l’hymen ne prouve pas la virginité, tout en rêvant de secouer sa petite copine en lui demandant : « Mais qu’est-ce que tu fais avec ce crétin ? »

A ce garçon de 13 ans qui me dit « Le plaisir ? Rien à foutre. Ma meuf je la prends, je la retourne, je la reprends, et basta », je parle respect, pornographie, réalité, empathie.

Est-ce vraiment si dangereux d’interroger ces stéréotypes, de permettre aux filles de se demander si elles sont nées pour être belles, faire la cuisine, trouver un mari et « se faire prendre » (même quand elles n’ont pas envie, la notion de viol conjugal étant totalement incompréhensible pour certaines), aux garçons d’échanger sur la nécessité ou non de se battre pour être respecté, de dire (ne serait-ce que dire) leur peur « d’être une chochotte » ? Va-t-on vraiment faire vaciller la société avec ça ?

Par G Stevens - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 14 février 5 14 /02 /Fév 11:56

vous ne ferez pas ça avec un prostitué

 

 

 

 

 

 

Par jizzer - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 13 février 4 13 /02 /Fév 07:15

un tel amant, une telle lenteur de flux et de reflux , un tel environnement, un tel appétit ...

flux et reflux de la mer dans sa "crique"

Perfect motion.

merci à toi Enjoe

Par enjoe - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 12 février 3 12 /02 /Fév 15:16

 

QUAND J'AI ENVIE DE ...

Fabien Fabien

 14:11 (Il y a 1 heure)
 
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REPOS DES GUERRIERS ENFIN REPUS

 
Eating Out: The Open Weekend


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TE DIRE QUE JE T'AIME
Ton Fabien
 
_ _ _ _ _ _ 
je t'aime aussi et tout le monde le saura : c'est sur le blog !
Des baisers bien profonds 
ton claudio

QUAND J'AI ENVIE DE ...

Boîte de réception
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Par FABIEN - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 12 février 3 12 /02 /Fév 01:27

 

 

Photos d'ambiance...

Le voilà qui va dans la piscine et nage tout doucement, profitant de l’eau qui glisse sur son corps mince. Après une dizaine de minutes pendant lesquelles je le regardais, il ressort, tout mouillé et mignon. Il arrive vers moi en souriant, séchant ses cheveux. Dans un petit sac qu’il traînait plus tôt il se prend un gros bonbon rouge, je vois sa bouche mener une douce succion autour du bonbon.

 — Qu’est-ce que tu lis? me demande-t-il.

 Je lui montre ma revue porno. Au même moment, une partie de ma serviette s’écarte, laissant voir mon pénis en demi érection Jim me regarde. Je sens en lui une envie monter. Humm... ça commence bien! En regardant ma revue et en me caressant la cuisse gauche, je lui demande s’il connaît ça. Il dit«ouais...» mais avec un côté gêné.

 — T'as déjà essayé ce genre de truc? que je lui demande.

 Mais il ne répond pas, il hausse les épaules, comme s’il était mal à l’aise ety avait peur d'être piégé. Je lui dis de s’approcher, de ne pas être gêné. Il vient s’asseoir entre mes jambes à terre, la visage presque à la hauteur de mon sexe et il regarde les photos hot de ma revue. Je le regarde fixer les pages. Une petite bosse se forme aussi dans son costume de bain mais ce n’est pas ce qui m’intéresse. C’est sa bouche et son beau petit cul serré !

 

 

Ses lèvres sont rouges à cause du suçon et une douce odeur sucrée de fraise vient à mon nez. Ce petit mec-là est excitant au possible !

 — Tu embrasses ?

 — Avec la langue? me demande-t-il.

 — Oui...

 Et là, sans rien dire de plus, il s’approche de moi et pose un doux baiser sur mes lèvres avant de sortir la langue. Je fais de même et nous voilà en train de faire un french-kiss d’enfer aux fraises. Je me mets à bander à fond et je prends une de ses mains aux longs doigts minces pour la mettre sur mon membre dur. Instinctivement, il se met à me masturber. Pas gêné du tout, je cesse de l’embrasser et lui dis : «Pompe-moi la queue!» Et sans plus attendre, le voilà qu’il baisse la tête et enfourne mon gland dans sa bouche chaude.

 

 

 

 

HOW IT’S DONE

 

— Humm... c’est bon! dis-je en mettant ma main ferme sur sa tête pour qu’il suce en profondeur.

 

Jusque-là rien d'inattendu... c'est bon, ça c'est sûr!

 

Je fixe son petitcul, mais c’est pas ce soir que je vais l’enculer... Là, tout ce que je fais, c’est sentir sa bouche sur mon pénis en train de me bouffer. Il y va tellement bien le p’tit Jim! C’est comme si toute sa vie tournait autour de mon phallus. Ouais, une vraie pute, et on ne m'avait pas du tout menti Si ce jeune devient accroc à ma queue, moi c’est de lui en entier que vais être accroc...

 

Je regarde son visage mince empalé par mon pieu. Il y va bien, mais pas trop profondément. Peut-être qu’il veut prendre son temps. Alors je lui presse sur la tête davantage et là... il me surprend en prenant une grosse respiration et à se la mettre au fond de la gorge... Ah la pute! Lorsque mon gland est passé à la limite de sa gorge ça a fait un petit bruit comme quand on débouche une bouteille. La première fois qu’on me faisait une gorge profonde. Souvent, mon ami Corrado m'a dit qu'on lui en faisait, mais je n’osais pas.

— Huummmmmhh... wouaouh que t’es bon, mec! lui dis-je en gémissant.

 Mais ce n’est pas tout. Je le vois forcer à toute la mettre dans sa gorge. Je le regarde avec passion et presque la larme à l’œil de plaisir. Il me prend la main avec la sienne et la met sur sa tête. Veut-il que je l’aide? Peu importe, je me lance. Je pousse d’avantage avec ma main mais j’avance aussi mon bassin. La base de ma queue arrive à ses lèvres et voilà qu’elles l’avalent. Sa bouche est toute étirée autour de mon membre, je ne sais pas comment il fait. Ma queue se sent si bien là-dedans... Lui, je me demande comment il fait pour ne pas se branler. Je tends une main pour lui toucher le sexe et c’est tout dur. Il en a une grosse lui aussi.

 

HOW IT’S DONE

 

Il se retire de ma queue pour bien respirer mais c'est pour mieux y retourner. Je tends un bras vers son petit cul mouillé sous son costume de bain. Je baisse l’élastique et je me penche pour voir les deux belles fesses imberbes et toutes douces. En me penchant, ma queue force encore plus dans sa gorge et il se masse la gorge... ça m’excite de deviner ma queue dans son intérieur chaud. Je mouille un doigt de ma salive et je caresse son anus. Quand je presse, je suis surpris de le voir entrer plus facilement que je le pensais. Venait-il de se faire enculer? Peu importe... Je retire mon doigt pour en mettre deux. Ils entrent aussi facilement. Je sens autour d’eux les muscles enflés de l’anus et c’est juteux dedans, mais pas de la merde, c’est vraiment propre et lubrifié. Oh oui, le jeune vient de se faire mettre ! Y’a du sperme dans ça... Ah putain!

 

Rien que cette idée m’emmène au bord de la jouissance. Je sens en moi mon propre jus monter de mes couilles vers le gland.

 

— Je vais jouir!

 Mais le jeune ne se retire pas. Il continue de se baiser la gorge sur mon pénis en feu. C’est trop bon, j’en peux plus!

— Aaahhh! Aahhhh! Merde!!! Aahhhh!

Le jeune vient me chercher au fond des tripes, carrément! Mon bassin ondule sans fin pendant que mon sperme éjacule directement en lui, au bord de l’estomac. Pas besoin de déglutir ! Pendant quelques secondes d’étourdissement, ça ne s’arrête pas, je me sens me vider en lui comme jamais. À la fin, lorsque je sens le tout se calmer, je suis content parce que j’aurais pu perdre un peu conscience et le pauvre petit se serait ramassé avec un corps inerte. Il aurait sûrement capoté!

— T’as quel âge déjà, le jeune? que je lui demande.

Il sort ma queue de sa gorge et de sa bouche avec des filaments de salives qu’il recrache dans un pot de terre pour plante, ce qui me fait m’esclaffer. Il me donne l’impression d’être un petit démon lorsqu’il est en manque.

— J’ai 19 ans. (Je sais qu'il peut très bien mentir).

— En tout cas, t’es pas mal bon...

— Merci!

— Ça te dirait de recommencer demain soir? J’emmènerai un ami avec moi...

— Oh oui!, dit-il tout joyeux.

«Salope! putain tu aimes ça, non ? » que je me suis exclamé en le regardant au fond des yeux...

 

 

HOW IT’S DONEHOW IT’S DONE

 

HOW IT’S DONEHOW IT’S DONE

 

 

 

Par SCHWARTZ-GAY - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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