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Tout a commencé au Mic-Man, dans le 4ème à Paris. C’est là que j'ai rencontré Camel, en allant vers la salle vidéo. Il m’a tout de suite plu. Les beurs, les blacks, les métis... j’ai une passion pour ce style de mecs! J’ai craqué, une fois de plus. Camel avait à peu près le même âge que moi. Il portait un jean moulant et un tee-shirt blanc qui lui collait à la peau et qui faisait ressortir sa carrure d’athlète et ses muscles. Et comme je suis belle gueule et plutôt bien foutu, je n’ai pas hésité à tenter ma chance avec lui. J’avais une super envie de baiser. Ça tombait bien, Camel aussi. Il venait de mater un film de cul mais il n’avait trouvé personne à son goût dans la salle. Il n’y a pas eu besoin d’échanger beaucoup de paroles et nous nous sommes retrouvés dans l’une des petites cabines, bouches soudées et en train de nous palper le zob et les couilles à travers nos fringues. Déjà, je pouvais pressentir que je n’allais pas m'ennuyer avec ce bel étalon. Camel possédait une queue superbe et je suis allé la chercher pour la libérer après lui avoir défait sa braguette. Sa bite était tiède, hyper raide et très épaisse. Tout en continuant de le palper et de répondre à ses palots, je me suis rendu compte que Camel avait les couilles entièrement lisses. Quelques secondes plus tard, je me suis aperçu qu’il se rasait également le pubis. Tout ça m’a rendu fou. Lui, avait défait mon jean et il tripotait allègrement à l’intérieur, cherchant aussi bien mon paquet et ma tige tendue que mon cul en feu qui s’ouvrait sans difficulté sous la pression de ses doigts tellement j’étais en chaleur. Au bout d’un moment, Camel s’est mis torse nu. Il était super baraqué et je lui ai sucé et léché ses seins avant de me retrouver avec sa pine circoncise entre les lèvres.

Je n’ai pas eu à le sucer, c’est plutôt lui qui m’a baisé par la bouche en me forçant à avaler sa grosse teub jusqu’à la garde. Il me faisait l’effet d’un mâle en rut qui n’avait plus tiré son coup depuis des semaines. Moi, je lui branlais ses couilles et je lui doigtais le cul, ce qui avait le don de le rendre encore plus déchaîné. Tout en continuant de me limer ainsi avec une main plaquée sur ma nuque, il m’a lancé: «Tu sais que tu es une bonne salope, toi! Tu as l’air d’en vouloir. Ça te plairait de te faire baiser par mes potes de la citée?» J’étais prêt à tout. Je lui ai répondu: «Avec tous les mecs que tu veux!» Mais j’avais trop envie de finir ce que nous avions déjà entrepris et j’ai proposé à Camel un petit «acompte» avant d’aller retrouver ses copains de la cité. La pipe s’est terminée dans une abondante éjac faciale. Camel avait vraiment les couilles pleines... Il n’en finissait plus de se vider et de décharger sur ma figure.

En quittant le Mic-Man, je bandais toujours autant. Je n’avais pas encore joui et l'idée de me retrouver avec d’autres beurs et de leur servir de salope à tout faire me faisait fantasmer comme un dingue. En nous dirigeant vers le métro, Camel a passé plusieurs coups de téléphone avec son portable. Il a réussi à contacter Kader et Sabri qui étaient partant pour une bonne partouze virile. Omar n’était pas dispo mais François, un black antillais serait là, lui aussi. Quelques minutes plus tard, je débarquais dans la citée de Camel, dans le 93.

Il m’a dirigé vers l’une des tours et nous sommes montés jusqu'au troisième. Un des appartements de l’étage était squatté par lui et quelques potes. C’était plutôt leur baisodrome. Kader, Sabri et François étaient déjà là, installés dans la pièce principale et en train de s’exciter devant un film porno. Une télé, un magnétoscope, des matelas posés à même le sol... Rien de plus. Les trois mecs avaient déjà la braguette ouverte et j’ai pu admirer les belles bites qui m’étaient destinées. Sabri possédait un engin énorme, encore plus gros que le pieu black.

Cette fois, je me suis foutu carrément à poil pour leur servir de vide-couilles à tous les quatre. Je n’avais jamais pris autant mon pied. Je pompais les bites tour à tour, en les branlant, et il y avait toujours quelqu’un pour me préparer le cul avec sa langue et ses doigts pendant que je me déchaînais. Tous me traitaient comme leur putain à tout faire, comme la lope que j’étais et j’étais encore plus excité de les entendre m’insulter. C’est François qui m’a enculé le premier alors que je suçais et branlais toujours ses potes. Camel avait déjà joui au Mic-Man mais il bandait toujours aussi raide. Kader, Sabri et lui m’ont sodomisé à leur tour l’un après l’autre. J’étais pris à la chaîne sans une seconde de répit. La partouze a duré deux bonnes heures et j’ai quitté le squat avec le cul complètement défoncé. Super content, quoi!

Date de parution originale: Octobre 2003
Auteur: Dorian
Titre: Défoncé dans un squat de banlieue
Rubrique: Niqué dans les caves de la cité

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