Mardi 28 juillet 2 28 /07 /Juil 08:12

 

gay homme

 

Les Canadiens [ET LE MONDE] sont de plus en plus ouverts à l'homosexualité, mais ce sujet reste encore tabou dans des résidences pour personnes âgées. Les vieilles mentalités sont encore bien présentes chez un grand nombre d'aînés.

 

Des personnes âgées sont donc forcées de dissimuler leur appartenance sexuelle, souligne la directrice du centre Care Living en Nouvelle-Écosse, Josie Ryan. Elle dit que pour eux, c'est comme devoir sortir du placard une deuxième fois.

Ce centre de soins essaie maintenant de créer un environnement sécurisant pour ces personnes. La semaine dernière, une femme de la communauté gaie est venue rencontrer la direction pour en discuter.

La femme s'inquiète que des aînés ne puissent parler ouvertement de leur orientation sexuelle et qu'ils soient victimes d'intimidation de la part des autres résidents.

Elle a rappelé l'importance d'avoir une stratégie pour encourager la diversité dans le centre. L'institution travaille donc avec des groupes d'aide pour y arriver.

Il y a deux ans, un projet de centre pour aînés homosexuels a été abandonné, car le centre aurait été trop gros pour le quartier. Le centre Care Living à Northwood a donc eu l'idée d'offrir une aile réservée à ses bénéficiaires homosexuels. Par contre, le centre était incapable de remplir tous les lits. Josie Ryan ajoute que la porte n'est pas fermée. « Nous devons continuer nos recherches et en discuter avec nos résidents pour être certains qu'ils sont ouverts à une aile réservée. »

Pour une cinquième année, le centre Care Living participera au défilé de la Fierté gaie à Halifax samedi. Le drapeau de la Fierté gaie vole également fièrement devant le centre, ce qui a bouleversé quelques résidents. « C'est une belle façon d'ouvrir les discussions sur le sujet et d'éduquer nos résidents au sujet de l'homosexualité chez les aînés », explique Mme Ryan.

Elle assure que les réactions sont surtout positives. « Pour ce qui est des réactions négatives, nous répondons aux résidents que nous sommes une communauté ouverte et inclusive, que ce soit pour la communauté LGBT ou les groupes ethniques ».

 


Par INFOLETTRES ca COPIE claudio - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 28 juillet 2 28 /07 /Juil 00:48

le sexe est présent partout

mais qui s'en plaint ?

 

EXCUSE-MOI D'INTERROMPRE TA LECTURE EROTIQUE, MEC... “Guys, no. stop. guys….”

Chad sweet talked the boy into following him to his room, only Bronx took a key from the porter for the far west end

 

Dès qu'elle est cause d'inappropriation sociale, il faut s'en guérir (études, emploi, famille…) mais sinon on s'emmerderait tant sur Terre sans le sexe !

 

of the hotel,less used, quiet and has been used by the duo many times before last year.

 

“Guys…let me go…it’s too big…aaahhh  arghhhh“...

 

  •    MALADE MOI ???? laissez-moi plutôt à mon doux délire ! Une question ? et si l'image suffisait déjà sans passer à la baise, juste une branlette ? Et alors qui ça gêne ?  (ndlr)

 

Allo ?  C grave docteur ?

 

Article extrait du spécial sexe DES iNROCKS :

Plutôt que d'en faire un problème, qui pourrait lui paraître insurmontable, le dépendant préfère se concentrer sur l’aspect agréable de son addiction, et il passe sur le reste.”

 

"Shame" de Steve Mc Queen (2011).

Ils ne pensent qu’à ça, ne vivent que pour ça. Simple obsession du plaisir ou pathologie grave qu’il faudrait soigner ? Actifs, assumés ou repentis, des sexooliques se racontent.

"Un corps nu, inerte comme un gisant de cathédrale. L’homme, trentaine racée, fixe le plafond, l’oeil vague et lessivé. Son sexe est pudiquement caché par l’élégant drapé bleu métal d’une parure de lit. [...] L'ennui gagne tout l’espace. Dans l’intérieur dépouillé et high-tech de son loft new-yorkais, Brandon, le héros de SHAME(la honte)  le film de Steve McQueen, entame son rituel matinal, chaque jour répété : un tour au salon pour écouter les messages sur son répondeur, toujours les mêmes, les suppliques lascives et insistantes de femmes qu’à l’évidence il ne reverra jamais. Qu’importe, de toute façon il ne les écoute pas, déjà dans la salle de bains, occupé à se masturber sous la douche, caresses mécaniques dont il tire une jouissance fugace. Plus tard, au bureau, à la moindre contrariété, pour évacuer le stress ou juste tromper la morosité qui suinte de l’open-space aseptisé de sa boîte de consulting, c’est dans les toilettes qu’il ira se branler, encore et encore."

 

Brandon est ce que l’on appelle un sex-addict, un compulsif qui a besoin de ses shoots de sexe plusieurs fois par jour. Dès l’apparition d’une pulsion, il lui faut l’assouvir immédiatement : masturbation, consultation frénétique de sites pornographiques, recours aux services de prostituées ou quête hallucinée de partenaires dans des bars, des backrooms, dans la rue, partout où l’occasion se présente, et ce jusqu’à la prochaine crise. Un cycle sans fin, et l’on comprend pourquoi le cinéaste a choisi la répétition comme figure de style pour décrire le quotidien désolé de son héros, rythmé par cette chaotique consommation dans laquelle il se consume.

L’hypersexualité du libertinage à la pathologie

Comme le Brandon solitaire et malheureux de Shame, auquel Michael Fassbender prête ses traits impavides, le sex-addict semble depuis quelques années avoir investi le champ de la fiction. Des romans (Choke, de l’Américain Chuck Palahniuk), des séries télé (Californication, Nip/Tuck) et des films (Shame donc, mais aussi Entre les jambes, thriller pataud avec Javier Bardem) se sont emparés du sujet, trouvant dans la figure de ces hommes au chibre hyperactif bien que mélancoliques un puissant matériau narratif. Peut-être parce qu’ils incarnent les paradoxes d’une époque où le sexe est présent partout – comme une tentation à laquelle on ne voit aucune raison morale de résister -, mais où les derniers bastions du puritanisme se sont réfugiés dans des questions sanitaires difficilement réfutables.

 

Pour le dire autrement : aborder l’hypersexualité sous l’angle de la pathologie (une addiction, dont le drogué serait l’esclave) et non du libertinage, d’un usage débridé des plaisirs, n’est-ce pas une façon de réduire la liberté – celle de disposer de sa sexualité comme on l’entend – à son exact opposé, une aliénation dont on ne peut sortir, une prison ? Et, par là-même, une manière de pérenniser un certain ordre moral ? “Non, vraiment pas”, estime le psychanalyste Jean-Benoît Dumonteix, auteur, avec la journaliste Florence Sandis, de Les Sex-Addicts – Quand le sexe devient une drogue dure, premier ouvrage français traitant de la dépendance sexuelle.

“Le sex-addict n’est pas un libertin. C’est un être assujetti à sa sexualité. Ces personnes utilisent le sexe comme un pansement psychique à des émotions négatives auxquelles elles se sentent incapables de faire face et se réfugient dans la sexualité compulsive parce qu’alors plus rien d’autre n’existe. Tant que le sujet reste maître de son comportement et que le plaisir est une réponse au désir, on n’est pas dans la dépendance. En revanche, lorsqu’on perd le contrôle et qu’on en souffre, on bascule dans l’addiction. Il est difficile de faire comprendre qu’un excès de sexualité puisse engendrer de la souffrance, alors qu’on admet volontiers que le manque de sexe et la frustration en soient une. Pourtant, quand le sexe devient une obsession, que le sujet est capable, pour assouvir ses pulsions, de mettre en péril sa santé, sa situation professionnelle, sa vie sociale, familiale, affective et plus généralement son état psychique, oui, cela devient une pathologie.”

Le sexoolique est son propre dealer

 

DROGUE DURE HiHi (ndlr)

Laisse-les dire : Ainsi, le sexe à haute dose, n’importe où, n’importe quand, avec n’importe qui, serait aussi envahissant et tyrannique qu’une drogue dure, si l’on en croit la dizaine de témoignages intenses et saisissants que les auteurs ont recueillis, essentiellement auprès d’hommes – hétéros et gays de milieux divers. Quelques femmes, plus rarement concernées par cette étrange maladie qui toucherait environ 5 % de la population, ont aussi témoigné.Cette pathologie du comportement sexuel présente les mêmes symptômes que d’autres addictions telles que l’alcoolisme ou la toxicomanie. A une différence près, non négligeable : le produit consommé n’est pas extérieur. Le sexoolique, comme on l’appelle parfois, a pour ainsi dire sous la main la substance dont il dépend – son sexe. Impossible de le mettre complètement à distance. Il peut en disposer en permanence. Le sex-addict est son propre dealer.

Dans Choke, le parallélisme entre sex-addiction et toxicomanie est exposé sans détour.

“Les orgasmes inondent le corps d’endorphines qui tuent la douleur et vous tranquillisent. Les drogués du sexe sont en fait drogués aux endorphines, pas au sexe. (…) Pour un drogué du sexe, vos doudounes, votre queue, votre clito, langue ou trou du cul, c’est une dose d’héroïne, toujours là, toujours prête à servir.”

Ah bon ! ça va mieux en le faisant ?

 

Mais, contrairement au ramassis de paumés que Victor Mancini, le héros du bouquin, côtoie au centre des dépendants sexuels anonymes, la plupart des personnes que les auteurs des Sex-Addicts ont rencontrées et celles que nous avons interrogées sont très bien intégrées socialement et occupent souvent des postes à responsabilité.

“Dès mes premiers rapports, j’ai compris que je ne pourrais jamais m’en passer”

C’est le cas de Philippe, 55 ans, à la tête de plusieurs sociétés immobilières. Allure encore juvénile et mine épanouie, il reconnaît volontiers la place centrale du sexe dans sa vie mais ne semble porter aucun des stigmates de la souffrance décrits dans le livre. Pour cet homme qui avoue avec une pointe de fierté ne pas pouvoir dénombrer ses maîtresses passées, qu’il évalue à plusieurs centaines, ce qui motive son appétit, c’est la curiosité, la découverte de nouveaux corps, le plaisir des situations scabreuses et inédites, les mises en scènes ludiques, et surtout le désir de ne pas s’ennuyer.

“Dès mes premiers rapports, vers l’âge de 16 ans, j’ai compris que je ne pourrais jamais m’en passer, nous confie-t-il sur un ton joyeux. A cette époque, en pleine libération sexuelle post-1968, j’étais un beau jeune homme, plutôt efféminé, si bien que je plaisais surtout aux femmes cougars et aux pédés. J’ai commencé par me taper toutes les vieilles et quelques mecs au passage. Ce n’était pas mon truc mais j’étais content d’essayer. Jusqu’à ce que je rencontre ma première compagne, avec qui j’ai vécu une dizaine d’années, j’ai enchaîné les maîtresses à un rythme qui, quand j’y repense, me donne le tournis. Je pouvais faire l’amour trois ou quatre fois dans une soirée avec des femmes différentes. Quand on est gamin, ce qui compte, c’est la performance, la quantité, pas la qualité des échanges. Alors, évidemment, il arrivait qu’après un plan cul foireux je cède à la mélancolie. Le sexe, quand il n’y a aucun sentiment, c’est tout de même peu exaltant. Maintenant, je suis plus exigeant : pas question de m’ennuyer au pieu sinon autant rester chez soi et se branler !”

S’il affirme, l’âge aidant, s’être un peu assagi – “plus question de baiser plusieurs fois par jour, ça bouffe trop de temps et ça peut vite devenir obsédant” -, Philippe admet néanmoins que depuis l’avènement des réseaux sociaux il a vu augmenter le nombre de ses conquêtes.

“Célibataire depuis cinq ans, je partageais mes charmes avec trois ou quatre femmes, que je voyais régulièrement. Mais, depuis Facebook, je me retrouve dans une sorte de supermarché où l’offre et surtout la demande sont très importantes. On trouve énormément de misère sexuelle sur ces sites, alors je me sens le devoir de répondre à toute cette demande, presque pour rendre service (rires). Maintenant, je tourne avec une dizaine d’amantes, ce qui demande une énergie folle et beaucoup d’organisation. Si je n’avais pas autant besoin de sexe, je finirais par trouver cela lassant. A tout prendre, je préférerais être amoureux et atteindre l’extase d’une complicité intense et partagée. Mais, curieusement, plus j’ai de maîtresses et moins j’arrive à tomber amoureux.”

Une forme de capitalisme sexuel ?

 

Et si s’investir affectivement  n'était absolument pas nécessaire ? (ndlr)

Laisse-les dire : Le cas de Philippe n’est pas inédit : une hypersexualité qui revêt le masque du libertinage décomplexé. Mais dès que l’on gratte un peu, le vernis s’écaille : pulsions irrépressibles, consommation exponentielle de partenaires, induisant une difficulté à s’investir affectivement – ce qu’il déplore, apparemment. Si ce n’est pas une spirale addictive, ça y ressemble fortement.

“Beaucoup de sex-addicts sont dans le déni, nous confirme Jean-Benoît Dumonteix. Plutôt que d’affronter le problème, qui lui paraît insurmontable, le dépendant préfère se concentrer sur l’aspect agréable de son addiction, quitte à occulter le reste.”

 

Et alors ? je consomme et je m'en fous n'en déplaise aux toubibs et intellos torturés ? sans parler des furies députées, sénatrices, ministres qui voudraient châtrer le monde entier ! ? (ndlr)

Laisse-les dire : Autre chose frappante dans la parole des sex-addicts : leur vocabulaire n’est pas sans rappeler une logique consumériste – “supermarché”, “offre et demande”, nous disait Philippe avec humour… Ce discours semble souligner l’homologie entre la consommation compulsive de sexe et l’idéologie capitaliste. Comme si le capitalisme, qui essaime dans tous les champs de l’activité humaine, avait aussi gagné la sphère de l’intime, colonisé la sexualité… La sex-addiction pourrait s’apparenter à une sorte de pathologie de la consommation, à un “capitalisme sexuel” où, dans la surenchère, il s’agit de déshumaniser l’autre, de le tenir à distance de soi pour pouvoir l’objectiver, le traiter comme un produit de consommation.

 

 

  Daddies house rules 

 

  OBEIS MAIS LACHE-TOI ! 

 

  C PAS LE BONHEUR ?  EH BEN  MAIS ON A LA JOIE  !!! 

 

 

 

Par les inrocks + claudio - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 28 juillet 2 28 /07 /Juil 00:02

clips souvent amateurs :  

 

 

 

 

20cm de bonheur

 

 

 

webcam :

 

 

 

confiant à juste titre !

 

 

 

avec asian ! hummmmmhhh

dire que c'est cho ne suffit encore pas !

 

hummmmmhhh C pas le grand amour, mais ça aide !

 

 

 

 

 

Par lesdepanneurs.com - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 27 juillet 1 27 /07 /Juil 23:52

 

 

 

 

 

 

 

En fin mars 2011, sous la pression de mouvements gays, Apple a dû retirer une application créée par l’organisation chrétienne américaine Exodus International téléchargeable sur ses produits iPhone et iPad, et dont le but était de guérir de l’homosexualité. L’entreprise avait d’abord accepté cette application appelée « gay cure », censée, selon ses concepteurs, délivrer ses utilisateurs de l’homosexualité grâce au pouvoir de Jésus…

On ne s’étonnera pas qu’un groupement chrétien dont la mission déclarée est de « mobiliser le corps du Christ pour enseigner la grâce et la vérité à un monde impacté par l’homosexualité » (1) cherche à utiliser les moyens d’aujourd’hui pour propager sa « bonne parole ». On s’étonnera plus de l’accord d’abord donné par Apple pour distribuer cette application via sa plateforme de téléchargement iTunes. Considère-t-on chez Apple que l’homosexualité est une maladie dont il faudrait guérir ? Plus prosaïquement, Steve Jobs, directeur général de Apple, a d’abord dû voir là une possibilité de toucher un nouveau public. Suite aux réactions des mouvements homosexuels, il a finalement considéré, semble-t-il, qu’il risquait de perdre bien plus de clients que d’en gagner dans cette affaire.

 

Une dépsychiatrisation récente

 

Mais revenons à la question de départ : l’homosexualité est-elle une maladie ? Il n’est pas si loin le temps où la psychiatrie au niveau international et quantité de psychanalystes, de même que des comportementalistes, considéraient qu’elle en était une.  Ainsi, ce n’est qu’en 1973 que l’homosexualité fut retirée du controversé Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (le fameux DSM) édité par l’Association Américaine de Psychiatrie. Deux arguments avaient cours à l’époque (2), que l’on retrouve encore aujourd’hui : un argument psychologique, selon lequel l’homosexualité (masculine) est causée par un environnement familial défaillant, où la mère est trop proche de son fils et où le père est absent (soit qu’il n’est effectivement pas là, soit qu’il est à l’écart de la relation fusionnelle mère-fils, ne jouant pas son rôle de tiers séparateur permettant l’individuation) ; un argument biologique, selon lequel l’homosexualité est contre-nature.

 

L’homosexualité due à un « trop de mère » ?

 

Il n’est pas rare de noter dans l’histoire des personnes homosexuelles une forte présence du maternel. De là à dire que c’est de la faute des mères si leur fils sont homosexuels, il y a un pas trop vite franchi. Tout d’abord, ce que l’on peut appeler le maternel ne se réduit pas à la mère. L’évolution de notre société montre que les pères peuvent assumer des fonctions habituellement dévolues aux mères : nourrissage, échange de tendresse et affectif…  Les notions de « maternel » et de « paternel » sont des constructions culturelles ancrées dans la structure familiale comme réalité sociale, elle-même le fruit de l’histoire (et non inscrite dans la nature). Ces termes traduisent une répartition des rôles socialement élaborée, tout autant que la définition des rôles eux-mêmes (le nourrissage, l’affection et la sensibilité, un rapport fusionnel pour le maternel ; l’autorité et l’incarnation de la loi et de l’interdit, un rôle de tiers séparateur défusionnant pour le paternel). Partant, des pères peuvent être maternels, et des mères paternelles. Enfin, un même individu peut être à la fois paternel et maternel.

 

Dans un couple et la relation de celui-ci aux enfants, la question de la fusion-défusion se joue avec tout le monde, et non avec la seule mère, dont l’enfant ne désirerait pas défusionner. L’approche systémique des familles et des couples est là pour rappeler que ces groupes, dont le couple est le plus petit possible, sont des ensembles organisés, et non la somme d’individus.

 

En outre, l’idée de « faute » pose problème. Certes, on comprend bien que pour qu’un enfant se développe psychologiquement, il faut qu’il puisse s’individuer, et donc défusionner. Mais lorsqu’un parent est trop fusionnel et entrave ainsi le développement psychologique de son enfant, attribuer toute la responsabilité de cela au seul parent revient à nier que celui-ci s’inscrit dans une histoire personnelle qui prend elle-même pied, à travers notamment sa famille, dans la société à laquelle il appartient. Là encore, l’approche systémique rappelle que la société est un ensemble organisé, et non la somme d’individus dont la constitution ne devrait rien à cet ensemble. Ainsi, dans le cas où une relation fusionnelle serait instaurée de manière trop prolongée pour des raisons de réparation narcissique, il faut rapporter ce comportement à la culture du narcissisme qui est celle de la société.

 

Autre problème : considérer l’homosexualité nécessairement comme le résultat d’un développement psychologique entravé, voire interrompu en cours de route, par rapport aux hétérosexuels. Le problème est ici double : cette position présuppose d’abord qu’il existe réellement un développement psychologique idéal, et que les troubles ou pathologies résultent des écarts constatés relativement à ce développement ; elle laisse entendre par ailleurs que les hétérosexuels auraient eu un développement psychologique « normal », non interrompu dans ses différentes étapes. En somme, la caractérisation de l’homosexualité comme pathologique repose sur autre chose que la vie réelle, qui est faite de problèmes et de souffrances. Il faut d’abord rêver une vie idéale, servant d’étalon de mesure pour la vie ici-bas, pour adopter une telle vision non seulement de l’homosexualité, mais aussi de l’hétérosexualité – et plus largement de la sexualité en général.

 

De plus, la réduction de l’orientation homosexuelle à une dimension psychologique méconnait le poids de l’organisation sociale dans les pratiques et les orientations sexuelles. A l’époque de la Grèce antique, l’homosexualité, qui avait un sens différent de celui qu’elle a aujourd’hui dans nos sociétés, s’inscrivait dans un rôle éducatif : des hommes d’âge mûr entretenaient des rapports pédérastes avec de jeunes hommes (ceux qu’on appelle aujourd’hui des adolescents), dans un but initiatique de formation des élites (3). Le fait que l’homosexualité soit aujourd’hui comprise comme une orientation sexuelle d’ordre privée, et non plus comme une institution jouant un rôle dans la formation des élites, tient à l’évolution de la société et pas seulement à des « dérives » psychologiques. La psychologisation à outrance est d’ailleurs elle aussi, au passage, un phénomène socialement construit.

 

Enfin, lorsque des homosexuel-le-s souffrent de leur homosexualité, le poids du regard de la société est ignoré si l’on réduit la question de l’homosexualité et de la façon de la vivre au seul schéma du développement psychologique dans le milieu familial. L’homosexualité est une souffrance dans une société qui la stigmatise. Dans une société qui ne la stigmatise pas, elle est bien mieux vécue. Les éventuels troubles que l’on peut constater chez des personnes homosexuelles ne tiennent donc pas à une nature pathologique  de l’homosexualité, mais au regard pathologisant de la société sur l’homosexualité – à quoi s’ajoute le fait que les homosexuel-le-s n’ont pas de raisons d’être moins sujets à des troubles psychologiques que n’importe qui d’autre.

 

L’homosexualité contre-nature ?

 

Pour que quelque chose soit défini comme contre-nature, il faut poser une nature de référence. Et pour affirmer que l’homosexualité est contre-nature, il faut faire de l’hétérosexualité une réalité naturelle. Or, elle ne l’est pas. Bien sûr, pour faire des enfants, il faut la rencontre de gamètes mâles et de gamètes femelles. Cette rencontre s’opère dans l’immense majorité des cas par les rapports sexuels entre hommes et femmes. Mais s’appuyer sur ce qui se donne comme un fait de nature pour dénoncer l’homosexualité revient ici à réduire la sexualité à la procréation – qui peut par ailleurs se faire aujourd’hui sans aucun rapport sexuel (fécondation in vitro). Or, d’une part, la sexualité ne se réduit pas à la procréation, et elle ne consiste même essentiellement pas en la procréation, si l’on considère le nombre de rapports sexuels que l’on a en vue de faire des enfants, et ceux que l’on a pour le seul plaisir. D’autre part, tous les comportements humains, même ceux les plus commandés par des nécessités naturelles (se nourrir, dormir…), prennent d’emblée une dimension culturelle, dans le sens où ils s’inscrivent dans un univers de sens construit par la société. Autrement dit, l’argument de la nature n’est pas recevable, car si on devait l’appliquer, il faudrait que l’être humain nie qu’il soit un être de culture – ce en quoi il ne serait plus humain.

 

Pour finir

 

Il résulte de tout ceci que l’homosexualité ne saurait être considérée comme une maladie, et qu’elle n’a donc pas à être guérie. Que des personnes homosexuelles puissent éprouver des difficultés ne suffit pas à faire de l’homosexualité une pathologie, pas plus que les difficultés que rencontrent les hétérosexuel-le-s ne tiennent spécifiquement à leur hétérosexualité. Si des relations trop fusionnelles dans l’enfance peuvent poser des problèmes d’individuation qui auront des répercussions dans la vie adulte – et notamment dans la vie amoureuse –, le problème porte sur ces relations, non sur l’orientation sexuelle. Des hétérosexuels peuvent d’ailleurs avoir aussi des problèmes d’individuation.

 

On notera enfin que les arguments pour stigmatiser l’homosexualité ne portent généralement que sur l’homosexualité masculine. L’homosexualité féminine, elle, paraît négligeable à ses détracteurs lorsqu’ils parlent d’homosexualité et qu'ils prétendent dire quelque chose d’universel sur celle-ci…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 27 juillet 1 27 /07 /Juil 01:49

  FICTION /: 

 

", non. Arrêtez. Les gars !"
Tout le monde les a appelés "les Bouledogues", pour leur comportement féroce, sauvage, féroce que ce soit sur le terrain ou en ville . Les bouledogues viennent juste d'avoir une victoire majeure ce soir. Ils étaient les favoris pour la finale. Personne n'en a douté pendant une seconde. Leurs fans les ont adorés et  ça a rendu les gars de l'équipe encore plus arrogants. 
Billy Greenson, un garçon de ferme qui était venu de la maison pour  voir le match a trouvé par hasard l'équipe dans le hall de l'hôtel. Le garçon a été ravi  de présenter ses respects à Tchad et à Bronx. 
Tchad a parlé gentiment au garçon et l'a invité à venir dans sa chambre pendant que Bronx est allé emprunter une clé à la réception. Cette clé est celle d'une chambre éloignée dans l'aile ouest de l'hôtel. Chambre calme et isolée que Tchad et Bronx ont utilisée plusieurs fois l'année dernière surtout pour fêter les victoires avec des supporters. 

-" Non les gars, laissez-moi sortir...c'est trop gros...aaahhh

-"Allez, suce-la ma belle queue...Elle te plaît, non ? disait Tchad tâchant de forcer les lèvres de Billy

  -"Allons te fais pas prier, écarte tes jolies fesses mon chou, tu veux nous faire plaisir, n'est-ce pas ? tu veux nous voir gagner hein ? " disait Bronx en présentant ses 20 cm sur le ferme petit cul de leur fan... 

coachandhisjocks: “Guys, no. stop. guys….”Everybody called them “The Bulldogs”, for their fierce, savage, ferocious behavior both on and off field. The bulldogs have just had a major win at the game tonight. They were the first team to reach the finals. Nobody doubted that for a second. Their fans worshiped them and this made the team players all the more arrogant. One such fan was Billy Greenson, a farm boy who had come all the way from home to watch the Dogs play. The boy chanced upon the team in the hotel lobby. The boy was thrilled to meet Chad and Bronx. Chad sweet talked the boy into following him to his room, only Bronx took a key from the porter for the far west end of the hotel,less used, quiet and has been used by the duo many times before last year.“Guys…let me go…it’s too big…aaahhh““Come on suck on it” said Chad forcing billy’s mouth on his 7 inch cock.“Spread that pussy for me boy! You want us to win tomorrow, right?” said Bronx as he tried to push his thick 8 inch hard dick into billy’s tight boy pussy.Coach and his Jocks    

 

secretslice: Zach didn’t believe it when Jay told him he’d make him feel things his girlfriend couldn’t make him feel. Boy was he wrong.http://secretslice.tumblr.com

 

secretslice: “Oh my god Uncle Pete. Fuuccck…”“Shut up, sport or your mom will hear us. Stay still. I’m about to cum.” http://secretslice.tumblr.com

 

iammegadaddyissues: It’s finally happening. We’d been building up to it for some time. Our horse play of late had become excessive, concluding as usual with me pinned beneath Him begging for mercy and Him grinning the whole time. Wrestling is just an excuse for me to feel His muscle at work and to be close to Him.  Our friendship has always been hierarchical - i the worshipful beta, the comedic sidekick and He the popular and charismatic Alpha, the natural jock. But my adoration goes well beyond that of a best friend and the pleasure He gets in physically dominating me belies a greater inside Him as well. Until now we’ve both lacked a way to authentically express how we feel towards one other. But now everything is changing.Until today, we’ve never wrestled nude before. What started as a playful towel snap to the ass has led to a full out struggle as we wrestle on our feet. The second i feel His cock slap against my thigh i weaken instantly. He takes advantage of it, throwing me to the bed and crawling on top of me, pinning me beneath Him.  I feel His cock burning against my flesh. He is getting hard. We both are. We’re panting, our hearts racing, our bodies rubbing intimately together as one. We stare into each other’s eyes and then it just happens, as naturally and spontaneously as though we’ve be doing this for years. The playful smile slowly fades from His face replaced by a somewhat more serious look of conquest and dominance. It’s sexy as hell and it instantly makes my stomach clench.  His cock is rock hard now, dripping precum off the swollen shaft. It’s the first time i’ve seen i’ve seen His cock hard and it’s beautiful, if not frightening. i want to touch it.  i want to take in my mouth. But i can’t move. His dick is much larger than i’d imagined it would be.  i realize my mouth is agape and dry.  i instinctively spread my legs, humbly and meekly looking into His eyes as He slips into position.  The sweat of our wrestling has lubed my crack and hole, making it slick and shiny. i feel His cock rubbing against me and with a firm jab He is suddenly inside me.  It happens too quickly for me to react but now that He’s inside me it hurts like hell. i squeeze tightly around his cock, moaning loudly as He immediately thrusts deeper, overcome perhaps by the pleasure of my tight hole massaging His throbbing cock. The look on His face is pure pleasure, the look of a Man claiming what is rightfully His. He keeps thrusting, hitting a wall inside me. Is this it, I wonder? He doesn’t think so, refusing to stop. i start to sweat as He pounds and jabs away, holding me down beneath Him. He leans down and kisses me and in that moment of passion i feel Him burst through something deep inside me. His cock fills me so completely that i cry out into His open mouth - in pain, in agony, in love. We’re kissing frantically now, holding and loving each other. He starts fucking me as i cling to the back of His thighs, pulling Him into me never wanting it to stop. He cums quickly, shuddering and moaning loudly as He erupts inside me with violent spasms. i am in silent awe, overcome by my ability to give Him such pleasure. We hold each other in silence as He collapse on top of me, the sweat of our bodies covering us. He is panting hard, resting, His cock still firmly inside me. He is not softening at all and within minutes He starts thrusting again. i feel His cum seeping out of my swollen hole.  We smile at each other as i start to cry tears of joy. He gently wipes the tears from my face as He starts fucking me once more.  i will never be the same.  Turningstraightboys.tumblr.com

Tu vois bien que maintenant tu aimes ça !   

domtop2u: I’m a foot taller than you, and out weigh you by 100 pounds little boi. I heard you have a tight little pussy and I’m going to stretch it out. So we can to this the easy way, where you turn around and give me that hole…or we can do it the hard way. You won’t like that hard way….Good! You made a wise choice, now arch that back, and take my cock, pussyboi. Turningstraightboys.tumblr.com

 

cummingoutside: Has to be the guy on the right… Or all of them cumming on my chest. I wouldn’t say no to either Step 1: get them drunkStep 2: suggest we go swimming

Les jeunes fans invités aux douches.

 

 

 

 

Faits saillants

Journal sportif du Québec

 

  • Les études dont nous disposons à l’heure actuelle montrent qu’entre 2% et 8% des athlètes mineurs sont victimes d’agression sexuelle dans le contexte sportif.
  • Dans une analyse de 159 cas d’agressions sexuelles survenus en contexte sportif et rapportés par les médias écrits, dans 98% des cas les agresseurs étaient des entraîneurs, des enseignants ou des instructeurs.
  • Les différentes études ayant documenté l’expérience vécue de jeunes athlètes ayant été victimes d’agression sexuelle montrent que la présence de certaines caractéristiques ou facteurs est récurrente dans les cas étudiés. Il va sans dire que l’ensemble des jeunes sportifs sont vulnérables aux agressions sexuelles et que la présence de ces caractéristiques n’implique pas forcément la victimisation*.

* on peut donc comprendre que certains participants le souhaitent et le cherchent et en ce cas peut-on parler d'agression sexuelle ?

 

Les joueurs de Peyriac et de Montréal autour d'un verre à la fin du match./ Photo DDM, Walter Desplas.

ci-dessus Joueurs en pleine euphorie à la fin d'un match

 

ci-dessous les troisièmes mi-temps qui virent à l'orgie sans tabous...

 

 

 

 

 

 

Par BILLY TCHAD BRONX - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : 15/12/2012

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