ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric

Lundi 11 décembre 1 11 /12 /Déc 01:18

comme des pros et sans inhibitions ces soi disant hétéros  réalisent le plan que leur propose le vieux vicieux qui les paie

 

  Dans les nombreuses séquences "Brokestraightboys"(ce qui veut dire garçons hétéros fauchés) nombre de garçons sont invités, pour du fric,  à changer de genre et sont donc mis à l'épreuve soit pour sucer (ou se faire) ou baiser  (ou se faire)

 


 

 

 Slob, slob, slob ! Vinnie sert de modèle à notre démonstration :

 

 Vinnie Steel est sur "le canapé du consentement" avec le "très fauché"(membre habitué) Colby Jones. Pour augmenter le contenu de son portefeuille,  «Vous n'avez rien à faire», dit Colby à son partenaire de scène. Le caméraman porte son attention vers Vinnie, se demandant comment il se sent avant sa première action homme-homme: "Je n'ai jamais eu d'actions physiques avec un mec, alors je suis un peu énervé", Vinnie dit. -" quel drame de garçon hétéro pour une simple fellation! LOL! Le caméraman est un peu surpris par cette réponse. "Tout ça c'est pour le tout-puissant dollar", note finalement Vinnie.
 

 

 

Pour calmer le débutant, Colby lui fait un massage. Les deux garçons ôtent leur chemise. Colby se place derrière Vinnie et frotte doucement ses épaules et son cou. Ses mains caressent la poitrine de Vinnie. Cela fait que le novice met sa main sur son entrejambe. Colby déplace sa main et la dirige doucement  vers "l'outil" de Vinnie . Il donne un baiser aux tétons et aux bras du jeunot. Tout ce qui l'avait stressé quitte Vinnie. La voix ordonne  "Suce cette bite" . Colby se met à genoux et lèche la verge de Vinnie. "de bas en haut," ordonne la voix. Colby aspire tout ce qu'il peut trouver usant de sa langue, caressant et pinçant  un mamelon.

 

Par BROKESTRAIGHTS - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 7 décembre 4 07 /12 /Déc 06:22

  changer la couleur du temps  

  Príncipe Eric Um belo pênis tamanho médio, meio ereto, branquinho com a cabeça rosada. Pelos aparados;  Le Prince Eric style BD  Un beau pénis de taille moyenne blanc et un gland rose  en semi érection,  des poils pubiens naturels... voilà les rêves que je peins ...en rêvant bien sûr ! 

 

Salut ! Un jour vous paierez l'entrée du musée pour voir mes oeuvres ! Comme tout bon artiste, j'ai un médium préféré. Certains artistes travaillent mieux à l'huile, certains à l'aquarelle, certains à la sculpture, et d'autres à la photographie. Mon médium semble être  la débauche,et, en tant que pro plein d'expérience(s) -lol- , je peux le modeler à ma guise . Ayant déjà vécu une orgie et fouillé dans les domaines du fétichisme et des trucs que les gens s'introduisent et conservent dans leurs trous, je me suis dit "Que reste-t-il?" et puis j'ai googlé certaines choses, je me suis endormi, je me suis réveillé le lendemain et j'ai eu une idée - la prostitution.

Avant de devenir fou,- je ne me suis pas vendu pour cet article-, mais je suis au courant d'une poignée de vérités éclatantes - il y a des escorts partout, et ils font tous de la publicité pour offrir à qui paie "de la compagnie". Quel genre de camaraderie un garçon que vous ne connaissez pas offre-t-il à un gentilhomme sans tabous avec de l'argent (mais sans excès
-lol-) ? Je veux dire, outre l'évidence du stupre, ce ne serait pas plus sur le sexe que sa transcendance. C'était une expérience picturale que je cherchais. Une émotion, certes, mais qui dépassât le simple désir...une émotion à partager avec mon public, ma clientèle potentielle.  

Je suppose qu'il y a toujours des jeunes  hommes qui travaillent dans des coins de rue dans le monde. On ne peut pas faire plus ni mieux "live" mais cela me semble bien plus tragique que les escorts en ligne, et je ne voulais pas donner dans ce style. Je suis con, je sais, puisque je viens de me déclarer "sans tabous "!. Je suppose que certains ne seront certainement pas d'accord - je ne suis pas contre la prostitution. Exploitation? Absolument ! mais exploitation de soi-même avant tout ! Je pense que si un homme adulte qui a le contrôle de sa propre vie veut faire payer de l'argent pour des services sexuels, ce n'est pas très différent de quelqu'un d'autre qui demande des services de massage ou d'être un clown à votre fête d'anniversaire ou même de nettoyer votre voiture ! Si cela vous dérange, c'est probablement parce que vous avez un problème, pas eux.

Naturellement, je suis opposé à la traite humaine, l'esclavage sexuel, la prostitution des mineurs, la violence et la toxicomanie, mais je crois vraiment qu'une personne peut vendre du sexe et ne pas être impliquée dans tout ça, tout comme vous pouvez être fumeur et ne pas être impliqué dans les cartels de la drogue, la décapitation des prisonniers de daesch ou des ayatollas. Non plus que la mafia,  le crime organisé, le vol et liés à toutes sortes de stupéfiants incluant la métamphétamine ! Ensuite ne m'emmerde  pas avec "l'exploitation" !

Quoi qu'il en soit, il existe un certain nombre de sites Web auxquels on peut accéder et qui donnent des listes détaillées et des annonces d'escorts dans la région, selon la taille de la ville où on vit. Sur le net on en compte des centaines. Comment choisir le bon?

Beaucoup de mecs que j'ai remarqués offrent des choses comme des demi-heures, ce qui n'est pas du tout ce que j'ai en tête. Fondamentalement, je voulais louer un ami pour la journée qui traînerait avec moi et prétendrait extérieurement  être intéressé et attiré par moi. Comme Richard Gere dans Pretty Woman, je suppose, seulement après je ne voudrais pas laisser tomber mon compagnon d'un jour ! (je serais comme ça ! je m'attache  à qui j'ai baisé (ou m'a baisé !)
 lol-peint).  Cela nécessiterait quelques heures. Et si 100 € est l'habirude pour une demi-heure, j'allais probablement faire faillite si je le "prenais" pour un jour entier !

Tout de suite, j'ai remarqué une poignée de faits amusants sur les hommes qui travaillent dans ma région. Il y a un certain nombre de trans asiatiques ou brésiliens à grosses bites qui font presque exactement la même publicité et, si je devine, ce sont soit des virus qui vous rançonnent la connection, soit des types qui attendent de me poignarder et de prendre mon portefeuille. Donc c'était un NON! catégorique. Et, autre méfiance aussi : toute personne de plus de 30 ans se dit "mature", et, comme les politiques, ils montrent souvent des photos plus anciennes de leurs corps.

Je connais plus d'un peintre assez friand de cul Il faut voir les odalisques d'Ingres ! Le cul est merveilleux à peindre.

Image associée je suis fan de  Tali Farchi

  Image associée Degas

Moi c'est le cul d'Homme, mais, pour être grossier, je fais mon marché sur le net...marché à la viande, mais une viande qui a du sens pictural. Pour bien choisir ne dois-je pas voir plus d'un cul ?Tout le monde a un cul. Si vous me montrez simplement votre cul, je ne peux même pas dire si vous n' êtes pas une femme.  Alors je ne regarde pas que le cul ! Peut-être que je suis démodé, mais j'aime que les gens aient des gueules. Dans les visages pas besoin de retenir ceux qui ont une expression triste. La tristesse est l'ambiance la moins répandue sur les photos d' escorts,bien que certains ont flouté leur visage de peur d'être reconnus, alors ceux-là ont peu de chance que je les contacte ! Payer pour du sexe, ok, mais autant que ce soit dans son ensemble : allure-corps-bite-cul, sourire+je-ne-sais-quoi... etc.

Comme je cherche vraiment à passer du temps avec la personne que je choisirais, y compris des heures de pose voire de conversation un peu intime  plutôt que de simplement plonger sur eux aussitôt dans une chambre d'hôtel, j'ai décidé d'éliminer toute perspective de moins de 25 ans. Je suis sûr qu'ils sont tous super sympas , mais l'idée d'essayer de discuter avec un prostitué de 19 ans pendant que nous mangeons des nachos me semblait être la mise en place d'un film terrible qui finit par me tuer par empoisonnement à l'alcool. -lol-

Image associée

 

En fin de compte, j'ai opté pour un homme qui prétendait avoir 30 ans, intelligent et souple et qui a le plus bel arrière que j'aie jamais vu. En fait, j'ai allumé ma prope wencam en vidéo conférence et en définitive,...c'est moi qui ai été vendu -lol-  

  Image associée excellent modèle !   Résultat de recherche d'images pour "gay porn humor painting butts with dick" et lui, pas moins !  

 

Image associée

 

 

fresque :

 

 Ingres peint savamment le cul en ayant soin d'y faire apparaître une difformité !

Résultat de recherche d'images pour "ingres cul d'odalisque détail"

     aujourd'hui tout un chacun est photographe ...ou modèle -lol-

  Image associée  même le plumeau n'est pas innocent !  

 

Image associée oui, mais fais voir ton cul aussi

 

Image associée des nachos ou des tortillas...

 

 

Par DECIMUS MACSIMUS - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 11 novembre 6 11 /11 /Nov 08:51

         Complément d'enquête. Les dealers d'ados - 9 novembre 2017 (France 2)

Depuis deux ans, une soixantaine d’enquêtes de police ciblent les nouveaux "macs de banlieues", des petits trafiquants qui s’improvisent proxénètes et forcent des jeunes filles de leur cité à se prostituer. "Complément d’enquête" a remonté la piste d’une "maquerelle" et de son acolyte.
Ils ont la vingtaine, et après un passé de petits trafiquants, s’improvisent proxénètes. Depuis deux ans, une soixantaine d’enquêtes de police ciblent ces nouveaux "macs de banlieues".

Rien à voir avec les réseaux criminels d’Europe de l’Est, les délinquants font travailler des jeunes filles de leur cité, souvent mineures. Une prostitution de proximité, entre copains, mais au mode opératoire violent. "Complément d’enquête" a remonté la piste d’une "maquerelle" et de son acolyte à Argenteuil. Pendant des mois, ils ont forcé des "amies" ados à enchaîner les passes dans leur appartement transformé en maison close.

Une enquête de Rola Tarsissi diffusé dans "Complément d'enquête" le 9 novembre 2017. 

- « Esclavage, prostitution : les nouveaux trafiquants » 

C’est la nouvelle manne des trafiquants : le racket de migrants. Avant même d’atteindre la Méditerranée, des centaines d’hommes et de femmes venus d’Afrique se font kidnapper au cœur du désert libyen, torturer, et rançonner de plusieurs centaines d’euros. Plongée dans l’enfer de ces migrants, et de celles et ceux qui sont réduits à l’état d’esclaves… parfois à deux pas de chez vous. Dans certaines banlieues françaises, ce sont des mineures enrôlées de force comme prostituées. Dans les quartiers chics de Paris ou de Londres, ce sont des jeunes filles au pair corvéables à merci. Complément d’enquête sur ces nouveaux trafics d’êtres humains, de la Libye à l’Angleterre, en passant par la Seine-Saint-Denis. 

  Rien à voir avec les réseaux criminels d’Europe de l’Est, les délinquants font travailler des jeunes filles de leur cité, souvent mineures. Une prostitution de proximité, entre copains, mais au mode opératoire violent. "Complément d’enquête" a remonté la piste d’une "maquerelle" et de son acolyte à Argenteuil. Pendant des mois, ils ont forcé des "amies" ados à enchaîner les passes dans leur appartement transformé en maison close.  

 


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Par extrait COMPLEMENT D'ENQUETE - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 3 novembre 5 03 /11 /Nov 00:35

LE PREMIER WEEK- END SCATO SM avec notre ancien prof de gym gay SM ; une journée de Sodome !  

      Monsieur Lepage en goguette dans un bordel retrouve, sans gène aucune deux anciens élèves prostitués aujourdhui

  fiction enjouée

    Maxime  nous raconte le réveil de  JULIEN  

Je rêve que je suis bien dans mon lit, qu'une langue me lèche partout et que je bande très fort... Quel délice! Soudain, je m'aperçois que ce n'est pas un rêve! Je réalise que je suis offert pendant deux nuits aux caprices de beaux salauds. Je pense que c'est Julien qui me chatouille avec sa langue et je l'aperçois à côté de moi, encore plongé au pays du sommeil réparateur... Je dresse la tête pour reconnaître tout de suite le crâne de Lepage!

— Monsieur Lepage!

— Surprise! Je n'ai pas tenu longtemps sans te voir; j'ai donc payé un supplément pour t'aider à te réveiller. Ça te plaît?

— Génial! Vous avez réussi à me la rendre toute raide!

— Pas difficile le matin! Ta vessie doit être pleine; elle appuie sur ta prostate... [TOUJOURS AUSSI PEDANT LE PROF ! lol ]

— C'est la première fois que je suis réveillé par un léchage; c'est bon!

— C'est bon aussi pour moi car j'ai enfin utilisé ma langue pour te décalotter; quelle sensation! J'attendais ça depuis des années!

— Hein?

— Je te raconterai tout ce que j'ai eu envie de te faire et à quelles occasions et que j'ai chaque fois refoulé... à cause de l'interdit!

— Vous allez réveiller aussi Julien? Il est bientôt midi!

— Peut-être pas de la même façon...

Julien est sur le dos; il offre à nos regards connaisseurs une jolie bite et une magnifique paire de couilles bien étalées sur son bas-ventre parfaitement épilé. Lepage prend une branche d'orties et la passe délicatement sur ce beau paquet rose. L'effet est immédiat: la fine peau de ses couilles se resserre et sa queue s'allonge pendant que Julien sursaute:

— Quoi? Aie! Salauds! Enculés! Vous m'avez bien eu!

Se rendant compte de la situation, Julien a un sourire coquin et manifeste sa joie d'être supplicié aux orties.

— Ça brûle mais c'est vachement bon! Encore!

Lepage n'hésite pas et reprend la caresse de la plante urticante.

— Oui! Putain, ça fait maaaaaal! Et sur mon cul? dit-il en soulevant ses cuisses.

Lepage prolonge le contact dans la raie du petit Julien en insistant sur l'anus.

— Ah! Ah! Y'a rien de meilleur! Mais qu'est-ce que ça brûle!

Je lèche alors toute les parties atteintes pour apaiser sa douleur pendant que Lepage me prend la bite entre ses lèvres. Il pousse Julien et se place en 69 au-dessus de moi. J'avale sa grosse bite tandis que ses couilles se posent sur mon nez.

— Et moi? clame Julien!

— Encule-moi! lui dit Lepage tendant bien son derrière pour cet assaut.

J'ai une vue imprenable sur l'entre-cuisses de Lepage et je vois la bouche de Juju investir le trou du prof; il crache, il lèche et la salive abondante finit par couler le long des poils du cul ainsi bien préparé. Soudain, c'est "objectif lune": une belle fusée munie de deux réservoirs tout ronds vient heurter le cratère; elle entre très profondément et d'un seul coup.

— Wouahhhh! Petit salaud. Tu n'y vas pas de bite morte!

— Han! Han! Han! Han!

Les coups de reins sont violents, au grand bonheur de Lepage qui accélère sa succion. Moi aussi, je goûte ardemment la bonne sucette qui me comble la bouche. Les cris annonçant la délivrance se succèdent.

— Ouiii! Ne ralentis pas! Ça vient! Ça y est, je gicle!

— Moi aussi! Tiens! Prends tout ça dans ta jolie petite gueule!

— Et vous! Sentez bien tout ce que je vous envoie dans le fond de votre cul?

De longs soupirs accompagnent les dernières gouttes. J'apprécie le foutre de Lepage et lui-même savoure le mien.

Nous sommes allongés sur le lit; c'est là que je demande à Lepage:

— Alors, dites-nous ce que vous attendiez de moi quand j'étais votre élève?

— Pendant tes années de quatrième et troisième, tu as été mon élève. Je n'avais d'yeux que pour toi car tu étais de loin le plus beau! Chaque semaine, je vivais pour les quatre heures que tu allais passer avec moi et, chaque soir, je me vidais les couilles que j'avais douloureuses d'avoir bandé pour toi! J'espérais chaque fois que tu porterais la tenue que je préférais: un short gris très court et flottant et un slip en coton blanc. Je maudissais les jours de mauvais temps et certaines activités qui nécessitaient un survêtement. Je m'arrangeais pour faire pratiquer les agrès et la gym au sol. Je pense que tu as remarqué combien je m'occupais de toi?

— Oui! Chaque fois qu'il fallait parer un mouvement ou modifier une position.

— Je guettais ton entre-cuisses et j'étais heureux quand l'écartement imposé me laissait voir ton slip et quelquefois une couille. J'étais ravi d'examiner tes belles cuisses fines et dorées sortant de ce short, révélant parfaitement tes formes sexuelles. Le meilleur a été atteint le jour où je t'ai suspendu à la barre fixe. Le contact, à même la peau tant ton tee-shirt était remonté, de tes hanches bronzées et fines, a déjà été merveilleux mais le plus formidable s'est produit après. Tu as accroché une jambe et par un mouvement de balancier, avec l'autre jambe tu as essayé de monter ton corps sur la barre. Je t'ai bloqué la jambe en arrière, en prétextant qu'elle n'était pas assez tendue et j'ai profité de la vue que tu m'offrais sans le savoir: ce n'était pas une couille qui sortait de ton slip ecarté mais carrément ta jolie bite entièrement recouverte d'un prépuce plissé à son extrémité! Que j'aurais aimé repousser cette peau si fine pour faire apparaître ton gland si frais!

— Je m'en souviens! J'ai senti comme un courant d'air dans mon slip!

— C'est exact! À défaut de toucher, j'ai soufflé sur ce que j'ai vu de plus beau dans ma vie; c'était ainsi comme une sorte de contact!

— J'aurais dû vous la donner, ma queue!

— Je n'avais pas le droit de te toucher... Quoique je l'ai fait à plusieurs reprises... très furtivement. Par exemple, pour te faire rentrer le ventre pendant un exercice, je posais ma main sur ton ventre et je poursuivais le mouvement plus bas en effleurant ton paquet. J'ai réussi à regarder tes poils: pour assurer une parade, en tirant sur la ceinture de ton short, j'avais attrapé, à pleine main et en même temps celle de ton slip; j'avais ainsi une magnifique vue sur une jolie toison naissante et si brune!

— Oui! Mais maintenant je suis épilé!

— J'ai aussi respiré ton haleine en approchant mon nez et ma bouche lorsque tu étais essoufflé. Que c'était excitant!

— Et le soir, vous vidiez vos couilles en pensant à moi!

— En tout, ça fait des litres, rien que pour toi!

— Que de gâchis! J'aurais pu prendre tout ça dans la bouche, sur le ventre ou dans le cul, plutôt que de gicler ça dans les chiottes, sur vos draps ou sur un mouchoir.

— Dommage que tu n'aies pas ici de slip et de short et qu'il n'y ait pas d'agrès! Nous aurions pu reproduire toutes ces années collège! Mais, j'y pense! Que dirais-tu de venir un jour chez moi? J'ai tout ce qu'il faut pour refaire cette gymnastique et pour aller au bout de mes pulsions: une barre fixe, un cheval d'arçon, un tapis de sol et un sling sont là pour satisfaire mes besoins. Si Julien aime le sport, il sera aussi le bienvenu! Je ne vais pas rater l'occasion de jouer avec deux corps aussi beaux et aussi disponibles! Alors d'accord tous les deux?

— Avec joie! Sans hésiter et, le plus tôt possible! répond Julien vraiment intéressé par cette nouvelle perspective de plaisirs.

— Dimanche prochain, 14h? Maxime, tu connais mon adresse?

— OK! Sans problème!

— Bon! Je vais vous laisser à vos prochains clients; je sais qu'ils vous veulent avec le cul et la vessie bien pleins. Alors retenez-vous! Ils arrivent bientôt... et, à demain pour une autre épreuve... mes jolis petits toutous!

Lepage nous embrasse à pleines bouches baveuses et nous laisse à de futurs ébats. Nous n'avons pas le temps de souffler que quatre types, plutôt quelconques mais avec de grosses queues entrent et nous reluquent:

— Regardez les mecs; je ne vous ai pas menti! C'est une affaire ces mômes-là!

— Ouais! L'aspect extérieur est super bandant mais il paraît que leur intérieur est plein de merde et de pisse!

— On va arranger ça! Placez-les sur les slings; je vais chercher ce qu'il faut.

— Ne vous inquiétez pas, petits enculés! Mon copain s'y connaît en sondes; elles sont stériles et on va vous graisser le bout!

La peur m'envahit; j'ai pas mal baisé de toutes les façons mais je ne connais pas encore la sonde. Ma culture sexuelle va faire un grand pas en avant! Deux tubes flexibles d'une trentaine de centimètres sont reliés à un tuyau branché sur une poche urinaire. C'est ça qu'il vont nous rentrer dans la queue?

Brrrr!

Je dois respirer un grand coup de poppers; ça prouve que l'introduction doit être douloureuse! On tient ma bite bien verticale et le tube commence sa pénétration...

— J'ai peur!

— Pas d'inquiétude! Juste deux petits passages délicats et on sera dans ta vessie. Tu verras après, tu auras envie de jouir!

L'opérateur procède doucement et je ressens des petites douleurs... très supportables! Le tube pénètre toute la longueur de ma bite... et même plus. Ça tombe bien car ma queue s'allonge... c'est impressionnant!

— Ça y est! On est dans ta vessie.

— Maintenant tu ne peux plus contrôler ta pisse. Regarde! Elle coule toute seule!

Effectivement, je vois mon urine remplir lentement la poche sans que je puisse arrêter l'écoulement. J'en bande! Un type me branle en douceur en suivant bien la direction du tube... Je finis par une éjaculation des plus agréables qui soit! Je ne sais pas où est passé mon foutre mais j'ai appécié! Un bourreau presse fortement mon bas-ventre vers le bas pour me vider complètement la vessie. Je jette un oeil sur Julien qui a subi le même traitement. Il a râlé bruyamment lorsqu'il a joui; c'est donc qu'il a énormément aimé! Ça ne m'étonne pas; c'est trop bon! Les sondes sont retirées... non sans douleur!

— Maintenant, mes petits salauds, on va vous donner un super lavement car votre cul est plein de merde dégueulasse... si j'en crois ce doigt!

Il exhibe son doigt sorti du cul de Julien. Il est marron très clair. Tiens! Notre merde de biscuits n'est pas si dégueulasse que ça! Je comprends pourquoi les tortionnaires des "cent-vingt journées de Sodome" s'en régalaient!

— Goûte moi ça! dit-il en fourrant son doigt entre les lèvres de Julien.

Il ne se fait pas prier et suce le doigt merdeux. Les poches de pisse sont suspendues au dessus de nos têtes et leurs tuyaux bien enfoncés dans nos petits culs! Là encore, c'est irrésistible!  

  Les poches se vident dans nos boyaux à toute vitesse. La sensation de ce lavement à la pisse encore chaude est exceptionnelle  mais le plaisir est de courte durée car j'ai de violentes douleurs dans le ventre et je suis à la limite de chier tout ça. Ils s'aperçoivent très vite que je vais tout lâcher et me bouchent le trou du cul avec un gros plug.  

— Pas trop vite, petit! Il faut que tu souffres! Et tu ne vas pas te vider n'importe où!

Je n'en peux plus!

— Pitié! J'ai trop mal!

Julien, lui, ne dit rien. Il tient encore!

— C'est lui qui va te servir de chiotte!

Son sling est déplacé et le corps de Julien est sous mon cul.

— Vas-y! Libère toi!

— Pardonne moi Julien!

— Tu auras ta dose juste après lui; t'en fais pas!

Je lâche tout sur le corps offert de mon ami. Je sens mon cul qui évacue bruyamment mon "intérieur" et j'entends le ravissement de nos bourreaux qui se branlent devant cette avalanche de merde pisseuse.

— Que c'est beau! Qu'il chie bien!

— Regarde le beau gosse, comme il est laid maintenant!

Effectivement, Julien a le corps recouvert de mes excréments... Et c'est à mon tour d'être en position inférieure et de prendre tout ce qui sort des boyaux de mon chéri! Tout dégouline sur mon ventre, mes couilles et mes cuisses... Ils ont apprécié le spectacle: il ont joui sur nos visages et nous ont forcé à récupérer avec la langue le foutre proche de nos lèvres. Ils nous envoient nous démerder sous la douche en nous intimant l'ordre de tout nettoyer.

Pendant ce temps nos quatre lascars vont se vautrer sur le grand lit avec des cannettes de bière.

Le nettoyage est long, désagréable... même si ça ne pue pas trop! Une dernière douche nous rend parfaitement présentables et un nouveau flacon de poppers répand dans la pièce une odeur très agréable.

— Approchez, les mignons! Maintenant que vous êtes parfaits dehors et dedans, on va s'amuser un peu!

— Apportez des bières et des biscuits!

— Allongez-vous sur nous, à plat ventre!

— Mastiquez des biscuits et venez nous nourrir!

Tandis que des mains parcourent nos fesses, nos reins et parfois tripotent nos couilles ou nous serrent la bite, nos bouches pleines se branchent sur leurs lèvres avides. Nous crachons tout leur contenu sur des langues gourmandes... Un incroyable mélange de langues, de biscuits ramollis et de salive provoque une excitation extrême! Les six bites sont très dures et nous devons soumettre nos petits culs à de simples puis, doubles enculages. Nos boyaux se chargent de foutre et nos bites giclent notre bonheur!

Rassasiés, nos quatre enculeurs prennent congé de nos culs dilatés et nous souhaitent une bonne suite à nos galipettes

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JULIEN ET MAXIME LE LOPAGE 

Nous avons passé une excellente nuit, pleine de rêves torrides et nous voici prêts pour une dernière journée de soumission. Il paraît que ce sera plus dur... Même Lepage et son copain ont promis d'être beaucoup moins gentils! "Mes chers petits toutous..." avait dit Lepage!

Quelques gorgées de bière viennent compenser la sécheresse des biscuits et nous sommes disponibles pour l'accueil de nos premiers clients. Soit dit en passant, le régime bière biscuits n'a rien de folichon! C'est juste pour l'intérêt du sexe... Bière = pisse légère; biscuits = merde peu abondante et peu odorante. Allez comprendre où va se loger l'appétit!

— À quatre pattes!

C'est le haut-parleur de notre généreux hôte qui nous ordonne la position à adopter! Comme prévu, Lepage et son ami font leur entrée:

— Max et Ju! Au pied !

Nous sommes leurs chiens et gare à celui qui manifestera un sentiment humain ou une quelconque réticence! Lepage est, bien sûr, mon maître; il pose sa bonne bite pas encore toute dure sur mon épaule tandis qu'il me serre le cou avec un collier. Qu'est-ce que j'ai aimé cette bite posée ainsi sur moi! D'une main il tient la laisse et de l'autre un martinet... ça promet!

— Assis!

— Debout!

— Couché!

— Fais le beau!

Il faut obéir immédiatement sinon on prend un super coup de lanières sur le cul. Julien est promené autour de la table; il passe près de moi et son maître lui ordonne:

— Lève la patte!

Julien doit pisser. La bite de Jul est dirigée vers ma gueule que je dois ouvrir bien grand. J'avale le beau liquide jaune pâle avec la plus grande précaution car si j'évite le jet, Lepage me donne un sacré coup de martinet sur les couilles... Je préfère en éviter le plus possible! Des couilles, c'est fragile!!! C'est à mon tour de lever la patte et Julien ne se fait pas prier pour déguster le contenu de ma vessie.

— Que fait aussi un bon chien que son maître promène?

— Sa crotte!

Les suggestions de nos deux salauds sont mises à exécution: on s'accroupit pour chier dans nos gamelles. De jolis petits étrons beiges sont ainsi récupérés.

— Que fait un bon chien quand il s'approche d'un autre chien?

— Il lui sent le cul!

Sitôt dit, sitôt fait: je renifle l'anus de Jul; il n'y a pas de mystère: il sent la merde!

— Torche lui le cul!

J'ai du mal à m'y résoudre mais un coup entre les cuisses et une rasade de poppers m'inclinent à l'obéissance! Après tout, c'est plutôt agréable! Julien, à son tour, est chargé d'un nettoyage appliqué. Je sens avec délices sa langue investir mon trou vite nettoyé. Lepage se place devant moi, jambes écartées et la bite fièrement dressée:

— Lèche!

Je n'hésite pas à passer ma langue sur ses parties expoxées et je reçois un coup:

— Un chien a une grande langue!

Je fais alors mon possible pour sortir le plus possible mon organe salivant et je m'occupe d'un espace plus grand: de l'anus jusqu'au méat en passant par le gras sous les couilles. Les belles boules qui roulent dans leur fine peau, le corps de la bite qui n'en finit pas, le frein qui ne m'arrête pas et le gland rose violacé. Une goutte transparente perle au bout; je m'empresse de l'avaler goulûment.

— Prends ma bite dans ta gueule!

Je prends cette belle queue en travers de ma gueule gourmande.

— Doucement! Tu ne mords pas!

Il a dû trop sentir mes crocs et se venge en m'assénant un grand coup sur le derrière.

— Wouhhh!

Je hurle ma douleur mais j'en rajoute un peu car les coups sur cette partie charnue de mon corps ne m'atteignent pas trop; ils m'excitent, d'ailleurs! Julien a dû faire la même chose; il a aussi pris quelques coups mais je crois qu'il les a aimés... même ceux qui ont atteint ses parties les plus sensibles!

— Allez, les chiens! Venez bouffer votre pâtée!

Ils nous présentent nos gamelles de merde; j'ai droit à celle de Jul! Nous devons prendre une position assez difficle: les pattes avant pliées de chaque côté de la gamelle, les pattes arrières tendues et bien écartées. Lepage se place derrière moi; il guide sa bite dans mon cul largement offert puis, d'une main, me baisse la tête dans la gamelle et, de l'autre, me chatouille le sexe avec son martinet. Je dévore cette bonne merde dont j'ai eu un avant-goût en léchant le cul de Jul tandis que Lepage m'encule avec violence. Il a lâché son martinet et il m'empoigne la bite qu'il branle au rythme de ses coups de reins. J'avale; je vais même lécher le fond de la gamelle tant je suis pris par l'événement... et j'expulse ton mon bon jus de chien.

— Putain! Même en chien tu me donnes un sacré plaisir! Prends ça, jusqu'au fond de ton fion!

Lepage a vidé ses couilles; il retire brutalement sa queue de mon cul accueillant et tout cesse subitement! Julien est lui aussi passé par l'enculade et a dégusté ma crotte de chien. Il en a plein les dents et se lèche encore les lèvres! Un moment de dégoût s'empare de nous quatre; nous l'apaisons en avalant de bonnes bières bien fraîches.

Lepage n'oublie pas de nous rappeler notre rendez-vous chez lui:

— Jolis petits mâles; pensez à notre séance de gym, dimanche! Je serai plus aimant; c'est promis!

Un brin de nettoyage, de vaisselle et de toilette et nous attendons d'autres visiteurs...


— Allongez-vous par terre, l'un à côté de l'autre!

La porte laisse alors passer plein de mecs de toutes sortes; ils n'ont qu'un point commun: ils ont tous la bite à la main!

— Qu'ils sont beaux! Ça vaut le coup de les couvrir de foutre!

Les voilà qu'ils se mettent à se branler; j'ai le temps de les dénombrer: ils sont dix!

— Cinq chacun!

— Tu sais bien compter mon mignon!

Les jets de foutre commencent à fuser sur nous; principalement sur nos visages et nos bas-ventres. Merveilleuse sensation de sentir tant de sperme recouvrir nos corps étalés sous de si bons arrosoirs. Ils ont tous joui. Nous sommes couverts de leur liquide épais et gluant qui commence à se liquéfier.

— Léchez-vous! Profitez de cette nourriture qui vient de gicler de nos bites!

Julien s'allonge sur moi. Nous nettoyons nos bouches, nos joues, nos nez, nos cous... Julien en profite pour se frotter contre ma bite. La sensation de bonheur monte le long de mes reins...

— Arrête!

Mon copain ne peut s'empêcher d'exprimer sa satisfaction avant de se placer tête-bêche pour terminer le nettoyage.

— C'est bon!

Je sens sa langue qui parcourt mon ventre, mes couilles et ma bite; elle s'aventure jusqu'à la raie de mon cul car le foutre est allé jusque là! Je n'hésite pas à en faire autant et me délecte de ces nectars salés servis sur un corps de rêve. Pendant ce temps, nos lascars s'en prennent à nos bières et s'installent sur le lit; il ne fait aucun doute qu'ils n'en ont pas fini avec nous!

— Restez couchés sur le dos!

Les voilà qui s'approchent à nouveau; ils vont déjà se branler? Non! De leurs bites encore molles s'échappent de grands jets de pisse! Ils n'épargnent aucune partie de notre corps mais certains visent particulièrement nos bouches ou notre cul quand ils nous font lever les cuisses.

— Ouvrez vos jolies gueules!

On leur fait plaisir mais je recrache plutôt que je n'avale ces liquides odorants. Nous voilà trempés, souillés; nous nous relevons et nos corps dégoulinent. Les pisseurs sont contents et se retirent sur le lit pendant que nous épongeons cette énorme mare d'urine.

— Il était bon ce bain, hein?

— Lavez-vous et venez nous rejoindre!

Les mecs vont se payer notre fraîcheur retrouvée.

— Approchez! Qu'on vous baise!

Ils sont dix! Julien et moi n'avons alors plus touché terre! Ils nous soulèvent, nous portent, nous empalent sur des bites bien dirigées, nous sucent, on les suce... Rien ne les arrête! Vingt mains tripotent nos corps, vingt couilles se vident dans nos trous. Quand ils se sont tous repus, ils nous balancent sur le lit comme des objets hors de service et quittent aussitôt le lieu des jouissances.

— Tu as joui, toi?

— Bien sûr! C'était trop chaud!

— Moi, j'ai joui trop vite. Après c'est moins marrant de se faire enculer!

On a pas mal de temps pour se reposer. Nous savons que nous en avons besoin car le plus dur nous attend. Cette épreuve doit clore notre séjour et je m'inquiète!

— Prêts pour le fist? dit le haut-parleur.

— On va essayer!

J'ai beaucoup d'appréhension; je ne connais pas ce "plaisir"; même Sade ne l'utilisait pas! Julien, lui, a déjà subi ce supplice:

— Je t'assure que ce n'est pas très douloureux, quand c'est bien fait!

— Justement! Ceux qui vont nous faire ça, ont-ils de l'expérience?

— Notre employeur n'a pas intérêt à nous envoyer des incapables. Il en va de sa réputation!

— Y a tout c'qui faut ici?

— Oui! De la bonne graisse, soluble à l'eau; des poppers; des gants, s'ils ont des ongles trop longs...

— J'ai la trouille!

— T'en fais pas! Tu vas assumer!

La porte s'ouvre: deux jeunes gars apparaissent. Mon regard se porte d'abord, non pas sur leurs bites - pour une fois - mais sur leurs mains! Ils ont des membres fins et les ongles coupés; ce ne sont pas des déménageurs! Ouf! Ils nous placent sur les slings, l'un à côté de l'autre. Nous sommes bien attachés; il nous est maintenant impossible de reculer. Je dois y passer! Je sens déjà une grosse quantité de graisse m'envahir l'anus; c'est agréable: le garçon m'a enfoncé deux doigts, puis trois, maintenant quatre... C'est toujours bon... Je jette un oeil du côté de Julien; il me regarde et me fait un clin d'oeil.

— Ça baigne? me dit-il.

— Pour l'instant, ça entre! Le plus gros n'est pas passé!

Le garçon qui me prend le cul est très prévenant; sa pénétration est très lente. Je sens cette fois le pouce qui veut se fourrer dans mon anus.

— Non! J'ai mal! Arrête!

Le fisteur stoppe son mouvement, ajoute de la graisse et me fait respirer des poppers qui sentent l'amande. J'inspire très fort, trop fort car je ne me sens plus; je suis dans un autre monde...

— Détends-toi!

Je suis comme ivre et je n'ai plus peur. Je me laisse faire.

— Vas-y! Bourre moi!

Le miroir fixé au plafond me permet de constater que non seulement le pouce est dans mon rectum mais que la main entière est entrée! Impressionnant! Julien, lui aussi est bien investi et il affiche un magnifique sourire! Quelque chose prend soudain plus de place dans mon cul.

— Qu'est-ce que c'est?

— Je ferme le poing!

Une drôle de sensation m'envahit; le poing appuie encore plus fort sur ma prostate. Je le sens se déplacer en moi! Je suis devenu la marionnette de mon fisteur et j'ai comme l'impression de jouir, alors que je ne bande pas! Le garçon me balance sur le sling en me poussant par le cul.

— Oui! Enfonce toi encore! Ouiiii!

— Tu jouis du cul, me dit Julien.

— Et toi?

— Il est entré presque jusqu'au coude; je viens... Ouiiii!

Les deux garçons, se retirent doucement de nos culs éclatés. Ils se branlent sur nos trous béants; ils éjaculent sur le terrain de leur action pénétrante et nous félicitent d'avoir été si coopératifs et si ouverts.

Je reprends lentement mes esprits mais je n'ose pas regarder mon anus. Julien me montre le sien en m'indiquant comment je peux rentrer avec les doigts une bonne partie de mon prolapsus et lui redonner très vite son aspect initial. Nous nous douchons et apprécions un repos bien mérité. Je suis fier d'avoir réussi cette épreuve et Julien me comble de baisers pour me récompenser de mon courage.


Le patron de la boîte vient nous voir:

— Bien, mes petits! Tous mes clients sont très satisfaits. Vous serez toujours les bienvenus!

— Merci! Mais qu'est-ce qu'on a dégusté!

— C'était le prix à payer!

Il nous examine en détail:

— Ils ne vous ont pas trop abîmés! Mêmes vos jolies roses sont presque redevenues en bouton! Quelques traces sur les fesses et vos couilles sont plutôt rouges!

Il a apporté nos slips qu'il se charge de nous enfiler lui-même et dans lesquels il glisse les billets promis, avec une caresse sur nos bijoux.

— À bientôt jolis gosses!

Nous n'osons pas faire le compte de nos gains...

— On verra ça chez toi!

Arrivés à la maison, nous avons encore le plaisir de fouiller nos slips à la recherche de la fortune... et du bonheur sexuel!

Merci de m'avoir lu. ¤ 

 

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Par MAX - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 2 novembre 4 02 /11 /Nov 06:31

-"18 ans ?"...-"Ah oui, t'es jeune! J'en ai 32 -"Pas grave ça" -"Ok...et tu cherches quoi?-"Comme toi mec" -"OK...ben t'es actif passif? -"Moi je fais pas la femme -"Ok (je ris)...moi je suis passif...ca te dirait qu'on aille plus loin? -"Si tu veux, c'est 100 dirhams monsieur -"Ah..." Je m'attendais pas à cette réponse mais au final, j'étais peu surpris...je me disais bien qu'il était jeune. Je réfléchis un instant...après tout, il veut de l'argent et moi je veux me faire baisr, pourquoi ne pas tenter. -"Et bien écoute, je suis d'accord"   

 Prostitution masculine : Incitation ou racolage  

 Reportage : Un regard doucereux, une démarche langoureuse, un sourire “efféminé”, des gestes engageants, “les tics” des “hommes de trottoir” se manifestent au-delà de 22h00 dans les coins des habitués à la chair masculine. Où végètent-ils ? Comment racolent-ils ? Qui sont leurs clients ?

“Ceux-là (...), ils sont 'bas de gamme'” nous confie un inspecteur de police en désignant les “hommes de joie” qui squattent le Jardin de la Ligue Arabe, se déhanchent aux alentours des boulevards Moulay Youssef et Rachidi. Les avenues Hassan IIet Mohammed V étant éclairées et fréquemment sillonnées, ils y rôdent en douce ou se calent dans les cafés du coin. Ils paradent dès le début de la soirée dans leurs coins familiers, affichant des sourires engageants.

Généralement bien vêtus, ils s’organisent en groupe pour se protéger des malfrats et des clochards. Guettant dans l’ombre, le groupe offre aux passants le bel homme, un appât désigné surtout aux conducteurs qui ralentissent et emboîtent le pas au “prostitué” pour une petite partie à deux dans les alentours de la cathédrale ou sous les arbres du jardin. Vite fait, bien fait, “le coup” est expéditif et s’estime entre 30 à 100 DH. Entre temps, les autres membres du groupe s’emparent des affaires du client ou l’agressent. Quant aux clients prudents qui préfèrent un tour en voiture, ils s’offrent sodomie, fellation à bord de leur véhicule sur la côte, ou encore le luxe d’une surexcitation dans la cage d’escaliers de bâtiments délaissés ou isolés. Ces clients sont généralement bisexuels, qui ne peuvent pas assurer le gîte et optent pour un temps de liberté sans tracasseries.

En effet, les habituels et les prudents évitent de “ramener” leur “compagne” à domicile ou dans leur garçonnière de peur d’être arnaqués, ou agressés, ou encore d’être victimes de chantages. Optant pour l’aventure, les clients retrouveront chaque soir un groupe différent de prostitués qui offrent non seulement virilité, mais les facettes les plus féminines “N’tiwa”, les travestis et les barbus. Tous les choix sont à la portée de toutes les bourses. Mais, les plus professionnels des “hommesde joie” constituent leurs carnets d’adresses, relancent leurs clients par téléphone ou se font “réservér” d’avance. Ils n’ont qu’à attendre dans un café ou rejoindre leurs clients à l’adresse habituelle.

Ces prostitués visent haut et assurent ainsi leurs gains grâce au cellulaire. Outre ce moyen, le réseau se consolide par les “commissionnaires” à savoir les garçons de cafés, les barmans, les gérants des night-clubs. Que se soit au café de France, à l’Arizona, au P’tit Ramses ou encore au Village, les “Homosexuels prostitués” y trouvent leurs comptes.

À partir de 19h30, des cafés se font la réputation de “carrefour de rencontre”. En étant “clean”, ils offrent une certaine sécurité au client “correct” à la recherche d’un “rut” : médiation et boissons en contrepartie, un généreux “Bakchich” et un large sourire de satisfaction. Le même “Topo” se fait dans les boîtes de nuit et restaurants classes, qui sont à l’écoute de vos moindres attentes tant que vous présentez vos billets.

Quant aux hôtels, ils se font une joie de jouer aux aveugles. Qui va contester la présence de deux hommes dans la même chambre ? D’ailleurs, les portiers,les concierges et les réceptionnistes reconnaissent les habituels touristes qui se démarquent par un court séjour en compagnie masculine. Le fil passe, “Bakchich” à l’appui et le touriste est servi. Il l’est surtout à Essaouira, Marrakech, Agadir et Fès. Quant à Casablanca, elle nourrit dans ses entrailles les fantasmes les plus fous, dans les rues à l’ombre des regards, ou sur un lit de fortune ou encore dans l’intimiste ambiance des Hammams. Tous les désirs sont permis à condition d’éviter “El wachema” (patrouille de sécurité) et les forces de l’ordre, surtout en plein acte...

Témoignage

Il a 23 ans, un teint mât, des cheveux noir ébène sillonnés de mèches blondes, de beaux traits et un regard doucereux. Bref, un bel homme. Rien de sa démarche ni de ses habits ne trahirait sa profession. Peut-être seriez-vous intrigués par des mains bien entretenues, une peau douce et quelques gestes de “familiarité féminine”, mais rien de susceptible. Son métier, il l’exerce dans l’ambiance intimiste des douches, où généralement les “hommes pudiques” s’y frottent et s’y masturbent à l’abri des regards, ou pour plus de tranquillité, massage et soins corporels compris..... De quoi envoyer aux “anges” les plus “frustrés”. Voici le récit d’un professionnel, commenté parfois par nos descriptions : “Tu veux savoir comment je procède ? Au bout de 7 ans dans le métier, on finit par se faire son propre réseau de clients. Ils ne sont généralement pas du quartier, mais ils sont néanmoins des habitués de deux Hammams (ceux que je fréquente). J’y vais trois à cinq fois par semaine, selon le client et selon les rendez-vous dénichés par le “Guelasse”. Ils sont généralement des hommes mariés qui préfèrent la sécurité assurée par le Hammam et en plus ils s’excitent avec la chaleur, le corps qui glisse, le petit massage-appéritif. Au fait la plupart veulent jouer à l’homme viril, qui prend l’initiative et te domine. Comme s’ils ont affaire à leurs femmes, sachant qu’une bonne majorité, mûre d’âge, n’aime pas le sexe féminin. Je connais les hommes, dans leurs petites têtes : sodomiser un homme et la même chose que sodomiser sa maîtresse, ou coucher avec sa femme (Il reprend un air ironique, tire une taffe, glisse sa langue sur ses lèvres....)

Pédé ou « Zamel » dit-on, c’est un métier comme un autre. J’ai pris goût aux hommes quand j’étais à Aïn El Bourja, à la prison civile de Casa. On m’avait chopé pour consommation et vente de chit'. J’ai écopé d’un an dans une cellule étroite et j’avais à l’époque 15 ans, un peu frais, rebelle, mais vite maté. J’avais connu des filles auparavant, mais bon.

Certains prisonniers ont commencé par des attouchements de plus en plus osés, de plus en plus profonds ”, puis un soir ils m’ont dépucelé à trois. Non, je n’ai pas porté plainte (...) tu es au cachot à Casablanca, pas à Las Vegas. J’ai commencé à toucher de l’argent pour chaque “coup”. Des fois, j’étais payé en nature : nourriture, pull, cigarettes, un petit joint...un genre de tendresse pour "l' p'tit". Mais avant d’être libéré, j’avais mes petites économies et l’adresse d’un amoureux des hommes. Il faut dire que j’avais l’atout d’être frais et dispo à toutes les particularités et “Chaouis” des clients. Un de mes clients avait proposé de me revoir dans une douche à “Sbatta”, où j’ai fait connaissance avec le “Guelasse”, très coopératif et qui ne refuse pas une partie masculine à deux. J’avais essayé un jour de me planter au jardin de la Ligue Arabe, le coin des habitués, mais j’étais seul et ça ne vaut pas la peine. Tu peux être repéré par “El wachema” (patrouille de police) et arrêté ou agressé par les clochards ou un groupe de dégénérés “Un coup” risqué pour 30 ou
50 balles !!! Il faut être vraiment en manque pour y aller. Moi, je me fais dans les 100 à 150 Dirhams et peinard. Je suis plus exclusif et plus nickel."¤La Gazette Du Maroc reproduit par Bladi.com    

     la queue d'arabe y a pas meilleur, non ?  " une bonne queue de rebeu, ça fait du bien!! "

FICTION Les avantages de la djellaba

 

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un mec en djellaba beige, assez grand...difficile dans le noir de voir son âge ni même à quoi il ressemble, il déambule dans les allées et apparemment cherche aussi. Je décide de prendre le chemin qui aboutit vers sa direction...arrivé à sa hauteur, il me regarde un moment, puis continue sa route doucement...du peu que j'ai vu, il a l'air d'avoir maxi 25 ans, pas trop mal...Je l'observe s'éloigner mais je le vois se retourner vers moi, puis il s'enfonce dans la végétation qui jouxte le passage...je me dis que c'est peut être un code...je pars à sa rencontre et prends le même passage que lui...je m'insère dans la végétation abondante et le retrouve appuyé contre un palmier....

-"Salut, moi c'est Léo" Le mec me regarde mais ne me répond pas....Il pose alors sa main au niveau de son entrejambe contre sa djellaba et se caresse apparemment la bite....Je le regarde faire fixement....très rapidement, je devine un bâton qui émerge sous sa djellabah, le mec bande grave....je me rapproche de lui et m'agenouille à bonne hauteur...Le marocain soulève alors sa tunique et un énorme sexe en érection se dresse sous mes yeux....Je le prends de mes 2 mains, le branle un peu, appréciant toute son épaisseur et l'enfourne en bouche... il a une sacrée queue circoncise avec un gros gland. Je le pompe goulument, enfin j'avais ma première bite au Maroc ! Le mec se laisse faire sans broncher et ne me touche pas du tout, je le suce bien a fond pendant 5 bonnes minutes et décide de me relever, il me prend alors le bras et me place face au palmier...et baisse d'un coup sec mon bermuda et mon slip qui descend avec...Je crois comprendre ce dont il avait envie...Il se rapproche derrière moi et je sens, direct, son gros gland au niveau de mon trou...il pousse fort et me fait super mal, je le repousse.

-"Attends! "je sais pas s' il comprend le français, je me passe de la salive sur mon trou, histoire de lubrifier un peu le passage, car avec sa bite sans gel ni rien, je vais dérouiller moi...Je me mouille les doigts et me doigte un peu, le re-suce aussi en exagérant sur la salive et me replace contre le palmier, fesses offertes. Le mec, soulevant toujours sa djellabah, rapproche sa bite toujours aussi grosse et dure et m'enfourne direct contre l'arbre...je la sens passer putain...je vois bien à sa façon de me baiser qu'il n'a pas l'habitude de prendre un mec...le temps de m'habituer à la grosseur de sa queue et je décide de prendre les choses en main, c'est à dire, que je mène la cadence de la pénétration, en bougeant et faisant coulisser mon cul sur sa grosse bite...lui d'ailleurs ne bouge plus et se laisse faire...je prends mon pied grave comme ça, je la sens bien passer, une bonne queue de rebeu, ça fait du bien!! D'un coup il se retire et prend sa queue en main, il se met à se branler bien fort, je crois qu'il va juter...je me remets à genoux et il me dit -"ouvre grand la bouche, sors la langue"....et il me jouit bien en bouche, plusieurs jets chauds et crémeux...j'avale tout devant lui et lui nettoie bien sa queue et son gros gland que je lèche dans tous les recoins....puis il redescend sa djellabah et se casse sans avoir prononcé un mot.

Il m'avait bien excité en tout cas et j'avais bien kiffé...j'avais pas eu le temps de jouir par contre, j'étais frustré! Je reprends le chemin principal et tombe sur un mec qui passe son chemin, dommage il était jeune et plutot pas mal...

Je continue et m'enfonce encore davantage vers le fond du parc. Je vois alors de loin une lumière qui semble être une cigarette qu'on fume...je me dirige vers cette lumière, qui me semble statique et en m'approchant, je vois un jeune marocain assis sur un banc en train de cloper...je me mets à sa hauteur.

-"Salut

-"Salut" me répondit il

-"Ca va? tu fais quoi de beau?

-"Je fume monsieur et toi

-"Je me balade...t'as quel âge?

-"J'ai 18 ans

-"Ah oui, t'es jeune! J'en ai 32

-"Pas grave ça

-"Ok...et tu cherches quoi?

-"Comme toi mec

-"OK...ben t'es actif passif?

-"Moi je fais pas la femme

-"Ok lol...moi je suis passif...ca te dirait qu'on aille plus loin?

-"Si tu veux, c'est 100 dirham monsieur

-"Ah..." Je m'attendais pas à cette réponse mais au final, j'étais peu surpris...je me disais bien qu'il était jeune. Je réfléchis un instant...après tout, il veut de l'argent et moi je veux me faire baiser, pourquoi ne pas tenter.

-"Et bien écoutes, je suis d'accord"

Il me tend alors la main...je lui file les 100 dirhams et il se lève de son banc pour s'enfoncer dans les fourrés derrière, je suppose que je dois le suivre.....On arrive dans un endroit cerné par la végétation, il me fait signe d'approcher.

-"T'as 18 ans c'est bon?

-"Oui" Car c'est vrai qu'il faisait assez jeune quand même, et sa petite taille et son faible gabarit le rajeunissait d'autant plus.

Il sort alors sa queue, encore au repos, de son short...une très belle queue, encore plus foncée que le reste de son corps, elle est bien longue....je m'abaisse à son niveau et la prends en bouche...très rapidement, au rythme de ma succion, elle prend de l'épaisseur, beaucoup même si bien que je suis obligé d'en ressortir de ma bouche au fur et à mesure qu'elle grossit...

-"Putain t'as une grosse bite toi

-"21 cm monsieur oui

-"on croirait pas en voyant ton gabarit" C'est vrai que je m'attendais pas du tout à ça, cette grosse queue sur ce petit corps c'est choquant! Je la reprends en bouche et me délecte de cet engin, je tente des fonds de gorge mais j'avoue que c'est chaud car elle est de gros diamètre en plus d'être longue!

-"Tu suces bien monsieur

-"C'est vrai? merci! " Cela me donne encore plus envie de le pomper au mieux, j'adore le sucer et il y a de quoi faire! Au bout de 10 minutes, j'attrappe mal à la machoire et me relève.
-"Tu veux me prendre?

-"Oui monsieur"

Je descends mon bermuda et mon slip, me mets de la salive dans les fesses mais je sens ma rondelleencore écartée du fait que le mec en djellabah m'avait baisé, je me baisse un peu et tends mon cul vers le petit qui a la bite super dressée. Il tente de me la mettre mais il est un peu petit..
-"Attends, viens, allonges toi là" Je lui place mes vêtements au sol et le fais allonger sur le dos...sa bite est énorme, droite, puissante...je n'ai plus qu'à m'asseoir dessus...Je m'empale sur son chibre épais...je sens chaque centimètre s'enfoncer en moi, whaouh, c'est encore autre chose que le mec d'avant...trop bonne sa queue...il me donne alors de bons coups de bite qui viennent buter au fond de mon trou, j'ai du mal à ne pas gémir face aux assauts de cette jeune queue dans ma chatte....En me baisant, il me regarde droit dans les yeux, les siens sont très sombres  ...Il me baise fort dans cette position puis me fait mettre à 4 pattes....ma position préférée...je lui tend ma chatte bien humide..il se place derrière moi et me renfourne sa bite toujours dure à fond...ses couilles me claquent sur mes fesses, c'est trop trop bon, je place mon tshirt dans ma bouche pour étouffer mes gémissements de plaisir...le petit me baise encore plus fort, j'ai l'impression qu'on entend que nos corps se chevauchent dans le parc...il me pilonne encore plus, j'ai du mal à rester à 4 pattes, putain quelle forme ce jeune marocain!! puis il se raidit de tout son corps et arrête sa pénétration...je crois qu'il a juté....Il se retire doucement, le jus s'échappe de mon trou béant....je passe ma main et apprécie la dilation de ma chatte dégoulinante de son sperme....je me retourne et lui reprends sa queue  pour la sucer, je lui nettoie chaque goutte de jus, je kiffe ça, j'apprécie une dernière fois la taille de sa bite en bouche...Puis à ma grande surprise, il me gobe la queue...c'est vrai que je n'avais pas joui, (enfin j'avais grave joui du cul!) Et le petit me pompe mes 18 cm bien dur à fond,  il les enfonce sans souci en fond de gorge, je le regarde faire tout en lui caressant les cheveux,...il me branle à fond, je vais juter....je lui balance 4/5 jets en pleine bouche, il a du mal à avaler. Pourtant  n'est il pas habitué à faire ça  ?....

Je reprends mes esprits et me rhabille, le petit en fait de même.

-"Allez tiens, parce que c'était vraiment bien" je lui tends un autre billet

-"Merci monsieur" Puis il file dans les allées sombres du parc....

Moi je pense que j'avais eu ma dose de sexe pour la soirée, une bonne douche à l'hôtel s'imposait! Et je sais où j retournerai demain soir...¤.

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