sur le sujet du voyeurisme il y a des clivages : tel mec qui ne peut supporter d'être regardé, tel autre qui n'est vraiment heureux que s'il est regardé... avec leur obsession du fric et le désir de corrompre, les américains ont créé des sites comme ...je ne vous apprends rien : des sites brokestraight boys où la tentation de l'argent réunit des hétéros pour des pratiques sexuelles homo.
Sous-jacente l'idée que quand on "y" a goûté on est détourné en bi ou gay pour toujours. Les histoires de prisonniers devenus (par force ou par goût) gays après leur séjour d'incarcération ne manquent pas ...
Hé, jeune homme,...j'ai une affaire à vous proposer...
(Brut de décoffrage) Un conteur hors pair, sylvain 20a, québécois, a écrit :
Salut les gars! Je vais vous conter l'aventure la plus inimaginable qui m'est arrivée avec mon ami Tommy lors d'une ballade au centre-ville. C'était à la fin de l'année scolaire, au début de l'été...
Comme on n’avait pas d’école l'après-midi, avec le beau temps, Tommy et moi, nous avons décidé d’aller se promener en ville. Juste avant l’heure du dîner, on a eu notre cours d’éduc, alors on était en t-shirt, shorts et espadrilles. On a foutu notre linge dans notre sac à dos pis on a pris le métro jusqu’à Berri. C’était bourré de monde sur la rue, on en a profité pour se promener un peu.
Faut que je vous parle de Tommy... C’est un gars qui est dans presque toutes mes classes, un beau p’tit homme de 16 ans, presque 17, aux cheveux châtains clairs, un petit baby-face tout rond et des yeux d’un vert... de toute beauté. Il ne sait pas que je suis gai, ni que je le trouve pas mal de mon goût, mais bon...
Alors, on se promène sur la Ste-Catherine pis je décide, faisant semblant de rien, de prendre vers l’est... Le Village n’est pas très loin, à moins de cinq minutes à pieds. Le jour, y’a tout de sorte de monde là, alors pas de danger que Tommy me demande c’qu’on faisait rendu dans le coin! J’ai bien remarqué que Tommy s’était apperçu qu’une couple de gars se promenaient main dans la main, mais il n’a rien dit...
On a continué comme ça jusqu’au coin de la rue Champlain... Avec la chaleur qu’il faisait, on en a profité pour se prendre un sundae à la crémerie qu’il y a à côté de La Track pis on s’est installé à une table sur le bord de la terrasse. Tommy et moi, on jasait de tout et de rien, mais on revenait souvent sur le sujet des examens de fin d’année qui approchent à grands pas. Tout en jasant, j’en profitais moi pour regarder partout autour de moi, surtout que ma mère ne me laisse pas sortir le soir après 23h, alors je n’avais jamais eu l’occasion de voir toute l’action du Village de soir, aussi bien en profiter pour une fois que j’y étais, même si c’est le plein jour!
Un moment donné, je vois une auto grise s’arrêter dans la rue juste à côté, pis le chauffeur descend la vitre du côté passager et fait signe d’approcher. Je regarde en arrière de moi pour voir si c’était pas à quelqu’un d’autre qu’il s’adressait, mais non, ça semblait bien être moi. J’ai dit à Tommy de m’attendre quelques instants, que le gars dans l’auto devait être perdu et cherchait sa direction. À l’intérieur de moi, j’avais une autre petite idée de ce que ça pouvait être mais j’en n’étais pas certain...
Arrivé à l’auto, je me penche et je salue le gars. Il est sûrement dans la vingtaine avancée, peut-être tout juste 30 ans. Il est quand même beau bonhomme, pas gros du tout, ben clean. Il me demande en anglais si je suis libre pour la prochaine heure et je lui réponds que je suis avec un copain. Il se tasse pour regarder Tommy qui nous regardait l’air un peu perdu. Il sort son portefeuille et sort deux billets de 100$ US et les mets sur le siège en me disant qu’ils sont à nous s’il peut nous regarder en train de se faire un 69. Un peu pris par surprise malgré tout, je ris en lui disant que Tommy en ben hétéro et qu’il n’accepterait sûrement pas. À ces mots, il me dit d’aller lui demander en déposant un autre billet de 100$ sur les deux autres... Wow! 300 "piastres", US en plus!
J’peux sûrement faire passer ça en douce en montant une histoire à Tommy... Je le trouve tellement trippant que ça pourrait être MA chance! Je dis au gars dans l’auto de m’attendre deux minutes et je repars rejoindre Tommy. Je m’assois en face de lui et en riant, je lui conte ce que le gars vient de dire... Tommy rougit sur le champ et se met à insister sur le 300$ US... 450$ canadiens, c’est pas peu dire... J’lui lance hypocritement que je ne crois pas que je serais capable de le sucer, même pour de l’argent quand tout à coup, Tommy se lève et me regarde droit dans les yeux, et le plus sérieusement du monde, me lance:
— Tu peux garder un secret?
— Ouais, quoi donc?
— Ben j’ai déjà essayé ça avec mon cousin l’année passée, et c’est pas aussi pire qu’on pense... Heille, j’aurais besoin de cet argent, tsé, mon scooter...
C’est vrai, il avait commencé à s’accumuler de l’argent pour s’en acheter un, je n’y avais pas pensé...
— Ferais-tu ça pour moi? Heille, on se connaît quand même bien et le gars nous touchera pas... Moi j’le ferais...
— J’sais même pas comment faire! Que j’ai ajouté hypocritement.
— J’vais te montrer! Je l’ai juste fait une fois mais c’est pas ben sorcier... Allez, viens, s’il te plaît!!!
— Ok, mais t’en parle à persone, hein?
— T’es malade, j’veux pas passer pour un fif à l’école!
Wow! J’m’en foutais-tu du cash rien qu’un peu, moi, c’est le gars que je voulais! J’me lève et fais semblant d’être indécis alors que Tommy, lui, s’approche déjà de l’auto. Il me fait signe de monter à l’arrière et il prend place à l’avant à côté du «client». Je n’aurais jamais pensé qu’il puisse avoir autant de "tripes" le Tommy!!!
L’auto démarre aussitôt et Tommy discute avec le client, tenant déjà les billets verts dans sa main. J’entends au passage qu’il pose sa condition au fait qu’il ne sera que spectateur, je ne suis pas vraiment la conversation, je tente plutôt de me convaincre que ce n’est pas un rêve... L’auto s’est rendue dans un motel dans l’est de la ville, un petit motel pas très chic, mais tout de même propre. Je voyais un métro non loin, alors je n’avais pas trop de craintes malgré tout... On sait jamais, on aurait pu tomber sur un fou dangeureux! Le gars nous dit d’attendre dans l’auto en remettant un nouveau billet de 100$ à Tommy.
Quand l’homme fut descendu, Tommy se retourna vers moi et voyant mon regard interrogateur, me dit tout simplement, la voix tremblante:
— J’espère que tu ne m’en voudras pas, j’ai accepté quelque chose de spécial...
— Quoi donc? demandais-je avec un peu d’appréhension.
— Le gars nous donne 100 piastres de plus pour qu’on s’encule...
— Quoi!!!!!!!!!!!
— Hé! Pas peur... C’est toi qui me prendras... À ce prix-là, ben ça vaut la peine d’essayer et j’aurai presque tout le cash pour mon scooter avec ma moitié de l’argent...
Je n’étais plus vraiment là, carrément dans les vapes! Je m’étais toujours demandé de quoi ça avait l’air de se le faire faire ou encore de le faire à quelqu’un, sans vraiment croire que ça m’arriverait si rapidement. Tsé, dans ma tête, ça faisait partie des expériences à tenter, mais sans plus. Mais là, avec Tommy en plus, le garçon de mes fantasmes! Tout me paraissait presque incroyable.
Le gars revint rapidement avec une clé en main. On descendit de la voiture et on l’a suivi jusqu’à la chambre qu’il avait louée. Il nous fit entrer et referma derrière lui. On se tenait au centre de la chambre alors que lui se rendit dans le coin pour s’asseoir sur l’unique chaise que la chambre avait.
— Whenever you’re ready guys! Nous lança-t-il. "quand vous voulez les gars si vous êtes prêts"
C'est pas mêlant, je tremblais comme une pucelle! Moi qui m'imaginais tout plein de scénarios le soir dans mon lit pendant que je jouais à la veuve-poignet, voilà que c'est mon meilleur ami, Tommy, celui-là même qui me faisait voir des étoiles dans mes rêves les plus osés, qui m'entraînait dans cette aventure de débauche complètement folle.
Tommy vint se placer face à moi, donc dos au jeune américain. Il me serra contre lui et me glissa à l'oreille: "Laisse-toi faire, laisse-moi te guider... tu regretteras pas, je te le promets!" Sentant bien que je tremblais de tout mon corps, il me fixa dans les yeux et ajouta doucement: "Je suis désolé... c'était complètement fou de t'entraîner là-dedans... Tu sais, il n'est pas trop tard, je peux m'organiser avec le gars pour tout annuler." Mes idées soudainement s'entrechoquaient... NON!!! Je voulais tellement! Je répondis tout simplement: "Non, non... c'est juste que je suis nerveux, j'ai jamais eu de relations avec qui que ce soit..."
Sur ces mots, Tommy me fit une petite bise sur le front, me serra dans ses bras, comme pour me protéger, avant de se déplacer derrière moi. Il colla son corps contre le mien, m'enlaçant de ses longs bras alors que sa bouche se promenait dans mon cou. Je sentais son souffle chaud sur ma peau et la chair de poule me prit tout à coup. Sa langue venait de me lécher le lobe de mon oreille. C'était si intense... et l'idée que mon meilleur ami hétéro allait me dépuceler m'excitait au plus haut point.
Ses bras se promenaient maintenant sur mon corps alors que son corps à lui se balançait de gauche à droite, son torse soudé au mien et son bassin bien collé contre le mien, à tel point que je sentais maintenant une barre raide contre mes fesses. Tout doucement, sensuellement, il commença à retirer mes vêtements un à un. Quand il tenta de descendre mon short, ma queue raide qui pointait vers le haut empêchait la manoeuvre et il dut glisser ses doigts sous la bande de la taille élastique afin d'en arriver à son but. Touchant ma bite bien bandée, il me glissa un: "Petit cochon!" bien amical à l'oreille qui me fit sourire. J'étais totalement nu maintenant et plus relaxe, je ne me sentais plus aussi gêné d'être là, m'affichant en spectacle à ce touriste.
J'étais dans un autre monde, c'est comme si tout allait au ralenti. Je sentais maintenant le torse nu de Tommy contre mon dos, et quelques instants plus tard, la toison de son pubis chatouillait mes fesses alors que sa queue bandée frottait entre mes deux lobes de chair vierge. Tommy me léchait toujours dans le cou et sa respiration s'était drôlement accélérée — la mienne aussi d'ailleurs! Le corps de mon ami se sépara du mien et ses mains sur mes hanches, il m'attira vers le lit. Il s'assied, me faisant pivoter doucement sur moi-même, pour se retrouver finalement face à face avec mon sexe fou de désir. Il leva les yeux, cherchant dans mon regard un signal consentant; je répliquai tout simplement en lui faisant un clin d'oeil. Ce signal était tout ce qui lui fallait: sa bouche se précipita sur ma bite qu'il avala rapidement sur toute sa longueur. La surprise occasionnée par la sensation de ses lèvres parcourant mon membre me fire lâcher un cri d'extase non feint. La puissance de cette découverte ajoutée à l'excitation générale qui remplissait mon corps me fit raidir le corps tout entier. À peine quelques aller-retours sur ma queue furent suffisant pour que je lui explose en pleine bouche. Déçu de ma contre- performance, je rougis en regardant Tommy qui affichait un large sourire.
Je me retournai pour regarder notre américain qui était toujours sur le fauteuil dans le coin de la chambre. Il était nu aussi maintenant, dévoilant ainsi son corps finement découpé et une bite bandée d'une longueur exceptionnelle: jamais je n'avais vu de sexe si long. Son regard était à la fois amusé par le peu de temps que j'avais mis à jouir dans la bouche de mon copain, mais aussi son regard démontrait l'inquiétude de ne pas avoir droit au spectacle du 69 pour lequel il nous avait payé. Tommy aussi avait remarqué la même chose...
Il se leva du lit et s'approcha de l'américain. Il se pencha sur lui et l'embrassa longuement. Au coin de leur bouche, je pouvais voir de petites traînées de mon sperme qui s'échappaient de leurs bouches. Cette vision m'excita comme pas possible! Tommy rompit le baiser et lui sourit:
— Don't worry sir, he was a virgin... but his youth will bring his excitation back in no time... Show's not over! - Ne t'inquiète pas, m'sieur, il est... mais comme il est jeune il va rebander en un rien de temps ... Le spectacle n'est pas fini!
Cette parole rassurante de mon ami redonna le plein sourire à notre touriste qui s'en léchait encore les babines couvertes de mon jus crémeux.
Tommy était de retour vers moi. Il s'approcha de mon oreille pour y glisser:
— Fais tout simplement comme je t'ai fait... je vais m'allonger sur le lit pour te faciliter la tâche et avant d'aller jusqu'au bout, je te ferai signe pour qu'on puisse se mettre en 69!
L'évocation de ce scénario fit relever mon sexe d'un seul coup. Tommy le remarqua d'ailleurs et ma réaction le fit sourire. Il s'allongea sur le lit, s'écartant les jambes pour me donner plein accès à son bas-ventre et à sa tige dressée, de longueur semblable à la mienne, dans les 14–15 cm, mais beaucoup plus imposante en circonférence. Penché par-dessus lui, je me posais la question à savoir si j'allais pouvoir emboucher tout le morceau!
Timidement, je commençai tout d'abord par lécher le bout de son gland qui pointait hors de son prépuce. Ses mains se placèrent immédiatement sur ma tête pour me guider dans cette première fellation que je lui faisais. La sensation d'avoir une bite en bouche fut au-delà de tout ce que j'avais pu imaginer dans mes rêves. J'ADORAIS! Avec frénésie, je me lançais sur cette verge raide pour lui donner tout mon amour. Mes lèvres entouraient la chair tendue et glissaient de haut en bas, arrachant quelques gémissements de Tommy et le faisant grouiller sous mes caresses buccales. Il ne guidait plus mes mouvements, se laissant tout simplement aller au plaisir que je lui procurais. Des spasmes parcouraient son corps tout entier et se répercutaient dans sa queue. Une petite tape sur mon épaule fut son signe pour que j'arrête de le pomper. Je ne bougeais plus.
Il se déplaça alors et vint se placer sous moi, tête-bêche, prenant mon sexe bien bandé dans sa bouche alors que je reprennais la sienne entre mes lèvres. Ce fut l'apothéose du moment. Une minute à peine après que nous ayons commencé à nous sucer mutuellement, je lui largais une nouvelle salve en pleine bouche. Cette éjaculation le fit se déverser également dans le fond de ma gorge. Sentant ce liquide tout chaud dans ma bouche était sublime. J'en avalai quelques gorgées, mais je pris bien garde d'en conserver assez pour la suite... Je voulais connaître le plaisir qu'il avait fait à notre américain en allant l'embrasser.
Un petit saut dans le lit me permit de me retrouver face à face avec Tommy qui sous moi avait les yeux fermés. J'approchai doucement mes lèvres des siennes et tendrement, ma bouche s'est soudée à la sienne, ma langue tentant d'investir l'intérieur de sa bouche. Les yeux écarquillés, Tommy se laissa aller et m'embrassa à bouche-que-veux-tu pendant que son sperme se déversait dans sa bouche, se mêlant au parfum plus corsé de mon propre sperme que je pouvais discerner dans le baiser. Je laissai mon corps aller contre le sien et nous avons repris nos esprits en continuant de s'embrasser comme des amoureux.
Les minutes passèrent et remis de nos émotions, Tommy s'approcha de notre américain toujours aussi bandé dans son fauteuil. Il s'agenouilla entre ses jambes, et tout en jouant du bout des doigts avec sa queue et ses couilles, à la grande surprise du touriste d'ailleurs, il lui fit une confidence:
— I never did anything like you want me to do now... But I'm willing to try it, as long as you come along with us to tell my friend what to do... I wouldn't want to be hurt, you know! - Je n'ai jamais rien fait de ce que tu veux qu'il me fasse maintenant ... Mais je suis prêt à essayer, tant que tu viens avec nous pour dire à mon ami ce qu'il lui faut faire ... Je ne voudrais pas avoir mal, être blessé quoi !
Il n'en fallut pas plus pour qu'il soit debout sur ses jambes et approche du lit, suivi par Tommy qui me faisait un clin d'oeil par dessus son épaule.
Le gars prit donc un oreiller sur le lit et le plaça près de mes jambes après que je me sois agenouillé selon ses conseils. Il fit coucher Tommy sur le dos, les fesses relevées par l'oreiller, m'offrant une vue incroyable sur la pastille brune entre ses fesses. Il me fit cracher dans ma main pour en badigeonner l'intérieur des fesses de Tommy, avant de continuer sur ma propre queue qui, bien que j'avais joui deux fois en peu de temps, prouvait son intérêt à continuer les découvertes de ces jeux sexuels. Comme mon sexe est plutôt fin, il nous dit qu'il n'était peut-être pas nécessaire de commencer avec les doigts et que nous pouvions y aller de suite, quoique lentement, avec prudence, afin de laisser le cul vierge de Tommy s'habituer à cette intrusion.
Quand Tommy me fit un petit signe de la tête et ferma ensuite les yeux, je posai mon gland sur sa rosette qui s'ouvrit comme par magie sous la pression. Tommy se raidit un peu quand mon gland fut entré, mais sous les bons conseils de notre guide, il se relaxa pour me laisser continuer la pénétration. Je voyais son visage se crisper et j'avais terriblement peur de lui faire mal. Quand je vis ses traits se détendre et ses yeux se rouvrir, je poussai à nouveau et la progression se faisait plus facilement. Ses muscles s'étaient dilatés et me permettaient maintenant de visiter son antre en profondeur. Une maladresse de ma part me fit perdre l'équilibre et c'est jusqu'à la garde que mon pénis se ficha dans son cul. Un cri s'éleva dans les airs, me faisant craindre le pire. Heureusement, son sourire me rassura avant qu'il m'indique que je ne lui avait pas fait mal; c'était la surprise. L'américain nous dit de ne pas bouger pendant un moment, et que lorsque Tommy serait prêt, il n'aurait qu'à le dire pour que je puisse commencer à bouger en lui. J'espérais que ce serait bientôt car de mon côté, ses muscles serrés autour de ma verge, l'excitation que me causait la situation, ajoutés aux mouvements incessants des parois à l'intérieur de Tommy autour de mon pénis faisait en sorte que je sentais la sauce monter en moi plus rapidement que je ne l'aurais cru.
Quelques instants plus tard, Tommy me regarda en pleine face et me dit:
— Vas-y, saute-moi! Ne prends pas ton temps, je ne sais si je pourrais tenir longtemps!
J'obéis à son ordre et me déchaînai en lui, le ramonant à toute vitesse, suivant le rythme de ses gémissements alors que je m'enfonçais à toute allure dans son cul. Je sentis mes couilles se refermer sur elles-mêmes, se coller contre la base de mon sexe, et sentant la sauce sur le point d'éclater, me retirai d'un coup sec. Ma queue rebondit contre mon abdoment et déversa tout le foutre qui me restait dans les couilles; inutile de vous préciser qu'il n'en restait plus beaucoup!
Tommy restait sur le lit, ne bougeait plus. Je ne m'étais même pas aperçu que pendant mon assaut, il avait pris la queue de l'américain et l'avait masturbé. Sa longue tige un peu ramollie dégoulinait toujours sur la couette du lit et le sourire béat qu'il avait sur les lèvres démontrait à quel point il avait aimé le spectacle qui finalement avait été... interactif en quelque sorte!
Il nous laissa prendre une douche avant de nous laisser retourner chez nous. Il avait insisté pour nous reconduire en voiture, mais comme le métro n'était pas loin, j'avais préféré refuser, désirant me retrouver seul avec Tommy pendant un moment avant de rentrer à la maison.
Au moment de sortir notre carte étudiante de transport pour utiliser le métro, mes doigts trouvèrent deux billets de 50$ que l'américain avait dû glisser dans mes poches pendant que je prenais ma douche. Ça nous faisait maintenant 500$ US! Déjà je me demandais comment j'allais expliquer cette entrée soudaine d'argent à mes parents s'ils s'apercevaient que je dépensais plus qu'à l'habitude... Tommy qui était demeuré silencieux depuis que nous avions quitté le motel me remit deux billets de 100$ et je lui tendis un des billets de 50$ que j'avais.
Durant tout le voyage, j'avais du mal à ne pas afficher un sourire béat. Tommy lui jouait avec les billets dans sa poche et je devinais à son expression du visage qu'il se voyait déjà enfourchant son scooter, en train de dévaler les rues de la ville...
Rendu à sa station il me donna une petite tape sur l'épaule . Il était tard et il devait rentrer tout de suite; moi aussi d'ailleurs. J'allais débarquer à la station suivante.
Le soir dans mon lit, je fus incapable de bander quand j'essayai de me masturber. J'avais beau tenter par tous les moyens de m'imaginer encore avec mon beau Tommy, ça ne marchait pas... Le charme était-il rompu maintenant que j'avais baisé avec lui? Ou n'était-ce que l'épuisement de cette journée riche en émotion?
J'allais bien voir dans les prochains jours... Tout comme j'allais voir si mon copain Tommy allait changer d'attitude avec moi !
http://www.gai-eros.org/w/index.php/D%C3%A9pucel%C3%A9_par_mon_meilleur_ami..._h%C3%A9t%C3%A9ro!
NOTES & COMMENTAIRES : "put-être le gars a du plaisir à enseigner le sexe gay pour qu les jeunes ne meurent pas cons ! "(Gayditor)
"ouais, hypocritement il dit à son pote je sais pas si je serais capable de te sucer, avec combien de gens on est obligés d'être hypocrites nous aussi " (altersex)
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