VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES

Samedi 7 février 6 07 /02 /Fév 17:31
 déjà une de leurs bites...c'est gros...
Par bonereater - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 6 février 5 06 /02 /Fév 22:09

  198Jean-François, 23 ans, Toulouse

           

 

Appelez-moi Jean-François. J'adore l'imprévu de ce qu'on appelle «la drague». Par contre, j’ai horreur de la pratiquer dans les bars ou boîtes homos, je préfère cent fois aller draguer dans certains endroits pour ça.

À Toulouse, ils sont nombreux, mais mes préférés selon l’heure sont : l’après-midi le bois de Mirail et le soir les anciens abattoirs. Donc ce soir de septembre j’étais parti pour draguer aux anciens abattoirs. Pull rose pâle, pantalon en tissu élastiss noir qui moulait mes jambes et faisait ressortir la rondeur de mes fesses. Vous l’avez compris je pense, je suis ce qu’il est convenu d’appeler «passif» et mon allure équivoque, mais pas style folle, indique bien où vont mes préférences. J’arrive donc à 21h30 environ sur le parking. Encore un peu tôt, il est désert. Je descends de voiture et je vais flâner sur la digue de la Garonne pour contempler la vue sur Toulouse la nuit qui m’enchante à chaque fois.

Brrr seuls les gays... 

Il y a donc un moment que je suis appuyé là sur cette digue dans l’obscurité quand un homme passe et s’éloigne, puis revient, repasse et finalement s’adosse au parapet à côté de moi. À la dérobée, je l’observe et je vois qu’il me regarde tout en se passant la main de temps en temps sur le devant de son pantalon. Quelques instants passent dans le silence et, feignant de chercher des cigarettes, je me redresse, fouille dans mes poches tout en me caressant les fesses et finalement je sors une cigarette. L’homme auquel mon manège n’a pas échappé se rapproche de moi et me tend du feu. La conversation s’engage sur quelques banalités. Mon plaisir, c’est de me faire draguer, de laisser les inconnus se découvrir et faire les premiers pas.

Visiblement, je l’intéresse car est il tout contre moi, et par moments je sens sa jambe contre la mienne. Enfin il se décide et me propose de faire quelques pas. Comme nous marchons sur la digue, la conversation prend un tour plus précis, il me demande si je viens souvent ici le soir. Je lui réponds : «Quelquefois, quand mes amis ne sont pas libres.» Déjà, sur la digue, le nombre de «promeneurs solitaires» a augmenté. En bas, sur le parking, il y a une dizaine, voire une quinzaine de voitures. Ils nous regardent passer devant eux avec envie intérêt. Nos pas nous conduisent au pied de la digue et après avoir traversé le parking, où une voiture, nous voyant, fait des appels de phares, nous nous dirigeons d’un commun accord, vers le petit sentier entre deux murs où en général se concrétisent les rencontres sur place. Dans le sentier, deux hommes se masturbent réciproquement et, à notre approche, se quittent sans s’éloigner. À peine les avons-nous dépassés qu’ils recommencent. À quelques mètres d’eux, contre un arbre je m’arrête et jette ma cigarette. L’homme se rapproche de moi, me prend dans ses bras et cherche ma bouche que je lui offre après quelques refus. Tandis que je sens ses mains me caresser les fesses avec insistance, j’extirpe son sexe que je commence à caresser et branler. Lui, a glissé ses mains sous mon pantalon et me caresse les fesses tout en les écartant et en me flattant du doigt la rosette. Sentant son sexe durcir, je me dégage et à genoux, je lui administre une longue fellation, qui, je le sens, ne va pas tarder à porter ses fruits. Il m’écarte alors la tête de son sexe et me demande : «tu veux que je te baise ?»

Lentement, je me relève, défais mon pantalon et en enlève une jambe pour ne pas être gêné. Me retournant, je m’appuie contre l’arbre et guidant son sexe d’une main, je l’introduis en moi et il me pénètre facilement. Les deux masturbateurs réciproques se sont approchés et contemplent la scène que nous leur offrons. Bientôt je sens monter le plaisir en moi sous les va-et-vient du sexe qui me perfore, puis je suis inondé de sa jouissance tandis qu’il s’écroule sur moi. Les voyeurs qui se masturbaient s’approchent en me tendant leurs sexes. Mon inconnu se rebraguette et s’en va. Je suis là, le pantalon baissé, deux sexes tendus à proximité et je n’ai pas joui. Alors j’avance les mains vers les sexes et je les masturbe puis je me penche en avant vers l’un d’entre eux que je commence à sucer tandis que le second m’écarte les fesses et plonge dans mon intimité. Le plaisir m’inonde à nouveau, je le sens monter en moi, mon propre sexe se dresse quand je reçois les deux jouissances simultanées dans ma bouche et mes fesses et je n’ai toujours pas joui.

Aussitôt, ils se retirent, s’essuient et s’en vont. Moi, ma tension est retombée et frustré de ma jouissance, je m’essuie les fesses et la bouche avec des Kleenex. Je suis en train de remonter et réajuster mon pantalon quand un homme passe, s’approche, le sexe tendu, et me regarde en se masturbant. Il s’adresse à moi crûment :

— Ils t’ont baisé ?

— Oui

— Tu aimes ça ? Tu en veux encore ?

Je n’ai pas joui et j’ai là devant moi une autre occasion.

— Ça dépend.

— De quoi ?

— Je veux bien mais pas ici, ils sont trop pressés.

— Tu viens chez moi ?

— D’accord.

Nous nous suivons en voiture et rapidement en banlieue, il s’arrête devant un immeuble, assez cossu.

Dans l’ascenseur, il me serre contre lui, mes fesses contre son sexe.

— Tu aimes te faire baiser ?

— Oh oui, c’est bon.

Je sens à travers son pantalon son sexe dur contre mes fesses et mon plaisir monte.

— Tu en as pris plusieurs ce soir ?(NDLR 1985 ! le sida c'est après)

Ses mains s’impatientent sur mes hanches et mes cuisses quand l’ascenseur monte. Une fois chez lui, il me repose la question :

— Oui, deux... mais je n’ai pas joui.

— Combien il t’en faut pour jouir ?

Il a sorti sa queue et je suis à genoux devant lui.

— Dis, combien ? trois, quatre, plus ? J’appelle des copains.

J’ai sa queue dans la bouche et entre deux va-et-vient, je lui réponds :

— Si tu veux.

Il est allé téléphoner... et ce soir-là, chez lui, ils étaient quatre à me faire jouir. Jouir intensément, quatre que je revois de temps en temps... ce qui ne m’empêche pas d’aller draguer... avec des fortunes diverses.

Jean-François, 23 ans en 1985 ( 53 ans en 2015)

 

 

Par jean-françois - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 6 février 5 06 /02 /Fév 08:04

 

C'est une belle journée.... Je vais me coucher !!!!!

 

aucun plaisir solitaire SVP 

 

 

   

 

   

 

  NON NON MËME PAS  meca-nique

 

 

 

 

 

 

    Yes fuck !

 

 Yes fuck !

 

     Yes fuck !

 

 

 

 

 

 

 

Par SOLO - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 6 février 5 06 /02 /Fév 05:29
AAoumfAAeAerrrrAAAAAarhaarghhargharghhaarggghOOOOOOOOooooooohhhhhhhhhhhhhhhhh
  AHmmmmmmhhhhhhhhhhhhh
  EN FAIT ILS SONT SUR LE SOL 
  Gay porn gif of two guys ass fucking on the floor. Take note of the bottom’s o-face as he gets butt fucked nice and slow by that top’s thick dick. Reblog if you think this sex position is hot. ツ Gay fuck gif taken from the Justin Owen and Billy Taylor gay porn video at Randy Blue. ( via randyblue.com ) For more gay porn gifs men having sex, follow Naked Straight Guys.
 
 
Par badass - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 2 février 1 02 /02 /Fév 22:57
INTERGENERATIONS
 
 
 
                   
 
Gerontophilia
Date de sortie : 26 mars 2014
Réalisé par : Bruce LaBruce
Avec : Pier-Gabriel Lajoie, Walter Borden, Katie Boland…
Genre: Comédie dramatique
Durée :1h22min
Pays de production : Canada
Titre original : Gerontophilia
Année de production : 2013
Distributeur : Epicentre Films

Toute l'actualité du cinéma est sur www.aficia.info

Synopsis :
Lake, 18 ans, un garçon plutôt ordinaire, vit avec une mère névrosée et sort avec une fille de son âge un peu excentrique. Mais il se découvre un penchant de plus en plus fort pour... les vieux messieurs.
Embauché dans une maison de retraite pour l’été, il tombe sous le charme de M. Peabody, un séduisant patient de 82 ans.
 
 
Par Bruce LaBruce - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • COIT003
  • pissing
  • BELLE DURANCE BH147
  • BROKEBACK MT 03
  • 149 1000
  • bare foot

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés