SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Jeudi 18 février 4 18 /02 /Fév 00:41

Quelquefois les brigands surpassent En audace les chevaliers.

 

 

homotography: Danish model Alexander Staudal  

 

 

 
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Résultat de recherche d'images pour "poulet prêt à cuire"Afficher l'image d'origine

 

Un fier brigand de la contrée 

Vint alors et dit : Me voilà !
Quelquefois les brigands surpassent
En audace les chevaliers. —
Enfants, voici des bœufs qui passent,
Cachez vos rouges tabliers !

 Il était laid ; des traits austères,
La main plus rude que le gant ;
Mais l’amour a bien des mystères,
Et (la nonne )  le môme   aima le brigand.
On voit des biches qui remplacent
Leurs beaux cerfs par des sangliers. —Enfants, voici des bœufs qui passent,

Cachez vos rouges tabliers !   Hugo- Brassens

le seul allègement : la préparation

 

biggtoppdadd: 2 Fingers, second knuckle  et elle sera pas tendre !

 

 

 

 

tu vas prendre cher...

 

 

 

 

 

paddlemyass: ilickholes: Holes-The Office of Orifice Inspection.

 

 

huffpitman: thekingay: I like noticeable but not extreme differences between top and bottom: older/younger, bigger/smaller, buff/skinny. I think it’s hot watching bigger guys nail smaller ones hard…

 

 

Résultat de recherche d'images pour "cul de poule arabe" "faut que tu saches : en arabe dire d'un mec que c'est un cul de poule

c'est dire que c'est un pédé qui se fait troncher ici et là" 

 

 

Par RUDEBOY - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 14:56

j’adore rougir ! on sent l'émotion monter ...on se sent complètement mis à nu et c’est incontrôlable, c’est comme une érection inattendue en public !

  [si un jour je ne rougis plus, je suis pas sûr que je serai mieux

rougir, ça provient de ma nature timide et assez soumise] 

Afficher l'image d'origine je suis pas fier et sans préjugés  

 

 

 

Je marche dans la rue, perdu dans mes pensées, quand soudain j’ai le regard attiré par un type qui arrive en face de moi.

C’est un maghrébin, 45 ou 50 ans, moustache, cheveux drus poivre et sel. Il porte des courses dans un sac plastique. Son corps est massif et son ventre proéminent. Il marche pieds nus dans des savates de bain en plastique, mais ce qui attire surtout mon regard, c’est qu’il porte un pantalon de jogging blanc qui, au niveau de son sexe forme une bosse si explicite que l’on devine l’anatomie de son pénis presque comme si on le voyait nu !

Je dois avouer qu’il m’arrive souvent de reluquer des mecs dans la rue, et que je m’oblige en général à détourner le regard pour éviter toute embrouille. Mais là, j’en suis incapable, tant cette vision me fascine. Évidemment, il s’en aperçoit et en me croisant, il dit :

– Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce que tu regardes ?

Je réponds de façon confuse :

– Oh, excusez-moi ! Je ne regardais rien de précis, je regardais dans le vague… Je pensais à autre chose…

Il me regarde dans les yeux. Il me semble que je rougis très nettement.

En vérité : j’adore rougir ! Bien sûr, par rapport aux autres, c’est toujours très gênant, c’est un signe de faiblesse, etc. Mais par rapport à moi-même, j’aime beaucoup cette sensation : on sent une chaleur affluer au visage, l’émotion monter, on se sent complètement déshabillé et c’est incontrôlable, c’est comme une érection inattendue !

– C’est mon zgeg que tu regardais ?

Me demande-t-il ça pour m’engueuler ? Je ne crois pas… J’ai plutôt l’impression qu’il tâte le terrain… Je prends le risque :

– Oui. Je suis vraiment désolé, excusez-moi.
– Tu veux le voir ?
– … oui.
– Suis-moi. Tu restes à 10 mètres derrière moi.

Je le suis sur 500m environ. Il rentre dans un immeuble récent. Dans le hall, il ne prend pas l’escalier, ni l’ascenseur, mais se dirige vers une porte au fond : celle du sous-sol. Il l’ouvre à clé et descend l’escalier en ciment. Je le suis. Arrivé en bas, il ouvre une des caves et me fait signe. J’entre. Il referme la porte. Il n’y a pas de lumière dans sa cave, elle n’est éclairée que par la lumière du couloir qui entre par les espaces au-dessus et en dessous de la porte.

Dans ce réduit obscur, encombré d’objets divers, il n’y a pas beaucoup de place. Il s’assoit sur le bord d’un carton, face à moi, les cuisses ouvertes, et attire ma tête vers son entrejambes. Je me mets à genoux et y plonge mon visage. C’est doux, c’est tiède. Je sens l’odeur de lessive de son jogging, mais à mesure que je respire plus fortement je commence à distinguer une légère odeur virile qui me parvient à travers celle du tissu propre.

Je reste longuement le visage collé sur son sexe à respirer les odeurs et à sentir le contact de son pénis à travers le tissu. Par moments, sa bite durcit, de façon assez rapide, puis, elle redevient flaccide.

Au bout de quelques minutes, la minuterie dans le couloir arrive au bout et la lumière s’éteint : nous voilà plongés dans l’obscurité la plus complète. Il ne bouge pas. Je commence à remonter son T-shirt pour coller ma joue sur son ventre et embrasser ses poils autour du nombril. Puis, je saisis son pantalon de jogging par l’élastique pour le baisser. Il soulève légèrement les fesses pour m’aider : je le lui enlève complètement après qu’il a fait tomber ses savates.

Me voilà en contact direct avec son pénis. Je le caresse avec mes joues, le respire, le lèche et finis par le prendre dans ma bouche. Je suis alors surpris de le sentir gonfler et se durcir très rapidement dans ma bouche : en près de 10 secondes, il est en parfaite érection !

Son pénis n’est pas très long, mais assez épais. Il occupe bien l’espace de ma bouche : je suis obligé d’ouvrir grand les mâchoires, mais je parviens à l’engloutir en entier sans difficulté. Je vais le sucer longuement et avec plaisir, mais je commence par le ressortir de ma bouche pour aller titiller et embrasser un peu ses couilles velues.

           Alors que je commence à les lécher, je sens quelque chose de tiède et de doux se poser sur ma joue : je réalise que c’est sa bite, qui a débandé ! Elle est redevenue molle aussi vite qu’elle avait durci ! Très surpris, j’approche ma main pour la caresser : c’est incroyable, elle réagit presque aussitôt, en reprenant de la vigueur ! On dirait qu’elle est vivante : constamment, elle se met en érection à la moindre stimulation, et retombe presque dès qu’on la lâche.

Je m’amuse à la prendre dans la bouche, puis la délaisser pour aller embrasser les cuisses, les couilles, etc. Elle se retrouve ainsi à augmenter et diminuer en permanence ! Je n’avais jamais vu ça !

Je finis par avoir pitié de sa gymnastique et la prends bien au chaud dans ma bouche où elle retrouve une fermeté immédiate. Et je commence à la faire coulisser entre mes lèvres, tout en moulant bien son gland avec ma langue. Le type se met aussitôt à pousser des halètements répétés et je sens un petit jet de sperme gicler contre mon palais. Déjà sa bite devient moins dure. Il pousse un long soupir de satisfaction, je retire doucement ma bouche et laisse pendre sa bite tout en continuant de déposer des petits bisous affectueux sur ses cuisses. Je les baisouille longuement, un peu déçu quand même par ce dénouement trop rapide. Puis, je vais pour me relever mais il pose sa main sur mes épaules pour m’inviter à rester entre ses jambes.

Surpris, je recommence à lui embrasser le ventre, les cuisses, et quand j’approche ma joue des son sexe, je le sens de nouveau réactif, de nouveau je le sens se gonfler à la moindre caresse ! Je reprends son gland dans la bouche, et voilà sa bite qui se re-durcit dans ma bouche en moins de 10 secondes, comme la première fois ! Je me remets à sucer. Il me dit :

– Hhhhmmm. Ça faisait très longtemps que je n’avais pas vu de femme… C’est bon… Tu le fais bien…

Il met un peu plus longtemps à éjaculer. La 2e giclette n’est guère plus abondante que la première, mais il soupire d’aise et de volupté tout pareil. Cette fois, je ne me relève pas et continue à suçoter. Au bout de deux minutes, sa bite redevient de nouveau réactive et je la reprends en bouche pour la troisième fois !

Lui qui m’avait paru rude et autoritaire dans la rue, il me dit maintenant des mots doux pendant que je le suce. Il me parle comme à une épouse soumise, me dit que je suis une femme très gentille, très douce, etc. Il m’appelle « ma chérie », « ma jolie » et me dit même des mots d’amour. Je pense que dans le noir, il fantasme que je suis vraiment une femme ! Ça m’excite de me mettre dans ce rôle. Je continue de sucer amoureusement son pénis, avec application et dévouement.

 jess  

 

  - - Re; - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -  -- - - -  - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -  

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.Jska. ☾ moi aussi, jess, je rougis facilement.Tu es un gars comme j'aime. 
MuesllyJessi         
 
     - -Re :  - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -  -- - - -  - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 
 
Les tags les plus populaires pour cette image incluent :  laisse pisser mec !  tu dois t'en
foutre de ce que les autres pensent. Retiens bien ça.  Fabian
 
- -Re :  - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -  -- - - -  - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
 
 
Hot                 
           -tkt mec moi aussi j'm fricoter avec des inconnus un peu rudes et je les collectionne !  
    
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -  - - - donner son avis ? friend amigo claudemodou@gmail.com  - - - - - - - - - - - - - - -
 
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Par LE PASSANT - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 14 février 7 14 /02 /Fév 03:46

ceux qu'on n'aime pas  !

  coca, fanta ...ok mais tequila olé  

 

Quand tu chantes {x2}
Tu ne sais pas pourquoi
Quand tu chantes {x2}
Quand tu chantes ça va
Quand tu chantes {x2}
Tu ne sais pas pourquoi
Quand tu chantes {x2}
Quand tu chantes ça va  (Nana Mouscouri)

MAIS LUI, PAS DE BLEME...IL SAIT POURQUOI IL CHANTE !

  PLAIDOYER POUR LES BITURES AUTHENTIQUES ET  LA TEQUILA  (Olé ! )  

  écrit sur un mur de "la honte" contre l'immigration clandestine ... 

 

     Traduction  (si nécessaire  ?)

"Quand je prends de l'alcool tous disent que je suis alcoolique

Mais quand je prends du fanta personne ne me dit que je suis fantastique"   

 

 

 

Par CORNIER - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 13 février 6 13 /02 /Fév 15:44
  Évidemment, nous ne nous sommes jamais vus, rencontrés… même imaginés.
    contribution hyper bonne  de Matt Déru  
 
Nuit "hétéro"
À l'époque, je vivais à Évry (91)…

Rentrant tard un soir de semaine de ma petite gare de banlieue, je remontais paisiblement l'allée d'entre les citées afin de rejoindre ma chambre.
Au loin devant j'aperçus, assis sous un réverbère, deux hommes occupés à discuter. Passant devant eux, le plus jeune me demanda une cigarette.
« Je n'ai que du tabac à rouler.
- Pas de problème mec ! tu peux me la rouler ? » rétorqua l'autre.
Tandis que je lui roulais sa clope, les deux hommes continuaient à parler entre eux. Ils paraissaient saouls.
La cigarette tendue : «  Ah merde, ça t'est possible de rouler un pet’ plutôt ? » Je lui pris la boulette tendue et roulais le pet’.
Les deux hommes parlaient de leur soirée de beuverie et abordèrent le problème de trouver au plus jeune un endroit où dormir… « Eh mec, j'abuse peut-être, tu pourrais me loger pour la nuit ? »
Je le regardai dans les yeux et, grand flash me vis dedans en train de sauter l'homme. Troublé, mais sans attendre je lui répondis OK.
 
 libre à toi qui partages avec moi ce moment, mais
 je recommande de faire jouer la vidéo ci dessous pour accompagner ces images de rêve
  

Nous raccompagnâmes l'homme le plus âgé, saoul au point de ne plus tenir sur ses jambes, au pied de son immeuble, puis repartions vers ma chambre, à la résidence d'Évry Petit Bourg…
Alors que nous venions de passer la grille et passions sur le parking devant l'immeuble :
« P'tain mec, ce soir j'ai maté un max de meufs, och comme grave et…
- Attend mec, que les choses soient bien claires entre nous : je te loge pour la nuit, mais pas la peine de jouer avec moi, je suis homo et tes histoires de filles ne m'intéresse pas.
- Tu me dis quoi là ? T'es PD ? P'tain mec ! Et ma confiance en toi ? Tu me fous les jetons là !
- Je n'ai pas dit que j'allais te sauter dessus garçon. Et puis question de confiance, c'est bien moi qui te loge pour, je te le rappelle, dormir cette nuit chez moi. Et c'est là tout. Maintenant, si t'as la frousse, bonne nuit et bon vent.
- Nan nan ! C'est bon mec, je te crois !
- Autre chose, chez moi c'est une piaule de neuf mètres carré où je vis à oualp, alors pour toi je veux bien faire l'effort de me foutre en caleçon. Ça te va ? »

Arrivés dans la chambre, je me dé-sapais pour enfiler un caleçon et demandai à l'homme s'il avait dîné. Ce dernier préféra prendre une douche et s'enferma dans la cabine pour se déshabiller et se laver. Au sortir il tenta de remettre ses fringues puantes alors que je lui tendis une serviette, un caleçon et un T-shirt propres.
Dès qu'il me vit en caleçon, il me fit une scène à propos de ma volonté de lui faire du charme en lui montrant mes cuisses. Étant saoul, je cru bon de prendre cela pour un compliment.
Repas frugal et cigarette douce, je proposai de passer au lit. L'homme inquiet demanda à ce que je ne le touche pas au risque de recevoir un mauvais coup.
La lumière éteinte, j'entrai dans le lit, fini de me dé-saper et tombai de sommeil.

Dans la nuit, quelque chose me sorti plus ou moins de mon sommeil…  c'était chaud, doux… que ce passait il…  j'ouvris enfin les yeux, soulevai la couette et vis l'homme assis sur mes cuisses pompant ma bite en érection.

« Eh ben mec, ça te plais ? »
Faisant un bon, l'homme se redressa et tenta une explication.
« Attend garçon, si ça te plaît, ne te gène pas pour continuer », lui poussant la tête vers ma teub.
Il reprit de plus belle. Moi satisfait, je bougeai légèrement le bassin afin qu'il prenne ma bite un peu plus dans sa gorge. S'arrêtant, il me demanda à mon tour de le pomper. Il se dégagea, s'allongea sur le dos et, oh surprise, je le trouvais totalement nu,  1m 80, finement musclé, peau blanche et totalement épilé, un sexe de 18 cm bien raide et humide de désirs. Je commençai à lui lécher le gland mouillé en le caressant. Je fini par le pomper fond de gorge, l'homme tendu de tout son corps râlait de plaisir. Au bout d'un temps, ma langue quitta sa verge pour lui lécher les couilles qu'il avait rasées. Étrange pour un hétéro… Ce faisant, une de mes mains glissait sur sa cuisse bien ferme, il écarta les jambes. J'y découvris un superbe cul fraîchement rasé entre deux belles fesses bien fermes et je le lui léchais.
L'homme écarta les fesses et passa ses jambes sur mes épaules afin de libérer son anneau également humide de désirs et déjà dilaté. Constatant le chose le le lui bouffais sauvagement. Puis vint un jeu où je passais de sa rondelle à sa teub, le pompant fond de gorge, lui enfonçant la langue profondément.
L'homme hurlait de plaisir : « P'tain ! T'es trop bon mec ! Vas-y ! Prend-moi !
- OK, si tu te sent chaud, mais tu vas me pomper avant »
L'homme, très souple et affamé, se redressa en écartant un peu plus les jambes pour les passer de chaque côté de mes hanches et, plié en deux, prit ma bite au plus profond de sa gorge pour tenter des aller-retour. Manquant de s'étouffer, sa gorge se resserrait sur mon gland et, dans le mouvement de va et vient manqua de me faire jouir dans sa gorge.
Trop excité, je le poussai, il se laissa tomber sur le dos, leva son cul, me prit des mains les hanches pour le pénétrer. J'entrai dans son cul doucement, ma bite raide et prête à juter, jusqu'à la garde.
Hurlements de plaisirs sauvages, sa rondelle palpitait, je me lâchai et lui défonçai le cul sauvagement. Afin d'éviter de trop déranger mes voisins, je lui roulai une pelle alors qu'il me pompait la salive.
(là c'est du sperme, mais j'ai pas trouvé mieux lol)
“OK mec, alors on se lâche !” Tel un bourrin, je lui labourai le cul, perdant toute notion et devenant l'acte de pénétration.
Je me retrouvai dans la position telle que je m'étais vu dans ses yeux quelques heures plus tôt.

J'allais bien finir par jouir, l'homme aussi… Alors, dans l'action, je me suis plié en le sautant afin de le pomper en même temps. Trop excité il me cracha une énorme salve de sperme au fond de la gorge. Je fis de même dans son cul. N'arrêtant pas de le pomper, je le sodo toujours aussi sauvagement. Il attrapa ma tête de ses mains  pour me rouler une pelle, tentant de récupérer le maximum son sperme, le mélange de son sperme et de nos salives coulaient dans sa gorge. Deuxième éjac dans son cul. Je ne m'arrêtai pas.
L'homme voulait de nouveau me pomper. Je me dégageai de son cul débordant de sperme, m'allongeai sur le dos. Lui se leva se jeta sur ma queue raide et sensible pour la pomper, dans l'action sauvage, je lui défonçai la gorge à coups de hanche, lui attrapai le bassin pour lui bouffer le cul, mon sperme dégoulinant de son trou directement dans ma gorge. Troisième éjac. Il la prit au fond de la gorge, me lècha le gland afin de n'en pas y laisser une goutte, puis se lèva, se retourna et me roula une pelle ingurgitant le sperme récupéré de son cul. Là l'homme s'effondra de fatigue et s'endormit sur moi.
récupéré de son cul :
domtopv2: foralphasglory: all overflow should be cleaned up Any of my precious seed that leaks out of your hole, will be cleaned up by that pretty mouth. Understand, faggot? But pls, don’t waste it :O
(régurgitant...ça m'a rappelé la scène de cet été ...
 ...sur la plage)

Sinon, au réveil, en milieu de matinée, changement de décors, l'homme dont je ne saurai jamais le nom (m'en serais-je souvenu ? ) m'annonça qu'il n'avais jamais connu meilleurs coup et qu'il en garderait un souvenir « éternel .»

Évidemment, nous ne nous sommes jamais vu, rencontrés… même imaginés.

Un hétéro a sa noblesse et son ego à entretenir, sa rondelle à préserver,  non ?  lol

Ah oui ! BONNE BRANLETTE !  Et que ça gicle ! lol

Matt Déru
 
 
 
Par MATT DERU - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 8 février 1 08 /02 /Fév 22:55
  • mais il ne peut s'empêcher de gémir et il sait que ces petits bruits sont un guide pour son amant Chéri

 

 

 

 

                              

la voix grave de son Chéri contraste avec ses jolis petits cris de plaisir !

 

 

 

 

 

 

 

Par GAYMOANER - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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