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occasionnel très beau qui vient se confier à nous qui ne le connaissons pas plus qu'il ne connaît ses hôtes !
un très beau photoset évoquant UN SEUL PETIT MOMENT de ce récit paru en 2015 à lire (en se paluchant -lol-), ci-dessous
minouche 22 nous parle sur "histoires de sexe"
faites pareil à claudemodou@gmail.com si vous aimeriez partager votre "il était une fois" à vous sur le blog. Même une phrase suffit !
Les faits de cette histoire véridique se sont déroulés au mois de mars dernier. J’étais à Paris pour quelques jours.
Je déambulais dans la galerie marchande de la gare Saint-Lazare. En montant l’escalator, nos regards se sont croisés. Je l’appellerai E. Taille
moyenne, crâne très dégarni, il m’avait fixé du regard. J’ai soutenu le sien. A peine quelques pas, il me salue et me tend la main. On échange des banalités. Il m’avait avoué que je lui plaisais.
Il n’était pas vraiment mon genre, mais ça passait. On avait échangé nos numéros de téléphone. Pour un éventuel RDV. Il m’avait également annoncé qu’il était en couple et voulait savoir si cela
posait problème.
Comme je suis ouvert à tout, et que j’ai déjà eu des plans à plusieurs, je ne voyais aucun inconvénient à cela. Le soir même j’ai reçu un SMS me
fixant RDV pour le lundi en début de soirée. Répondant par l’affirmative, il me communiqua l’adresse. On s’était échangé quelques messages histoire de découvrir ce que chacun aimait, voudrait et
attendait…
19h55, j’arrive devant l’immeuble. Je l’appelle, il me communique le code pour y accéder. J’arrive enfin. Il m’ouvre la porte de l’appartement, me
fait la bise et me présente son compagnon. []Il me serre la main. Je l’appellerai A. On accède au salon, on papote autour d’un café pour eux et d’un thé pour moi. Tout en répondant à leurs
questions, je les détaille. Le compagnon me plaît grave.
On parle de tout, de mes origines, de mon pays, de ma ville (je vis à Alger), mon travail… Au fur et à mesure que le temps passe, les questions se
réduisent. A se lève et quitte le salon. E se lève également et vient s’asseoir à mes côtés. Même si je ne le montrais pas, je ne menais pas large. Je me trouvais chez des gens que je ne
connaissais pas. Comment les choses allaient se passer ? Alors que je me posais beaucoup de questions, E posa la main sur ma cuisse et me caressa. Je le laissais faire. Il prit ma main dans la
sienne. Une certaine excitation commençait à naître. On se regardait dans les yeux. Il a approché son visage du mien. Ses lèvres touchèrent les miennes qui n’attendaient que ça. Alors qu’on
s’embrassait, nos mais allaient à la découverte du corps de chacun de nous. Moi je cherchais à découvrir son sexe. A nous rejoignit. Il me caressait le dos. Je me retournais vers lui à la
rencontre de ses lèvres. C’était l’extase. Il embrassait divinement bien. On commençait à se déshabillait. En deux temps trois mouvements, on était presque nu, à l’exception de nos
caleçons.
J’avais quatre mains qui parcouraient mon corps. Je me laissais aller à cette plénitude, à ce plaisir. J’étais dans un autre monde, celui du plaisir
et du sexe. Leurs caresses me faisaient du bien. Assis sur le divan entre eux, j’avais les deux mains occupées à toucher, à palper leurs entrejambes respectifs. De tailles moyennes, leurs queues
m’attiraient. Je n’ai pas pu résister longtemps à l’appel de la bite. Je me penchais sur celle de E. Une bite raide, bien droite, encapuchonnée par le prépuce (je suis fan du prépuce et j’adore
sucer une queue dont le prépuce est bien présent). De son côté, A. me caressait le torse et titillait les tétons (mon faible). Je quittais la que de E. pour m’occuper de celle de A. Un autre
délice dans la bouche. Alors que je pompais avidement sa bite, E., de son côté, s’occupait de la mienne. L’extase. Un double plaisir pour moi. Lui et A. s’échangèrent de place. J’étais devenu
pour eux un objet, un jouet avec lequel ils s’amusaient, ce qui n’était pas pour me déplaire (j’aime être soumis au plaisir du ou des partenaires, être leur jouet, leur objet, mais dans le
respect). Je pris leurs bites en même temps dans ma bouche. Je suçais, je salivais et je sentais des picotements dans mon fondement. Pendant que je m’occupais de A., E. me léchait la rondelle, la
mordillait et la titillait avec sa langue en pointe. Le même traitement m’était prodigué par A. quand je m’occupais de la queue de E. Tous mes sens étaient en éveil. J’étais excité comme une
puce. Deux queues rien que pour moi, il fallait en profiter dès la moindre seconde.
Pour être plus à l’aise, A. proposa de se rendre dans la chambre à côté. Et c’est là que ma fête commença. A. s’adossa sur la tête du lit, jambes
écartées. Moi, à quatre pattes, sa queue dans ma bouche, je le suçais pour le faire bander à nouveau. E., lui, me léchait la rondelle. Occupé à sucer, à croire que ma vie en dépendait, je sentis
le froid envahir mon trou. C’était E. qui mettait du gel pour me travailler le cul. Après l’avoir bien étalé et enduit dans mon trou, je sentis son doigt me pénétrer doucement, je gémissais
de plaisir sans lâcher la queue de A. Ce traitement dura quelques minutes.
E. quitta mon cul se présenta devant moi pour que je le suce un peu, histoire de donner vigueur à sa bite. A. pris le relais et me doigta le cul.
Dès que sa queue eut retrouvé sa raideur, E. mit un préservatif et se présenta devant mon trou qui palpitait suite au traitement que lui avait prodigué le « doigtage » de A. Je sentis la queue de
E. pousser pour me pénétrer. Il allait doucement. A. est revenu à sa place, il me donna le biberon. Je sentis le gland passer. Le reste suivit aussi lentement. Heureusement que ma bouche était
prise d’assaut par la queue de A. étouffant ainsi mes gémissements.
J’avais les deux trous occupés. A. et E. allaient et venaient. Ils étaient synchro. Je me sentais chienne, pute. Mes gémissements avaient dû exciter
A. qui demanda à E. de lui céder la place. Il mit un préservatif, et me pénétra d’un coup. Je sentis bien sa queue, heureusement que E. m’avait pris juste avant. Ce dernier me donna sa bite à
sucer alors que A. me pilonnait sans retenue, [et sans arrière-pensée -lol-] avec une certaine rage. Je sentais ses couilles cogner sur mes fesses. C’était bon. Même plus que bon. Agrippé à mes
hanches, A. me secouait comme une branche par le vent. Tous les deux me traitaient de pute, de trou à bite… J’adore quand on m’insulte.
A. me pilonna pendant plus 5 minutes environ, avant d’être remplacé par E. qui lui aussi se donna sans retenue. A. vint se placer devant moi, sans
dire un mot, j’ouvris ma bouche et happa sa queue dure. Il prit mon visage entre ses mains et me baisa la bouche pendant que E. me cassait le cul. Ce traitement dura quelques minutes avant de
sentir E. se raidir et donner un dernier coup de reins bien profond et jouir dans un petit cri. A peine sorti, (le préservatif rempli de sperme blanc crémeux) il fut remplacé par A. Il me
prit en levrette, avant de demander de m’allonger sur le dos et de lever les jambes écartées. Il me pilonna ainsi quelques minutes. Je gémissais, mes mains agrippaient le drap tellement c’était
fort. Au bout de quelques minutes, A. me demanda de me remettre à quatre pattes. C’est en levrette qu’il me prit à nouveau. Pas eu le temps de souffler qu’il était en moi d’un coup. Sa queue
glissait comme dans du beurre. Je gémissais sans cesse tellement c’était bon. Le pilonnage ne dura pas plus de cinq minutes. Il cria dans sa jouissance. Malgré le préservatif, je sentis les
tressautements de sa queue. Il s’affala sur moi, m’embrassa avant de sortir de mon cul.
On se retrouva tous les trois dans la salle de bains pour se nettoyer. Le temps de se rhabiller, de livrer ses impressions et d’un dernier baiser,
je quittais l’appartement encore sous l’effet du plaisir
minouche 22
http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.histoire=21231
je n'ai jamais été vraiment triste...
Pfff...
C'est ça la vie. Tenir. Des fois j'en ai un peu marre..."fed up with it" comme ils disent. Mais rien de grave !
quelquefois je vais à la salle de fitness. ahahah
Tenir. Sinon on retombe !
je tiens !
c'est une pièce d'échecs un peu grande...ok......Pas plus -lol-
j'ai encore des séances de tatouage : ce tattoo n'est pas terminé
j'aguiche un peu avec cette combi un peu déboutonnée ...
triste ? moi ? non ...je confesse un peu de mélancolie...
Est-ce que je ne rêve pas d'unir deux mélancolies...
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