SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Lundi 14 mars 1 14 /03 /Mars 23:13

vous pouvez résister vous si vous recevez une photo comme ça ?  

SubmissionDamn, that dick looks delicious….

 

 

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Post reçu de David  (prénom changé)

Mon aventure avec GRINDR

Bonjour ! J'ai 25ans et je suis avec mon copain depuis 6 ans et mon compagnon a 29 ans. La 1ère fois que j'ai triché envers lui c'était il y a un an. Je me suis mis en retard pour le repas parce que j'ai fait une touche avec un serveur du restaurant où nous devions  dîner. En fait j'étais arrivé en avance et j'avais une demi-heure à tuer dans ma voiture...Je sortis mon iphone. J'étais excité et je cherchai des pages porno. Très vite apparut une scène hot   J'ai regardé une vidéo porno et à la fin est sortie, en bas de l'écran, une publicité pour l'appli GRINDR ; biensûr je m'y suis intéressé. "Pourquoi pas ? me dis-je, "Juste un coup d'oeil". Je vais me créer un profil anonyme...

Jamais auparavant je n'avais pensé me connecter à GRINDR mais j'en étais curieux et décidé à ne jeter qu'un bref coup d'oeil. J'opérai une rapide inscription et en quelques instants je visionnai des profils, dont l'un était un mec de 28 ans localisé à moins de 20 mètres. Il s'appelait "Actif TBM"(Hung Top). J'étais intrigué et je voulus savoir comment il était réellement foutu.

Avant même que je tente le contactet lui demande une photo, je reçois ce message :      

Hung Top: "- tu es tout près. 😉"

Moi : Haha, j'allais juste te poster un message.

Hung Top: J'ai une pause dans mon job et je suis seul. tu v me rejoindre ?

Moi: Lol, tu sais même pas à quoi je ressemble !  

Hung Top: Les infos sur ton profil sont ok. J'ai 10 minutes. On baise ?  

Soudain, dans la surprise, coeur battait très fort. Mon estomac se crispa. Des perles de sueur se formèrent sur ma peau. Pourquoi j'en ai eu  le désir pressant ? Jamais je n'avais imaginé tromper mon copain.  Putain qu'est-ce qu'il me prenait ? Pourquoi j'allais faire ça ?  L'adrénaline se ruait dans mon corps, je sortis de voiture et pris une grande respiration. J'étais envahi du désir de baise et allais "commettre" l'impensable !   Hung Top m'indica où il se trouvait exactement et comment je pouvais entrer discrètement. Ironie du sort c'était précisément le restau où on avait RV pour dîner avec mon copain.

 Alors que je longeais l'arrière du bâtiment je vis une silhouette sombre et un écran orange qui brillait. 

"- t'es le gars de Grindr ?" me demanda-t-il.

C'était "Hung Top" qui fumait une cigarette pour me souhaiter bienvenue.

" - Putain, t'es vraiment canon ! suis-moi" 

Je vous dirai pas grand chose de "Hung Top" : grand, certes, et pâlot, dégingandé, par contre assez beau du visage, mais dans l'ensemble je le trouvais gauche et maladroit dans ses gestes. Mais aussitôt que nous entrâmes dans la lumière du glauque entresol du restau, je pus voir ce pourquoi j'étais venu. Sortant de son pantalon noir pendait un épais 30 cm qui commençait à lever.

"- Suce-la "me commanda-t-il, me poussant par les épaulles pour que je m'agenouille. Et c'est comme ça que je suis entré dans "la danse". Je me laissai tomber sur les genoux  et commençai à mettre en bouche sa tige charnue, levant les yeux sur son visage tandis qu'il se léchait les "babines". 

" Oui, mec bon et cool. Ni trop vite ni trop doucement mais comme il faut. "

Je continuai à traire sa canne en pure adoration.

Au départ je n'ai pas pensé à mon copain  en ce moment où la seulechose qui comptait c'était de donner de "l'amour" à cet actif. A partir de cet instant c'était cet actif mon copain et non le gars que je devais rencontrer à l'étage !  Pendant un moment je léchai et suçai la bite et les couilles de ce mec jusqu'à ce qu'il me relève agressivement et me fasse appuyer sur un fauteuil crasseux taché de foutre et fit glisser mon futal et mon boxer juste asez pour dégager mon cul lisse et imberbe. 

"- Tu as une capote ? j'ai demandé

 -Non, et toi ? répondit-il en taquinant mon  trou avec son gland. 

Sans plus de discussion ni d'hésitation le mec cracha sur mon trou remontant son 30 cm le long de ma raie, poussa son gland à travers l'anneau de  ma rosette... Là il poussa un énorme soupir de satisfaction et il eut alors un gloussement de plaisir.  Dans la seconde il s'enfonça davantage. Moi j'émis un gémissement haletant prolongé tout en tournant la tête pour capter son regard, comme s'il était mon dieu. 

"- Vas-y pépére, encule-moi. Continue."   Je souris, avec un petit rire.

Il me répondit d'un sourire et cracha sur l'endroit où sa queue et mon anus s'unissaient . Il cracha de nouveau tandis que les derniers cm de queue disparaissaient dans mon anus consentant. (très consentant -lol-)

Pour lui marquer mon bonheur, les yeux fermés, je lui suçai les doigts alors qu'il entamait  des allers et retours de toute la longueur de son sexe.  Il gémissait tout en renversant la tête en arrière et accélérant le rythme. On baisait comme des phoques. On était des phoques !  

 

Trois minutes après avoir téléchargé Grindr et sans l'intention de tromper mon copain, je venais de me prendre la queue (énorme) d'un inconnu, sans capote,  pendant que mon compagnon attendait sans rien savoir à l'étage. Et j'en appréciais chaque instant, chaque seconde. Les bruits de notre baise se faisaient entendre, mais rien à craindre : les bruits de l'activité du restau les étouffaient  et les masquaiten aux clients. Il savait comment profiter et baiser ses passifs de Grindr.  Pendant qu'il continuait à me pilonner il me psaisit les cheveux et les tira violemment en arrière de sorte qu'il pouvait voir mes yeux  renversés. Il avait un large sourire. "- tu le sens comme ton trou est ouvert ? -tu le sens bébé ? sens-le bien ce que je t'ai fait. "- Ah oui bébé Tu es un bien meilleur coup que mon copain.   Tandis que je disais ces mots-là il s'arrêta de me baiser et, enfoncé jusqu'aux couilles dans mon cul, son premier jet de sperme se déversa dans mon conduit. Alors je sentis distinctement la chaleur de son sperme se répandre dans mon intimité la plus profonde.  Ensuite et lentement, vint une seconde salve, puis une autre. Il gémissait très fort en se déchargeant sans même s'excuser (-lol-) ni me demander si je préférais  qu'il jouisse dedans.  

  Eh ben je l'admettais :  lui c'est cette sorte de mec qui a besoin de féconder ses partenaires. Il continua  ses allers et retours pour être sûr qu'il m'avait mis   toute la dose à l'intérieur de mon trou maintenant dégoulinant de sperme. Il décula. "-  merci !" Il rattacha son tablier en vitesse et s'enfuit avant que j'aie une chance de le remercier aussi.  Il m'avait laissé appuyé sur un meuble pourrave, seul, dans un sous-sol  tandis qu'une grande quantité de foutre chaud commençait à fuiter de mon anus que je forçai à se refermer pour ne rien déverser dans mon pantalon  ( et j'ai gardé le sperme dans mon fondement pendant tout le repas) . Je remontai mon fute  et sortis en direction de l'endroit où mon copain avait garé sa voiture, à peine à 5 m de là. "Appel local" me dis-je sans le moindre sentiment de culpabilité pour avoir triché et sans capote. A la même seconde je me dis que je recommencerais.

Ouais, c'était cho. Vous, si vous l'avez fait, vous l'avez avoué à votre copain ? David  

 

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USA

Submission:

I’m 25 and my boyfriend of 6 years is 29. The first time I cheated was a year ago. I was late to dinner with my boyfriend because I was hooking up with a waiter in the basement of the restaurant we were meeting at.

I was about half an hour early and decided to kill some time on my phone while sitting in my car. I was a little horny, so I opened some porn and quickly found a hot scene. After watching a short vid, I noticed an ad for Grindr at the bottom of my screen. I stared at it…

“Why not? Just to look. I’ll keep a blank profile,” I thought.

I never considered having the app before, but I was curious… and besides I was just going to look. After a quick registration I was viewing guys within minutes. First profile I saw was a 28 year old who was less than 50 feet away. ‘Hung Top’ was his name and I was intrigued to see just how big he really was. Before I could even get to his profile and ask for a pic, I received a message.

Hung Top: You’re close. 😉

Me: Haha, I was just going to message you.

Hung Top: I’m on a work break by myself. Join me?

Me: Lol, you don’t even know what I look like.

Hung Top: Your stats are good enough. I’ve got 10 minutes. Fuck?

My heart started racing. My stomach was queasy. Little beads of sweat formed on my skin. Why did I get the urge to want it? I never thought about cheating before. What the fuck was I thinking? Why was I going to do this?

Adrenaline pumping, I stepped from my car and took a deep breath. I was filled with lust and about to do the unthinkable. ‘Hung Top’ sent me his location and told me how to get in discreetly. Ironically it was the same restaurant I was to meet my boyfriend at for dinner.

As I was approaching the back of the building I noticed a dark figure and a small glowing orange dot.

“Grindr guy?” He asked.

It was 'Hung Top’ smoking a cigarette to greet me.

“Fuck you’re cute, follow me,” he said.

'Hung Top’ wasn’t much to look at. Tall, pale, lanky, kind of cute in the face, but all together a little awkward. However as soon as we stepped into the light inside the neglected restaurant basement, I saw what I came for. Hanging out of his black pants was a thick 8" cut cock just beginning to level itself with the floor.

“Suck it.” He demanded, pushing my shoulder down.

And just like that I went into heat. I dropped to my knees and started to slob gently on his meaty shaft while looking up at him as he licked his lips.

“Yes, boy. Nice and easy.”

Not too fast or slow, but nice and good… I kept milking his rod with pure worship. I hadn’t thought about my boyfriend once because in that moment the only thing that mattered to me was servicing this top. This top was my boyfriend right now, not the guy I’m meeting upstairs. I slurped and sucked his dick and sac for a few before aggressively being pulled up. He bent me over a cum stained, trashed-out recliner and slid my pants down just enough to expose my hairless butthole.

“Do you have a condom?” I asked.

“No, do you?” He replied while teasing my hole with his tip.

Without discussion or hesitation, the top spit on my crack, quickly lined up all 8", and pushed the head of his cock past the ring of my hole. He let out a deep, satisfying sigh and chuckled. He was getting deeper by the second. I let out a gasping moan and looked back at his face, staring deep into his eyes as if he were my God.

“Go ahead daddy, fuck me. Keep going.”

I smiled and let out a slight giggle. He smiled back, then spit again as his last inch disappeared into my willing hole. I sucked on his fingers in bliss, closing my eyes as the top started pulling out slowly and pushing back in. He moaned, tossing his head back as he gained speed. We were fucking like whores. We were whores.

Within three minutes of downloading Grindr, not ever having an intention to cheat, I was taking a stranger’s bareback cock while my boyfriend unknowingly waited upstairs… and I was enjoying every second of it.

The sounds of our sex echoed throughout the cluttered, wet basement. The hustle of the busy restaurant upstairs, however, drowned our noise to the second level. He knew how to plow his bottoms.

While still pounding, the top grabbed the back of my hair and pulled hard, bending my neck back so he could see my eyes upside down. He smiled big.

“Feel how open your hole is? Feel that babe? Feel what I did to you.”

“Oh, yes baby. You’re such a better fuck than my boyfriend.”

He abruptly stopped fucking as I spoke those very words and while balls deep up my cunt his first spurt of cum dumped up my ass. I felt the distinctive warmth of sperm envelop the deepest parts of my hole. Then another rope spewed out… and another. He was moaning hard as he unloaded, unapologetically, without ever having considered pulling out or even asking my preference. I understood. He needed to breed. He continued pumping to make sure he unleashed all his nut inside my now cumsloppy hole. He pulled out.

“Thanks.” He buckled hastily as he grabbed his apron and ran off before I had a chance to respond. I was left bent over a sleazy piece of furniture alone in a basement as a big load of warm jizz from a complete stranger started to leak from my ass. I clenched my hole so I didn’t spill on my pants (and kept in the load through dinner).

I pulled my pants up and walked outside where my boyfriend’s car was parked just fifteen feet away.

“Close call,” I said to myself without the slightest sense of guilt for cheating bareback. I decided by the time I entered the restaurant I would do it again.

That’s one hot story…did you ever tell your boyfriend?

 

  You had to admit your contractor had a pretty awesome team. When he introduced you to the carpenter who would be making your furniture, you were at a loss for words. He practically looked through you, but eyed your boyfriend up with a cocky look. From that day on, your boyfriend insisted on dealing personally with him to get the best deal on the furniture. It didn’t take long for you to suspect something was up, seeing how often he would head over to his workshop. You finally mustered up the courage to follow him on one of his runs…..you found out just what kind of wood that stud was giving your boyfriend. 

 

 

 

Par DAVID - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 14 mars 1 14 /03 /Mars 08:35

comment des mecs peuvent-ils se laisser aller à vagir comme des bébés quand ils baisent !  ridicule, non  ?

 

                                                                           

 

hé non, c'est beau, mec, ça prouve comme un homme est tendre en dedans ! -lol-  

 

 

 

Par FUCKMITWINK - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 14 mars 1 14 /03 /Mars 07:37

je ne peux plus rien lui refuser...

 

Fantasy:I’d love to bring two young latin twinks like these home, sit back and watch them play for me, licking every inch of their bodies, hungry with lust. I’d make them rim each other’s hole until they were begging for dick, then come over on all fours and share my cock between them. I’d probably end up making one of them sit on my face and eat out his smooth young hole while the other twink rides my cock, making out with his friend.

 

  je deviens "animal, animal, animal" 

 

  http://faggyblog.tumblr.com/ 

 

 

Par hungry - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 14 mars 1 14 /03 /Mars 06:24
 une baise calme et déterminée
  peu de mots mais ils sont francophones !   
 
 
 
Par CHARGER01 - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 13 mars 7 13 /03 /Mars 07:22

on l'aurait choisi nous aussi !  

  c'est pas sur pôle-emploi (pas de contes de fées sur pôle-emploi -lol-)

 

 

 Francis Menuge à gauche de la photo, aux côtés de Jean-Jacques Picart et Jean Paul Gaultier.

Francis Menuge à g  et Jean-Paul Gaulthier à dr / ça collerait avec l'histoire ci-dessous

 

 

Le secrétaire particulier (Abel)

    Afficher l'image d'origine là on vous signalera que le choupinou-jeune-premier est à gauche  

 

  • De retour en France depuis peu, il me faut un job rapidement, ma copine chez qui je squatte, me met en contact avec un homme d’affaire, qui cherche un secrétaire particulier, je me présente au siége de l’entreprise du soit disant veuf, bourré de frics. Arrivée dans cette magnifique battisse du 18 ème siècle, une hôtesse m’installe dans un petit salon splendide, me laisse poiroter une bonne ½ heure. Elle réapparaît, je la suis, me plante devant une très grande porte à deux battants. Je frappe, on m’ouvre, je tombe nez à nez avec un jeune mec d’environ 30 ans, super mignon, grand, brun, très classe, un regard perçant vert émeraude, je connais ce visage, mais d’où. Il me fait asseoir sur un canapé, son bureau est immense, il me demande si je connais le profil du poste, tout en me servant un café, ses traits fins ne me sont pas inconnus, mais qui est-il ? Je dis ne pas trop savoir, il m’explique que la personne choisie, doit avoir surtout beaucoup de temps disponible, car il faut le suivre dans ses déplacements régionaux et internationaux, savoir conduire, pouvoir organiser la gestion du soir quand le personnel est parti, mais par contre le salaire est très bon, un espace privé est disponible dans la maison familiale, que lorsqu’il est au bureau, la personne peut faire ce qu’elle veut du moment qu’elle est présente dans la demi-heure pour le conduire car il n’a pas son permis. Il m’avoue que je suis un peu jeune, mais que connaître trois langues jouaient en ma faveur. Il me propose de venir à 17 heures visiter la propriété, et voir si j’étais intéressé. Nous nous retrouvons donc devant ses bureaux à l’heure dite, une magnifique Mercedes Papillon des années 50/60 arrive devant nous, les portent se lèvent vers le haut, splendide voiture de collection, un jeune sort et vient vers nous, il me tend les clés et part. Le mec sourit, en voyant ma tête, il a des dents d’un blanc incroyable, son visage s’illumine, il est très beau, mais comment je le connais ? Il me dit «nous y allons », je prends place, hésite et nous démarrons, punaise le pied, nous faisons une dizaine de kilomètres et nous voilà devant un très gros portail, qui s’ouvre automatiquement, le parc est magnifique, un château se trouve au font, il est très majestueux. Je me gare devant, nous entrons dans la demeure, grandiose, un palace, j’adore déjà ce lieu, il m’accompagne dans les pièces, me présente, la cuisinière, la servante, la personne de l’entretien, et nous retrouvons dans l’appartement privé qui est super mignon, nous redescendons dans un bureau, et me demande ce que j’en pense. Je réfléchis, la jeune femme apporte un plateau de petits fours, qu’elle pose en annexe dans la rotonde, ressort, je lui affirme que je suis preneur, il me confirme les différentes tâches pour ne pas avoir de litiges avec moi après. Je lui réitère mon affirmation, et la fille revient avec un autre plateau, une bouteille de champagne et des flûtes, et repart. Nous mettons tout sur papier, et allons dans la rotonde trinquer, il me dit, qu’il me laisse une voiture, pour repartir ce soir, mais que demain serait bien pour commencer, puisque c’est le début du week-end, il aura plus de temps pour m’expliquer. Le jeune homme d’entretien entre, je prends congés, il m’emmène vers les dépendances, intrigué depuis le début sur le Boss, il me dit qu’il est très célèbre comme mannequin international, et que maintenant il travaille avec des boîtes de hautes coutures et de parfums. Je lui demande où il crèche lui, et me répond que personne ne vie ici, à par  le Boss et moi, tout le personnel à un logement de fonction dans la ville voisine. « Merde, il est bourré de fric », je lui sors, il rit et me le confirme en m’ouvrant la porte du hangar, une bonne dizaine de voitures étaient parquées, toutes aussi belles les une que les autres. Il me dit choisissez, mais si j’étais vous, je prendrai celle du fond. Punaise une jaguar type E, une très belle voiture de 1966, j’hésite et me dis qu’après tout pourquoi pas. Je monte et pars. Le lendemain, après une nuit très agitée, le portail s’ouvre à mon arrivée, je rentre dans le garage, je vais vers le vestibule. Il est là, un grand sourire aux lèvres, il est en short, des jambes longues, musclées, un vrai Playboy. Il me dit m’attendre pour le petit-déjeuner. Nous nous retrouvons derrière le château, devant une piscine, la terrasse est gigantesque, une table est dressée, nous nous asseyons et me sort, « bon, nous devons prévoir, votre garde-robe, nous avons donc la journée pour ça, et dimanche pour s’organiser pour la semaine. Avec lui on ne perd pas de temps, il me tend une amex et une visa, me dit que j’ai un compte ouvert, car il déteste payer. Je le regarde et m’étonne de sa confiance absolue. Je commence à aimer ce mec, s’il m’achète comme ça, c’est sur, il pourra me demander ce qu’il veut. Après installation dans mon appartement, nous nous retrouvons pour partir, une splendide Porsche est prête devant le porche, il prend place et nous voilà partis, il me fait arrêter devant une très grande marque de fringues, nous entrons, et se fait saluer comme une star, je pouffe de rire, il se retourne. Je reprends mon sérieux, quand  nous entrons dans un petit salon pour essayage, tout est prévu café, mignardises, punaise, je lui dis qu’il doit en larguer ici, pour qu’il soit accueilli comme ça, il me répond que la boutique est à lui. Je suis scotcher, il me fait choisir la panoplie complète, des pantalons, chemises, slips, chaussettes, caleçons, cravates, manteaux, chaussures de différentes teintes, je me retrouve obligé de jouer les pantins, ils sont tous sur moi, à me peloter, même lui, d’ailleurs, il n’hésite pas pour me tripoter les fesses l’enfoiré, il ne serait pas PD celui là, non il était marié, je rentre dans le jeu. La journée passe vite, nous faisons plusieurs magasins, tous aussi beaux que le premier, je me retrouve dans l’appart avec pleins de paquets de vêtements, génial jamais je n’avais fais marcher une amex aussi souvent. Le soir arrive, il m’appelle, je cours dans les escaliers, je n’ai même pas eu le temps de mettre une autre tenue, tant pis je resterais en jean chemise, il m’explique que le soir, nous dînerons soit ensemble ici ou dehors, ou il dînera seul dans son bureau. Merde, un mec aussi beau qui vit seul, ce n’est pas normal, vu tous les appels d’invitation pour le week-end qu’il a eu. La servante avait tout prévu, nous dînerons dehors sous une petite tonnelle, à côté de la piscine. Je le félicite de sa demeure, je le sens qu’il m’observe de côté, que cherche-t-il ? Après un excellent dîner, nous discutons sur des transats, et me dis qu’il va se coucher car demain sera encore une journée importante pour nous. Je le regarde partir, je débarrasse, et monte-moi aussi me coucher. Dans la nuit, une petite envie, me fait descendre prendre une glace, je perçois la lumière dans le parc, vers la piscine, je vois qu’il est nu, et plonge dans l’eau, il a un corps très bien dessiné, il s’entretient, je le vois remonter au plongeon, sa queue semble belle, je commence à me toucher le sexe à travers mon slip, je m’enhardis, passe le porche et viens vers lui, il me regarde, sourit, « alors, insomniaque, venez vous baigner », je ne me pose pas de question, je glisse mon slip, ma bite est à demi en érection, je m’avance, et plonge. Nous faisons quelques longueurs, et sortons, punaise, sa bite est grosse et longue, elle doit faire 20 cm au repos, il s’essuie en me matant, je ne me cache pas, nous buvons un verre, nu l’un à côté de l’autre, il s’approche de moi, mets sa main sur mon dos, me caresse, et descends, il s’arrête au creux de mes reins, je regarde sa bite, il bande, j’approche ma main, le touche, il ne bronche pas, il se laisse branler, il glisse sa main sur mon fessier, je pousse un soupir, je me cambre, il me fait un bisou dans le cou, je n’arrête pas de le branler, son chibre est énorme, elle fait 25 cm, Je ne pourrais pas l’avaler, je lui lèche les tétons, pause mes mains sur son fessier bien ferme, il glousse, je continu, ma descente, percute sur sa bite veineuse, il pose sa main sur ma tête et me dirige vers sa matraque, j’ouvre la bouche, tire la langue pour lui lèche le méat, il tremble, je le caresse entre les fesses, il pousse son gourdin dans ma bouche, je ne peux plus bouger, il l’enfonce au fond de ma gorge, des spasmes lui parcoure le corps, il me dit qu’il aime ça, je m’en doute vu comment il bande, il commence ses allers venus, me martèle le palet, je mets un doigt le long de sa raie, il se laisse faire tellement il prend son pied dans ma bouche, ma phalange entre dans son cul, il pousse un cri, j’enfonce jusqu’au fond, il sort sa bite et m’éjacule sur le visage. Il retire mon doigt, me relève, m’essuie sans rien dire, il me sourit. J’ai une gaule, à ne plus pouvoir tenir, il regarde ma trique, et part à sa rencontre, je le sens, me lécher, me tripoter les bourses, il s’active sur mes fesses autant que sur ma bite, il l’engloutit complètement, je le pénètre à grand coup, il aime, m’écarte les fesses et entre un doigt dans mon fion, je ne vais pas résister longtemps, il comprend, me lâche et prend dans la gueule des jets de spermes crémeux. Il se relève et s’essuie, me regarde et dit, « si tu ne veux pas continuer à travailler pour moi, je comprendrais » ; je lui réponds que je ne mélange jamais plaisirs et travail, mais qu’ici, tout était déjà ensemble alors, pas de problème. Il me tape sur la fesse et me souhaite une bonne nuit. Je m’allonge sur mon lit, et me met à rêver. Au petit matin, il m’appelle, « le petit-déjeuner, est près, tu descends », il m’a tutoyé, je saute du lit, me douche vite fait, dévale les escaliers, et me présence en tenue de sport, très classe, il siffle, me sort  « je pense que je vais avoir de la concurrence, dans le mannequinât », il me prend par le bras, et m’emmène dans un petit salon bibliothèque, nous discutons de la semaine future, il ne fait pas allusion à cette nuit, il me regarde avec naturel, il semble super bien dans sa peau, ce ne doit pas être sa première expérience homosexuelle. Je l’écoute attentivement, prend des notes, il me donne un rdv « style chic » dans 20 minutes, je remonte vite me redoucher, raser, parfumer, mais hésite sur la tenue, je l’appelle ne sachant pas quoi mettre, il arrive au bout de 5 minutes, une serviette à la taille, je suis nu, il ne dit rien, ouvre le dressing-room, et me choisi la parfaite tenue de sortie class du dimanche, je le regarde faire, il est très beau, je bande rien qu’à le mater, il s’approche me caresse le sexe, m’embrasse sur l’épaule, et me dis de me dépêcher et ressort en me laissant dans un état d’excitation total. 15 minutes passe, je l’attends, une très belle Aston Martin cabriolet rouge, se trouve sur le perron, il arrive, monte dans la voiture, nous partons. Nous arrivons à l’hippodrome, jamais je n’avais participe à ce style d’activité, je suis un peu gêné et le suis comme un petit chien, il me sourit, il est très beau, son côté glamour, fait retourner les gens sur son passage, il me dit  « tu as vu que les gens n’arrête pas de te regarder, un nouveau look et voilà un nouveau mannequin », je lui souris. Il me garde près de lui, nous passons du bon temps, pleins de gens viennent nous parler, il est hyper connu, il me présente comme son secrétaire particulier, et tous me dévisagent d’envie. Nous brunchons et les courses commencent, nous repartons vers les 18 h, car nous devons nous rendre ce soir à un spectacle. Une fois remis la voiture dans le garage, je monte l’escalier, et le voit qui m’attend en haut, il me prend la main, m’emmène dans ses appartements, alors là c’est superbe, d’une beauté, tout est d’époque, mais avec un mélange de modernisme, il me pousse dans sa chambre et me fait tomber sur son lit, il s’approche, me tire sur le polo, me le défait, ôte ma ceinture, me dégrafe le pantalon, le vire et vient me faire un baiser sur la bouche et me dit « je crois qu’il faut que je fasse mes marques, car j’ai eu beaucoup de monde, me demandant de te libérer, pour qu’ils t’engagent ». Je lui souris, il me prend la bite, la caresse, me tripotent les bourses, et commence à glisser un doigt dans mon cul, j’écarte les cuisses, lève mes fesses, le laisse faire, il s’approche de ma bite, la prendre dans sa bouche, il me lape, va mettre sa langue sur ma raie, j’ai les jambes relevées, mon cul est offert, je n’avais jamais été léché par un mec avant, il sait y faire, mais s’il veut mon cul il peux courir avec sa grosse bite, il tire sur sa chemise baisse son froc. Il vient se mettre devant moi, s’allonge sur moi, nos deux corps nus s’épouse à merveille, nous nous frottons les deux sexes ensemble, je respire de plus en plus fort, il prend du gel, me demande si je suis d’accords, je ne réponds pas, il me lève les cuisses, me badigeonne de gel la raie du cul, entre un doigt, deux, je gémis, il me pénètre, enfonce-le tout au fond de mes entrailles, il ressort son doigt, me lèche les tétons et je sens sa bite butée sur mon anus, il force, entre le gland, je suffoque, lui dis d’arrêter, que je suis puceau, que je ne peux pas la prendre, elle est trop grosse, il ne m’écoute pas, Il s’enfonce encore, je gueule, il est au fond, je respire fort, transpire à grosses gouttes, il m’embrasse alors que je sens sa matraque défoncer mon rectum, il me baise, comme un taureau, il s’excite sur mon cul, je me branle, et je m’aperçois que j’aime sa queue en moi, je jouis, il n’hésite plus, et me burine, comme un malade, je prends des coups de butoir, insupportable, il me transperce, complètement, je vais avoir le cul ouvert, ça c’est sur, il n’arrête pas, me laboure encore un bon 1/4  d’heure, je n’en peux plus, même si les positions changent, je me prend son gourdin à chaque fois au fond du cul, il sort et m’éjacule une saucée de sperme ça n’arrête pas de gicler, il est au cinquième jet, encore un, merde, il en avait à revendre, il s’abat sur moi. Je suis épuisé, il me dit qu’il a prévu, un théâtre ce soir, si je veux l’accompagner, je le fixe, l’embrasse goulûment, me lève, mon cul est en feu, je lui rendrais au centuple ce qu’il vient de me faire. Il me dit ce que je dois mettre, il a vraiment beaucoup de goût, nous voilà reparti dans une Bentley. La soirée continue dans les présentations, des relances me viennent de temps en temps du cul me rappeler ce que j’ai subi tout à l’heure.  Plusieurs mecs et filles, me tournent autour, ils me disent que je suis un beau mannequin, que je devrais venir dans leur agence, mais mon boss arrive, me prend la main, et leur signale que j’ai déjà un contrat avec lui. La soirée est génial, nous rentrons, et me demande de venir dormir avec lui, je le suis dans sa chambre, je le caresse à travers son pantalon, ses fesses me plaisent beaucoup, je lui dis que j’aimerai bien y faire un tour. Nous nous déshabillons. Il se frotte à moi, me caresse, m’embrasse, me lèche, je lui tripote le derrière, le tourne, je m’abaisse, lui écarte, les miches, sa queue pend entre ses cuisses, il glousse quand je mets ma langue sur sa rosette. Je ne peux qu’admirer ce spectacle, il a un cul d’enfer, il me presse la tête entre ses fesses, je le léchouille, lui lape la rondelle, l’excite, il me dit « ok, tu peux me prendre », je remonte le long de son corps, ma queue vient buter dans son entre jambe, il se met à quatre pattes, j’admire la vue de sa grotte, prête pour moi, j’avance, positionne ma bite devant son petit trou, je frotte mon gland, je suis tellement mouillé que je n’ai pas besoin de gel, je force, le gland s’enfonce, il pousse un cri, me tient la main sur sa cuisse, je continu, mon ascension, il est super bon, je prend un pied fantastique, je rentre complètement mon chibre, il me dit sentir mes bourses, il bouge son petit postérieur, je remue aussi, mes vas et vient, commence à le faire réagir, il gousse, se branle, écarte encore plus ses jambes, remonte son cul, je le transperce, jusqu’au fond pour me venger, il aime ça, je le tringle encore plus fort, j’adore son cul, il gémit de plus en plus,  je sors, le retourne, lève ses jambes, je veux le voir, pendant qu il jouit, et qu’il voit que je le baise, je reprend ma place en lui, il me fixe, je m’arrête pas pour autant mon ramonage, il sourit de bonheur, son gland est tout rouge, sa bite à une dimension surnaturelle, je m’excite encore plus à la voir, il se cambre pour m’avoir dans ses parois les plus intimes, je viens l’embrasser, le perce de plusieurs coups de butoir, il me serre fort, il jouit, entre nous deux, pendant que je lâche ma purée dans son postérieur. Nous ne bougons pas il me caresse le dos, me câline, il me dit « j’aime bien quand tu me prends ». Mais fait attention à ton petit cul car il me plait aussi. Je le force à rouler sur le lit. Le sommeil nous envahi. Au matin, je sens sa présence, je le réveille, car nous devons partir bientôt, il me caresse, et me dit « oui Boss », je souris, lui donne une tape sur la fesse et bouge. Nous nous retrouvons, costume cravate, tous les deux, près pour partir après un petit déjeuner. Je dois faire plein de chose pour lui, aujourd’hui, nous nous retrouvons, vers midi car il doit se rendre à un déjeuner, avec un grand couturier, il m’abandonne, en me tripotant les fesses, pas très gentleman, mais j’aime bien. Il m’appelle vers 14 h, il faut que je monte le voir chez le mec, je sonne, un jeune m’ouvre, je rejoins mon Boss, je ne connais personne, ils me regardent tous, me fixent, je mate Abel pour savoir pourquoi je suis là, il me prend le bras, et me dis que je vais passer un casting pour le futur défile du créateur. Je proteste, je ne sais pas le faire, ils m’observent tous très sérieux, je comprends que je vais devoir jouer les pantins pour que mon Boss ait le contrat. Il me fait un clin d’œil, je pars avec une femme, elle me donne des vêtements à essayer, je me déshabille, devant d’autres mecs qui attendent aussi, personne ne me regarde, je me rhabille, et attends, nous rentrons tous dans la pièce, et commençons par aller deux par deux, je fais ce que je peux, après trois heures d’essayage nous repartons, Abel me dis qu’il a eu le contact grâce à moi, que je mérite une super prime, je suis heureux, je ne dépense pas un rond du mois et j’en gagne à gogo. Il s’approche et me demande si j’ai un créneau de libre pour la soirée, je souris, « à votre service Boss », il me tape sur la tête, « bon, nous allons nous changer, car ce soir, tu fais ta première dans le grand monde.

  http://gayshistoirescooletclean.erog.fr/article-le-secretaire-particulier-abel-125753936.html   

 

 

L'intervention de Pierre Bergé

 

L'intervention de Pierre Bergé | Vu: 2053 fois © L'amour fou

D’origine modeste, Pierre Bergé s’est d’abord essayé au journalisme avant de repérer de jeunes talents. Après avoir fréquenté Jean Giono en tant que secrétaire, puis le peintre Bernard Buffet, il perçoit le génie d’Yves Saint-Laurent et se donne pour mission de le développer.

C’est aux funérailles de Christian Dior que Pierre Bergé et Yves Saint-Laurent se rencontrent. Leur relation démarre rapidement, et Pierre Bergé se charge d’aider sa jeune recrue à ouvrir sa propre maison en 1961. Les rencontres de ce type sont "aussi folles" que le récit "Abel"   

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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