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Cannabis : Le Guen allume les « bigots de la prohibition » ! les furies politiques se déchaînent !
Coucou, le revoilou ! Qui ? Ben, le cannabis. Voilà Le Guen qui rejoint, Vaillant, Duflaut et autres politiques qui – faisant la part des choses – préfèrerait le tarpé à la kalash. On peut aussi penser que cette sortie – individuelle ou en service commandé ? - du sous-ministre aux relations avec le parlement est une façon de tenter d'amadouer les jeunes en les caressant dans le sens du poil et que ça n'aura aucune suite puisque tant le président Hollande que son premier ministre Valls sont carrément contre. Carrément ? A-t-on vu une question qui soit tranchée de manière carrée par l'empereur du tango (un pas en avant, deux pas en arrière) et son hidalgo ? Ouate inde scie…(wait and see)
verbatim... - vallume-moi comme une cigarette ! - ouais, suis d'accord !
*Il est toubib Le Guen. Et il dit : « Le cannabis est une très mauvaise chose pour la santé publique, en particulier chez les jeunes. Mais la prohibition n’amène pas une diminution de la consommation »…/...« les produits qui sont distribués par le trafic sont plus dangereux que le cannabis »…/... « Je propose que le Parti socialiste dise enfin la vérité, propose une vérité : l’interdit moral ne crée rien du tout, il crée beaucoup de dégâts dans la société française »…/... « Dans beaucoup de quartiers, une contre-culture s'est installée et la loi est bafouée, malgré les forces de police, malgré l'intention de la justice, depuis des décennies »…/... « Il faut peut-être aller vers des mécanismes de légalisation contrôlée, et surtout avec des politiques d'éducation et de santé publique ».../… « Je propose que nous réfléchissions aux moyens - je ferai des propositions - pour que nous mettions fin à cette politique de prohibition. On doit avoir des levées d'interdiction très sélectives : pour les adultes, certainement pas pour les jeunes de moins de 21 ans et pour un usage privé, certainement pas un usage public ». Et il allume ses collègues : « Les bigots de la prohibition devront aussi expliquer pourquoi la mesure appliquée depuis 30 ans ne marche pas ».
Le président de l'Office français de lutte anti-tabac, Bertrand Dautzenberg, pneumologue, est du même avis : « La situation actuelle d'interdiction totale (...) favorise la consommation. Je suis contre le cannabis, je veux que la consommation baisse, mais pour cela il faut prendre des mesures efficaces. Il faut arrêter la bêtise actuelle qui veut qu'on soit à des kilomètres de la réalité actuelle »…/… « La fumée est toxique pour les poumons, que ce soit la fumée du diesel, la fumée du tabac ou la fumée de cannabis. Et la France est le pays d'Europe qui fume le plus. C'est aussi le pays qui utilise le plus la forme la plus sale du cannabis : c'est-à-dire le mélange de tabac et de résine de cannabis. »…/… « Si on veut diminuer la consommation de cannabis en France en terme de santé publique, il faut la mettre dans une voie légale. Ainsi on pourra la contrôler, faire de la prévention à l'école et sur le lieu de travail. Ainsi la consommation de cannabis baissera. »…/… « Le premier conseil est de ne pas mettre de tabac quand on consomme du cannabis. Il y a des herbes à fumer, des plantes qui sont décrites dans les directives du tabac avec des étiquettes spécifiques qu'on devrait pouvoir trouver facilement en France. D'autre part, il y a une autre possibilité toute aussi illégale qui est de consommer des feuilles de marijuana plutôt que de la résine, qui est beaucoup plus toxique. On voit aux Etats-Unis, par exemple, où la légalisation du cannabis a lieu dans de plus en plus d'Etats. Là-bas, la vaporisation du cannabis est le mode majoritaire de consommation, ce qui est beaucoup moins toxique. »…/… « On peut également manger du cannabis, mais cela peut avoir des inconvénients car le consommateur n'a pas vraiment d’idée de la dose ingérée ».
Ben dit donc, il en connaît un bout le Professeur ! Lui et le Guen ont l'avantage d'être réalistes, d'être pragmatiques.
La France est le pays qui envoie le plus de gens en taule pour possession ou trafic de cannabis : 100.000 personnes emprisonnées en ce moment, parfois pour des quantités minimes. Et la France est le pays où on fume le plus. C'est bien la preuve que cette politique répressive ne mène nulle part, et au contraire permet le financement des réseaux mafieux, car plus c'est illégal, plus c'est rentable.
Le système de légalisation, comme au Colorado, permettrait : - production en France ou en Europe via des filières contrôlées, - autoproduction pour ceux qui veulent pour leur conso perso, - vente dans des « coffees-shop » bien contrôlés ou dans les bureaux de tabacs, - interdiction évidente pour les mineurs, - et...de juteuses rentrées de fric pour l’État.
Les résultats seraient : - remise des flics sur des taches utiles, - du boulot pour les agriculteurs notamment en zones de montagnes, - de l’activité pour les buralistes et les « coffees shop », - la fin des financements des réseaux maffieux, puisqu'ils n’auraient plus rien à y gagner, - une meilleure détection des personnes à la dérive par surconsommation, - une prévention plus aisée, notamment par la suppression de « l'attirance pour l'interdit » chez les ados, - des taxes pour la sécu, - une meilleure qualité, contrôlée, garantie pour les consommateurs, - et pourquoi pas, des « dealers » devenant chef d’entreprises et confrontés alors aux règles de concurrence !
Pas questions qu'ils disent au gouvernement ! Pourtant, si de temps en temps François ou Manu tiraient un petit tarpé ou dégustaient un savoureux « gandga cookie », ça leur déconstiperait un peu les boyaux de la tête !
Sources :
dans les flammes de l'enfer !
et moi j'en veux aussi
Un blanc d'abord puis
Un gars noir qui ressemble -je vous jure- à MrT (Barracuda de l'agence tous risques) oh il est pas venu en voiture de sport !
http://www.cyrillo.biz/_histoire-gay-2013-baiser/ -comme-une-chienne.php
Ce matin là je me suis réveillé avec le cul en chaleur, toute la matinée j’ai surfé sur des sites espérant bien trouvé de la bonne bite à sucer et me faire enculer comme une bonne salope que je suis, mais comme d’habitude il n’y a que des mytho, tans pis comme il fait beau et chaud je décide donc de me faire un trip en extérieur, j’enfile alors un pantacourt sans slip en dessous, T-shirt et baskets sans chaussettes, dans un sac à dos j’enfourne un drap de plage en éponge et un peu de matos afin de pouvoir accueillir qui voudra venir éteindre le feu que j’ai au cul (capotes, gel, kleenex et poppers) ! Après avoir un peu roulé sur les routes de campagne je repère un petit chemin menant à un bois. Je me gare et pars explorer cet endroit qui semble propice. Une fois à l’abri des regards indiscrets je me fous à poil et marche en recherchant un petit coin sympa pour m’installer, je le trouve, étends la grande serviette éponge et m’allonge dessus. Fermant les yeux je m’imagine tout plein de trucs cochon en me caressant le torse, les tétons, le ventre, je descends lentement à la rencontre de ma bite qui se gonfle, tout en me caressant les couilles j’écarte les cuisses et commence à jouer avec mon gode, je le fais tourner dans ma chatte, le sort et le re-rentre ce qui me fait bander à mort, là faut que je passe à la vitesse supérieure, je prends alors mon gode que j’enduis de gel, sniffe un peu de poppers et prends un malin plaisir à frotter ce faux gland sur ma rondelle qui sous l’effet de l’excitation me fait ouvrir encore plus la chatte. Lentement je me l’enfonce afin d’apprécier toute sa longueur qui coulisse dans mes entrailles. Voilà… il est bien carré au plus profond de moi, je reprends mes caresses sur mon torse tout en jouant avec mon gode en le faisant aller et venir dans ma chatte. Hummm… c’est bon… même si c’est un gode je m’imagine que c’est une vraie bite qui va et vient dans mon trou. Alors que je m’abandonne à ce plaisir solitaire tout en poussant quelques petits couinements je n’entends pas arriver un mec qui s'est approché la bite à la main, ce qui, dans la surprise fait éjecter mon gode que j'abandonne sur la serviette de bain. Je me dresse et aussitôt m'occupe de sa queue que je caresse et que je suce. Il a environ 45 ans, est bien foutu, costaud, sa bite aussi. Tout en le suçant je lui demande s'il voudra me prendre il me dit non de manière évasive...Je me tourne tout en le branlant pour lui donner envie de mon derrière. Il se met à me doigter et fait mine que je lui en fasse autant. Nous voilà debout à nous doigter mutuellement. On en est à deux doigts dans nos culs chacun qui vont et viennent, et on halète doucement. Il me dit "tu as des capotes ?" Je vais dans mes affaires, je me presse de peur qu'il ne perde son érection. Sa queue est superbe. Grosse je veux dire. J'ai faim de me la prendre. Je m'occupe du gel pour moi, pour lui. Je suis prêt, lui aussi et il est déjà en train de m'enfiler. Je suis obligé de le ralentir pour m'habituer à lui car il est vraiment très gros...que du bonheur ! comme d'hab' j'ai peur d'être déçu et qu'il soit trop rapide. Mais non, je couine, je gémis langoureusement sans honte. Il me demande si j'aime. En réponse je lui frotte une cuisse et lui dis un ouiiii sans équivoque.T’as l’air d’aimer la bite toi hein ?.... tu es une bonne salope…. Tu viens souvent ici ? Je lui réponds en haletant, oui et quels jours... il a duré, je compte pas les minutes : c'est bon, c'est tout. Il imprime sa force et son rythme en moi. On se croyait seuls mais un mec en vélo, un noir très costaud passe et repasse et nous mate. On est deux vrais habitués et ça ne nous dérange pas, au contraire pour ma part. J'ai vraiment un gros plaisir et d'être regardés ça le double.
Mon partenaire lui aussi a l’air de prendre son pied apparemment..mais il ne jouit pas il sort et me redonne à sucer et à branler sa lance tendue. L'autre s'est arrêté à quelques pas avec son vélo pour mieux regarder. Encore sous l'effet de la longue pénétration, encore shooté, je me dévoue volontiers et il met longtemps à jouir. A ce moment ses spasmes de plaisir se manifestent. Il jouit en gémissant mais pas loin, ça coule à flots au bout de sa bite, une chandelle se met à pendre...je l'aide avec des kleenex et son départ se précipite...tient-il compte du voyeur qu'il regarde en coin...il part en regardant alternativement le noir et moi. Je vois bien qu'il se demande si le noir va prendre sa suite...alors là...
Je ne me rhabille pas et j'encourage le gars à se rapprocher.
Il pose sa bécane et vient la bite dehors. Elle est énorme, je prends le temps de le regarder : il est moins grand que l'homme blanc qui l'a précédé, mais très très massif sans qu'on puisse du tout parler d'obésité. Il a vu tout ce qui vient de se passer et me dit d'entrée " je veux juste me faire sucer" je lui réponds : -
Hummm… ouai pas d’problème…"
Tout en dégageant un peu sa bite de son pantalon il me met la main sur l'épaule, doucement. Et là l'image de sa queue s'imprime en moi. D'abord je le croyais circoncis, mais non ! son gland est aux 3/4 recouvert de son prépuce...il bande pourtant fort. Je touche. Il est tout dur.
Je me suis fait prendre une fois par un homme noir. Il y a longtemps. Il m'a baisé si longtemps et si fort que j'avais dû demander grâce !
Là, j'ai l'occasion de regarder comment il est fait...et bien fait ! ...Le diamètre est gros…très arrondi au bout et quand il décalotte, je vois que sous le prépuce le gland se colore de rouge brun en demi-transparence…Qu'est-ce qu'il donne envie de sucer...là, voilà il est complètement hors du pantalon qu'il met longtemps à abaisser un peu...je le suce avec ardeur...longtemps en lui demandant de temps en temps si c'est bon ...Pour moi c'est bon. Ce qu'il a vu tout à l'heure a dû l'exciter au plus haut point je pense. Lui qui a insisté pour n'être que sucé me demande si j'ai une capote. Bien sûr oui ! je m'empresse
et, ayant tout déjà sous la main je nous prépare. Mais, contrairement au précédent, il n'approche guère ses mains...oh, il est vite en moi. Il est plus gros, mais ça va. Il me ime un sacré moment me faisant râler de plaisir. Il me dit tu l'aimes ma bite ! je lui réponds en hoquetant avec bonheur dans les secousses... Ah, ça, pour être enculé, je le suis généreusement et il maintient "sa proie "heureuse et abandonnée par les hanches. Je présume qu'il est long à jouir...pour le plus grand bonheur de ses partenaires et donc il lort, enlève la capote et me demande de reprendre la fellation de sa bite exacerbée maintenant. Je m'escrime encore un moment et
c'est en me tenant aux épaules qu'il vient enfin, me serrant très fort. J'aime.
Croyez-vous ? il me demande quand je viens ici. Je m'mpresse de lui dire, vous pensez bien !
Après son départ qui me laisse un peu essoufflé, je mesure que suis une petite pute et j’aime que l’on me
traite ainsi, je reconnais que j’aurais bien aimé travailler dans un bordel mais bon...
Un peu épuisé je me rallonge sur le drap, un petit rayon de soleil se fraie un chemin entre 2 arbres, je sens sa douce chaleur sur mon torse alors
je ferme les yeux et tout en repensant à ce qui vient de se passer je me caresse la rondelle humide de gel et y enfonce 2 doigts en repensant que tout à l'heure se sont succédé en moi
deux hommes magnifiques j'avoue que j'aurais aimé sans capote...surtout qu'ils on joui dehors....mais bon ... je continue à me doigter. Hummm…. C’est bon… je couine comme une chienne encore
en chaleur, je sens ma semence monter de mes couilles, j’explose alors un flot de foutre sur mon torse en gueulant mon plaisir et m’en badigeonne le corps, les couilles et les jambes. Je me lèche
les mains, nettoie bien mes doigts en les suçant puis reste un petit moment allongé m’exposant ainsi sous ce petit rayon de soleil qui peu à peu disparaît faisant refroidir le sperm étalé
sur mon corps, alors, sans m’essuyer je me rhabille et reprends le chemin du retour.
Comme quoi… , pas besoin de chercher de la bite sur des sites ou il n’y a que des mytho…
pour le fun , voici une photo de récup de MrT avec Boy George...
humm, quand le noir me tenait comme ça...lol
c'est sûr, ce gars doit avoir des gossses, j'ai vu son alliance
je suis content de ce partage...
/12/2015 à 17:30
Dans un entretien accordé au magazine «Nous Deux», Emmanuel Moire a évoqué sa vie sentimentale, reconnaissant avoir dans le passé vécu un amour fusionnel qui l’a brisé.
«J’ai vécu l’amour fusionnel et ça s’est effondré comme un château de cartes. Je ne veux plus de ce mode de fonctionnement. Par contre, j’ai aimé le début de la passion, quand on se sent le roi du monde tant on aime et se sent aimé. Mais j’ai tendance à être très autonome, ce dont je dois me méfier… Cela pourrait me laisser penser que je peux vivre très bien seul», confie le chanteur, vainqueur de la troisième édition de Danse avec les stars.
si, toute votre vie, vous êtes habité par cette douleur, vous savez de quoi on
parle !
Y a comme un goût amer en nous
Comme un goût de poussière dans tout
Et la colère qui nous suit partout
Y a des silences qui disent beaucoup
Plus que tous les mots qu'on avoue
Et toutes ces questions qui ne tiennent pas debout
France Gall citée par Cavaillongay
«Je ne veux pas céder à cette tentation, car finalement je ne suis pas le loup solitaire que j’ai longtemps pensé être. Alors je crois qu’en amour, il faut apprendre à trouver cet équilibre entre la fusion et l’indépendance», a-t-il par ailleurs indiqué.
Au cours de cet entretien, le chanteur confirme n’avoir jamais craint que son homosexualité révélée dans les colonnes de Têtu puisse entacher son image.
«Pas un instant. Tout simplement parce que je n’ai pas réfléchi, rien prémédité. Je n’étais pas animé d’une volonté de révéler ce pan de ma personnalité. Mais quand le magazine m’a demandé de faire sa Une, j’ai tout de suite décidé de ne pas le cacher», poursuit-il. «Et jusqu’à aujourd’hui, ça ne m’empêche pas d’être populaire. Je n’ai jamais voulu créer un personnage de chanteur. Sur scène, c’est moi, pas un autre, [pas un] tricheur. Être dans la vérité, sans fard, c’est indispensable pour moi»
souci :
moi...et moi...:" j’ai tendance à être très autonome"
il faut apprendre à trouver cet équilibre entre la fusion et l’indépendance
Et l'équilibre, d’après les dernierrs échos de la presse, l’ex candidat de Danse avec les stars semble l’avoir trouvé.
Il n’est plus en effet un coeur à prendre. Il a même été aperçu avec son boyfriend tout sourire et en pleine balade au Marais. « C’est fou
comment une nouvelle complicité peut effacer les moments douloureux du passé », commente la publication, qui ne précise cependant pas l’identité de la personne qui partage la vie d’Emmanuel
Moire.
Emmanuel Moire...sincère ?
il y a toujours un bon rythme à trouver pour chaque rencontre !
la danse : c'est toi qui animes ma bite ! -lol-
VOTRE RYTHME ! -lol-
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