1- Proposition de loi de Matt McLaughlin, avocat californien :
« Considérant qu’il est préférable que les contrevenants périssent plutôt que de voir le reste d’entre nous encourir la juste colère de
Dieu du fait de notre tolérance insensée envers le mal qui se répand parmi nous, le peuple de Californie, craignant Dieu, recommande dans sa sagesse que toute personne qui touche en
conscience une autre personne du même sexe aux fins de gratification sexuelle, soit mise à mort par balles dans la tête ou tout autre méthode plus pratique. » (23 mars 2015 : Los
Angeles Times, The Guardian, les autres médias depuis).
Inde : un jeune gay violé par sa mère pour le « guérir » de son homosexualité
Un jeune adolescent homosexuel a été contraint d’avoir des relations sexuelles avec sa propre mère afin de le « guérir » de son homosexualité, au sud de l'inde, dans la ville de Bangalore, a rapporté dimanche le journal Times of India
Le quotidien indien rapportait les propos d’une documentariste, Deepthi Tadanki, qui prépare un film sur les viols collectifs en Inde. Elle évoque également le cas d’une lesbienne, violée par son cousin également pour « corriger » son orientation sexuelle.
D’après l’association LGBT Collective qui opère notamment dans le Telangana (Sud de l’Inde), des familles organisent ainsi des « viols collectifs » pour « soigner » leur progéniture. Dans plusieurs, cas, des cousins ont également participé à cette orgie familiale. Durant les cinq dernières années, l’association a recensé une quinzaine de viols.
NON-DITS
Un des porte-paroles de LGBT collective, Vyjayanti Mogli, confirme :
« On retrouve des cas de jeunes filles tout juste nées et déjà promises à un cousin pour un futur mariage. Si ces filles, durant leur adolescence, découvrent leur homosexualité, les membres les plus âgés de la famille sont chargés de les soigner. »
Malheureusement, les nombreuses victimes préfèrent garder le silence, dans un pays ou l’homosexualité est encore criminalisée – depuis le 11 décembre 2013, la Cour suprême d’Inde déclare les relations homosexuelles « illégales » et « non contraires aux droits fondamentaux ».
Vyjayanti Mogli ajoute :
« Nous sommes sûrs qu’il y a beaucoup plus de cas, mais ils ne sont pas signalés. Nous sommes tombés sur ces cas non pas parce que le viol a été signalé, mais parce que les victimes ont demandé de l’aide pour fuir leur maison. »
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