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ça va vous donner l'impression que je passe une annonce sur un site de rencontres, mais non on se rencontre à la fitness
Français de 25 ans, 1m90 90 kg brun, yeux bleus, bo torse, bo pecs belle queue de 19 cm bien large. Oui je suis très grand. On m'appelle Max (je vous garantis pas que c'est mon nom -lol-
Je fréquente la salle de musculation d'un sauna sur Paris.
Ce jour-là je vois un beau rebeu, 1m80, brun yeux noirs, belle tablette imberbe, un brin macho, très viril.
On se mate, puis il va faire ses pecs sur le banc développé-couché.
Moi: - salut, je peux travailler avec toi?...Lui : - ok, pas de souci
On commence à discuter, il s'appelle Karim.
Karim:-t'as fini bientôt ?
Moi: -oui je fais la dernière série, je vais prendre ma douche et je me casse.
Karim : ok
On se déshabille, je sens qu'il me mate et je le mate grave. On se met torse nu, puis il enlève son jogging je découvre qu'il porte un slip noir qui lui moule de belles fesses bien fermes, il a une peau " chocolat au lait", imberbe. J'enlève moi aussi mon jogging.
On se retrouve moi en boxer noir et lui en slip noir aussi.
Pudique, il passe sa serviette autour de sa taille et il enlève son slip. Je fais de même.
On descend par l'escalier en colimaçon et on se retrouve à la douche.
Il ne reste plus qu'une cabine de douche dispo. Il rentre en 1er et il me dit viens... Je souris
Je rentre je ferme la porte et il enlève la serviette et je vois son magnifique cu bien bombé, et je fais de même et nous voilà, moi avec ma keu bien droite de 19 x 5, lui a une queue de 22 x 6. Pour moi le cul compte en premier.
On se mate et, direct nos langues s'entrelacent puis on se caresse, direct mes mains vont sur son cul, je lui malaxe bien le cul.
Karim :- il te plaît mon cul ?
Moi: -grave, il m'inspire.
Karim :- je suis actif
Moi : -ah dommage
Karim : -sois pas triste, mets toi à genoux et pompe moi, ça va te faire du bien
Je m'exécute je me mets à genoux, je prends une de ses grosses couilles puis l'autre puis les 2, je les gloups, puis j'attrape son gland, je le suce à fond puis je fais des va et viens puis il met ses mains derrière ma tête et il commence à me baiser la bouche, je commence à geindre kom une salope mais il s'en fout je pressens le mâle macho marocain à grosse bite .. Il se calme un peu puis il me dit :- t'as aimé salope ? Je lui réponds:- ouiiii - t'en veux encore sale chienne et humblement je réponds: - ouiiii.
Il prends mes mains et il les pose sur mes fesses puis il remet sa grosse queue dans ma bouche de salope.
Karim : -je vais te défoncer la bouche, je vais t'éjaculer dans la bouche et tu avaleras kom font les salopes de ton genre...
Puis il commence à me niker la bouche, pendant ce temps j'y fourre un doigt dans son cul, et en même temps je lui travaille la rondelle, il ne me dit rien je continue et j'accélère les mouvements de mon majeur, je le sens s'essouffler, reprendre sa respiration mais il reste macho comme tous les rebeu...et pour bien me faire sentir que c'est lui le mâle, il accélère ses mouvements de va et vient, mais je lui mets un 2ème doigt. Je pensais qu'il allait me mettre une baffe à retourner la figure ou me dire -"dégage salope" mais il n'en fait rien et au contraire il gémit de plaisir... ses hanches s'appuient un peu plus sur mes bras et je sens Ke ça l'excite car ses va et vient de plus en plus forts, dans ma bouche le font jouir du cul car j'enfonce un troisième doigt dans son cul et je les lui enfonce à fond et il éjacule 5 jets bien chauds que j'avale et j'en garde suffisament pour revenir à hauteur de sa bouche puis je l'embrasse avec la langue et je lui remets de son sperme dans sa bouche et on le mélange à nos salives.
Tout ça fait qu'il me caresse et me fait frissonner de plaisir et mes 19 x 5 se mettent à bander d'une force !... Je me mets derrière lui je lui malaxe le cu et je lui écarte les fesses, je lui mets de la salive mélangée à son sperme dans le cu et je lui mets ma queue .. Il me dit -NON !!! Je fais pas.
Je lui laisse pas le choix, je le plaque contre la paroi et je lui dis : -c'est toi maintenant qui vas devenir ma pute.
Je sens qu'il se contracte, que son anus se referme alors je mets toute ma force et ma queue rentre au fur et à mesure, il gémit comme une truie mais je m'en tape et je lui dis tu vas la fermer ta gueule salope !! Il se débat mais je suis plus fort que lui !!! Au fond c'était pas si serré que ça son trou...
Et je commence mes va et vient, et il lâche prise car il a plus le choix, il sait qu'il a perdu la bataille et que je vais le baiser comme une chienne.
Il a un cul vraiment bon et qui sent le neuf ou plutôt le propre. Je me lâche dans ses intérieurs en le branlant et il gémit en jouissant, je sens ses pulsations autour de ma bite. Je recueille son corps de macho de pacotille qui se met à peser un peu, abandonné à son conquérant. Tout d'un coup je fonds de tendresse pour cet adorable petit fanfaron de rebeu que je viens de féconder.
Il me fait des bisous de ses lèvres chaudes dans le cou. Je lui rends des baisers sur le front, sur les yeux. Quelque chose vient de se passer. Quelque chose d'heureux. On ne peut pas parler fort, juste murmurer avec une petite claque sur la fesse : -"t'as aimé mon bébé ? " -"tu m'as mis au paradis" -"tu voulais me prendre...on le fera, t'inkiet" J'inspire avec force son odeur naturelle un peu épicée mêlée à celle, non moins naturelle de nos spermes. De mes doigts je lutine les mèches de sa nuque. Les yeux mi-clos je me prends à espérer que ce que je suis en train de rêver il le rêve aussi, à l'instant même. On finit de se doucher et on se retrouve au vestiaire.
Je le sens, avec ce gars autoreverse on pourrait faire un bon bout de chemin. Je l'invite chez-moi. -Pas possible, il dit : mes frères me tueront s'ils me voient ouvertement avec un mec. Mais on se revoit autant que tu veux à la muscu.
Je suis à la fois heureux et malheureux¤
du coup c’était parfait moi j’avais toujours sa
bite sous la main et lui toujours mon cul pour se vider.
Le truc c’est qu’on baisait un peu partout et si au début on avait le stress, avec l’habitude on faisait moins attention et il est arrivé qu’on se fasse « griller ».
LA BITE DE REBEU QUE LE MEC MET DANS MON CUL CE JOUR-LA :
cliquer sur l'image pour rafraÏchir si la flèche blanche de démarrage n'y est plus Merci
Un jour pendant une heure de trou entre deux cours, on part direction les toilettes du couloir des sciences moins fréquenté, et, du coup, plus
discret, pour une petite séance de baise. Il fait chaud et nos esprits le sont aussi et on se laisse un peu aller.
Au bout d’un moment, on entend la porte s’ouvrir. On ne fait plus un bruit, le gars qui est entré a forcement entendu quelque chose, entre mes
gémissements et le bruit des hanches de mon pote qui claquent contre mon cul, ce n’était pas possible autrement.
On entend une voix qui dit « cool allez-y je fais que passer »
Mon pote me met la main sur la bouche et fait de longs va et viens dans mon cul, du bout de sa queue jusqu’à la base de ses couilles il prend
possession de mon anus, je me régale. L’autre type fait ce qu’il a à faire, on entend la chasse d’eau des pissotières, le lavabo puis la porte s’ouvrir et se refermer.
On se dit qu’il est parti et mon mec recommence à me baiser de plus belle ! Il me lime le cul comme un sauvage, chaque coup de bite est ponctué par
le grand clac de mes fesses contre lui, il m’insulte, me traite de salope et moi je lui dis de m’enculer encore et plus fort ! Je jouis du cul ! Et emporté par mes cris et dans un grand râle, il
jouit dans mon cul !
On avait emprunté la cabine handicapé pour avoir plus de place, appuyés sur le lavabo et quand il se retire, je reste le cul en l’air, le temps
de me remettre de ce que je viens de prendre.
Mon pote sort de la cabine et là il tombe nez à nez avec 2 mecs. Un de nos potes de fac qui avait déjà vu 1 ou 2 trucs de notre manège et
un pote à lui, un rebeu.
En fait, celui qui est entré pendant nos ébats était un de ceux qu’on connaissait (et qui avait pisté qu’on allait baiser) et quand la
porte à claqué une 2e fois c’était son pote qui arrivait et non pas lui qui partait. Voilà 5 bonnes minutes qu’ils sont là à nous écouter baiser, la bite à la main.
Quand mon pote les voit, il ne sait plus quoi dire. Eux lui disent « vas-y, bye,c’est à nous maintenant » et ils raccompagne mon mec à la sortie des
chiottes. Moi je me relève un peu pris de panique, je suis à poil, le cul encore ouvert et dégoulinant de sperme. L’un bloque la porte des toilettes et l’autre, « celui que je connaissais », me
dit en rigolant: -« pour sortir, tu payes avec ton cul ! »
Ils me sortent de la cabine, le rebeu m’attrape la tête et me la rapproche de sa bite, c’est un monstre ! Un beau 22 par 6 et si aujourd’hui je
l’encaisse plus ou moins facilement, ce n’était pas le cas à l’époque !
L’autre se met derrière moi, me doigt et passe sa bite dans ma raie.
Ils me mettent à 4 pattes, le rebeu me fait toujours sucer sa bite, mais elle est trop grosse pour ma bouche. Il me tient les bras en arrière et
baise ma bouche pendant que l’autre me bouffe le cul. Mon cul est grand ouvert et je sens sa langue me fouiller l’anus, je me dis que puisqu’il me baise sans me demander mon avis, je vais
m’offrir une mini vengeance et je pousse un peu, histoire de faire ressortir le sperme de mon mec resté dans mon cul !
Mais je l’entends dire « hummm, mais t’es pleine salope ! » et il se remet à bouffer mon cul goulument, se régalant du nectar tout chaud sortant de
mon cul. Son pote sort sa bite de ma bouche, me met quelques bifles et me dit en ricanant « ça tombe bien que tu aimes te faire remplir, on n’a pas de capotes ! »
C’est à ce moment que je sens la bite de mon bouffeur de cul se posé sur ma rondelle et y pénétrer « nature » et sans aucune difficulté ! Il
commence à me baiser et son pote lui dit « putain mais ça rentre nickel ! » pendant que je prends sa bite à la main et le gland en bouche ! J’adore sucer ce monstre ! Elle est magnifique mais je
sais qui va vouloir m’enculer aussi et là ça va faire mal !
Je suce comme une chienne et je me fais bourrer comme une pute, je sens celui qui m’encule aller de plus en plus vite, je gémis de plaisir, puis
après un dernier coup de rein, il se fixe à mes hanches, son dard au fond de mon cul, il se vide les couilles à son tour !
Il ressort de mon cul et son pote se relève. Il me dit « ok salope, maintenant tu vas crier ! T’as déjà goûté à une grosse bite d’arabe ?! ». Je lui
réponds que non et je vois que ça lui plaît. Il me relève, me mets face au lavabo, devant le miroir. Il veut que je le regarde pendant qu’il m’encule.
Quelques passages de son gland sur ma rondelle dilatée, je frémis d’envie. Oui cette queue va me faire mal, mais je la veux ! Et ça y est ! Il
pousse son gland dans mon cul doucement, puis lorsqu’il est passé il enfile tout le reste de sa queue !
Je crie de douleur et j’essaye de me soustraire à cet énorme chibre qui me déchire l’anus mais je suis bloqué contre les lavabos. Je le vois fier de
lui dans le reflet du miroir, sa queue entière dans mon cul. La douleur n’a pas le temps de se dissiper que quelques secondes après il commence les va et viens. Sauf que si avec mon mec et avec
celui qui m’a fourré juste avant ça passait nickel, là je me fais défoncer ! Il ne me ménage pas en me limant le cul. Chaque coup de rein est ponctué par lui et un petit grognement
limite animal et moi par un cri, mon cul prend très cher mais j’éprouve un certain plaisir à voir mon enculeur me dominer ainsi.
Mon pote m’a toujours baisé avec respect, mais là je me fais baiser comme une femelle et j’adore ça. Lui aussi m’insulte en m’enculant, il me traite
de sale pute ...mais les putes on est toujours content d'en trouver ! ¤
PISS URO FEET
Malik, c’est mon mec depuis trois ans et cinq mois. C’est un sacré bon coup, un mec qui aime tellement son plaisir et le mien qu’il ne recule devant rien. Je n’ai qu’une chose à faire: lui dire quand on est couchés dans le noir ce que je tenterais bien, et quelques jours après il le fait ou il organise le plan. Il n’a peur de rien.... |
...T’as qu’à me le dire, quand tu veux que j’envoie la sauce, me dit toujours Malik en se branlant bien doucement et en se pommadant le gland de salive. C’est quand je le préviens qu’il se met à aller et venir plus fort, à serrer ses doigts un max autour de sa queue.
L’autre fois, je l’ai chopé à la sortie de sa salle de gym; j’avais repéré un parc où il fait sombre dès 19 heures. Je l’ai amené là parce que je sais qu’il ne prend jamais de douche dans les vestiaires collectifs. Il attend toujours d’être à la maison. On pourrait croire que c’est parce qu’il est pudique, en fait c’est parce qu’il me garde sa sueur en cadeau. Il sait que je trique quand ça schlingue, quand je peux sniffer sur son corps les restes de ses efforts.
Là, j’ai carrément mis ma tête sous son sweat-shirt, c’est pour moi comme au paradis, surtout que lorsqu'il s’excite il mouille des bras et du torse encore plus. Je sais qu’il a peur qu’on se fasse gauler par les keufs - les parcs c’est toujours un peu risqué - , mais la frousse le fait transpirer encore plus. Pour le calmer je passe un peu plus bas, je respire sa queue pisseuse avant d’aller m’embrocher dessus, toute mâchoire ouverte, jusqu’au fond de la gorge pour que son odeur me remonte bien dans la tronche. Je tète un max et j’aspire ses couilles bien pleines; c’est à croire que le sport le fait gonfler de là aussi. Lui, il n’est pas du genre à se raser les poils, ils sont presque longs. Je les aspire, je fais glisser ses boules sous ma langue, puis entre ma langue et mon palais, et je me fous derrière lui pour lui lécher la rondelle. Il est déjà bien relâché. Peu à peu il oublie sa peur et se met à gémir en bougeant lentement ses fesses bien costaudes. J’ai mis ma capote en prévision, je fous un peu de gel et je l’enfile à la hussarde en lui léchant le cou et en tirant sur ses tétons. Ce n’est qu’une fois que je suis bien au fond que je commence à entrer et sortir, histoire qu’il serre un peu moins. De temps en temps, je ne peux pas m’empêcher de foutre un doigt sous ma queue encapotée et de me le foutre à la bouche. C’est du nectar de cul qui se donne. Son odeur me rend fou, je ne suis pas un niqueur dans l’âme, mais je ferais n’importe quoi pour lui faire du bien. Je sors avant qu’il ne gicle, car je veux le laisser sous pression.
Dans la voiture qui nous ramène à la maison, je deviens dingue rien qu’à délacer ses baskets, des Nike montantes, noires, bien parfumées; il m’arrive même de me branler dedans. Dès qu’on a passé le seuil de la porte, je commence ma lèche sur les chaussettes, des grosses blanches en tissu synthétique parce que ça dégage plus, et je l’aide à laisser tomber le survêt’ sans enlever les chaussettes. Je pense au slibard merdeux qui doit traîner dans son sac de sport, et je me promets de me le coller sous l’oreiller.
Souvent, je ne peux pas me retenir d’avaler tout ce qu’il veut bien me donner. Comme il a fait le test trois fois dans l’année, il est négatif, je sais que je peux lui aspirer le jus sans risque. Je me refous à pomper avec cet arôme de panards puants qui remonte, et je lui dis de passer dans la salle de bains, de se foutre au bord de la baignoire et de me juter dessus parce que je sens qu’il trépigne. Dès que la crème tombe, je me l’étale dessus. Il pisse presque tout de suite après. Je délire, je vois le jet arriver sur moi et la queue de Malik qui bande encore à moitié. Dès les dernières gouttes, je ne peux pas me retenir de lui repomper le gland. Je me fous à genoux dans la baignoire, trempé, et je commence à nettoyer les plis du gland, là où il y a toujours un peu de foutre qui sèche; si on regarde bien, ça fait des petites traces qui se mêlent à la sueur et aux gouttelettes de pisse. Même le foutre de Malik, bien sucré, devient un peu acide.
Pendant que je le pompe, il a eu une idée, un truc dont je ne lui avais jamais parlé auparavant: il a enlevé le pommeau de la douche et il m’enfonce le bout du tuyau dans le cul avant de faire couler un mince filet d'eau tiède. Il me parle à l’oreille parce qu’il n’ose jamais me parler hard en face, et il me dit que ça va bien me remplir. Ma queue redurcit illico, celle de Malik aussi et je sens mon trou se contracter et se détendre sous l’effet de l’eau. Malik m’a laissé comme ça deux minutes pour aller se chercher une bière. Quand il revient, il pose un pied sur le rebord de la baignoire. Je commence enfin à les bouffer vraiment, et j’y mets toute ma science. Je commence toujours par le talon, là où il y a de la corne, je passe dessous, puis sur le creux du pied où c’est souvent bien odorant, je finis par lécher les orteils un à un, du plus petit au plus grand. Au début, il n’aimait pas ça, maintenant il adore. J’ai fait de ses panards une super-zone érogène, ça sent le mec, c’est fort et ça me fait craquer, comme toute son odeur. Quand je m’endors, je me pose toujours dans le creux de son bras, et la nuit, quand il dort, je viens humer la zone de sueur humide qui se forme sous ses couilles. Malik me file l’autre pied à laver et je sens ma fente qui commence à avoir besoin de gicler. Je retire le tuyau et je crache l’eau de mon cul en grandes giclées. Je sens mon trou s’ouvrir tellement je pousse, je me vide.
Malik se retourne pour se faire lécher la raie, ça doit être de voir mon cul ouvert qui lui a donné des envies, et il se recolle une capote pour me baiser tellement à fond que moi aussi je lâche mon foutre et ma pisse entre ses doigts. C’est seulement demain matin qu’on prendra une douche...
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