ce n'est pas d'être beau , mais c'est d'être aimé
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ce n'est pas d'être beau , mais c'est d'être aimé
Antoine de st Exupéry (Le Petit Prince) :
« Ce qui est important ça ne se voit pas... » (surtout si on le cache ! lol )
Le beignet marseillais dénommé " chichi"
L'holothurie ou "vier marin" qui "pisse quand on l'esquiche"
Dans mon parler marseillais le mot bite n'est venu que tardivement, de la mixité des origines dans les armées et d'un emprunt au langage nordique...autant vous répéter que le vocable vier dont je vous ai parlé ponctuait indignations, étonnements et servait de juron.
Il avait un rival : le chichi.
Dans ma tête de pré ado, le chichi était plus gros que le vier mais plus mou. 0 l'image de l'holothurie que capturaient dans leurs filets et jetaient avec mépris les pêcheurs qui appelaient ça "vier marin". Pressé par un pied l'holoturie "pisse"...comme un vier.
Les écoles du quartier ne sont devenue mixtes que bien plus tard. On était donc entre garçons. Dans le CM1 que je fréquentais il y avait plusieurs garçons très en retard au plan scolaire, mais tellement plus âgés que l'age normal pour cette classe que leurs exhibitions et leurs masturbations permanentes déclenchaient un véritable rut de la classe qui se masturbait allègrement sous les pupitres. Aujourd'hui encore je soupçonne une complicité passive de l'instituteur ???
Dans la classe il devint de notoriété publique que Bébert avait un très gros chichi, mais mou et Fernand un beau vier bien raide. Mais la différence avec nos petits sexes nous humiliait profondément.
Bien plus tard, à l'âge adulte, il se confirma que chichi (qui est aussi un gras et mol beignet assez informe), était la désignation peu flatteuse du sexe masculin : Camille* dit à un copain qui n'arrivait pas à avoir d'enfant --"mais tu as le chichi tordu ma parole ! "
Pour moi vier car il bande
Ces considérations linguistiques n'en demeurent pas moins très personnelles bien que force soit de constater que vier esr mentionné explicitement dans le dictionnaire du parlé marseillais et chichi est seulement cité "comme ça" dans le sens de sexe.
"Bagalot" (c'était son surnom) est le premier circoncis que j'aie pu connaître...je pensais qu'il était anormalement constamment décaloté. Mon gland très sensible n'aurait à cet âge jamais supporté les frottements de tissu
Pour moi vier car il bande
chichi (gros et mou)
Pour moi vier car il bande
chichi (gros et mou)
chichi (gros et mou)
Pour moi vier car il bande
Pour moi vier car il bande
chichi (gros et mou)
Beau chichi mais chichi quand même.
Pour moi vier car il bande
Pour moi vier car il bande
* ce brave Camille m'a confié un jour que "ça le faisait chier, mais il était atteint d'éjaculation précoce, ce qui lui faisait mettre deux préservatifs l'un sur l'autre pour retarder...chichi tordu lui aussi !!!
manfred mann.davy's on the road again - Vidéo Dailymotion
(Exclusif)
Pourquoi presque tous les documentssur ce téléfilm ne sont pas réédités en français ? C'est du mépris.
Mais pas seulement. Le téléfilm de Mischa Kamp ‘Boys’ s'est fait des amis en Allemagne et en Amérique du Nord , les préjugés en France sont tenaces et promènent des banderoles en avion !
Celui dont j'étais amoureux aurait vu le film lui aussi et cela aurait pu balayer les interdits et autres a-priori qui encombraient son esprit...Précisément, un jour de compétition d'atlétisme, il m'a fait une caresse sur le visage, disant : « tu vas voir ça va me porter chance… » j'ai encore cette caresse présente en moi...j'ai évidemment accordé trop de sens à ce geste de sa part...mais nous n'étions pas en 2014 !
_______________________________Article de FUGUES ca____________________________________________
La chanson : « ...But won't you stay with me ? Because you are all I need… »
« …Mais ne resteras-tu pas avec moi ? Car tu es tout ce qu'il me faut »
« On ne fait pas de bonne littérature ou de bons films avec de bons sentiments. L’adage est souvent vrai, mais il y a heureusement des exceptions. Le téléfilm réalisé par Misha Kamp en est une. Une histoire simple, celle d’un adolescent qui ressent ses premiers émois pour un autre jeune de son équipe d’athlétisme et du trouble dans lequel cette attirance le plonge.
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