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trop grosse ? ça se discute...
"Tu la trouves trop grosse non ? ?" Demanda Michael alors que je me tortillais sous lui pour me dégager, mais il ne cédait pas. Je tournai la tête et regardai de nouveau dans ses yeux
intenses alors qu'impassible et inexorable il poussait en moi centimètre après centimètre sa virilité veinée, satinée et soyeuse . Sa bouche au pli sévère béait toutefois légèrement comme s'il était en admiration pour mon corps. Curieusement il y avait aussi comme de la
retenue dans son expression, peut-être un peu de crainte qui sait ? Je n'ai pas dit un mot, je n'ai pas lutté ou
ne me suis pas débattu contre lui; je me suis trouvé paralysé, piégé par la poigne de fer de son regard.
Mon trou distendu semblait être en feu en même temps
que je sentais ses énormes testicules et son entrejambe touffue pressés contre moi. Il se pencha, pressant sa poitrine sur mon
dos pendant qu'il écrasait ses lèvres sur les miennes et forçait sa langue dans ma bouche.
Quand Michael a relâché mes lèvres,
il a placé les poings l'un après l'autre sur mes omoplates et m'a cloué de face sur le lit. A ce moment mon anus avait commencé à s'habituer à lui, il se retira lentement jusqu'à
ce que la tête gonflée de son pénis menace de sortir de mon anus. Et puis il l'a ré-enfoncé brutalement en moi.
J'ai
pleuré sous les couvertures et j'aurais voulu me ruer contre lui avec rage, mais ses hanches clouaient sur le lit une moitié de mon corps et ses puissants bras
immobilisaient l'autre. [Il savait ce qu'il faisait, l'animal] Il grommela à mon oreille "je vais te faire juter comme ça, sans que tu te touches, ok ? ça te va ? ça te plaît bébé ?" [avec sa
voix grave et basse il faisait appel à ma complicité libidineuse] Je fis oui de la tête. Alors il ondula des hanches et ça me fit gémir honteusement de plaisir.
C'est alors que Michael a commencé à entrer et à sortir
de moi, lentement et implacablement. Mais quand il a eu totalement enfoui en moi la "viande" de sa
queue , j'ai perçu qu'avec son serpent de 27 cm il atteignait des endroits qu'auparavant je n'aurais même pas imaginé pouvoir me donner des sensations et encore moins
imaginé d'en recevoir du plaisir. Il n'avait pas menti non plus : il venait de me
faire juter grave sur les couvertures. Alors...
Content de sa prouesse dans un grognement il me dit
tout en reprenant son rythme : -"Mmmm, ta chatte,... maintenant elle est à moi. Tu le vois. " "Tu VEUX être à moi
? Moi je te veux et toi , tu me
VEUX aussi ??? " Mon Dieu était fait de chair, ses respirations devenaient plus fortes et, sur mon dos, je pouvais sentir son cœur battre dans son puissant coffre .
A sa question j'ai vaguement répondu par un "ooooui" hésitant quand sa
bite est passée sur ce que je pense être ma prostate. Je ne savais pas s'il
était sérieux et sincère, mais ce qui m'a effrayé sur le moment c'est de discerner combien je souhaitais être à lui. Si cela signifiait être ramoné puissamment comme ça régulièrement, oui je voulais être sien.
"Prouve-le", a t-il réclamé.
"Oui, jouis pour moi !" S'équilibrant sur mes épaules, il a commencé un assaut fraternel et soutenu de mon cul, martelant sa virilité à l'intérieur de moi et revenant à nouveau à un rythme
qui faisait trembler tout mon corps. Je n'avais jamais rien senti ça comme ça. Je n'avais pas le contrôle de la situation, encore moins le contrôle de moi-même.
Je n'ai rien fait, mais ma bite a éclaté, inondant de sperme les draps mouillés
de sueur . Michael saisit mes épaules et haleta. "Chérie, bébé. C'est tout. Serre-moi dans ton
cul "Ses paroles se sont transformées en un mélange de grognements et de gémissements alors que les spasmes de mon orgasme resserraient mon trou autour de lui. Il ne pouvait même plus revenir en arrière, il glissait
juste en profondeur en moi jusqu'à ce que je sente que son arbre gonfle et que ses muscles se serrent sur moi.
Je suis venu comme un torrent en crue, beaucoup, plus que
jamais auparavant, mais l'orage de l'orgasme de Michael faisait ressembler le mien à une toute petite averse.
La chaude éruption à l'intérieur de
moi s'est répandue dans mon corps, sa graine se déplaçant partout où elle pourrait aller jusqu'à ce qu'elle fuite aussi de mon anus distendu autour de sa grosse bite.
Michael
a planté ses deux grosses mains sur mon dos et s'est hissé vers le haut, sortant sa bite giclant de sperme et le pulvérisant sur mon dos encore et encore jusqu'à
ce qu'il s'effondre sur moi, vidé mais tout dur encore.
USA TEXT
“Too big?” Michael asked as I writhed beneath him, but he didn’t relent. I turned my head and looked back into his intense eyes as he steadily pushed inch after inch of his slick, veiny manhood inside me. His stern mouth hung slightly open in awe. I didn’t say a word, struggle, or buck against him; I froze, trapped in the iron grip of his gaze.
My stretched hole felt like it was on fire by the time I felt his huge balls and furry crotch press up against me. He leaned down, pressing his powerful chest against my back as he clasped his lips over mine and pushed his tongue into my mouth.
When Michael pulled off my lips, he lifted his fists one after the other onto my shoulder blades and pinned me face-down on the bed. Just as my ass started to get used to him, he pulled back until the swollen ridge of his tip threatened to pop out of me. And then he slammed it back in.
I cried into the covers and I would have bucked against him, but his hips pinned one half of me and his powerful arms pinned the other. In my ear, he growled, “I’m gonna make you cum like this. Would you like that, baby?”
I nodded, and moaned in pleasure as he subtly shifted his hips.
Michael started thrusting in and out of me, slow but intractable. But when he was buried, nine full inches of cockmeat inside me, I felt him touching me in places I didn’t even know I could feel. He wasn’t kidding either—he already had me leaking all over the covers.
“Your pussy belongs to me,” he said with a grunt, picking up his pace. “You want to be mine. Don’t you?” His breaths were getting sharper and I could feel his heartbeats through his powerful chest against my back.
I half-moaned an urgent yes when he thumped my prostate. I didn’t know if he serious, or literal, but it scared me how much I wished he were. If it meant being reamed like this on a regular basis, I wanted to be his.
“Prove it,” he demanded. “Cum for me.” Balancing himself on my shoulders, he began a frenzied, sustained assault on my ass, pounding his manhood deep inside me and back out again at a pace that made my whole body start to shake. I’d never felt anything like it. I wasn’t in control, not even of myself.
I didn’t do a thing, but my dick erupted, flooding the sweaty sheets with cum. Michael gripped my shoulders and gasped. “Holy shit, baby. That’s it. Squeeze me.” His words devolved into a mixture of grunts and moans as the throes of my orgasm tightened my hole around him. He couldn’t even pull back anymore, he just slid around deep inside me until I felt his shaft swell and his muscles tighten atop me.
I came a lot, more than I ever had before, but Michael’s thunderstorm made mine look like a light drizzle.
A warm eruption inside me spread through my body, his seed working its way wherever it could go until it started leaking out of me around his fat dick. Michael planted two big hands on my back and pulled himself up, popping his engorged cock out and spraying across my back again and again until he collapsed on top of me, spent but not soft.
He whispered, “Much better way to seal a deal than a handshake, huh?”
“Deal?” I asked.
“You said you wanted to belong to me,” he explained. “And now you do.” He got up out of bed and stretched the tense muscles on his chest. I must have looked dumbfounded because he walked up and ruffled my hair. “Don’t worry, buddy. I’ll treat you right as long as you obey.”
I opened my mouth to argue, but the huge cock swinging in front of my eyes took all the wind out of my sails. We’d only been on three dates, but… I wanted this. It scared me how much I wanted this.
“Come on, baby,” he cooed. “You can blow me in the shower.” I don’t know if that offer was as generous as it sounded, but it got me out of bed quick.
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commentaire :
(Source : lovemaygrowforallweknow)
SES SOUVENIRS DE BAISE EN PRISON criaient trop fort en lui heureusement les parents n'étaient pas là sinon il auraient entendu mes gémissements et pu comprendre combien la prison l'avait changé...
et moi, c'est mon frère qui m'a changé !
A peine rentré, ses souvenirs le hantent déjà !
C'était quoi que tu voulais me montrer, hein ?
en faisant "à cru" (bareback !) pense à l'union que ça représente...chair contre chair c'est trop cho !
Se marier et se marer !
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