si le grain ne meurt
souvent des pénis en forme de champignon Plus de plaisir ?
Qui c'est qui va s'en prendre une grosse bien profond ?
à suivre
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si le grain ne meurt
souvent des pénis en forme de champignon Plus de plaisir ?
Qui c'est qui va s'en prendre une grosse bien profond ?
à suivre
ben non ! autant de gays ça ferait désordre ! Et, n'en déplaise à beaucoup, selon Freud on le serait tous "un peu".
Dites-moi où sont les femmes ?
Femmes, femmes, femmes, femmes
Où sont les femmes ? Patrick Juvet Ou sont les gays ????
Selon l’étude que l’on retient sur la proportion d’homosexuels dans la population hexagonale, les résultats varient nettement, entre 1,1 % d’homosexuels déclarés (selon l’Ined et l’Inserm en 2007) et 6,5 % d’hommes gays et bi (d’après l’Ifop en 2011). Tout ça est aussi faux que les chiffres du chômage, aussi faux que ce (ceux) qu'on veut cacher !
On ne voit pas de concurrent homo dans le Vendeée Globe et Libération soulignait cet été que l'homosexualité est un tabou chez les sportifs et notamment dans le Tour de France
Eh ben, oui, dans le Tour de France, selon les statistiques, il devrait y avoir au moins un coureur gay. Selon l’étude que l’on retient sur la proportion d’homosexuels dans la population hexagonale, les résultats varient nettement, entre 1,1 % d’homosexuels déclarés (selon l’Ined et l’Inserm en 2007) et 6,5 % d’hommes gays et bi (d’après l’Ifop en 2011). Et si on transposait ces statistiques aux autres nationalités du peloton, on pourrait dénombrer jusqu’à 12 coureurs gays. Or, depuis la première édition du Tour en 1903, aucun concurrent n’a jamais fait son coming out. Le sujet est un brin moins sensible dans le cyclisme féminin et les Allemandes Judith Arndt et Petra Rossner, cinq titres de championne du monde dans les années 2000, ont par exemple révélé vivre ensemble.
Dans les autres disciplines, la discrétion reste de mise, mais certains athlètes se sont dévoilés récemment, de l’Australien Ian Thorpe (natation) à l’Américain Jason Collins (basket), en passant par le Britannique Keegan Hirst (rugby). Seul cycliste homosexuel déclaré, l’Ecossais Graeme Obree, qui a brisé le silence en 2011, plus de quinze ans après ses deux records de l’heure sur piste. Ce champion lunaire, qui avait construit lui-même son vélo à partir de pièces de sa machine à laver, n’a cependant jamais mené une carrière sur route.
Parmi les «routiers», seules des rumeurs vont bon train dans ce milieu au minimum macho et célébrant la virilité qui, comme la quasi-totalité des autres sports, perçoit l’homosexualité telle une infamie. Untel qui ne rit pas aux blagues grasses des collègues sur la serveuse de l’hôtel a été ainsi soupçonné d’être gay. On dit de cet autre, engagé sur le présent Tour de France, qu’il recevrait souvent chez lui les organisateurs d’une course cycliste ouvertement homos. Il y a aussi le cas de ce jeune prodige, «fin et cultivé», qui serait gay à en croire ses confrères - il vit en fait avec une hôtesse de l’air. Le genre de stéréotypes qui existaient déjà avant même l’invention du vélo. Des ragots d’autant plus croustillants qu’ils sont alimentés par ce tabou de l’homosexualité qui existe encore parmi les coureurs.
Ainsi, le site Radio Peloton parle d’un célèbre grimpeur espagnol d’il y a une dizaine d’années qui serait très entreprenant avec les hommes… lorsqu’il a descendu plusieurs mojitos. Autre récit collecté par Libération à base d’alcool et de drogue : des coureurs dignes de foi affirment avoir surpris des ébats sexuels entre coureurs mâles lors de soirées très alcoolisées, principalement dans le milieu amateur lorsque ceux-ci étaient sous l’emprise de whisky et de Stilnox, un puissant somnifère.
Il navigue en solitaire :
Si le sujet alimente les rumeurs, on ne sait rien de fiable sur les gays du peloton. «Pourtant, il en existe forcément», estime George Bennett (Lotto-Jumbo), échappé dimanche en Andorre. Le coureur (hétérosexuel), interrogé par Libération, pense qu’il est «difficile pour un homosexuel d’assumer sa sexualité dans le vélo parce qu’une partie des coureurs d’une équipe pourrait être gênée, ne pas vouloir faire chambre commune». Le chemin est encore long. Pour autant, le Néo-Zélandais estime que «le cyclisme n’est pas homophobe» : «Il y a des coureurs et des équipes ouverts d’esprit.»
POUR MA PART JE MARRONNE QUE LES GAYS FASSENT L'OBJET D'ENJEUX EXTERNES claudio
être à la (bonne)hauteur -lol-
les homos sont maintenant une armée...armée d'intentions pacifiques
20h people Frédéric Lopez est sur le point de révéler son homosexualité à la télévision |
elle est belle, elle est juste, ce n'est pas "un goncourt pour rien"
Mis à jour le 04/11/2016 | 11:38
publié le 04/11/2016 | 11:16
"Je pense qu'il est temps que les citoyens prennent ça en main, se rebellent contre ça." Interrogée vendredi 4 novembre sur France inter après l'arrestation de deux jeunes femmes mineures qui seront jugées pour homosexualité, Leïla Slimani appelle les Marocains à se rebeller.
"L'humiliation du citoyen, et le fait de le maintenir sous une chape de plomb, favorise un système politique qui est celui de l''hogra', l'humiliation, et l'abus de pouvoir", explique la romancière, interrogée sur l'arrestation à Marrakech de deux femmes âgées de 16 et 17 ans, Sanaa et Hajar, surprises en train de s'embrasser (l'homosexualité est punissable de six mois à trois ans de prison au Maroc).
"La législation au Maroc est complètement moyenâgeuse, complètement déconnectée de la réalité", a ajouté LA FRANCOMAROCAINE QUI A RECU JEUDI LE PRIX GONCOURT le plus prestigieux prix littéraire francophone, pour Chanson Douce (Gallimard). "Il y a des normes qui interdisent les relations sexuelles hors mariage, qui interdisent l'homosexualité, qui pénalisent l'adultère. Et il y a des pratiques qui sont complètement à l'inverse de ces normes", a fait valoir la lauréate.
Il ne faut pas être hypocrite, on sait très bien que les Marocains ont une vie sexuelle hors [de l'institution ?] du mariage, et c'est très bien, qu'il existe des homosexuels.
Leïla Slimanisur France inter
"On maintient cette dichotomie, on maintient ce fossé parce que ça arrange le système, ça arrange certains, a expliqué la romancière. Cela n'a aucun rapport avec la religion. Beaucoup d'imams, beaucoup de théologiens extrêmement éclairés vous expliqueront que ça n'a aucun rapport, a-t-elle ajouté. La question, c'est la question des droits de l'Homme, des droits sexuels, de la dignité et, en particulier, la dignité du corps de la femme."
Pour Leïla Slimani, il faut "imaginer une femme qui ne soit à personne, qui ne soit ni une mère, ni une sœur, ni une épouse, mais une femme et un individu à part entière".
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