Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 13:48

Joseph Rocha, le courage de parler !  Mais qu'est-ce qu'ils sont beaux, lui et son courage !

 Jo', on t'aime !

 

 

  le temoignage de Joseph Rocha   25 ans, ancien maître-chien de la marine: "... se taire cela exigeait un tel niveau de tromperie et de tricherie et une telle  ocultation  de tout ce qui est beau dans votre vie"... 

 

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Joseph avec son copain

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l'armée est un lieu de proximité entre hommes...et donc....

 

      On était en sept 2010 : Un jour à venir très bientôt - 20 septembre 2011 - la sexualité d'un militaire ne serait plus un motif de renvoi des forces armes américaines. Des voix ont expliqué ce que c'était que d'être un homme gay dans l'armée américaine au cours des soixante-dix dernières années, des vétérans de la Seconde Guerre mondiale à la fin des années 80 aux jeunes militaires en service actif.


1. La vie aujourd'hui en tant que militaire homosexuel


Comment nous en sommes arrivés là : En 1992, beaucoup de gens pensaient que la discrimination était presque terminée. "Je me souviens d'avoir été dans le Castro", dit John Forrett (réserviste de l'armée, 1987-99), "et avoir regardé la télévision dans un bar avec des amis, et avoir vu et entendu Al Gore et Bill Clinton jurer que s'ils devenaient Prsident et Vice Prsident  l'équipe allait se débarrasser du harcèlement des homosexuels et des lesbiennes qui servent dans l'armée. " Mais quand l'équipe de ce programme a été élue , ils ont sous-estimé la résistance d'une coalition de conservateurs sociaux, de groupes religieux et d'une grande partie de l'armée elle-même à une telle réforme . La conséquence, l'année suivante, était un genre de compromis désordonné qui est devenu familièrement connu sous le nom de «Ne demandez pas, ne dites pas» (soyez pdés ou lesbiennes, mais ne le montrez pas !  Les homosexuels étaient autorisés dans l'armée mais seulement tant qu'ils ne révélaient pas leur sexualité; Pour faciliter cela, il a également été interdit à tout membre de l'armée de s'informer sur l'orientation possible de quiconque . Cela a été présenté comme une sorte de victoire pour les forces du progrès - vous n'étiez plus exclu du service - mais cela pourrait plutôt être vu comme une solidification de la discrimination. En effet, les homosexuels n'étaient acceptables que dans la mesure où ils pouvaient réussir à se faire passer pour des non-gays. Pourtant, le message chuchoté de Clinton et Gore semblait être que ce n'était qu'un pis-aller temporaire tandis que l'armée nerveuse prenait une grande respiration profonde: Faites-nous confiance, semblaient-ils impliquer. Nous serons là bientôt.


Il a fallu dix-sept ans. Dix-sept années durant lesquelles les militaires homosexuels ont existé dans une sorte d'enfer paradoxal. Même quand cela fonctionnait comme prévu, c'était une façon très étrange de demander à quelqu'un de vivre heureux.


    Au moment où le président Obama a signé en décembre dernier le projet de loi abrogeant «Ne demandez pas, ne dites pas» n'a marqué que le début d'une période de formation et de préparation menant à la suppression définitive de la politique. Les militaires ont été informés que jusque-là, la politique s'appliquerait toujours, et qu'ils pourraient potentiellement faire face à des sanctions s'ils s'identifient publiquement comme homosexuels. C'est pourquoi le personnel de service actif interviewé ici - que j'ai rencontré à travers l'Amérique et en Angleterre ou communiqué par voie électronique en Afghanistan - ne sont mentionnés que de façon anonyme.

       PSEUDO  Air Force # 1 (lieutenant-colonel, dix-huit ans de service): «C'est toujours dans ma tête, même si vous essayez de garder votre anonymat, vous risquez de vous tromper ... Quelqu'un peut trouver un message sur Facebook. C'est tellement frustrant parce que, si cela s'est produit, il n'y avait aucune possibilité de supposer que votre message facebook  était pour vous-même ... Tout d'un coup, il y a eu cette découverte mystérieuse et retentissanteque votre message avait été jeté à la poubelle.


PSEUDO Navy # 1 (lieutenant pendant quatorze ans): "Il y a toujours eu une peur que les gens vous découvrent et puis vous en imposent pour vous faire obéir , j'ai vu ça se produire:" Si vous ne faites pas ça, je " Je vais vous signaler comme homo. "


PSEUDO Air Force # 1: «Deux de mes amis ont été découverts, tous les deux officiers - ce n'est pas comme pour les hommes du rang c'est un processus long et ardu pour un officier de se faire expulser parce qu'il est homosexuel. Pour un engagé ordinaire, il faut environ cinq jours. La paperasserie est beaucoup plus facile. vraiment juste "Vous ne répondez pas aux normes." Dans les cinq jours, à la porte. "

RESPECT, NON ?
Air Force # 2 (aviateur principal, pendant trois ans): «Personne dans mon travail n'aurait jamais soupçonné que j'étais gay du tout, je parle de Sam mon copain, je l'appelle même Sam au travail, je rencontre Sam , avec Sam on va faire ça et ça », et ils disent:« Oh ouais, comment ça va? »Le pire, c'est quand ils commencent à me poser des questions sur notre vie sexuelle et que, disons-le tout net,  ça me fait chier. 'm...' Si c'était une femme que je devais épouser, donc je ne serais pas cool avec vous les gars qui parlez de ma femme comme ça, et tout le monde dit c'est vrai ! Vous avez raison."


Par Trad claudio & DOC US - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 09:42

quand vous vous changiez tout à l'heure avant la messe, mes yeux se sont posés sur votre anatomie...je sais que j'ai pas le droit et que c'est pas bien, mais c'était plus fort que moi http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2014-enfant-de-choeur.php plein d'histoires gay encore à lire sur Cyrillo.com

désormais on peut atteindre cavaillongay  directement par une simple recherche google ce qui doit faire plaisir aux petits coquins rebutés par le rempart d'erog

dans le récit sur Cyrillo.com, LEO a 18 ans...libre à nous de  croire

Ceci est une fiction les noms et prénoms sont fictifs ainsi que les lieux  :

LA FAUTE DE L'ABBE OSCAR ( ce n'est pas du Zola mais LEO a bien du merite )-lol-

j'étais enfant de choeur à la paroisse de .... Mes parents étaient super catho et au début j'y allais un peu à reculons mais au final, on s'amusait bien avec mes potes et c'était pas si chiant que ça.

On se retrouvait tous les dimanches matins à 11h pour la messe en compagnie du prêtre Oscar, la quarantaine, un beau mec grand et musclé, pas mal pour un curé! Nous étions 5 enfants de choeur, plus ou moins de mon âge et on se donnait rendez vous dans la salle derrière l'église pour se mettre en tenue, une aube blanche longue assez épaisse qui tenait bien chaud et en cette journée d'été, la chaleur était insupportable.

Le prêtre Oscar nous accueille, encore en tenue de civil, il fait encore moins curé habillé en "normal!".

-"Bonjour les enfants! Il fait chaud aujourd'hui, je vous conseille de ne vous mettre qu'en sous vêtements sous votre aube, je vais en faire de même. "

Du coup, on se déshabille tous et on se retrouve en slip ou boxer, avant de mettre notre aube. Le curé Oscar fait de même, il hôte sa chemise et son pantalon, je le matte, absorbé par ce corps d'homme viril, il porte un beau slip blanc qui lui fait de belles fesses rebondies et un gros paquet au niveau de l'entrejambe. Ses jambes sont poilues, et il a de belles cuisses de sportif épaisses. Je sais que c'est un péché de regarder un homme mûr, mais je n'y peux rien...Ses yeux d'ailleurs se fixent sur moi...
-"Qu'y a t il Léo?

-"Euh rien rien " Il me sourit et enfile son habit par dessus ce beau corps de mâle.

La messe se déroule, je joue mon rôle d'enfant de choeur, chantant ces chants religieux en tenant avec fierté le cierge.

A la fin, on se retrouve dans la petite pièce derrière.

-"Merci les enfants, c'était parfait. Arthur, chante moinsfort la prochaine fois par contre, on entend que toi!" On rigole tous.

Par contre, vous savez que c'est le jour des confessions aujourd'hui. Vous allez donc passer chacun votre tour dans le confessionnal. C'était le rituel une fois par mois, on allait dans cette espèce de guérite en bois, le prêtre d'un côté et le confessé de l'autre, séparés par une grille.

Arrive mon tour, j'entre dans le confessionnal.

-"Alors Léo, je t'écoutes, dis moi tes péchés et ils te seront pardonnés.

-"Et bien je sais pas si je dois vous le dire...

-"Tu sais que tu peux tout me dire Léo

-"Et bien, quand vous vous changiez tout à l'heure avant la messe, mes yeux se sont posés sur votre anatomie...je sais que j'ai pas le droit et que c'est pas bien, mais c'était plus fort que moi

-"Et que ressentais tu à ce moment?

-"Une sorte d'attirance....Je ne sais pas comment m'en défaire

-"La meilleure chose dans ces situations c'est d'aller au bout de cette envie et de tester ta force de résistance, sois tu céderas ou bien tu te résigneras. Je te propose de passer de mon côté, tu t'assieras par terre sous ma soutane, j'hôterai mon slip et devant le fruit défendu, tu verras ta réaction, je poursuivrai de mon côté la confession des autres, tu n'entendras pas de toute façon sous ma soutane.

-"d'accord mon père".

Je sors donc et le rejoins de l'autre côté, il referme la porte derrière moi. Je le vois enlever son slip de sous sa soutane, ça m'excite encore plus de l'imaginer à poil sous son vêtement.

-"Viens dessous, et laisse-toi aller, je poursuis pour ma part avec les autres." Il appelle Arthur au confess. J'entends la porte d'Arthur qui entre de l'autre côté...moi je suis accroupi par terre, sous son espèce de grande jupe...j'ai chaud, très chaud....et je ne vois rien c'est le noir complet...je peux juste sentir son odeur de mâle décuplée avec la chaleur...et j'imagine ses deux jambes musclées et velues écartées devant moi, avec l'objet de tous les désirs à quelques centimètres de moi...je n'avais encore jamais touché une autre bite que la mienne...normal à 18 ans.  Je reste quelques secondes comme ça dans le noir sans bouger ni rien toucher puis la tentation est trop grande...de mes mains je caresse ses cuisses, ses poils me chatouilles les paumes, ses cuisses sont très larges par rapport aux miennes, je lui caresse les jambes pendant quelques minutes, remontant des mollets juqu'en haut des cuisses, je sens le prêtre bouger de temps à autre, je n'entends strictement rien de la conversation avec Arhur sous sa soutane.

Puis l'envie est trop forte, je remonte mes mains vers son entrejambe en glissant vers ses cuisses et j'arrive à sa paire de couilles, bien grosses, bien lourdes que je malaxe....c'est une sensation bizarre, lui se laisse faire et ne bouge pas d'un poil...puis mes petites mains saisissent la base de sa bite...qui est en pleine érection....cela me perturbe... je remonte le long de sa verge avec mes deux mains, elle me parait interminable....je fais à peine le tour avec mes deux petites mains, quelle grosseur! je redescends et remonte pour apprécier encore davantage la taille de son engin...même dans le noir c'est très très impressionnant, je n'avais pas idée qu'une bite pouvait être aussi grosse, elle devait dépasser les 20 cm je pense. La sensation de tenir une queue qui bande dure ne fait que confirmer mon attirance envers l'objet défendu...et d'ailleurs je me mets moi-même à bander dans mon petit slip, je m'amuse d'ailleurs à toucher la mienne et me rend vraiment compte de la taille de son attribut....Bon ben je crois que j'ai plutot opté pour me laisser aller sur cette interdiction, impossible de résister... je le branle sous sa soutane des 2 mains, je commence à avoir très chaud dessous, je transpire grave, sa bite est toujours aussi dure, aussi dressée, aussi forte...a ce moment là je me rappelle de la vidéo que j'avais vu sur internet, lorsque le mec sucait l'autre...et je sentais ma petite bouche comme attirée par ce pénis d'homme mûr...avais je le droit de le faire? ici? quelle serait sa réaction? tant pis, j'en avais trop envie, je rapproche mes lèvres de son gros gland et, toujours dans l'obscurité, je le mets en bouche...sensation nouvelle pour moi, je sens un petit gout salé, il me parait gros, très gros, je joue avec ma langue dessus....Je sens les jambes du curé bouger, peut etre allait il s'énerver mais non, au contraire, il remuait ses jambes, au rythme de mes mouvements de langue...je décide d'en mettre davantage dans la bouche et me rapproche de son entrejambe. Je tiens la base de sa qu!
 eue de mes deux mains et ouvre grand la bouche, sa pine me remplit la bouche et la gorge, je ne peux pas tout mettre tellement elle est grosse....c'est ma première pipe et je trouve ça trop bon, très excitant....Alors que je prend de l'aisance, je sens une main se poser sur ma tête à travers la soutane....Il me caresse les cheveux doucement alors que je le pompe goulument....c'est une vraie révélation pour moi, j'aime la bite, et la grosse bite....j'imagine avec une petite bite fine de moins de 15 cm ce serait pas pareil.....Je le suce à fond...je me rends compte que je peux rentrer désormais les 2/3 de sa bite dans ma bouche....je m'aide de mes petites mains pour le branler....putain c'est bon, je le suce je le suce, j'arrête pas, ses mains se crispent sur ma tête et je sens ses cuisses se refermer contre moi, je continue à le sucer à fond et là d'un coup je ressens quelque chose de bizarre et d'innatendu, de chaud, visqueux et amer, collant qui me déboule dans la bouche sans prévenir, je ne sais pas si je dois avaler ou recracher, le jus arrive encore, je n'ai pas le choix que d'en avaler une partie, ça picote un peu la gorge...le reste coule sur sa verge....Je crois que c'est ce qu'on appelle l'éjaculation.....autrement dit la jouissance j'avais donc réussi à lui procurer du plaisir....

Le curé relève sa soutane, me libérant de cette chaleur insoutenable....mes yeux piquent avec la luminosité bien que faible dans le confessionnal.

-"Alors Léo?

-"C'était trop bien ....je vous ai fait jouir alors?

-"Oui, tu m'a fait jouir...." je pouvais voir enfin sa queue à la lumière, vraiment imposante, comment avais je pu mettre ça dans ma bouche?

-"Tu es allé au bout de tes envies, et la jouissance de mon attribut équivaut à un pêché pardonné... "

Il remet son slip en disant ca.

-"Allez, leves toi et rentres chez toi Léo".

C'était ma première expérience avec un homme, ma première pipe.... J'en étais fier.

Le dimanche d'après, rebelote, on se retrouve tous dans la pièce avant la messe, on rigole avec mes potes.

Oscar arrive et me sourit largement.

-"Tu viendras me retrouver après la messe si tu veux bien"

Ma foi, oui, j'avais envie! La messe se déroule puis comme convenu, je rejoins Oscar dans la pièce où mes camarades se changent.

-"Attendons que tout le monde parte" me dit il à voix basse.

Une fois le dernier parti, il se rapproche de moi.

-"Léo, as tu envie d'aller plus loin dans la découverte de tes envies?

-"Euh ...oui

-"Enlève ton slip mais garde ta soutane". Je m'execute et lui fait de même, on est donc tous les 2 à poils sous nos soutanes.
-"Viens" Il m'emmene dans le petit vestibule où sont stockées les affaires pour la messe et referme la porte à clé.

-"Laissons nous aller à nos désirs Léo"

Il me prend alors dans les bras et passe ses mains sous ma soutane, ses mains me caressent mon petit corps, elles s'arrêtent sur mes fesses qu'il caresse activement. Il me retourne et me soulève la soutane derrière, il a mon cul à sa portée, il y glisse sa bouche me couvrant de bisous et m'embrasse le trou...puis sa langue me léche généreusement la raie et s'attarde sur mon trou.....

-"Tu aimes Léo?

-"Oui c'est trop bon comme sensation, je savais pas qu'en me faisant lécher l'anus je pouvais avoir du plaisir...."

Le curé me broute le cul dans le vestibule puis il attrappe un cierge de la main.
-"Tu sais Léo, la sodomie est un péché mais je suis un homme d'église, le fait de te la procurer te délivrera de ce pêché

-"Oui mon père".

Il s'assied sur une chaise et m'allonge le ventre sur ses genoux, il remonte ma soutane, j'ai les fesses à l'air. D'une main il prend le cierge blanc qu'il retourne, le met d'abord dans sa bouche puis le place devant mon trou

-"Souffle bien Léo, laisses toi aller"

Je souffle fort...le cierge me rentre délicatement dans l'anus....ça me fait un peu mal mais c'est supportable. Le curé enfonce l'objet tout doucement, j'ai plusieurs centimètres de rentrés. Il le ressort, le remet dans sa bouche et me le rerentre doucement....cette sensation nouvelle me procure du plaisir, je pousse un petit râle de plaisir lors de cette seconde pénétration....En même temps, je sens un truc dur pousser sous la soutane du curé, si dur que ca me fait mal sur le ventre sur lequel je suis appuyé...Oscar soulève sa soutane, libérant sa grosse bite dure et bien grosse....Instinctivement je la prends en bouche, lui, il saisit un second cierge, plus gros, beaucoup plus épais et me le rentre dans le cul....Oscar gémit à son tour au rythme de mes mouvements de bouche sur sa grosse bite, ma salive coule sur sa verge et descend vers ses couilles, lui me pénètre toujours avec le cierge...le second me procure davantage de plaisir encore...
-"Ca va Léo, tu aimes?
-"Ouiiiii....plus c'est gros plus c'est bon mon père

-"Tu veux autre chose de plus gros encore Léo?

-"Ouiii"

Il se relève et m'enlève complètement ma soutane.

-"Mets toi )à genoux sur la chaise"  Je me place à genou, le cul tourné, il soulève sa soutane, il a sa grosse pine énorme qui dépasse...je crois que la pénétration va avoir lieu...il se rapproche de mon trou et glisse sa bite dedans...tout doucement....

-"aie c'est gros là ! doucement !

-"Oui doucement, comme ca" Il l'enfonce centimètre par centimètre, elle me remplit bien tout le trou....

-"On y est Léo, la sodomie ne sera plus un péché pour toi...profites maintenant" Il me donnait de grands mouvements de bassins qui font plonger sa grosse queue au fond de moi...elle glissait bien toute seule, jamais je n'aurai penser qu'un tel calibre aurait pu rentrer en moi...mais c''était même mieux...je prenais mon pied  grave.....Il accélère la sodomie, m'attrappe les cuisses et me pilonne désormais à grands coups, il pousse quelques râles aussi de son côté.....

-"Je vais te lacher ma semence en toi Léo, prends ça comme un baptême, une bénédiction de la haut..oh oui oh oui...ca vient ca vient oh ouiiiiiiiii" "Au même moment je jute sur la chaise....et je sens son jus chaud s'épandre en moi.....J'étais dépucelé....par un mec de 30 ans de plus que moi...mais c'était bon trop trop bon.....Je me sentais bien....

Il enleva sa grosse bite de mon chatte dilatée....et vint m'embrasser doucement...moi je lui saisis de nouveau sa bite encore bien dure, je me laisse descendre une dernière fois vers le fruit défendu pour la reprendre en bouche...elle est encore meilleure avec ce goût de sexe et de sperme...il me caresse les cheveux, je le suce encore et encore, je pourrai le faire pendant des heures....sa queue regonfle meme dans ma bouche.....au fur et à mesure je dois en ressortir tellement elle grossit...je continue ma pipe, lui gémit de plaisir...je le pompe encore et encore...Puis il me relâche une fois de plus sa purée en pleine bouche...j'avale tout cette fois ci....lui me regarde dans les yeux et me sourit..je ne recrache aucune goutte de son sperme....

-"ce n'est plus un péché mon père?

-"Non Léo, à chaque fin de messe, je te donnerai ma semence au plus prodond de tes entrailles, ma semence est pur Léo

-"D'accord, avec plaisir".

Le curé me baisa pendant  4 ans chaque dimanche dans le petit local à fourniture, je recus au total 200 doses de sa part dans le cul ou la bouche.

La dernière année, il y avait également Arthur avec nous, le prêtre nous déshabillait complétement et nous faisait asseoir sur les genoux sur une chaise puis il nous baisait en passant de mon cul à celui d'Arthur. Il aimait nous baiser en soutane, il ne se mettait jamais nu. Avec Arthur, on aimait sucer sa grosse bite à 2 et on se battait pour avoir son jus en bouche. Un dimanche, il nous présenta un ami prêtre à lui qui s'appelait Mamadou il venait du Bénin. Quand Mamadou avait soulevé sa soutane, on s'était regardé avec Arthur....il avait une bite énormissime, encore bien plus grosse que celle d'Oscar....On s'est jeté dessus à 2 et il y avait de la place pour nos deux langues et nos 2 bouches, je me rappelle que lorsque je l'ai prise seul dans ma bouche, son gland me remplissait toute la bouche et je ne pouvais rentrer que le dixieme de son membre....

-"maintenant, Mamadou va vous donner sa semence dans vos entrailles, Léo, donne-toi à lui. "

Je savais que ca signifait: " Léo, écarte ton trou tu vas te faire baiser".....La bite de Mamadou me démonta le cul comme jamais, j'étais pourtant bien habitué a celle d'Oscar déjà si grosse...jamais dans ma vie d'adulte après je ne repris une si grosse queue...Pendant qu'il me démontait, le prêtre Oscar me donnait sa bite a sucer qui me semblait petite lol...Arthur me regardait d'un air compatissant..attendant son tour, son petit cul imberbe tendu vers le ciel.....

La semence de Mamadou a été à la hauteur de son engin, abondante et épaisse, j'en avais plein le cul, je m'en souviens encore, ca me coulait meme apres etre rentré à la maison dans mon slip alors que je dinais avec mes parents..... Le petit Arthur a dû nettoyer la queue qui venait de me remplir avant de se la prendre lui aussi dans le cul...par contre, lui a vraiment dérouillé car Mamadou venait de juter et du coup était très endurant avec lui.....Il l'a baisé pendant au moins 45 minutes, je n'avais jamais vu un cul aussi dilaté....A la fin, le collègue black d'Oscar pouvait ressortir son chibre et le rerentrer dans son cul sans s'aider des mains, Arthur gémissait a gorge déployée....

Depuis, lorsque je vais à la messe, je regarde ces petits enfants de choeur, me demandant ce qu'il se passe derrière l'autel.....¤


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Par LEO59 SUR CYRILLO - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 07:58

pourquoi il faut bannir le nationalisme tchetchène on peut atteindre cavaillongay directement par google

DOCUMENT FRANCE 2. "J'avais la sensation que mes os étaient broyés" : le calvaire de Sacha, torturé en Tchétchénie à cause de son homosexualité

Aux portes de l'Europe, ils sont victimes d'une purge meurtrière. Persécutés par les autorités de leur pays, et menacés jusqu'en France. "Envoyé spécial" a recueilli le témoignage de plusieurs homosexuels tchétchènes. Dans cet extrait, Sacha raconte les tortures que leur inflige la police.

Depuis le début de 2017, la Tchétchénie se livre à une impitoyable chasse aux homosexuels. Persécutés et menacés de mort dans leurs propres familles, ceux qui le peuvent s'enfuient et se cachent à l'étranger. Une cinquantaine d'entre eux ont demandé l'asile dans des pays occidentaux. Sacha, réfugié en France depuis quatre mois, raconte à la journaliste Elise Menand les tortures que la police leur réserve. Extrait d'un reportage à ne pas manquer dans "Envoyé spécial" le 23 novembre.

Cet homme de 47 ans est encore traumatisé par les sévices qu'il a subis. Les policiers tchétchènes l'ont torturé à l'électricité, après lui avoir placé sur les doigts des pinces reliées à un boîtier. "Quand le courant passe par le corps, c'est comme s'il s'arrêtait à chaque articulation. Je sentais tous mes os, j'avais la sensation qu'ils étaient broyés."

"Purifier la nation"

Pour mettre un terme au supplice, Sacha reconnaît son homosexualité. Ses geôliers exigent alors qu'il dénonce d'autres gays afin d'établir une liste. Selon Sacha, la police veut éradiquer ce qu'elle considère comme "un mal contagieux", afin de "purifier la nation". Dans cette République autonome de Russie, à majorité musulmane et dirigée d'une main de fer par Ramzan Kadyrov, l'homosexualité, sans être illégale en Russie, est strictement taboue.

"Ils devaient se dire qu'en tuant cette génération, il n'y en aurait plus de nouvelle", pense Sacha. Relâché six jours plus tard, terrorisé, il plaque tout et s'enfuit de Tchétchénie. Il a cru ne jamais s'en sortir vivant.

Extrait de "Chasse à l'homme en Tchétchénie", un reportage diffusé dans "Envoyé spécial" le 23 novembre 2017.¤

NOTES:  Azamat est tchétchène. Depuis six mois, il se cache quelque part en France. Il a peur d’être retrouvé et assassiné car dans son pays, il est menacé de mort. Depuis le début de l’année en Tchétchénie, des dizaines, voire des centaines d’hommes auraient été arrêtés, détenus dans des endroits secrets et torturés, juste parce qu’ils sont homosexuels.

La Tchétchénie fait pourtant partie de la Fédération de Russie où l’homosexualité n’est pas illégale. Mais le président tchétchène, Ramzan Kadyrov, qui a installé un régime autoritaire depuis dix ans, mène une véritable chasse à l’homme, loin de Moscou.

Tchetchenie, le jouet macabre de poutine - YouTube

https://www.youtube.com/watch?v=o7E1KsmgGXM
...

 

 


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Par ENVOYE SPECIAL - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 2 janvier 2 02 /01 /Jan 00:34

    bisex : un coeur plus grand

 

      Image associéecomment me passer de sexe d'homme ?

Image associéeBISEXUELS >APRES SA LIAISON AVEC VERLAINE RIMBAUD NE SE RECONNAISSAIT PAS HOMOSEXUEL

 

Et là, je ne sais pas ce qui s’est passé. Je jure que Benoît n’est pas pédé et moi non plus. Mais il s’est collé contre moi et ça m'a fait bander.

Je ne suis pas homosexuel, même si je n’ai rien contre. J’ai des copains qui sont pédés. Je m’entends bien avec eux, même s’il n’y a jamais rien eu entre eux et moi. J’ai déjà eu l’occasion de lire des revues Gay chez l’un d’eux, mais je dois avouer que cela ne m’a pas excité. Moi, je n’aime que les filles. C’est du moins ce que je croyais.

Il y a quelques mois, Benoît, un ancien copain de fac, m’a téléphoné. Il avait largué la Sorbonne et plaqué sa copine pour se mettre au vert dans un village paumé de la Drôme. À la fin de la conversation, je lui ai dit que Paris me déprimait. Les sorties en boîtes sont chères et les filles qu’on lève ne sont pas toujours terribles. Il m’a proposé de venir passer quelques jours chez lui en me disant que la campagne me ferait du bien.

Lorsqu'il est venu me chercher en voiture à la gare, j’ai vu qu’il était en pleine forme. Nous avons commencé à nous raconter nos derniers mois. Il m’a appris qu’il vivait depuis peu avec une fille qui avait un gamin. Il avait l’air assez accro, à l’entendre. J’ai pensé qu’il était casé et ça m’a foutu un peu la déprime. Un peu jaloux, peut-être. Benoît est un beau mâle, bien foutu. On a fait pas mal de natation ensemble et, à le regarder, on comprend tout de suite pourquoi il n’a jamais eu de mal à se dénicher des gonzesses. Les épaules carrées, le torse glabre, la taille fine, les cuisses musclées. Un très beau mec. Avec son air de ne jamais y toucher, je l’ai vu emballer en trente secondes. À baver de jalousie! Je n’ai pas autant de succès avec les filles. Lorsque je suis seul, je me branle en pensant à une bouche qui me suce la verge. J’imagine les lèvres humides, la langue qui lèche le gland. C’est bon et j’éjacule. Benoît m’a présenté à sa femme et nous sommes partis, lui et moi pour une grande balade dans la campagne. Cela faisait longtemps que je n’étais pas sorti de Paris et l’air était doux, grisant. On se serait presque cru au printemps. On discutait sur la fac, le boulot, d’un peu de tout, on se racontait nos souvenirs, surtout. J’avais du mal à croire qu’il était heureux dans ce trou perdu, même si c’était superbe. L’hiver, ça devait être dur. Benoît avait trouvé du travail dans une ferme et ça l’avait encore un peu plus musclé.

On est arrivés près d’un petit cours d’eau. Il faisait trop froid pour se baigner mais ça nous disait bien de faire les cons, tous les deux, comme lorsqu’on faisait nos études. On s’est mis en slip, et on a eu froid. On grelottait déjà avant d’entrer dans l’eau. L’eau était glaciale, bien sûr, et nous ne nous sommes pas baignés. Nous nous sommes contentés de nous mouiller jusqu’aux genoux et de nous éclabousser un peu. Finalement, j’ai glissé sur des rivulaires et je me suis retrouvé le cul dans l’eau. On rigolait comme des cons en claquant des dents. Benoît n'est jamais à court d’idées, et il a proposé de faire un feu pour faire sécher mon slip, on a joué au Robinson. On s’est couru après en poussant des cris de guerre. Benoît m’avait assuré qu’il ne venait jamais personne. J’ai enlevé mon slip et remis mon jean en le laissant ouvert, parce que j’avais peur de me coincer la peau de la queue ou les poils des couilles dans la fermeture-éclair. On a réussi à allumer le feu et on s’est serrés l’un contre l’autre pour se réchauffer un peu.

Et là, je ne sais pas ce qui s’est passé. Je jure que Benoît n’est pas pédé et moi non plus. Mais il s’est collé contre moi et ça m'a fait bander. J’en ai été le premier surpris. J'ai pensé que c’était juste sa chaleur, et j’ai fait comme si rien ne se passait. Mais Benoît avait vu que je bandais, et je crois qu’il fut surpris également. Il m’a dit: «T’as envie de te branler?» J'ai fait non avec la tête, puis je lui ai dit que je ne savais pas ce qui m’arrivait, que ça allait passer. Benoît m’a dit: «Si tu penses à une meuf, dis-moi laquelle, parce que vu comme tu bandes, elle doit être canon!» Mais je ne pensais pas à une meuf et j’étais troublé. Il commençait à faire nuit. Nous étions tous les deux seuls au bord d'un feu. On entendait des bruits tranquilles, de grenouilles ou d’oiseaux. Je me sentais flotter, j’avais envie de me laisser aller. Je l’ai dit à Benoît. Et il m’a dit que ça lui arrivait aussi, ce genre de sensation, quand il était seul dans la campagne. Il m'a dit qu’il aimait se masturber tout seul le soir au bord de l’eau. Il semblait fasciné par ma verge qui ne débandait pas. Il a eu un long moment silencieux, et la nature sembla peu à peu se taire aussi. Je n’ai pas été surpris lorsque la main de Benoît est venue se poser sur ma verge. À un autre moment, dans un autre lieu, j’aurais gueulé. Je crois qu’il n’aurait surtout jamais osé faire un tel geste. Même encore maintenant, quand j’y repense, je me demande ce qui a pu se passer pour qu’on se déconnecte à ce point tous les deux. Il a posé sa main sur ma verge et le contact m’a électrisé. J’ai tout de suite désiré qu’il la laisse et qu’il me caresse. C’était un désir déroutant, j’avais l’impression de ne plus être moi-même, ou bien de découvrir une autre personne à ma place. Benoît aussi semblait soudain différent. Il était grave. Il s’est peu à peu couché sur moi, et je sentis sur mon corps le poids du sien, ses muscles durs, son torse plat. Il m’écrasait un peu et cette sensation n’était pas désagréable. Il me branlait avec vigueur. J'avais fermé les yeux. De toutes façons, on ne voyait plus grand-chose. Je sentais son souffle près de mon visage, chaud, viril. C’était enivrant. Je n’ai pas résisté à l’envie de poser mes lèvres sur les siennes. Il les a ouvertes très doucement et nos langues se sont entremêlées. On s’est embrassés un moment comme ça, mais de plus en plus fougueusement. Je sentais que j'allais jouir et je n’avais pas envie que ça s’arrête. J’ai repoussé sa main et j’ai pris sa verge entre mes doigts pour la branler. Je n’ai jamais branlé un homme de ma jusqu’à ce qu’il jouisse. Il m’a joui dans la main. C’était chaud, âcre. Cela a réactivé mon désir. Ma verge ne débandait pas. J’ai une envie folle d’aller plus loin. Je ne sais pas comment j’ai réussi à le dire à Benoît. Il semblait, lui aussi, prêt à aller plus loin. J’ai sorti une capote de la poche de mon pantalon, comme j’ai l’habitude de faire quand je couche avec une fille, et je me suis senti con. Je ne savais pas vraiment si c’était utile avec un mec comme Benoît. J’ai mis ma capote; finalement c’était un geste qui me rassurait. J’avais un peu la trouille de ce qui allait se passer. C’est Benoît qui a pris les choses en main. Il s’est mis à quatre pattes et ma verge s’est glissée entre ses fesses, jusqu’à la rosette. J’ai fait doucement, comme lorsque j’encule une fille. J’ai sodomisé mon copain tellement doucement qu’il m’a avoué ensuite qu’il n’avait même pas eu mal. J’ai augmenté petit à petit les cadences. De sentir Benoît gémir sous mon poids me donna envie de jouir. Et au moment de tout lâcher, je me suis vu au bord de cette rivière, dans l’herbe, en train d’enculer mon copain. J’ai eu le temps de penser: «C’est pas possible!» Et j’ai joui!

Après on a repris peu à peu nos esprits. Il y avait un peu de lune et nous nous regardâmes en silhouette. Nous nous sommes embrassés encore une fois, nous nous sommes dit quelques mots et puis Benoît a dit qu’il fallait rentrer afin que Camille ne s’inquiète pas. On est revenus comme deux copains, comme s’il ne s’était rien passé entre nous. D’ailleurs, on n’en a pas reparlé ensuite. Juste au moment de se quitter sur le quai de la gare, Benoît m’a demandé si je regrettais ce qui s’était passé au bord de la rivière. Je lui ai dit que non, mais que je ne savais vraiment pas ce qui s’était passé. Il m’a avoué que lui non plus, il n’a pas compris, et qu’il ne comprenait toujours pas mais qu’il ne regrettait pas non plus. Ensuite, mon train est arrivé et je suis rentré à Paris. C’est sûr que nous avons fait l’amour comme deux homosexuels, même si nous n’en sommes pas. Quoique... Mais cette histoire m’a rendu perplexe. Maintenant, je me dis que personne n’est à l’abri d’une histoire comme la mienne et c’est tant mieux. Olivier, un bon copain pédé à qui j’ai plus ou moins raconté l’histoire m’a conseillé de vous l’écrire. Chose faite.

Fred, 24 ans...à l'époque...

 

 

 

 

Relire Verlaine

[...]- Te souvient-il de notre extase ancienne?
- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne?

- Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom?
Toujours vois-tu mon âme en rêve? - Non.

Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignions nos bouches ! - C'est possible.

- Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !
- L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.

Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Et la nuit seule entendit leurs paroles. (Colloque Sentimental) 

Nevermore

(attention j'ai changé elle en" il" et seule en "seul "une seule fois)

Souvenir, souvenir, que me veux-tu ? L'automne
Faisait voler la grive à travers l'air atone,
Et le soleil dardait un rayon monotone
Sur le bois jaunissant où la bise détone.

Nous étions seul à seul et marchions en rêvant,
Lui et moi, les cheveux et la pensée au vent.
Soudain, tournant vers moi son regard émouvant
" Quel fut ton plus beau jour? " fit sa voix d'or vivant,

Sa voix douce et sonore, au frais timbre angélique.
Un sourire discret lui donna la réplique,
Et je baisai sa main blanche, dévotement.

- Ah ! les premières fleurs, qu'elles sont parfumées !
Et qu'il bruit avec un murmure charmant
Le premier oui qui sort de lèvres bien-aimées !

 

Un trio pourrait donner une solution à bien des problèmes : mais je n'arrive pas à m'y résoudre

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et séduction et consommation d'un homme seul à seul  

Image associéeme sont indispensables

JE M'EXPRIME CLAIREMENT QUAND JE SUIS AVEC UN HOMME:  

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Par FRED - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 1 janvier 1 01 /01 /Jan 18:08

      cavaillongay paraît dans ta recherche google tape son nom et tu verras Tu veux l'enculer et tu as fait plein d'erreurs  et la preuve c'est qu'il garde son visage tendu presque jusqu'au bout, tu lui as laissé tout le soin de la préparation (lube, dilatation progressive), tu n'as pas eu le souci de le branler, le sucer, lui faire des langues fourrées, lui caresser tout le corps, et surtout lui titiller l'anneau en même temps et tout le temps des "préliminaires" !   Il est magnifique dans la baise et tu le gâches par ton manque de formation. 

                                                                                                                                                                                                                                           
                                                                                                                                                                                                                 

 

Trop tard : C'en est fini de tes  tentatives infructueuses de rapports sexuels parce que ton partenaire a eu peur que ça fasse mal.
Je vais te montrer des techniques peu connues qui permettront à ton partenaire de ressentir l'extase de l'infiltration dans son fondement sans ressentir rien de la douleur qu'il redoutait ou associait à l'idée de se laisser pénétrer.

Je vais aussi te montrer comment sucer sa bite pour qu'il oublie pendant ce temps que tu le baises.

Commençons par l'aider à se concentrer sur le désir, plutôt que la peur de ta dure bite comme c'est trop souvent le cas dans de pareilles circonstances.

Tout d'abord, il faut que tu le chauffes tellement pour amener son corps à souffrir et s'impatienter que ta dure queue  soit à l'intérieur de ses chairs.

DOULEURS SOUHAITEES. ça va faire mal, mais je suis impatient que tu me fasses mal,  comme une femme au seuil de l'accouchement! Mais, de ce point de vue, il sera déçu : il n'aura pas le mal qu'il redoute !      

 

Si tu as réussi qu'il te désire comme un fou, alors c'est toutes seules que ses jambes vont commencer à se séparer et son sphincter va commencer à frémir d'impatience en anticipant le plaisir, même au prix de la douleur.

    Il te veut tellement que son corps va avaler ta bite goulûment.

L'amener à ce niveau de désir est en fait assez facile si je t'apprends comment le faire.
 

 

Travailler son désir de ta queue ne peut pas signifier la planter en lui violemment et "à sec".

    Taquine-le de ton érection insistante, en lui laissant sentir la chaleur de ta dureté entre ses jambes ainsi que sur mais pas dans son anus.

Cela signifie prendre le dessus et l'embrasser passionnément afin qu'il puisse ressentir en avance l'excitation d'être sous la domination de ton membre viril. 
 

Tu vois : on n'est même pas dévêtus ! (pas encore ! ) 

 

 

1. D'abord, chevauche-le, couche-toi sur lui. La meilleure façon de faire naître la "soumission" chez quelqu'un c'est de le laisser expérimenter le pouvoir de ton corps, ta puissance.

2. Être au-dessus de lui le fait se sentir en sécurité et désiré.

3. Fais-lui doucement sentir ta chaleur, sentir votre odeur corporelle et ressentir la dureté de ton érection.

4. Mets maintenant du lubrifiant dans ses mains, place-les jointes  sur son cul et enfonce doucement ton pénis entre ses mains comme s'il s'agissait de son anus et recommence le geste pour lui donner une envie irrépressible.
 

 

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Il sentira comme ta queue glisse doucement entre ses mains et il aura envie de te serrer. Il sentira ta force et ta fermeté et les imaginera en lui. 

 

Le taquiner : faire comme si tu renonçais ou te retirais

Ensuite vient le frottage intense . [sexe non pénétrant]

5. Pendant que tu es couché sur lui, sépare lentement ses cuisses avec ton genou

6. Prends sa main et mets-la sur ta fiévreuse érection. Fais-lui sentir la force et la puissance de ton irrésistible virilité.

7. Maintenant, place lentement ta bite entre ses jambes et fais-la danser sur et autour de son anus et sous ses testicules (son périnée sur lequel elle butte constamment).

8. Fais maintenant aller et venir ta verge vers l'intérieur et vers l'extérieur et vers l'avant et vers l'arrière dans un mouvement d'ondulation. 
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9. Joue avec différents angles et positions de frottage, en t'assurant de temps en temps qu'il maintient sa main sur ton érection pour augmenter son désir et le tien. Vous êtes maintenant unis dans la même fièvre et la tension en toi est au top. Lui n'imagine pas, pour ta bite, une autre place que dans son cul !

10. Il est maintenant temps de mettre du lubrifiant sur tes doigts et d'explorer ses fesses.

   
11. Il est impératif que tu commences lentement et avec sensibilité ta pénétration. Et amuse-toi de ses appels, de ses soupirs et vagissements de bébé. Vous entrez doucement sur le chemin de l'extase commune, mais toi tu dois veiller encore sur son désir de ta verge.

 

 

12. Caresse la surface de l'anus lentement, titille ! Ne te contente pas d'insérer une phalange de l'index ou du majeur et ne te fixe pas comme comme si tu allais le baiser avec un doigt.

13. Insére ton doigt lentement. Ai-je dit lentement? Parce que je voulais dire L-E-N-T-E-M-E-N-T
-lol-

14. Quand il s'agit de te le mettre au cul, une pénétration d'1 cm peut se ressentir comme un décimètre !. Assure-toi de jouer avec son pénis afin qu'il associe l'insertion de ton doigt avec la notion de plaisir. Encore une fois, ne pas le baiser avec des va et vient du doigt dedans et dehors. En fait, une fois que le doigt est dedans ne le déplace plus et continue à jouer avec le gland de son pénis.

    la confiance de son sphincter ça se construit !

15. serre mon doigt avec ton cul tu veux bien ? Une fois que ton doigt est confortablement installé, demande-lui de serrer son sphincter aussi longtemps qu'il le peut (il ne pourra pas le faire pendant plus de 20 à 30 secondes). Suis-moi bien car il y a de bonnes raisons de faire ça.

C'est aussi le bon moment pour te mettre à le sucer.

 

 

 

 

16. Garde ton doigt à l'intérieur de son conduit pendant que tu suces sa bite. Sans qu'il s'en doute, tu l'entraînes à détendre son sphincter. Et si, en jouant, tu peux l'amener à serrer ton doigt (il ne pourra serrer qu'environ30 secondes) c'est gagné pour détendre son sphincter juste avant que ton sexe l'investisse

17. Lorsque le sphincter se détend involontairement, c'est le moment où tu le pénètreras.

18. Pendant que tu le suces tu peux aussi insérer un appareil de massage de la prostate.  C'est génial surtout s' il est coudé pour localiser et masser sa prostate.  C'est toujours bon de garder à proximité sur le lit ou la table de nuit un bon "copain" de baise pour chauffer le trou.
   
Vois-tu où je veux en venir avec ça?
La clé est de garder son sphincter détendu au moment où tu entres avec ta bite.

19. Maintenant que tu es prêt, vas-y et bouffe-lui le cul pendant environ 15 minutes. Ou passe à l'étape suivante.

20. Ensuite, tu vas tranquillement mettre la tête de ton pénis en érection, mais bien à l'extérieur de son anus. Il ne devrait pas y avoir d'espace entre l'ouverture du sphincter et la tête de ton pénis.

21. Une fois que ta bite est bien calée contre son anus, demande à ton partenaire de forcer pour ouvrir son trou aussi fort qu'il le peut aussi longtemps qu'il le peut.

Et là on arrive au but : son cul avale ta queue. Oui, c'est ce qui va se passer et ce ne sera que du plaisir pour tous les deux.
 

 

22. tu seras en mesure de dire quand il commence à se détendre involontairement par le regard sur son visage.

23.  Son corps mendie maintenant l'arrivée de ta bite..

24. tu remarqueras à quel point il est facile et indolore de le prendre. la douleur absente il ne reste que le plaisir.

25. Maintenant, remarque bien ce qui vient de se passer: tu entres au moment où son sphincter est le plus détendu. Tu as utilisé la physique et la physiologie pour créer un moment idéal pour la pénétration.
 

    Image associée

 

     par ses gémissements et ses ondulations il mendie ton sexe et l'aspire avec son cul    

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hollywoodguy55

 

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Par ALTERSEX - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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