Lundi 1 janvier 1 01 /01 /Jan 07:32

ET+ SI AFFINITES lol ! Résultat de recherche d'images pour "bonne anne sans limites"

 

J'AI PRIS UNE BROUETTE & CA VA PAS SUFFIRE !

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PARCE QU'IL EN FAIT DES TONNES !

N'aie pas peur petit !

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L'AMOUR A PLUSIEURS CA NE DOIT PAS NOUS FAIRE PEUR !

 

RECULE TES LIMITES !

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FAIS VOIR TON CUL  DTC DONNE TON CANARD....

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Par claudio - Publié dans : AMOURS & VIE DU BLOG - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 1 janvier 1 01 /01 /Jan 06:25

  Ma nature ? je ne sais pas ce qu'elle aurait été si mes parents n'avaient pas travaillé en Afrique....  

Ce matin-là, j’étais endormi profondément lorsque je sentis soudain une main chaude se poser sur mon épaule puis descendre doucement sur mon dos. Lorsqu’elle atteignit le bas de mes reins, elle hésita, puis se glissa dans mon caleçon de nuit. Un doigt commença a suivre la raie de mes fesses et vint rapidement effleurer mon jeune trou. Toujours en demi sommeil, je n’arrivais pas à comprendre ce qui se passait alors même que le doigt tentait de s’introduire dans mon rectum. Il y parvint sans difficulté rejoint aussitôt par un second. Mon anus acceptait cette pénétration et le plaisir inondait mon ventre d’une douce chaleur. Cette fois complétement éveillé, je regardais qui était en train de me doigter avec autant de dextérité mais je fus déçu de constaterque ce n'était pas Alou, mais qu’il s’agissait de Louis :

— Alors Willy ? Toujours aussi chaude du cul même au réveil à ce que je sens !

Il enfonça ses doigts bien profonds me faisant pousser un gémissement que j’essayais d’étouffer dans mon coussin. Le garde du corps s’approcha au plus près de mon oreille pour me murmurer :

— Tes parents sont à coté, et toi, tu te fais doigter le cul par un ivoirien et t’aimes ca !

— Hummm ! ouiiii !

— J’appartiens déjà à un autre homme..

— Oui, c'est Alou, je le sais, ettu veux lui être fidèle ?

— Oui désolé…

— C’est bien Willy, tu es un bon garçon et il a bien de la chance mais tu devrais essayer une fois avec moi… pour être sûr de ton choix.

 Louis me regarda droit dans les yeux puis me dit :

— J’ai pensé a ton cul toute la nuit, et tu me l'offriras j’en suis sur très bientôt !

Dans cette ambiance il me fallut me mettre à mesdevoirs du lycée. Je ne croisai Louis qu’une fois qui me sourit en portant sa main à son entrejambe. Je ne portais pas attention au geste provocateur de l’agent de sécurité et passai mon chemin. Mes parents décidèrent d’aller faire un tour à la plage l’après-midi : Louis dut donc nous protéger de loin pendant que nous nous détendions dans la mer et je m’amusais d’autant plus qu’il devait bouillir d’envie en me voyant si peu vêtu.

J’en profitais pour regarder rapidement les autres hommes allongés sur le sable ou dans l’eau avec un œil différent, celui du garçon qui a connu le sexe pour la 1ere fois Il y avait 2 jours. Beaucoup étaient grands, certains costauds d’autres fins, des poilus, des imberbes…et de couleur variant du chocolat au lait au presque noir bleuté. Mon regard avait tendance à se porter sur les entrejambes de ces messieurs qui pour la plupart semblaient bien pourvus…

Un homme d’une quarantaine d’année, crâne rasé, aussi noir qu’Alou, bien bâti, attirait particulièrement mon attention : son slip de bain présentait une énorme bosse qui m’impressionnait fortement. Le grand black du s’apercevoir de mon trouble car il vint se mettre à l’eau juste à côté de moi et profita que nous étions seuls pour me parler

— Salut petit ! Tu es venu avec tes parents ici ?

— Oui c’est ca, c’est la 1ere fois qu’on vient sur cette plage.

— Oh et ca te plaît ?

— Beaucoup, la mer est chaude c’est agréable.

— Y a d’autres choses qui sont chaudes et agréables…

Il se positionna dos à la plage et baissa le devant de son maillot de bain exhibant ainsi un sexe gros, poilu, très veiné et circoncis. Personne ne pouvait le voir mis à part moi, et il passa sa main tranquillement dessus, se caressant pour faire bander son membre viril. Il atteignit rapidement la taille d’environ 21-22cm de longueur mais aussi épais qu’une canette de 25cl de coca, un vrai gourdin ! J’avais les yeux qui ne pouvaient plus se détacher de cette vision, et l’ivoirien continua sa masturbation sous l’eau pour éviter d’être surpris tout en me regardant d’un air vicieux.  Le quadragénaire accéléra son mouvement et dans un grognement se colla à ma cuisse pour expulser plusieurs jets chauds de sperme dans ma direction. Personne n’avait rien vu et il remit son maillot comme si rien n’avait eu lieu.

— Moi c’est Boubacar, désolé j’étais excité par ton regard… tu as aimé ?

— Oui… c’était bizarre, je m’appelle Willy.

— J’ai toujours voulu essayer de faire l’amour avec un jeune garçon blanc, tu dois me prendre pour un pervers mais quand j’ai vu que tu regardais mon paquet…j’ai cru que tu en voulais.

— Je voulais voir oui… j’avoue

— Oh Willy ! Tu me rassures…essaye de venir seul la prochaine fois, je suis la tous les dimanches et je te promets de bien te faire l’amour ok ? Tu l'as déjà fait ? Excuse-moi, tu as déjà dû constater qu'ici au Sénégal quand on veut une fille ou un garçon on est directs. 

— .....

— Je vois... tu devrais essayer une fois avec moi… pour être sûr de ton choix.

— … je ne dis pas non, on verra.

— Allez je te laisse mais réfléchis bien, je sais bien faire l’amour aux femmes, je ferai pareil avec toi. Tu sais ou me trouver.. à bientôt j’espère.

Drôle d’expérience qui me fit comprendre que j’attirais comme un aimant les hommes africains et qu’il fallait faire attention car le moindre regard ou geste pouvait déclencher chez eux une pulsion sexuelle animale.

Mes parents me firent signe de revenir car il fallait rentrer à la maison, et en sortant de l’eau je passais à coté de Boubacar qui me sourit en se tâtant le paquet vulgairement ( décidément ils ont tous la même attitude me dis-je intérieurement ).

Dimanche la matinée fut consacrée à mes devoirs scolaires dans ma chambre sans interruption. Une fois terminés, je demandai à ma mère s’il était possible d’aller à la plage après le repas. Elle m’accorda sa permission mais que cette fois j’irais seul avec Lucien comme accompagnateur, le garde du corps du dimanche.Arrivant à la plage, il me proposa de m’accorder 2h seul car il ne voulait pas me « gêner » pour draguer les jolies filles. Je le remerciai de cette attention et lui promis de revenir dans le temps donné.  

Assis face à la mer je ne vis pas l’individu qui s’approchait de moi

— Alors petit Willy t’es venu seul cette fois ?

— Oh Boubacar… je t’avais pas vu…dis-je en sursautant

Excussez-moi ! ... Il s’assit à côté de moi comme si de rien était, puis en plongeant ses yeux au fond des miens :

— Si tu es là seul c’est que tu as réfléchi à ce que je t’ai di non ?

— Pas vraiment non..

— Oh si, et je vais te faire l’amour si bien que tu reviendras encore et encore !

Sa main se posa sur le haut de ma cuisse, puis remonta doucement vers mon maillot de bain. Le grand black regardait de droite à gauche pour voir si quelqu’un se rendait compte de la situation tout en glissant 2 doigts sous le tissu qui se tendait de plus en plus. Difficile de dire non, lorsque son corps hurle un oui…… surtout qu’avec les caresses j’avais une vue imprenable sur l’entrejambe de l’ivoirien qui lui aussi prenait des formes imposantes. Voyant que je ne cherchais pas à fuir, Boubacar continua son exploration dans mon maillot de bain, tâtant de ses doigts épais mon sexe, puis mes couilles lisses.

— Huuum t’es doux comme un agneau…tu as quel âge dis moi petit Willy ?

— Juste 16 ans..

— Et tu n’as aucun poil nulle part ?

— Pas de poil c’est gênant je trouve.

— Au contraire, ca me plait beaucoup et j’ai hâte de pouvoir regarder. Tu vois la cabane la bas à 400 mètres ?

— Oui

— Et bien tu vas m’y rejoindre dans 5 minutes ok ?

— Mais je….

— Y a pas de mais ! Tu es venu seul, c’est que tu avais envie de te faire faire l’amour par moi ! Tu m’as chauffé maintenant faut assumer petit Willy !!

Le ton était autoritaire, sans être menaçant et son regard dur en aurait effrayé plus d'un. Intérieurement je m'étonnais à la fois de ma docilité et de ma témérité à continuer avec un homme comme lui. Sans la présence de mon garde du corps j'étais conscient de braver des dangers bien réels. Il se leva, fier et se dirigea vers sa serviette, en faisant rouler tous ses muscles. Il remballa tranquillement ses affaires et se dirigea vers le lieu indiqué sans que personne ne se doute qu'il m'avait subjugué pendant les 3 minutes ou il m’avait parlé et caressé. 

Dans la cabane de pêcheurs, l’odeur était difficile à supporter, mélange de poissons pourris et de saletés en tout genre. Pas un endroit pour faire l’amour mais pour niquer pensai-je alors. Un claquement sec me fit sortir de mes pensées et soudain je vis que Boubacar avait verrouillé le lieu avec un taquet.

— J’étais sûr que tu viendrais ! Tu vas pas regretter crois moi ! 

Je remarquais qu’en prononçant ces paroles il avait déjà enlevé son t-shirt, me permettant de regarder en détail son torse viril, pectoraux gonflés sans poil et abdominaux bien dessinés. Du nombril partait une ligne de poils drus qui formait un losange que je savais bien fournis mais encore couvert par son maillot. Son physique était proche de celui d’Alou, mon initiateur. Dans les plus de 100 kilos mais les cicatrices en moins ce qui devait lui permettre d’avoir toutes les femmes qu’il voulait sans difficulté. Il approcha de moi et me saisit d’un geste ferme par la nuque, puis colla ses lèvres sur les miennes, sa langue s’infiltrant aussitôt dans ma bouche caressant la mienne et jouant avec.

Ses mains pendant ce temps glissèrent dans mon dos puis sur mes fesses passant sous l’élastique de mon slip de bain pour les palper sans retenue. J’étouffais a moitié cherchant ma respiration pendant qu’il m’aspirait la bouche et j’essayais de me décoller de lui mais au lieu de relâcher son étreinte, il ressorti ses mains pour m’enserrer la taille me prenant au piège. Je me rendis compte à cet instant précis que j’avais fait une belle erreur en entrant dans ce lieu et que maintenant mon sort était lié au bon vouloir de cet homme. J’avais donc intérêt à montrer que je le voulais et lui obéir.

Sentant que ma résistance diminuait, l’ivoirien reprit ses explorations dans mon slip et pour faciliter sa tache il défit d’un geste le lacet du maillot qui m’enserrait la taille. Il était assez brutal et me pinçait les fessiers plus qu’il ne me les caressait mais mon sexe bizarrement, lui, coulait d’excitation. Au bout de 2 minutes il baissa le bout de tissu couvrant mon intimité, libérant ainsi ma verge qui vint frapper mon bas ventre. Boubacar me demanda alors de me mettre au centre de la pièce pour pouvoir m’admirer et j’obéis docilement.

— Wow Willy, tu as un très joli sexe pour un petit blanc ! Et ton cul, huuum, je vais le manger comme un beau fruit juteux! Mais avant ca…

Le grand black tira sur son maillot de bain qui tomba par terre me permettant de voir l’objet qui m’avait poussé à entrer dans la cabane. Le long serpent noir et circoncis était toujours aussi épais et impressionnant. La mouille qu’il avait l’air de produire de manière abondante coulait déjà à terre et naturellement je me mis à genoux devant pour y goûter. Il laissa donc perler le liquide sur mes lèvres tout en caressant mes cheveux.

Puis il présenta son gland en forme de champignon devant ma bouche et je l’avalai goulument.

La forme de champignon est un réel avantage pour les partenaires je n'ai pu que le constater...Pour l'heure, je dus bien écarter les mâchoires, au vu du gourdin qu’il poussa au plus profond de ma gorge. Le goût était puissant mais loin d’être désagréable et je tétais l’énorme membre rythmé par les coups de reins de l’africain. J'en avais plein la bouche bien sûr et ma langue cherchait tout le temps à parcourir l'énorme et exceptionnel sillon sous la couronne de son gland.   Ma salive coulait sur ses couilles et ses cuisses, j’arrivais à peine à reprendre ma respiration à chaque fois qu’il retirait sa queue pour la renfoncer ensuite dans ma gorge. J'imaginais sans peine l'effet de piston de pompe à bicyclette qu'un tel engin devait faire dans un cul. D’un coup il arrêta et me fit relever.

Boubacar s’agenouilla et commença à me lécher le ventre puis le bas ventre ce qui me fit frissonner de plaisir. La langue agile continua son parcours vers mon sexe mais l’évita au dernier moment pour aller se poser sur mes couilles et les caresser. Aux anges, mon gland lâchait un flot de mouille continue qui tombait sur le crane du quadragénaire. J’avais pour la 1ere fois un homme qui s’occupait de mon sexe et j’espérais secrètement qu’il irait plus loin et me sucerait. Mais au lieu de cela, de peur de me faire jouir prématurément,  il me retourna et je dus me pencher en avant à demi allongé sur la table de fortune lui présentant ainsi mes fesses qu’il écarta pour découvrir mon anus imberbe. Aussitôt sa langue explora mon jeune trou encouragée par mes gémissements. Pétrissant mes fesses assez fortement, l’action de sa bouche sur l’entrée de mon fondement commença à porter ses fruits, sa puissante et ferme langue me dilatant doucement.

D’un coup je sentis 2 doigts s’enfoncer directement me faisant pousser un petit cri de douleur et de surprise. Fouillant mon rectum, Boubacar continua à utiliser sa langue en faisant des allers retours à l’aide de ses gros doigts. Complètement ouvert à cet homme, je n’arrivais pas à me retenir de gémir et ce dernier devait intérieurement se dire qu’il m’avait totalement soumis à sa puissance. Il m’allongea sur le dos et debout devant moi entre mes cuisses me dit

— Maintenant tu vas enfin comprendre ce que c’est un homme !

Son sexe gros comme un boudin, trempé, était effrayant et lorsqu’il le saisit pour coller le gland à l’entrée de mon ventre je me dis que j’allais souffrir. En un seul coup de rein il me déchira, se plantant jusqu’aux couilles en 3 secondes m’arrachant un hurlement qu’il étouffa en mettant sa main devant ma bouche. Brutalement il utilisa toute sa force pour labourer mon jeune trou qui, bien qu’habitué au membre d’Alou souffrait de l’extraordinaire épaisseur du serpent de cet ivoirien. Sortant et entrant complètement , le male africain m’insultait, me traitant de « salope » « pute blanche »…

Loin de me déplaire, j’appréciais cette « baise » regardant cette bête ruisselante de sueur besogner dans mon ventre, pensant à la couronne débordante de son vit qui allait et venait , chair contre chair, faisant monter son plaisir comme le mien. Se retirant de moi après quelques minutes, il me jeta à terre à 4 pattes pour à nouveau se replanter dans mes fesses et continuer dans la poussière de ce lieu à me pistonner. Je couinais tellement fort que j’avais l’impression que la plage entière pouvait entendre ma jouissance. Son souffle chaud dans ma nuque et ses grognements complétaient le tableau d’un monstre à 2 dos et 2 têtes. Tapant fort contre ma prostate, mon grand black me déclencha une première éjaculation qui se répandit sur le sol en 4 jets blancs abondants.

Mes contractions anales lui firent comprendre qu’il avait touché au but mais au lieu de ralentir pour me permettre de souffler, son pistonnage augmenta en cadence, me brûlant presque l’anus à cause de sa vitesse. D’un geste brusque il s’écroula sur mon dos m’obligeant à m’allonger dans la terre poussiéreuse, lui écartant mes cuisses au maximum pour continuer à bien lui permettre d’amples mouvements de bassin. La poussière et la terre se collaient à notre peau ruisselante de sueur nous faisant ressembler de plus en plus à 2 animaux en plein coït.

Ses plus de 100 kilos m’écrasaient contre le sol, et il ne cherchait pas à savoir s’il me faisait souffrir. Boubacar ne pensait plus qu’à son plaisir et dans un grognement déversa dans mes entrailles d’adolescent son jus de male africain. M’ayant ainsi fécondé, il resta planté en moi quelques secondes puis se retira lentement. Lorsque le dernier centimètre de son serpent fut sorti, je sentis le trop-plein de sperme s’échapper de mon anus béant, signe que l’ivoirien avait dû bien me remplir. Il se mit debout et présenta son sexe souillé à mes lèvres qui s’ouvrirent pour laisser s’introduire le membre encore bien épais. Je pompais les dernières gouttes de sperme avec avidité, nettoyant du mieux que je pouvais ce sexe en forme de champignon qui m’avait tant fait jouir.

— Alors petit Willy ? Je vois que tu as aimé ma grosse queue hein ?

— …

— Pas de réponse c’est que oui ! Tu as jouis lorsque je te baisais, j’ai bien senti ton anus battre et palpiter,  non ?

— Oui c’est vrai…mais je ne crois pas apprécier la brutalité. On aurait autant joui tous les deux si tu avais été plus doux.

— En tout cas, j’ai adoré lâcher ma jute dans ton petit cul de gamin blanc! Un fantasme que j'avais depuis très longtemps et que tu m'as permis de réaliser !

Alors qu’il disait ça, il prit tranquillement sa serviette et s’essuya le corps et le sexe. Puis il s’habilla alors même que je n’avais pas encore bougé. J’étais comme pétrifié, des douleurs dans tous les membres et surtout à l’anus m’empêchant de réagir. Boubacar prit alors sa serviette et commença lui-même à effacer sur moi les traces de nos ébats. Péniblement je remis mon maillot puis mon short alors que l’ivoirien m’attendait à la porte.

— On peut pas sortir ensemble Willy, si jamais y a quelqu’un qui nous voit..

— Oui je comprends

— Mais dimanche prochain, je serais ravi d’à nouveau visiter cette cabane avec toi !

Il sortit en me balançant un dernier sourire de mâle satisfait et j’attendis quelques minutes avant de faire de même et retourner vers la voiture de mon garde du corps. Ce dernier m’attendait déjà depuis 10 minutes et s’inquiétait :

— Willy tu es en retard !

— Désolé j’ai pas vu l’heure..

— Lucien me regarda bizarrement mais démarra le véhicule qui nous reconduisit sans incident à la maison.¤


FRESQUE :  :

Embout de ramonage :

 

Parfait en tous points :

 

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huntr21: Me in my Clever underwear! Well sort of

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  Image associée  gros glands, moi ça me fait flasher...

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ORRRME !

Le champignon

 

 

 

Ce type de pénis possède un embout très développé de la forme d’un champignon de Paris ou d'ailleurs  (mais pas forcément de la couleur marron ou blanche ce qui serait au contraire la manifestation d’une maladie vénérienne rare). Très pratique d’une part pour ouvrir l’appétit anal "La grosse tête" : se caractérise par un gland disproportionné par rapport au reste du corps du pénis. Le gland est gigantesque et la couronne le serre, voire l'étrangle, provoquant l'effet beaucoup plus visible de "la grosse tête

 

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 une flèche d'amour !

 

Par valérian 76 - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 1 janvier 1 01 /01 /Jan 03:21

 CANDAULISME-> "j’aime beaucoup ta femme, elle se donne complètement quand elle vient me voir"je sens que tu es comme elle. Tu aimes te faire enculer et sentir la queue d’un mâle qui te baise.  

 

Le docteur Jacques Waynberg, parrain et doyen de la sexologie française nous fait l’honneur de partager avec nous sa vision du candaulisme sous ses nombreux aspects. Vous pourrez en savoir plus sur ce grand monsieur sur http://sexologies.fr/
Merci beaucoup Jacques pour votre contribution. 

Even though my wife’s lover prefers to cum with all his cock into her pussy, sometimes he does it with just the head inside her so I can have a better view. It is so hot to see his entire cock pulsating as he cums, but the bad side is that a big...

 Même si l'amant de ma femme préfère jouir avec tout son sexe enfoui dans sa chatte, parfois il jouit juste avec le gland dedans afin que je puisse avoir une meilleure vue. Alors une grande partie de son sperme déborde d'elle avant même qu'il n'arrête de jouir. 

RECIT

    "Non, vraiment rien ne me permettait de me douter de quoi que ce soit ! ...
Ces derniers temps, les soirées étaient plutôt monotones, les journées aussi d’ailleurs. Non que le train-train nous engourdissait, mais nous n’étions vraiment pas sur la même longueur d’onde. J’en étais arrivé à avoir plus de relations masculines qu’avec ma chère et tendre.
Lorsque j’abordais le sujet de la "chose", je percevais immédiatement une lassitude, un rejet, une absence d’intérêt. Quand bien même ma femme me comblait de "je t’aime", "je préfère les fantasmes juste avec moi", de compliments déguisés ou déguisant "tu me satisfais largement" ; façon de flatter la bête et l’égo pour mieux éviter le "sujet". Vues nos prouesses récentes, je ne voyais pas ce que j’avais pu satisfaire.
Faisant partie d’associations et de diverses organisations, nous recevions pas mal ces derniers temps, mais elle restait en retrait, me laissant la part belle dans les relations avec nos convives. Je ne suis pourtant pas quelqu’un de très causant et attirant, mais elle faisait tout pour se faire oublier, alors qu’habituellement, c’est elle qui anime et discute avec chacun.
Un après-midi, je rentrai d’une réunion et en arrivant, je vis une voiture garée chez nous. Hérine était à la maison, mais il n’était pas prévu de rendez-vous et, de plus, je ne connaissait pas cette voiture comme appartenant à l’une de nos relations.
Je suis rentré et je trouvais ma femme assise sur le canapé, en pleine conversation, avec un homme, assez proche d’elle et un peu plus âgé que moi ; la soixantaine je dirai. "Ah, nous t’attendions !" me dit-elle, "je te présente mon amant qui voulait faire ta connaissance. Et moi, j’avais envie que tu le connaisses aussi !".
"...." le vide ! Que voulez-que je dise ? !
Même avec mon flegme et la distance que je mettre entre les émotions et mes réactions, je suis resté coi.
"Assieds-toi, tu veux boire quelque chose ?"
"un peu, oui !" dis-je avec une certaine ironie dans le ton.
"Philippe" se présente-t-il.
"Jacques" je réponds.
"Je sais, Hérine me parle souvent de vous. Je connais vos plaisirs et c’est pour cela que je voulais vous rencontrer."
Ma femme me sert un whisky bien tassé, sec et sans glace, comme j’aime et retourne s’assoir quasiment collée contre lui. Ni une, ni deux, il pose passe son bras derrière ses hanches, sa main sur la cuisse de ma femme, et elle, se tourne vers lui et l’embrasse.
Je bois en restant interloqué, je ne sais même pas si je sens le gout du whisky.
Je sais que ça fait partie de mes fantasmes et que j’adore la voir ainsi, mais j’aimerai en savoir un peu plus quand même.
Mais elle continue et je vois que lui y prend plaisir en lui caressant la cuisse, la serrant contre lui et, comme ils sont de profil, je vois leurs langues s’emmêler et se fouiller.
Je suis entre "bander mou" et "du con".
La situation a tout pour me plaire, mais j’ai été pris de court !
Une pointe de jalousie me taraude aussi. Le salaud ! Il a dragué ma femme et il se pointe pour faire connaissance du cocu. Et elle, vas-y que je te fais des compliments et que tu me suffis amplement et que j’ai besoin de rien d’autre que toi. Combien de fois ont-ils baisé comme des castors avant de me faire leur démonstration ?
Néanmoins, je ne peux le nier, la situation m’excite et, ajoutée à la jalousie, provoque un émoi certain dans mon pantalon. (Désolé, je ne mets jamais de slip, j’ai horreur de ça !).
Je vois bien son bras qui la presse contre lui, au point que ses seins sont écrasés contre son pull et son torse. Je me rends compte que sous l’effet du baiser, ses cuisses se sont légèrement ouvertes et qu’elle s’abandonne complètement à cet homme. Il n’a rien de très séduisant, mais il est bien conservé et on sent qu’il s’entretient ; ce qui n’est pas pour me déplaire. Il semble directif et entreprenant, ce que j’aime aussi.
Bon, ils ne vont pas y passer la nuit ? Je veux bien mater et m’exciter progressivement, mais j’aimerais en savoir un peu plus. Hérine a dû le sentir puisqu’elle fait une pause et me dit "je te raconterai plus tard ; tu sais comme je suis, je n’aime pas raconter dans l’action comme un reporter sportif. Et là, j’ai envie de lui et de nous ; tu viens dans la chambre ?"
Je ne peux qu’acquiescer !
Il la prend par la main et l’emmène dans notre lit. Putain, il connait la maison en plus ...
Dès qu’ils sont entrés, elle s’approche de lui et recommence à l’embrasser. Lui la caresse, la touche, empoigne ses fesses, debout juste contre le lit. Il lui dit "occupes-toi de moi !" d’un ton qui ne laisse aucune alternative. Elle le déshabille, lui enlève son pull, sous lequel il ne porte rien, ouvre son pantalon pour le baisser et lui faire passer les pieds. Il est nu ! Comme moi, il ne porte rien dessous.
Son sexe est encore à moitié bandé.
Il me fait signe d’approcher et j’obtempère.
Quand je suis à proximité, il m’attire à lui alors que ma femme est toujours à genoux face à son sexe. "Regardez !" et je vois ma femme qui prend sa verge de la main et l’embouche. "Elle aime beaucoup me sucer comme ça !" et se tournant vers moi, il m’embrasse ! Je sens son haleine d’homme et sa langue s’engouffrer dans ma bouche. Je réponds à son baiser et l’enlace. J’adore cette sensation de sentir un homme, sa peau, son odeur, son désir et j’y réponds instantanément. Je ne me préoccupe plus d’Hérine, mais juste de sa bouche, de son dos, de ses fesses qu’il a fermes, de ses pectoraux où je sens les tétons pointés. Je les caresse, les pince et profite de toutes ses réactions, émotions et vibrations de son corps.
Je reprends mon souffle et regarde Hérine qui s’active sur son sexe, longuement, profondément et avec délicatesse. Je vois maintenant une belle queue, légèrement courbée vers le haut, bien rigide et plus épaisse et longue que la mienne. J’admire et j’aime que ma femme la suce, la lèche et profite, comme moi, des réactions de son corps à nos baisers. Elle qui, habituellement, n’est pas très portée sur la fellation, je la sens y prendre un plaisir souverain.
"Tu en as envie aussi ?" me dit-il.
Tiens, il me tutoie maintenant.
"Oui, mais j’ai encore envie que tu m’embrasses"
"moi aussi, viens !"
On recommence, encore plus sensuellement, en se caressant et quand je lui fais des baisers dans le cou, il en profite pour me dire à l’oreille :
"j’ai envie de vous baiser tous les deux. Que vous soyez à ma disposition et que vous me fassiez jouir plusieurs fois"
"avec plaisir et j’ai très envie de te voir avec Hérine. Tu dois bien connaitre ses points faibles ?"
"Oui, elle est comme toi ! Tu embrasses bien et tu as envie d’être à moi, je le sens"
"Oui, très !"[soufflai-je]
"Suce-moi pendant que je m’occupe d’elle"
Je m’agenouille. Ma femme me regarde, l’air de dire "tu vas voir comme je suis avec lui". Elle guide sa queue vers ma bouche et me dit "suces-le doucement et profondément, il aime ça !". Je prends sa place et elle se relève.
Son sexe me remplit la bouche. Son gland est bien dessiné et large ; je ne peux m’empêcher d’imaginer et de désirer qu’il m’encule. Je l’enfonce progressivement dans ma gorge pour lui faire plaisir et je sens sa main qui appuie sur ma tête pour mieux l’enfoncer. J’étouffe un peu, mais je me sens à lui et je fais ce qu’il aime. Je fais ce que j’aime aussi : sucer et exciter un homme pour qu’il aie envie de moi. Je sens les tressaillements, les mouvements instinctifs de son bassin qui veut baiser ma bouche.
Je les entends s’embrasser. Il l’a déshabillée et je suis à la hauteur de la culotte de ma femme qui a une jambe appuyée contre moi et l’autre, le pied posé sur le lit. Il épouse la forme de sa culotte sur ses lèvres et je vois bien qu’elle est toute mouillée.
"Tu m’as bien sucé. J’ai très envie de te baiser et que ton mari te voit telle que tu es quand tu as envie et que tu viens chez moi pour te faire enfiler comme une petite salope que tu es"
Elle se frotte sur sa main et je l’entends gémir doucement.
"oui, je serai totalement à toi et telle que tu aimes. Tu peux tout me demander."
Il se penche vers moi et me dit :
"Enlèves-lui sa culotte !"
"tu as entendu comme elle aime que je la baise ?"
Je hoche la tête parce que je ne veux pas lâcher sa queue et je descends la culotte de ma femme dont le fond est trempé.
"sens comme elle mouille et comme elle a envie"
Je porte la culotte à mon nez et je sens cette odeur suave et salée qui dénote qu’elle doit couler depuis un bon moment. Je la lèche un peu pour mieux en goûter la saveur. Mais le sexe de Philippe m’attire trop pour que je m’occupe de la culotte de ma femme.
Je regarde ses doigts ouvrir les lèvres de ma femme pour lui fouiller la chatte, faire rouler son clitoris et la pénétrer avec deux puis trois doigts bien épais et gluants de cyprine.
Soudain, il se retire de ma bouche, emporte ma femme sur le lit. Elle s’allonge, cuisses ouvertes, la chatte luisante de mouille.
Il me dit "Lèche-là, je n’aime pas quand elle est trop lubrifiée."
Je m’agenouille, penché sur le lit, pour plonger la tête entre ses cuisses et lécher toute la mouille qui enduit ses lèvres, l’entrée de son vagin et ses cuisses. J’aime la lécher ; j’aime la préparer pour le mâle qui veut la baiser ; j’aime sentir que je l’offre à un homme et qu’elle va lui donner tout ce qu’il veut.
Elle relève les cuisses parce qu’elle sait qu’elle a coulé jusqu’entre ses fesses et qu’il n’aime pas ça. Elle m’offre son cul à lécher, à nettoyer et j’en profite pour l’exciter en la pénétrant légèrement de ma langue.
Pendant que je réalise ce doux nettoyage, il s’est mis derrière moi et il me caresse les fesses, me branle d’une main et me dit comment la lécher.
"elle aime beaucoup quand tu enfonces la langue dans son vagin comme une queue qui va rentrer"
"regarde comme elle écarte les fesses pour que tu lui lèches le cul"
"j’aime beaucoup ta femme, elle se donne complètement quand elle vient me voir"
Et je sens ses doigts qui m’ouvrent les fesses et viennent préparer l’entrée de mon cul.
"je sens que tu es comme elle. Tu aimes te faire enculer et sentir la queue d’un mâle qui te baise. Tu aimes t’offrir à un homme et surtout à celui qui baise ton épouse"
Je ne peux que hocher de la tête.
j’ai envie de lui dire : "baise-moi, j’ai envie de ta queue, d’être ta salope et de sentir la bite qui fait jouir ma femme".
Il est allé prendre le gel dans le tiroir de la commode et une capote qu’il enfile.
"Avec toi, je vais mettre une capote comme pour une pute. Tu seras ma pute et j’ai envie de te baiser"
"Avec elle, je n’en mets jamais ! je lui ai montré mon dernier examen de MST et VIH. Elle aime sentir mon sperme la remplir et couler de sa chatte, tu verras !"
Ah, le salaud, il connaît toutes ses envies.
Je sens ses doigts qui m’écartent le cul, qui me pénètrent et m’enduisent de gel. Je m’ouvre tout seul, sans difficulté, tant j’ai envie de le sentir.
Je l’entends enduire son sexe et ça m’excite encore plus. Je bande et j’ai envie de me branler pendant qu’il me prépare. Mais il attrape mes bras et me maintient les mains dans le dos.
"tu es prête, ma salope !"
Il présente son gland à l’entrée de mon cul et je n’ai qu’une seule envie, c’est qu’il me pénètre comme elle, que je sois sa salope et qu’il sente que je me donne à lui comme Hérine. Je veux qu’il sache qu’il dispose de deux salopes pour son plaisir et le nôtre.
Il me pénètre et je sens le gland que j’ai sucé et excité, m’ouvrir encore plus. Il y a cette douleur qui me rappelle que je suis un homme et que j’aime me sentir rempli par un mâle et que cette douleur, c’est la prémisse à être enculé. J’aime cette douleur qui est de plus en plus fugace mais qui me rend salope.
"Baise-moi ! Encule-moi ! je veux sentir ta bite et que tu aies envie de moi."
Et il me baise, il m’encule. Ses coups sont longs et forts. Il me dit que je suis une bonne salope, un bon petit pédé, un parfait cocu enculé.
Je regarde Hérine. Je vois son regard mêlé d’amour et de perversité à me voir baisé par son amant. Elle se caresse devant moi, la chatte à 10 cm de mes yeux. Elle a les cuisses grandes ouvertes et vient poser sa chatte sur ma bouche. Chaque coup de reins pousse ma langue dans son vagin, entre ses fesses, dans son cul.
Il ne s’arrête pas ! il a lâché mes mains et j’écarte mes fesses pour mieux le sentir.
"regarde, Hérine, comme il aime ça, ton mari !"
"encore plus salope que toi quand je te sodomise."
"il va me faire jouir parce qu’il s’amuse à me serrer la queue pour mieux la sentir"
Et je sens les spasmes qui montent. Il me traite de tous les noms et rugit quand il lâche sa jouissance. Je sens sa queue gonfler et propulser son sperme dans mon cul. Je suis sa pute, sa salope et je l’ai fait jouir. j’en suis heureux et je le sens s’affaler sur mon dos, en sueur, comme moi quand je jouis dans Hérine. Je me sens sa femelle et j’aime ça".¤


je fais une pause, ça fait 1h20 que j’écris.
je reprendrai ensuite si .......

 

Bon, je termine, parce que je n’aime remettre à demain, ce que je peux terminer le jour même ! ça va, ce n’est pas trop long ?

On s’est désemboités, on a repris notre souffle et on a pu faire connaissance sous la douche, pendant qu’Hérine se détendait sous la couette.
Je n’ai même pas fait attention de savoir si elle avait joui sous mes yeux et ma langue. J’étais trop pris ...

Donc, sous la douche, Philippe m’explique qu’il a rencontré ma femme à l’agence et qu’il n’a pu s’empêcher de la séduire. Sa couleur, son sourire, ses rondeurs l’ont enflammé et il s’est vu la courtiser comme un jeune-homme. Il est veuf et n’avait pas rencontré de femmes qui lui plaisent depuis la mort de la sienne.

Il a toujours été dominant et a vite compris quelle était notre relation de couple. Hérine lui a fourni les compléments ; ma bisexualité et mes plaisirs candaulistes.
Il me rassure sur son absence d’envie de recréer une vie de couple, mais qu’il aime beaucoup faire l’amour avec elle, pas simplement la baiser, mais vraiment faire l’amour.

Ils se connaissent depuis 4 ou 5 mois et se voient 2 à 3 fois par semaine. Il aime beaucoup qu’elle lui obéisse quand il lui demande de passer, prête et sans culotte, parce qu’il a besoin de décharger. Il aime aussi quand elle lui envoie un SMS un peu prude, demandant si elle peut venir prendre un thé entre midi et deux. Elle a rarement le temps de finir son thé ...

On parle un peu pendant que je le savonne et lui caresse la queue, parce que j’en ai encore envie.
Il me dit qu’il a toujours aimé les relations entre hommes et qu’il aurait plaisir à me revoir seul à seul. Ce à quoi, je ne peux qu’acquiescer tant j’en ai envie. Il n’a jamais été sodomisé par un homme, mais seulement par une femme, et préfère les relations douces quand il est seul avec un homme ; ce qui me convient très bien.

On évacue toutes les gênes qui peuvent encore exister entre deux hommes qui viennent de baiser ensemble, et qui convoitent et font l’amour à la même femme. Nous retournons retrouver Hérine qui s’est, depuis, endormie sous la couette.

Je le laisse s’allonger près d’elle, au chaud et je devine sa main qui remonte le long de sa cuisse tandis qu’il vient l’embrasser. Elle adore cela qu’on la touche et la caresse dans un demi-sommeil. Je reste accroupi près du lit pour mieux les laisser profiter de l’instant.

Par dessus la couette, je vois le mouvement de ses jambes qui s’ouvrent et offre le passage à la main de Philippe. Il doit lui caresser la chatte, avoir les doigts déjà plein de mouille et sentir de sa langue l’excitation qui monte en elle. Déjà j’entends de petits gémissements qu’elle laisse échapper.

Je suis obligé de deviner, même si je préfèrerais voir. Elle a dû prendre sa queue en main et la caresser. Il l’embrasse de plus en plus frénétiquement.
- " J’ai envie de la prendre " me dit-il
- " mais je veux que ce soit toi qui me prépare "

J’écarte la couette et je découvre juste son bas-ventre pour me rendre compte qu’il bande déjà très fort et qu’Hérine le branle lentement en lui caressant le gland, les couilles et la hampe, avec affection.

Je laisse sa main sur son membre et viens le prendre en bouche. Il sent le savon avec lequel je l’ai nettoyé et caressé.
- " Suce-moi et fais-moi bander très fort, je veux la remplir et que tu la voies jouir avec moi ".

Je m’exécute avec plaisir, y mettant d’autant plus d’ardeur, que j’ai envie de sa queue et, en même temps, qu’il soit très excité pour jouir en elle.
Sa queue est douce, son gland tendu et je le suce, le savoure, le lèche de haut en bas, lui gobant les couilles une par une, tout en le caressant entre les cuisses. J’aime sa queue, elle est vivante et réagit à la moindre stimulation.

Pour le reste, je ne peux qu’imaginer ce qu’il fait puisque Hérine, frileuse, est toujours sous la couette. Mais elle gémit pendant qu’il s’embrassent. Je semble ne plus exister pour l’instant. Elle est tout entière à lui, à ses caresses, à lui offrir son corps, sa bouche. Elle tient toujours sa queue et je fais des détours ou je passe ma langue sur ses doigts pour qu’elle sente bien tout ce que je lui fais.
Puis, je me redresse et lui dis :
- " je pense que tu es prêt pour elle ! et elle ? "
- " parfaite, juste comme j’aime "
- " ok, alors je vous laisse et je vous regarde simplement ".

Hérine semble ravie de cette situation. Son amant et son mari sont de connivence et elle reçoit les bienfaits du risque qu’elle a pris de le ramener à la maison pour me le présenter.

Il l’a découvre de la couette et je peux admirer ma femme, cuisses largement ouvertes et offertes aux caresses de son amant. Philippe se relève un peu et vient se loger dans ce réceptacle accueillant. Il s’allonge sur elle, recommence à l’embrasser, ce à quoi elle répond avec avidité.

Il ne bouge pas et je vois alors ma femme commencer une reptation vers le bas pour venir cherche le membre de Philippe. Elle se tortille jusqu’à venir positionner l’entrée de son vagin sur son gland. Il n’a plus qu’à pousser légèrement et je peux admirer sa queue s’enfoncer doucement sous les mouvements conjoints d’Hérine et de Philippe.
Son gland a ouvert les lèvres et je suis la progression de cette belle queue dans son corps.
- " Viens ! " me dit-elle
Je m’approche, m’allonge près d’elle et elle me prend la main.
- " regardes-moi ! j’ai envie de lui, souvent. Je voulais que tu sois là, que tu saches et que ça se passe bien ! "
- " Je suis là ! Occupe-toi de lui et vis cet instant aussi bien que tous ceux qu’on a vécus ensemble ou que tu as vécus avec lui. "
Son regard est dans le vague et je la sens submergée de bonheur, de désir et de plaisir. Elle me serre la main et ne la lâche pas.

Elle fait l’amour avec lui, les yeux dans les yeux, bouches en ventouse, les caresses se faisant douces, brûlantes, félines selon le plaisir de l’un et l’autre dans la pénétration. Je sais qu’elle jouit, en continu, depuis qu’elle me tient la main. Son regard est extatique, son ventre absorbe et sa cambrure appelle le martèlement de Philippe dans le fond de son vagin. Et il y va ! le bougre.

Mais il veut assouvir sa domination et la fait se retourner, à quatre pattes.
Il glisse sa queue entre les fesses, caresse le cul de ma femme, puis opte pour une levrette classique.
- " Tu me diras quand tu en as envie, Hérine ! "
- " Oui, Philippe "

Et il reprend sa pénétration, son mouvement de métronome et les coups de boutoir que je sais faire mal à mon épouse, mais qu’elle adore.
Je sais ce qu’il a voulu dire : dis-moi quand tu auras envie que je te sodomise.
Il lui tient les hanches ; elle, me tient la main et me regarde pour mieux me montrer l’intensité du plaisir et des émotions qu’elle éprouve.
- " Encule-moi ! Fort ! "

Sachant comment elle s’ouvre quand elle est prête, je ne m’étonne pas de le voir sortir de son vagin et, dans le même élan, la sodomiser d’un trait, alors qu’elle lâche un "Ouiii" de plaisir.
- " oh, tu aimes ça, ma salope ! ".
- " Ouiii ! " lui répond-elle.
- " regarde, Jacques, elle me le réclame à chaque fois. "

Je les laisse à leur corps à corps sauvage, tant les coups qu’il lui donne sont violents. Il la fesse en même temps et je vois à son regard qu’elle jouit encore et encore. Elle me montre qu’elle est sa salope et qu’elle aime cela, comme elle me le dit si souvent. Il l’encule encore et encore, et elle, elle le réclame de tout son corps, de ses mots, de ses invectives.

Puis il ressort, essuie son sexe avec une serviette et replonge dans sa chatte.
Il la brutalise, elle gémit, il l’écrase, elle réclame, il la pilonne, elle se cambre pour mieux éprouver la douleur et le plaisir.

Et il jouit, comme avec moi, dans un rugissement. S’effondre, comme avec moi, sur elle. Il leur faut quelques minutes pour récupérer, pendant qu’il l’embrasse dans le cou, sur le dos.

Ils se détachent et Hérine s’allonge pour reprendre ses esprits. Je vois qu’elle est repue de plaisirs et de jouissance, mais je ne peux m’empêcher de venir m’abreuver de leur jouissance. Je me glisse entre ses cuisses et vient me délecter en lui léchant et nettoyant la chatte, du goût si particulier du mélange de sa cyprine et du sperme de son -de notre- amant . Elle me laisse faire, même si je connais ses réactions réfractaires quand elle a joui. Je la lèche et bois la semence du mâle qui l’a saillie. Je suis le cocu marquant son allégeance à l’amant qui fait l’amour à sa femme.

J’ai été baisé par lui, il a pris ma femme, je lui ai tout offert et j’ai envie qu’il la revoie et la fasse encore jouir. J’ai envie qu’elle rentre encore couverte de son odeur et pleine de son sperme.
J’ai encore envie qu’il vienne me voir ou m’appelle pour qu’il puisse assouvir ses envies avec moi, en moi.

Nous nous sommes détendus, après cet après-midi d’amour et de plaisir, dans le canapé, en devisant sur nos envies respectives.
Ils se reverront quand l’un ou l’autre aura envie. Je reverrai Philippe ici ou chez lui, parfois peut-être avec Hérine. Il n’y a pas de règle, pas de prévisions, juste une envie de reproduire et de perpétuer l’envie de chacun aux plaisir que nous avons connus ensemble.

Non, vraiment ce jour-là, je ne pouvais pas me douter ...

                                 

                                                            
                                                                            

                                                                 

                                                           
         

  Savor the pleasure sub, as my big hard dick gets your asspussy so tender. I am going to fill your hole with my man seed.  et l'aveu...   

 

 

 

 

Sometimes it starts out like this. The husband wants dick without his wife knowing. Then soon after I fuck him, he tries to get his wife to open up and explore the idea of having him watch her take my big dick. So now he can enjoy my cock with her.

  Parfois,c'est comme ça. Le mari jaloux non pas de l'amant, mais de sa femme qui se prend la bite. Et il veut la bite sans que sa femme le sache. Puis, peu de temps après que je l'aie baisé, il avoue à sa  femme  son idée de partager ma grosse bite. Alors maintenant, il peut profiter de ma bite avec elle.

 

 

Elle aussi fait l'aveu de ses désirs en guidant elle-même la grosse bite de l'amant dans son vagin 

 

Go ahead and work that pussy dick of yours. Feel a real man in you. 

Là la solution s'est imposée toute seule !  

 


commentaire : " bien vu le mari jaloux non pas de l'homme qui baise sa moitié, mais de sa femme qui se la preend grosse ! " 

 

Par JASMIN - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 1 janvier 1 01 /01 /Jan 03:06

 

niftynudeguys: “When my boyfriend said he wanted a threesome I though I’d keep an open mind, but the night ended…and all I did was watch. ”

vous ne pouvez imaginer ce que ça m'a fait de le voir se faire prendre car ce que mon pote sentait, du fait que tout ça je l'avais vécu avant, je le sentais aussi, les caresses, les baisers, la fellation, la pénétration, enfin quoi, TOUT et ce que c'est de bénir l'intrusion jouissive d'un inconnu entre ses fesses. Oui, mais ce que je voulais c'était bien au-delà. Je lui en avais parlé en lui décrivant ce que ça avait été pour moi que mon ex me présente des inconnus comme je le fais pour lui désormais,... C'est un passage vers une relation nouvelle et tout à fait décente. Mon coeur battait autant que si je me faisais prendre moi-même, car nous sommes faits de la même chair mon copain et moi. Pendant que l'amant que je lui avais choisi le faisait sien pour un moment, je lui pris une main. Il me fit un bisou, pour me dire sans un mot : "- je suis bien, je suis heureux avec toi, avec lui, tous les trois pouvons être heureux ensemble." Je n'avais aucune peur d'être supplanté. Ce n'était pas comme s'il faisait seul une expérience qui nous éloigne l'un de l'autre. Et j'étais prêt à ce que nous recommencions avec un autre, avec d'autres...mais il ne le savait pas encore, bien que je lui aie dit que mon ex se passionnait pour me trouver toujours de nouveaux amants. Aucun danger que j'aille chercher ailleurs : ailleurs, avec un invité, c'était tout simplement notre appart !     

 

     NOTRE CANDAULISME GAY ce n'est pas l'échangisme mais ça peut y ressembler

My boyfriend is a Twink so when he gets fucked by another Twink, I get super excited. My boyfriend says he prefers older guys but when he has sex with another twink his more into it, dirtier, sexier and more passionate. c'est lui, le" candidat" derrière mon copain. Il est ardent. Il va se régalermon copain.  .

  - " Cool! allez-y les gars, moi je vous regarde faites pas attention ! ça me suffit"

 

    une fois on l'a fait en faisant croire au visiteur que  j'étais pas là, mais c'était nettement moins bien que j'arrive au milieu en disant de  continuer.  

s'ils vont dans la chambre, comme convenu je les suis:                                               

               

  je crois pouvoir affirmer que je jouis autant que lui qu'eux 

     Des fois, pour amorcer, avec un baiseur intimidé, qui a toutois accepté notre "deal", il faut que je fasse semblant de m'en désintéresser

vergas-mx-gay: “Tu novio es un pasivo muy tragón y quiere verga a toda hora, se lo cogen en el sillón mientras tú puedes hacer otras cosas ” Cosas como buscarle al siguiente amante :)

Mmmmm je ne dirai pas que ça m'est égal que mon copain se soit fait prendre juste avant par d'autres hommes. Non. Ca me plaît.  Dans son trou le gars a laissé son sperme et son odeur mêlée à la sienne. Je renifle, je lèche et lui, mon copain, il adore car ça lui prouve une fois de plus combien je l'aime.

       

Mmmmm I love eating other mens cum out of my boyfriends hole makes me feel nasty and dirty, especially when I swallow anything I get out.

 

Je crois que ce qui est une bonne chose pour souder encore plus notre couple, c'est que, dès que le visiteur nous quitte, je le caresse, l'embrasse, le suce et achève de le remplir de sperme à mon tour. Il s'ensuit une nuit merveilleuse aux bras l'un de l'autre. (un plus pour chacun de nous !) 

    
Aucun baiseur n'est jamais entré chez-nous par hasard-lol-. Il s'attend à tout ce qui va lui être demandé et donc, le fait d'être regardé, et même de près, ne le fera pas débander. Mon copain et ses baiseurs aiment toujours me lancer des regards pendant qu'ils baisent. L'amant croit à chaque fois qu'ils vont voir apparaître la jalousie et l'humiliation sur mon visage. Il se trompe mais ça le pousse à défier encore plus le "cocu" que je suis, ce qui le fait bander encore plus fort et jouir davantage de la situation. Et moi ça me fait sourire.

 

  ce WE   été un peu plus spécial 

    Quitte à me répéter, j'aime me glisser  sous mon copain et son ami baiseur alors qu' ils gémissent tous les deux et ça me donne envie de lécher leurs trous et la bite qui va qui vient et mordiller leurs testicules

   

  La position parfaite pour regarder la bite d'un autre homme pulser  dans le ventre de mon copain.

 

A young bull enjoys your bf’s pussy while you wait hopeless.

 

Ah oui, pensez-vous qu'il soit désagréable de prendre un apprenti ? La réponse a été non, ça a été divin 

         

The perfect position to watch another mans dick pumping into my boyfriends hot smooth ass mmmmmm perfect oui, juste la bonne position pour voir et lécher la bite qui va et vient  

  cuckold-gay-male-couple: “ Camping with my husband and his lover. I stay in another tent a few feet away and listen to them in a 2-man sleeping bag making out & grinding, all night long. The next morning they let me nap in their cum-and sweat-stained... 

    Il ne s'arrêterait jamais, où que nous allions il faudrait que mon petit ami ait un homme en plus de moi  pour baiser son trou et le remplir. On vous donne notre adresse ? -lol-

 

 

 

This is the kind of Alpha stud I love fucking my Boyfriends ass, one who cocky and loves to make me jealious

 

 

  niftynudeguys: “When my boyfriend said he wanted a threesome I though I’d keep an open mind, but the night ended…and all I did was watch. ”                                                                                   

     

Jeune. Masculin. Bien bâti. Bien doté. D'une beauté dévastatrice. Il n'y a rien de notre compagnon partenaire ce jour-là  qui ne soit pas parfait.On pourrait gicler juste en le regardant :



Mais c'est moi qui, en voyant mon petit ami se rendre complètement à ses exigences ai failli juter rien qu'en les matant... lui, et ce fin taureau lui donnant de sa bite et de son jus,  incroyablement et , apparemment sans effort ! Ah, non, jamais...
 

       

 

 

  cheating-boyfriends: “ mexicangaycuckolds: “ You never saw so much pleasure in your bf’s eyes until he had another man’s big cock pounding his ass… You never felt so hard either. ” So true. There is nothing hotter than knowing you can never sexually... 

 

C'est mon fantasme ultime ... Plonger dans son regard quand mon petit ami est sur un nuage, il me voit sans me voir. Je me sacrifie, mais c'est un bonheur ! Il se fait baiser et utiliser comme notre invité le souhaite, alors que je regarde avec ma bite dans ma main.

   

 

C'est ce que je veux de tous nos visiteurs : de la passion dans la baise et   qu'is soient  arrogants et aiment à me rendre jaloux.¤   

 

________________________________________________________________________________________________

commentaire :

"Nous sommes un couple d'hommes. On est ensemble depuis 5 ans. Mon mec, Julien, a 23 ans, châtain, yeux verts, sportif, cul de meuf bien pommé, passif. Moi, Benoit, j'ai 25 ans, brun, yeux marrons bien bâti mais un peu grassouillet avec de la poitrine, actif. On a une bonne situation professionnelle et on gagne bien notre vie. Voilà pour les présentation ...

Je vais vous racontez ce qui est en train de nous arriver. J'ai découvert ce site il y a quelques mois. A la lecture des récits j'ai tout de suite senti une forte excitation. Au fil du temps c'est devenu une obsession. J'imaginais en permanence mon copain dans les bras d'autres mecs de tout genre : des sportifs, des bedonnants, souvent plus vieux que nous. Alors j'ai commencé à lui parler. Au début il a cru que je rigolais. Comme j'insistais plusieurs fois et que je lui faisais de moins en moins l'amour, il m'a demandé si je ne l'aimais plus. Je l'ai rassuré sur mon amour mais je lui ai dit que c'était un énorme fantasme et je lui ai fait lire quelques récits du forum. Il a semblé intéressé mais nous en sommes restés là.

Il y a quelques jours, alors que nous faisions l'amour et qu'il gémissait, il a murmuré le nom de Xavier. C'est son coach sportif. Je n'ai rien dit sur le moment. Hier soir je suis revenu sur le sujet :

- Julien tu sais vendredi tu as prononcé le nom de Xavier quand on faisait l'amour.
- ...
- Ça te plairait qu'il te fasse l'amour ?
- ...
- Tu sais on en a déjà parlé. Je trouverai ça assez excitant. Enfin tu fais comme tu veux ...

La discussion en est restée là. Mais je viens de recevoir un sms de Julien :

"Content mon chéri", accompagné d'une photo où on voit le visage de mon copain avec la bouche déformée par un truc énorme

Depuis j'arrive pas à débander. Je m'imagine les trucs les plus chauds mais je suis tétanisé et je ne sais pas quoi lui répondre"

 

 

Par COCUGAY - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 1 janvier 1 01 /01 /Jan 02:45

  regarde chéri, lui il met pas de capote !

 

cuckoldinglifestyle: “Look ” The wife’s enjoying her lover bareback just as she should.

 

iwanthertocheat: “ I so want to eat my wife as she gets fucked. ” I want this so bad…I know she’d LOVE it if she’d just give it a try!

 

I want this for my wife!!

 

Human Mate Choice

créer la confiance  

 

Family Friendly Cuckolding

à les regarder comme ça, non seulement ça me plaisait mais je pouvais mesurer toute la chair quil force dans son vagin et dans son anus ventre ! et dans ma tête je les bénis tous les deux.    

 

 

Par JUSTINPA2 - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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