Partager l'article ! VITE FAIT BIEN FAIT fécondé dans les toilettes publiques: Je n'ai jamais parlé de cette aventure à ma ...
Je n'ai jamais parlé de cette aventure à ma femme. Par contre chaque fois que j'entendais ces insultes: «espèce d'enculé, va te faire enculer ou va te faire foutre» je pensais: «c'est vrai, j'en suis un, avec plaisir ou quand tu veux!» avec des contractions de l'anus. J'ai recommencé plusieurs autres fois cette expérience dans d'autres circonstances et régulièrement avec mon beau-frère. Eric
BAISE DANS LES TOILETTES
Salut, c'est moi Eric.. Ca commence dans une salle obscure.. Quand je suis entré dans ce cinéma porno entre midi et deux heures pour y passer le temps, une envie de quelque chose me tenaillait, je ne savais pas quoi mais j'avais besoin de me masturber. Le film était nul et les filles même pas bandantes ni jolies, je me branlais sans conviction, attentif aux acteurs masculins. J'étais le seul de ma rangée, il n'y avait d'ailleurs presque personne dans la salle et je me suis dit que le type qui venait de s'installer juste à côté de moi allait avoir une mauvaise surprise s'il m'emmerdait, j'ai été tenté de le lui dire qu'il y avait de la place ailleurs et puis, bof! Mais je ne me touchais plus et j'avais rangé ma queue.
Ce n'était pas la première fois qu'un homo essayait de me draguer, mon physique un peu ambigu les attire, ma femme aime me maquiller et me dit souvent que j'aurais pu être une jolie fille (1). Aujourd'hui je voulais voir ce qu'il allait faire. Il ne bougea pas pendant un moment assez long, je n'y pensais plus et j'allais m'en aller quand j'ai senti une légère pression de son genou droit sur ma cuisse gauche, normalement, mon premier réflexe aurait été de grogner et de m'éloigner mais subitement je me suis aperçu que ce contact me faisait bander et au lieu de le fuir, j'ai laissé ma cuisse collée à son genou avec l'envie d'aller plus loin qui me tenaillait le ventre.
Il a accentué sa pression et j'ai maintenu ma jambe, enhardi par ma bonne volonté manifeste, il m'a ouvert la fermeture éclair et extirpé ma bite à toute vitesse qu'il s'est mis à me branler en sortant la sienne et en se l'astiquant aussi. C'était la première fois qu'un homme me touchait et, très excité, je me suis laissé faire. Il voulait que je le touche mais je ne le faisais pas. Il n'y avait pas grand monde dans la salle mais quand même une dizaine de spectateurs, cela ne l'a pas empêché de se baisser, de m'ouvrir le pantalon et de m'engloutir la verge dans la bouche, il s'est mis à me sucer goulûment tout en insinuant une main sous mes fesses en suivant la raie, à me titiller l'anus d'un de ses doigts et à l'enfoncer dedans.
Cette intrusion m'a électrisé, je trouvais la situation complètement folle, je me disais que je me comportais comme un pédé et cela m'a excité encore plus, je baisais sa bouche de mec et j'avais au moins deux de ses doigts qui me ramonait le cul, j'ai cru que j'allais éjaculer mais il s'est relevé avant. Il m'a dit alors que je devrais le suivre dans les chiottes si je voulais qu'il m'encule et il est parti sans attendre ma réponse. Qu'il m'encule? Il est malade ce type! Incapable de réagir dans l'instant, je me suis rajusté avec la ferme intention d'oublier ce petit épisode et puis l'envie m'a repris plus fort encore, j'avais une espèce de fourmillement, des contractions de l'anus, un manque, je ressentais toujours l'agréable sensation de la présence de ses doigts avec frustration, je désirais que quelque chose me rentre dans le cul, en fait, je voulais me faire enculer, pour voir au moins une fois, me disais-je et j'avais envie de jouir.
Je me suis dirigé vers les toilettes en pensant que je me conduisais comme une pédale qui allait se faire mettre la bite au cul et je bandais encore plus parce que justement, j'y allais pour me faire mettre la bite dans le cul, je me disais que j'étais comme une femme qui sait qu'elle va se faire baiser et que j'allais connaître ce que ce qu'elle ressent quand le sexe d'un homme leur rentre dans le corps, j'en tremblais de désir et d'émotion, je ressentais des frémissements dans le derrière.
Tout à été très vite, il m'attendait dans les toilettes, il m'a poussé dans une des chiottes, il a verrouillé la porte derrière lui, il m'a baissé le pantalon et le slip, il en a fait de même, il bandait lui aussi et j'ai vu que son membre était gros, plus important que le mien, il me l'a foutu dans la main pendant qu'il me branlait, je l'ai imité en le masturbant, je n'avais jamais touché un homme auparavant, il m'a forcé à le prendre dans la bouche et j'ai senti le goût de sa liqueur lubrifiante puis il m'a retourné en me faisant pencher le buste en avant, je me tenais au mur, le dos courbé, la tête appuyée sur le coude gauche en me masturbant de la droite, jambes écartées dans la position que j'imaginais celle du parfait petit enculé en lui tendant mon derrière pour m'offrir.
Il s'est d'abord baissé pour me lécher le trou de balle puis j'ai senti son gland se pointer sur l'anus, il m'a écarté les fesses, il a appuyé un peu plus et j'ai su que cette fois, j'allais y passer, son noeud me rentrait dedans, je sentais mon anus s'ouvrir sous la poussée, il se dilatait sous l'intrusion, mes jambes tremblaient et mon coeur battait à toute vitesse, je m'ouvrais de plus en plus, il ne me faisait pas mal malgré sa grosseur, au contraire, je voulais qu'il s'enfonce en moi et j'allais au devant de sa verge, j'ondulais du croupion, je me tortillais du postérieur pour lui faciliter l'introduction, il a poussé encore plus fort et j'ai senti sa bite qui me rentrait progressivement dans le rectum, il allait loin, puis, me prenant par les hanches, il a donné un violent coup de rein et il m'a pénétré à fond, son ventre est venu claquer sur mes fesses, j'ai crié, il m'enculait, je me faisais culbuter, il me pétait la rondelle, il me défonçait le fion, je me faisais enfiler comme une nana, j'étais un enculé et j'aimais ça.
La pine fichée dans le cul envahit de toute sa longueur, de toute sa grosseur, il me ramonait durement, il me pistonnait sans ménagement, ses va-et-vient étaient rapides, profonds, je le sentais aller et venir, sortir et rentrer dans mon conduit anal, il me dilatait les muqueuses en me limant délicieusement, ses coups de butoirs me bourraient sans ménagements, je me faisais mettre le paquet, c'était bon, je me branlais comme un fou, il me touchait dans le cul des zones érogènes inconnues qui me procuraient des sensations érotiques nouvelles incroyablement jouissives. Ce qui est marrant, en y repensant, c'est que tout notre environnement "sordide" s'estompait. Je voyais dans un brouillard. Même le nez presque à toucher la cuvette, je ne voyais qu'un volume blanc arrondi trouble. Je crois que le fait de me faire prendre ainsi arrivait à me shooter à la hauteur d'un joint et quasiment, comme il me tenait par le ventre, les bras repliés autour de ma taille, je ne faisais plus d'effort pour me tenir penché.
Enculé, pour la première fois de ma vie ! je me faisais enculer, un homme me baisait le cul, je me faisais sauter, il me sodomisait à fond, j'avais sa bite qui me pilonnait et qui m'explosait l'anus, j'étais un enculé, un pédé et je me faisais transpercer la rondelle, toutes ces évidences m'excitaient au plus haut point d'autant plus qu'à voix basse il me traitait de sale pute, de salope d'enculée (ça, c'était vrai et pour cause, il en savait quelque chose le salaud!), de petite vicieuse, de femelle en chaleur, de pédale ou me disait que mon cul était comme la chatte d'une femme mais qu'il préférait m'enculer plutôt que de baiser une gonzesse!
Quand il a senti qu'il allait jouir, sa main gauche est venue me prendre les couilles à l'entrejambe, de la droite il m'a saisi la verge en la branlant à toute vitesse, il me pressait contre lui pour me pénétrer et s'enfoncer le plus loin possible, il était très profondément planté en moi, sa queue me remplissait incroyablement le cul qui était excessivement dilaté. Il a joui, il a éjaculé dans mes intestins en râlant, je le sentais gicler, il m'inondait le rectum de foutre, j'en avais plein le cul. J'ai joui dans ses doigts, il m'a provoqué un orgasme insensé, je jouissais du cul et de la bite, je n'en finissais pas d'éjaculer en longues giclées pendant qu'il se vidait de tout son foutre dans mes intestins, j'avais le cul en feu, bourré, débordant de sperme gluant, l'anus explosé, le rectum écartelé.
Satisfait, il s'est vite rhabillé, m'a donné une claque sur les fesses en me disant que j'étais un bon coup et à la prochaine, puis il est sorti en refermant la porte derrière lui. Je me suis retrouvé seul dans les chiottes, les fesses douloureuses avec du foutre qui me coulait sur les cuisses, par manque de précaution, le pantalon et le slip maculés de mon jus à mes pieds. J'ai connu une énorme frayeur en voulant m'essuyer, d'abord il n'y avait presque plus de papier mais j'ai surtout constaté que mon anus était anormalement ouvert, complètement dilaté, on aurait pu y mettre une balle de ping-pong sans difficulté et il était trop plein de sperme pour que je puisse me nettoyer entièrement. Inquiet, je me suis donc rajusté comme j'ai pu, le cul encore barbouillé de foutre et je suis sorti alors que des mecs se lavaient les mains. Ils m'ont regardé sortir de la même chiotte que l'autre, ils ont commencé par se marrer en comprenant ce que je venais de subir, puis ils se sont foutus de moi en me traitant d'enculé et en me demandant si j'en voulais encore un coup dans l'oignon. La honte envers ces inconnus n'arriva pas à émousser mon divin contentement.
Je n'ai jamais parlé de cette aventure à ma femme mais je ne pouvais plus entendre ces insultes: «espèce d'enculé, va te faire enculer ou va te faire foutre» sans penser: «c'est vrai, j'en suis un, avec plaisir ou et quand tu veux!» avec des contractions de l'anus. J'ai recommencé plusieurs autres fois cette expérience dans d'autres circonstances et régulièrement avec mon beau-frère j'essaierai de vous en parler.
(1) est-il indispensable d'avoir un corps plutôt féminin pour être dragué dans les toilettes ?
suite : images optionnelles
le brouillard du shoot
Derniers Commentaires